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Daniel et sa fille – Chapitre 2

Daniel et sa fille - Chapitre 2



A partir de ce jour, nous avons fait l’amour pratiquement quotidiennement. Nous ne négligions pas l’entreprise. Je me souviens l’avoir vue préparer ce que nous devions donner au comptable alors que, assis à mon bureau, j’étais enfoncé dans son petit trou tout en lui caressant le clitoris qu’elle avait particulièrement sensible.

Nous discutions aussi. En fait, elle était à la fois ma maîtresse – et quelle maîtresse ! – ma confidente et mon aide-éducatrice.

Il y a aujourd’hui onze ans que nous sommes amants. Comme d’habitude, je l’ai invitée au restaurant pour l’occasion. Elle a utilisé je ne sais quel prétexte pour ses enfants et son mari, moi j’ai dit à ma fille que je devais aller arroser un gros contrat et que mon client m’invitait. Nous nous sommes retrouvés dans le restaurant le plus huppé de la grande ville d’à côté : je ne voulais pas qu’elle perde sa réputation ni qu’un client vienne me demander ce que je faisais là avec ma secrétaire !

Nous nous sommes arrêtés sur la route du retour. Dans la voiture, comme deux adolescents, nous nous sommes mis en 69 pour nous brouter mutuellement. Elle ne voulait surtout pas revenir chez elle avec du sperme dans un autre trou que sa bouche !

Je l’ai raccompagnée à l’entreprise, où elle a repris sa voiture puis je suis rentré chez moi, tout songeur.

C’est là que tout a commencé avec ma fille.

Étant donné l’heure tardive, j’ai fait le moins de bruit possible en rentrant. Certes, nous étions un vendredi et Eve n’avait pas cours à son lycée le samedi, mais elle devait en avoir assez de sa semaine, d’autant plus qu’elle préparait son bac (elle avait un an d’avance, tout comme sa grande amie Émilie).

Je suis resté dans le noir pour traverser ma chambre et aller vers la porte de la petite salle de bains qui lui était attenante. Là, je me suis déshabillé (je couche nu depuis fort longtemps), puis j’ai fait un brin de toilette, me suis lavé les dents et, après avoir éteint la lumière dans ma salle de bains, je me suis dirigé vers mon lit.

Toujours dans le noir, j’ai ouvert le lit et me suis allongé. Il était chaud. En tâtonnant, j’ai senti une chair : il y avait quelqu’un dans mon lit !

J’ai allumé ma lampe de chevet : surprise, c’était ma fille ! Je l’avais certainement réveillée, mais elle me dit, en entourant mon cou de ses deux bras,

Bonjour, mon papounet chéri ! Je n’arrivais pas à dormir et j’avais froid dans mon lit. Je suis venu dans le tien. Viens, ajoute-t-elle en se découvrant.

Là, je ne comprenais plus du tout, mais ça me faisait un sacré effet. Elle aussi était toute nue. On aurait dit la copie conforme de sa mère, avec ses longs cheveux noir corbeau, ses yeux verts, ses seins parfaits qui appelaient la caresse, son petit buisson d’amour assorti à ses cheveux et, au milieu de son triangle sombre, une petite fente qui m’a semblé humide. Je me suis mis instantanément à bander comme un cerf, tout en lui disant :

Mais

Je n’ai pas eu le temps d’en dire plus long. Elle m’a attiré contre elle, puis sur elle et, si je n’avais pas fait un peu attention, je me serais retrouvé dans elle !

Je m’imaginais bien mon air ahuri quand je lui ai répété ce que je n’avais pas pu lui dire :

Mais enfin, ma chérie, qu’est- ce que tu fais là ?

Je viens de te le dire, papa, j’avais froid dans mon lit.

Mais tu étais seule aussi dans le mien !

Ce n’est pas pareil.

Je me suis un peu éloigné d’elle, histoire de tenter d’arranger ce que j’appelais intérieurement « mon cas », mais impossible de m’empêcher de bander. Dans moi, c’était un combat infernal : d’un côté, j’avais dans mon lit une fille sublime, une beauté resplendissante, qui de plus ressemblait à sa mère que j’avais tellement aimée comme deux gouttes d’eau, de l’autre côté c’était ma fille. Je n’allais tout de même pas baiser ma propre fille !

Elle m’a appris :

Et puis, tu sais, papa, je voudrais que tu m’apprennes l’amour !

Seigneur ! en plus, elle me demandant de la dépuceler. Je lui réponds :

Mais, ma chérie, est-ce que tu te rends compte de ce que tu me demandes ?

Oui, papa, mais tu est la personne que j’aime le plus au monde. Et puis, tu sais, je ne suis plus vierge !

Et ma fille me dit ça tranquillement, comme si c’était une évidence. Je devais avoir l’air con : la nouvelle m’est tombée dessus comme un coup de massue sur la tête. Du coup, j’ai débandé. J’essaie de prendre un ton courroucé :

Quoi ? Mais avec qui ? Et tu ne prends pas la pilule !

Elle se met à rire et, s’apercevant que j’ai un peu débandé, elle entoure ma verge de ses deux mains. Je n’ai aucun mouvement de recul et je me morigène intérieurement, en me disant que je devrais m’arracher à ce doux étui qu’elle me fait. Au lieu de cela, comme un pauvre mec complètement dépassé par les événements, je la laisse faire. Ma queue reprend une forme olympique, sous son regard intéressé et elle m’apprend :

Rassure- toi, papa, je ne risque rien ! C’est Émilie !

Quoi ? Mais

Tu sais, il y a deux ans qu’on fait l’amour, toutes les deux !

Là, je suis complètement dépassé. Merde, ça fait deux ans qu’elle couche avec sa meilleure amie et je ne me suis aperçu de rien. Il faut dire qu’entre mon boulot et mes séances avec Christine, je ne me suis peut-être pas suffisamment occupé d’elle. Elle continue, sans me lâcher, simplement en me tenant entre ses mains chaudes, ce qui est loin de me faire débander :

Tu sais que la maman d’Émilie est gynécologue ?

Non, je l’ignorais.

Eh bien, un jour, alors que nous avions commencé à nous faire l’amour toutes les deux, chez elle, Émilie m’a dit : « Je vais te montrer quelque chose que j’ai trouvé en fouillant dans la chambre de maman ! »

J’ai répondu à ma file :

Eh bien c’est du propre. C’est quoi ?

Émilie est revenue avec un gros godemichet fixé sur une espèce de ceinture et un gros tube d’une espèce de vaseline parfumée. Émilie m’a appris que, comme sa mère était divorcée depuis longtemps, elle avait dû trouver ça pour calmer ses ardeurs. On a bien rigolé toutes les deux avec, puis au bout d’un moment on a décidé de se dépuceler mutuellement. Alors, tu peux venir dans mon ventre, d’autant plus que la maman d’Émilie nous a surprises un jour. Elle nous a juste un peu disputé et elle nous a donné la pilule, qu’on prend depuis quinze jours, depuis mon anniversaire, en fait. Mais on n’a encore jamais couché avec un garçon. Voilà tout.

Voilà tout, tu dis ? Mais

Je n’ai pas eu le temps de dire autre chose. Elle m’a de nouveau attiré sur elle. Elle a écarté ses cuisses puis m’a serré dans ses bras. Elle a glissé une main entre nous deux, a ressaisi mon pénis et a frotté mon gland contre l’entrée de son vagin qui n’avait pas encore connu l’homme. Ça m’a fait un de ces effets : la peau sensible du bout de mon méat et de tout mon gland contre l’humidité du sexe de ma fille, c’était dément !

Là, je me suis conduit comme un idiot, enfin, un idiot qui se laissait mener par le bout de sa queue. Je n’ai pas résisté. D’une lente poussée, je me suis enfoncé dans elle en lui caressant les seins. Elle a gémi puis m’a serré de toutes ses forces en me disant des « Je t’aime » éperdus dans l’oreille. J’avais l’impression que mon sexe était dans une petite fournaise complètement trempée. C’est elle qui a donné le premier coup de reins en posant sa bouche sur la mienne.

J’étais en transes. Je n’étais plus un père en train de baiser sa fille, j’étais un homme qui faisait l’amour à une jeune femme splendide et qui voulait la faire jouir. Nos lèvres se sont scellées les unes aux autres. Nos langues se sont battues à l’intérieur de nos bouches. Ses cuisses se sont resserrées autour de mes reins et j’ai commencé à faire des aller- retours de plus en plus rapides. Moi aussi ,je l’ai serrée dans mes bras tant que j’ai pu. Elle pleurait – j’ai compris plus tard que c’était des larmes de bonheur – j’ai eu peur de lui avoir fait mal. Je me suis arrêté, mais elle a lancé son ventre très fort à la rencontre du mien en hurlant :

Oui, mon amour ! Encore, va bien au fond, va fort ! Cogne au fond ! Remplis-moi bien !

Dès lors, je n’ai plus eu de limite : elle en voulait, elle allait en avoir ! Je variais ma cadence, elle ruait en allant à ma rencontre. Son petit vagin quasi vierge commençait à faire comme celui de Christine. C’était fabuleux.

Elle courait d’orgasme en orgasme, jusqu’au moment où, pour la première fois de sa jeune vie, elle a reçu mon sperme en elle.

Lorsque j’ai eu fini mon interminable éjaculation, je me suis effondré sur elle, qui était aussi inerte que moi. Elle m’a passé tendrement sa main dans les cheveux, avec exactement le même geste qu’avait sa mère. Elle m’a dit :

Merci, mon amour de papa ! Si tu savais comme je suis heureuse !

Moi aussi, ma chérie ! Mais qu’allons-nous devenir ?

Je vais être ta nouvelle femme, nous allons faire l’amour tous les jours. Et puis tu apprendras aussi à Émilie.

Je n’avais pas quitté son ventre. Je me suis redressé sur les avant-bras et je lui ai demandé :

Quoi ? Mais, ma chérie !

Elle est aussi amoureuse de toi, papa ! Et c’est mon amie, ma meilleure amie, ma seule amie, d’ailleurs.

Mais

Il n’y a pas de mais, tu lui feras l’amour à elle aussi. Et d’ailleurs

Elle ajouté, en criant un peu :

Viens, Émilie !

J’ai compris que j’étais tombé dans un traquenard, dans un piège élaboré par ces deux petite diablesses lorsque j’ai vu la porte de ma chambre s’ouvrir et Émilie, aussi nue qu’Eve, venir vers le lit, timidement. Eve la gronda un peu :

Viens ici, ma chérie !

J’étais fou ! Je regardais Émilie, aussi blonde que ma fille est brune, très belle, elle aussi, avec des yeux bleus, avec des seins légèrement plus petits qu’Eve, avec entre les cuisses un petit buisson blond d’où émergeaient des lèvres roses. Sur l’invitation d’Eve, elle s’est allongée près d’elle.

Eve lui a dit :

Tu te souviens de ce qu’on a dit ?

Émilie lui a répondu :

Oh oui, ma chérie !

Eve s’est alors adressé à moi en me repoussant un peu :

Mon papa d’amour, regarde bien : pendant que je vais te nettoyer, en attendant que tu fasses à Émilie la même chose qu’à moi, elle va recueillir dans mon ventre tout ce qui sort de moi et qui est maintenant à nous deux.

Je me suis dit que j’allais assister à un spectacle comme je n’en avais jamais vu. Je m’attendais à voir de la pornographie, je n’ai vu que de l’amour.

(à suivre)

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