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Danielle – Chapitre 3

Danielle - Chapitre 3



Nous nous préparons pour le dîner chez Caroline. Danielle porte une petite jupe plissée blanche à mi cuisses, un corsage bleu nuit un peu serré qui montre bien qu’elle est nue dessous et fait pointer ses tétons. Elle se chausse d’escarpins bleu nuit, assortis à son corsage. Contrairement à ce qu’elle porte la journée, elle ne met ni soutient gorge, slip et collants. Elle est nue sous ces légers vêtements.

— Tu vas chez ta nièce comme ça, tu ne met pas de culotte?

— Non, il faut qu’elle connaisse sa nouvelle tante.

Après avoir trouvé une place pas trop loin de chez Caroline, nous marchons dans une rue assez fréquentée et je remarque que pas un homme ne peut sempêcher de se retourner sur elle. Il faut dire que sa démarche fait aller sa jupe de droite à gauche en laissant deviner le haut de ses cuisses. Arrivé à l’immeuble de Caroline, nous apprenons que lascenseur est en panne. Quatre étages à pied. Je monte derrière Danielle en admirant le bas de ses fesses. Je passe une main sous sa jupe pour lui caresser les fesses. Elle se dandine pour me faire comprendre qu’elle apprécie. Nous arrivons chez Caroline, sonnons à sa porte et une jeune fille nous ouvre.

— Bonjour, je suis Sandrine, l’amie de Caroline, elle est toujours dans la salle de bain. Mais entrez je vous prie.

— Ca ne m’étonne pas de ma chère nièce, toujours en retard.

Nous allons dans le salon, je remarque que la table n’est pas mise, il y a juste des verres et des amuses gueules sur la table basse. Danielle s’assoie sur un pouf, je choisi un fauteuil en face d’elle. Ses jambes ne sont pas très serrées et mon regard remonte jusqu’au haut de ses cuisses. Je peux regarder Sandrine plus attentivement. Elle n’est pas à proprement parlé jolie, mais son visage est expressif et régulier avec de très beaux yeux bleus. Elle a une jolie poitrine, pas trop grosse, soutenue par un soutient gorge noir que l’on devine sous son corsage légèrement transparent. Elle porte un pantalon moulant que fait bien ressortir ses fesses rondes et haute, elle ne peut avoir au plus qu’un string dessous. Elle est chaussée de chaussures hautes. Caroline apparaît, elle est vêtue d’une jupe blanche moulante et courte, tout juste le tiers des cuisses, d’un chemisier blanc assez transparent qui laisse voir sa généreuse poitrine libre de toutes contraintes. Comme sa tante, elle porte des escarpins.

— Bonjour tatie, bonjour mo… Jean. Il faut que je m’y fasse.

Elle embrasse sa tante, veut me serrer la main mais je lui prend l’épaule, l’attire vers moi pour l’embrasser sur les joues. Elle porte un parfum très sensuel, envoûtant.

— Je suppose que la bise, c’est juste entre nous, pas au boulot.

— Tu suppose bien et maintenant ce n’est plus vous, mais tu.

— Ca va être dur mais je pense que je vais m’y faire. Qu’est ce que je vous sert?

Nous prenons l’apéro, moi je suis au sans alcool. Caroline n’a d’yeux que pour Sandrine. Elle croise souvent ses jambes et je peux m’assurer qu’elle est nue sous sa jupe. Elle est épilée et a un clitoris très développé qui dépasse de ses lèvres même au repos.

— Si nous allions dîner, j’ai réservé au X….. pour vingt et une heures trente. Il est temps d’y aller, c’est à un quart d’heure de marche.

Nous voila dans la rue, Danielle me prend le bras droit, Caroline le gauche et Sandrine le gauche de caroline. Nous sommes à quatre de front dans la rue, heureusement le trottoir est large. Je remarque l’air envieux de certains hommes qui nous croisent.

Nous arrivons au restaurant, nous somme accueillis par une ravissante jeune fille qui nous installe sur une table ronde. Pendant le repas, Danielle me refait le coup de la main sur son sexe, elle est trempée, appuie ma main sur son sexe, pousse sur mon majeur pour le faire entrer dans sa vulve. Je lui titille le clitoris et elle joui, les yeux fermés et en silence, devant sa nièce qui la regarde d’un air étonné et admiratif. Caroline se penche sur l’oreille de sa tante.

— Tatie, que t’arrive t il? Jamais je n’aurais pu imaginer que tu puisse faire ce que tu viens de faire.

— Et tu n’a pas tout vue, nièce chérie.

Je la masturbe trois fois de plus pendant le repas et la dernière fois, je vois Caroline se raidir. Le bras de Sandrine est sous la table en direction de Caroline. Elle la branle sous la table comme moi avec Danielle. La tante et la nièce jouissent ensemble en silence, peut être un peu plus bruyant pour Caroline qui ne peut retenir un MMMMMMMMMMMMMMMMMM sourd. Je regarde Sandrine qui me sourit et me fait un clin d’oeil.

Nous sortons du restaurant, rejoignons l’appartement de Caroline pour un dernier verre, sauf pour moi qui doit conduire. En fait je n’ai pas du tout bu de vin pendant le repas et je suis le seul aux idées claires, les trois femme ayant bu deux bouteilles de Santenay à elles seules. Arrivés chez Caroline, les filles sassoient sur le grand divan les une contre les autres.

— Jean chéri, tu peux faire le service, s’il te plait, tu es le seul assez lucide pour le faire, les alcools sont dans le bahut devant toi.

— Ok, qu’est ce que vous prenez les filles?

— Armagnac pour tout le monde dit Caroline.

Je sert tout le monde et vais masseoir en face d’elles. Elles rient, Caroline embrasse Sandrine sur la bouche dans un long baiser. Sandrine passe sa main sous la jupe de Caroline et lui caresse les cuisses. Caroline ouvre ses jambes pour laisser le passage à la main exploratrice. La main remonte doucement vers le sexe de Caroline en s’attardant sur les cuisses. Danielle regarde fascinée sa nièce se faire caresser par une autre fille. Elle me regarde, écarte un peu les jambes et me fait signe de venir à côté d’elle. Je m’installe, elle me prend la tête dans ses mains et m’embrasse fougueusement.

— Jean je ne pourrais pas attendre d’être chez moi, je suis complètement inondée, je ne peux plus attendre, j’ai envie de ton sexe tout de suite.

— Tu ne vas pas faire l’amour devant ta nièce tout de même?

— Regardes, tu crois qu’elle se gène pour nous.

En effet, Sandrine à défait son pantalon et l’a baissé jusqu’aux mollets. Elle était nue dessous. La main se Caroline est sur son sexe tandis que sa main est sur celui de Caroline. Je pose ma main sur sa cuisse de Danielle, et elle se cabre comme si je l’avais poignardé.

— Chéri caresse moi, promène ta main sur mon corps, il est à toi.

En parlant elle déboutonne son corsage, me prend la main et la pose sur sa poitrine. Je caresse ses seins doucement. Sandrine et Caroline sont à côté de nous, elle basculent par terre sur le tapis toujours enlacées. Caroline a maintenant enlevé son chemisier et est entrain de déboutonner le corsage de Sandrine. Les voila toutes les deux nues sur le tapis. Elles s’embrassent, se caressent, leurs mains s’égarent et parcourent leurs corps respectifs. Je me penche sur Danielle, lui enlève complètement son corsage et fait glisser sa jupe par terre. Elle tombe sur le visage de caroline qui, abandonnant Sandrine, se redresse et regarde sa tante, les jambes ouvertes sur son sexe dégoulinant de cyprine.

— Oh tatie, tu es tellement belle, j’ai envie de te caresser, de t’amener au ciel avec ma langue.

— Pas maintenant Caroline chérie, pas maintenant.

Elle renverse la tête, ses narines palpitent et elle joui devant nous. Caroline pose sa main sur son ventre et la caresse.

— Oh oui ma tatie, jouis, jouis, tu es si belle quand tu jouis.

Pendant ce temps, Sandrine s’est glissée sous Caroline et lui lèche le minou. Caroline se laisse faire, ferme les yeux, sa respiration devient plus saccadée, son ventre donne de grands coup en avant, ses mains se crispent sur la peau de sa tante. Elle joui en grognant son plaisir.

— Oui ma chérie, oui, toi seule peut me faire jouir comme ça, oui continus, AAAAAAAAAHHHHHHH.

Sandrine s’active sur la chatte de son amante pour lui donner un maximum de plaisir. Elle se masturbe en même temps et part juste derrière Caroline.

— AAHHHHH j’aime ton jus, j’aime il me fait jouir, vas y vide toi dans ma bouche, j’aime ton jus encore, encore.

Elle lèche Caroline jusqu’à la dernière goutte et se laisse aller sur le tapis.

— Nous serions bien mieux dans mon lit dit Caroline.

— Tu sais, nous allons partir Jean et moi.

— Ca il n’en est pas question, je te garde avec moi, je veux te faire connaitre une autre facette de l’amour, tu es d’accord Jean?

Je regarde Danielle qui n’a pas l’air d’être contre.

— Si Danielle est d’accord, je ne vois pas pourquoi je ne serais pas d’accord. Tu est d’accord Danielle?

— Oui, je veux tout essayer.

— Attention à ce que tu dis, tout essayer, c’est peut être un peu trop.

— Allez, tous dans ma chambre.

Arrivé dans la chambre de Caroline, je comprend mieux pourquoi elle prétend que nous serons mieux. Son lit est rond et fait à peu près deux mètres cinquante de diamètre. Il est gigantesque. Devant mon air étonné, Danielle me dit.

— Le père de Caroline vend des meuble et de la literie. Ce lit a été fait pour une publicité et une fois fini, au lieu de le détruire, il a pensé à le donner à sa fille qui l’a accepté. Je ne sais pas si son père sait à quoi il sert, mais il est génial, tu vas voir.

Je réalise que je suis le seul encore habillé, Sandrine aussi, elle vient vers moi, se saisi de la boucle de ma ceinture, la défait et déboutonne ma braguette. Mon pantalon tombe par terre, me voila la bite raide à l’air. Danielle s’occupe de ma chemise et je suis nu comme elles. Nous nous retrouvons tous dans la lit de Caroline. Danielle me couche sur le dos, me monte dessus et s’empale sur mon sexe. Elle monte et descend dessus les mains sur mes cuisses légèrement penchée en arrière. Son ventre va et vient à la vue de tout le monde. caroline ne peux résister, elle se penche sur la poitrine de sa tante et lèche ses seins. Danielle renverse la tête, ses narines palpitent, elle joui, mais cette fois ci elle s’exprime un peu plus.

— Oui mes chéris, oui, oui, oui je suis à vous, vous me faite exploser, oui, encore ma chérie, encore. OOOOOOOOOHHHHHHH oui, mon corps s’envole, je joui, je joui OHHHHHH que c’est bon.

Son corps tressaille, ses mains me griffent les cuisses, elle se donne à nous. Une fois calmée, Danielle se retourne vers sa nièce, la couche sur le dos et se penche sur ses seins. Elle en prend un dans ses lèvres, je vois sa langue le titiller.

— Oui ma tatie, oui, c’est bon, tu es douée, tu sais déjà faire partir une fille.

Je n’ai jamais vu, et je ne verrai jamais, une personne aussi douée en amour. Tout est instinctif, encré en elle depuis toujours et s’exprime maintenant au grand jour. Elle sait dinstinct s’y prendre, sauf pour la fellation qui la rebute toujours. Elle sait donner et se donner pour le plaisir des autres. Je suis de plus en plus sous le charme.

Caroline est partie dans une jouissance sans fin, je vois Sandrine qui se masturbe en voyant son amante jouir. Je m’approche d’elle, elle voit ou je veux en venir et ouvre ses jambes en grand.

— Viens Jean, viens remplacer cette fille qui ne pense qu’à honorer sa tante.

En entendant ça, Caroline abandonne sa tante et se précipite sur le sexe de Sandrine en m’écartant du bras.

— Cette chatte est à moi pour l’instant. Pas touche.

Je me retourne vers Danielle qui ne sait plus ce qui se passe. Elle a été abandonnée par sa nièce. Je la couche sur le ventre, lui soulève les fesses.

— Oh oui, prend moi par derrière.

Caroline abandonne deux secondes Sandrine pour me tendre du gel qui était sur une table de nuit. J’enduis le fion de Danielle et présente ma bite raide comme la justice devant sa rondelle. Ses main m’agrippent les fesses et tirent vers elle. Je m’enfonce d’un seul coup, peut être un peu trop vite. Danielle se raidie, pousse un petit cri de douleur mais s’empale encore plus. Caroline laisse Sandrine et se retourne vers Danielle.

— Oh ma tatie, tu pratique aussi ça? je ne peux le croire, tu peux aussi me faire plaisir?

Elle remonte sur le lit, se met sur le dos et se glisse sous elle pour se jeter sur son abricot liquéfié. Elle la fait mettre à quatre, présente sa chatte à portée de sa bouche. Je continu à pistonner Danielle qui part dans un premier orgasme. Caroline lui suce le sexe, titille son clitoris. Danielle part dans un second orgasme. Je vois Sandrine entrain de regarder cette femme qui joui à répétition avec une sorte d’expression envieuse. Elle me regarde admirative des capacités à jouir de Danielle. Au troisième orgasme, Danielle laisse tomber sa tête et ses lèvres se trouvent en contact avec le pubis de sa nièce. Celle ci ouvre son compas en grand pour libérer le plus possible son sexe. Danielle après un petit geste de recul, repose ses lèvres sur la vulve de Caroline et sort sa langue. Elle l’introduit entre ses lèvres, trouve le clitoris, d’instinct, elle sait que c’est là qu’il faut insister et le suce en l’aspirant. Elle le mordille et Caroline part dans un super orgasme.

— Oh oui tatie, tu me fait jouir, oui ma tatie, je t’aime.

En même temps, Danielle part dans son énième orgasme, je joui dans son fion pendant que Sandrine s’active avec un gode dans son sexe. Danielle fini par s’écrouler sur sa nièce. Caroline se retourne, pivote et prend la tête de Danielle dans ses mains. Elles se regardent, Danielle avance sa tête vers celle de sa nièce et leurs lèvres se rencontrent. Leur baiser dure longtemps, comme pour rattraper le retard accumulé. Sandrine est de plus en plus solitaire.

— Je vois que je ne compte plus beaucoup.

Caroline laisse les lèvres de sa tante et se retourne vers Sandrine elle la prend dans ses bras et l’embrasse passionnément. Les deux femmes se caressent en s’embrassant. Leurs corps bougent et se frottent.

— Et si tu essayais Jean? lui demande Caroline.

— Non, tu sais bien que je n’aime pas faire l’amour avec les hommes, je préférerais m’occuper de Danielle.

— Tatie, tu veux bien donner du plaisir à mon amour?

— Oui, puisque tu m’en a donné, mais Jean va être seul.

— Non ma tatie, je m’en occupe.

Caroline, au contraire de sa tante, aime bien faire des fellations et se jette sur mon sexe qui se redresse petit à petit. Sandrine se couche à côté de Danielle, têtes bêches pour un soixante neuf. Les deux femme se donnent du plaisir et l’entend Danielle partir dans un de ses orgasme à répétition. Caroline, elle a mis ma bite au garde à vous et se lubrifie le cul. Elle se met à genoux, la tête sur le lit à côté de Sandrine et me présente son fion en écartant ses fesses avec ses mains. Je me positionne et enfonce doucement mon braquemart dans son cul. Elle est habitué, ça se sent, et mon sexe pénètre très facilement jusqu’au fond. Le commence sans attendre des va et vient rapides, puis plus lents pour accélérer de nouveau.

— Oui Jean, vas y, je te sent bien, tu me rempli, je vais jouir.

Elle se crispe un peu mais sa tête va vers le cul de Sandrine qui est sur Danielle. Elle sort sa langue et le glisse entre les fesses de son amour. Celle ci prend ses fesses entre ses mains et les écarte au maximum.

— Oui; je joui, vas y Jean, qui me fait partir, ton membre dans mon cul et ma langue sur son cul, oui, je joui.

Elle s’écrase sur le fion de Sandrine, envoie son cul à la rencontre de ma bite, elle est secouée de spasmes, enserre la poitrine de Sandrine avec ses bras et part pour le septième ciel. J’entend Danielle jouir encore, je n’ai plus compté au bout du six ou septième orgasme. Sandrine se redresse et hurle.

— AAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHH oui, AAAAAAAAAHHHHHHHHHHH.

Tout le monde se calme. Je suis inquiet et le fait savoir.

— Les filles demain, ou plutôt tout à l’heure, nous allons prendre le travail et je ne sais pas dans quel état nous serons.

Danielle et Caroline me regardent.

— Enfin, Jean, demain nous sommes le jour de la réfection générale des machines qui va durer quatre jours, nous ne reprenons que lundi. Tu n’était pas au courant.

— Non pas du tout.

— Tu vois, nous avons tout le week end devant nous et pas mal de chose à faire découvrir à ma tatie adorée.

Sur ces paroles, elle se penche sur Danielle pour parcourir son corps avec ses mains. Danielle ferme les yeux, Sandrine se joint a elle ainsi que moi. Six mains circulent doucement sur le corps de Danielle, elle ondule de tout son corps les bras en croix savourant au maximum l’instant présent. Son corps se tend, elle joui, c’est extraordinaire, nous nous regardons et d’un commun accord, nous continuons à la caresser. Danielle a plusieurs orgasmes, elle n’en fini pas de jouir et de jouir. C’est fabuleux cette capacité.

— Je suis jalouse me glisse à l’oreille Sandrine en continuant à la caresser. Des bouches se posent sur son sexe, elle joui. Des lèvres se posent sur ses seins, elle joui. Une main se glisse sous elle pour remonter le long de sa colonne vertébrale et là elle explose dans un orgasme terrible.

— AAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHH

Son corps reste suspendu en l’air pendant plusieurs minutes. En retombant elle ouvre les yeux et nous regarde.

— Merci mes chéris, merci je viens de vivre le plus beau moment de ma vie. Jean chéri, veux tu me posséder pour la dernière fois cette nuit. Vous les filles caressez moi ainsi que Jean, je veux que vous nous fassiez jouir en même temps. Jean sodomise moi mon chéri.

Elle se met à quatre pattes. Je ne bande pas assez et Caroline s’occupe de ma bite avec sa bouche. Pendant ce temps, Sandrine s’active sur la vulve de Danielle. Caroline lubrifie le cul de Danielle et je me plante dedans d’un seul coup.

— AHHHHHHH

Je la pistonne avec des gestes amples et lents. Je veux qu’elle jouisse le plus tard possible. Rien n’y fait, elle part dans un nouvel orgasme. Je continu de m’activer sur son cul, elle joui de nouveau, je ,ne suis pas encore prêt à jouir car j’ai déjà joui plusieurs fois et je suis de plus en plus lent à jouir quand je joui plusieurs fois. Après cinq ou six orgasme, Danielle s’immobilise.

— Caroline, prend la relève, je commence à être fatiguée.

Je manque d’éclater de rire, mais Caroline le prend au sérieux, libère sa tante et se place devant moi pour s’empaler sur ma bite. J’ai à peine le temps de réaliser que je sent une langue sur ma rondelle. C’est Sandrine qui me lèche le cul. Cela accélère ma jouissance et je part dans le cul de Caroline qui me suit de très près. Nous tombons l’un sur l’autre, toujours joint par ma bite. Tout le monde est fatigué, je me dégage de Caroline, rampe vers Danielle, la prend dans mes bras. Sandrine en fait autant avec Caroline et tout le monde s’endort en quelques minutes.

Le matin, je me réveille le premier, je vais vers la cuisine et très rapidement je trouve tout le nécessaire pour faire le petit déjeuner. Sandrine émerge après moi et vient me rejoindre.

— Excuse moi pour hier, je ne voulais pas te vexer, mais j’ai du mal avec les hommes, je me suis faite violer quand j’avais quatorze ans et je n’ai pas encore dépassé mon traumatisme.

— Tu n’a aucune excuses à me donner, si tu n’aime pas les hommes, tu n’aime pas les hommes point barre. Tu peux très bien avoir d’autres goûts.

— Peut être qu’un jour ça ira mieux.

— Peut être mais si tu es bien maintenant, vit l’instant, tu verra après.

— Tu sais j’envie Danielle, elle est capable de jouir des dizaines de fois sans se fatiguer, je n’ai jamais vu ça. J’ai compté ses orgasmes jusqu’à treize, et j’ai vu qu’elle en a eu au moins le double dans la soirée. C’est inimaginable.

— Je sais je suis moi même ébahie par ses performances amoureuses, et je commence à me demander si je vais être capable d’assumer.

— Tu aura Caroline et moi pour t’aider, je te promet.

— Merci c’est très sympa.

Elle me pose un baiser sur la bouche et me sourit. Nous préparons le petit déjeuner et Sandrine va réveiller les deux filles. Elle se penche sur Caroline, lui embrasse le sexe, ce qui la réveille. Caroline se redresse, se penche sur sa tante et lui fait la même chose. Seulement Danielle ne réagit pas comme elle et lui plaque la tête contre son sexe. Caroline comprend et s’exécute. Très vite Danielle se cambre et joui pour la première fois de la journée.

Ce ne sera pas la dernière. Mais ceci est une autre histoire.

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