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Dans l'abri pendant la tempête – Chapitre 2

Dans l'abri pendant la tempête - Chapitre 2



La docteure venait de terminer de dicter son compte rendu après une quelques soins rapides à une jeune femme légèrement blessée pendant la tempête, sa maison sert de relais pour les secours, quand les gens ne sont pas trop sérieusement atteints.

C’est juste à ce moment là qu’un pompier frappe à sa fenêtre, lui fait signe de venir le voir. Elle pose son dictaphone et sort rapidement pour prendre en charge deux personnes frigorifiées, pas vraiment en hypothermie. « Oui elle va les réchauffer chez elle »

Elle fait installer l’homme dans la chambre de son fils absent, chez son père pour le moment, et la femme dans son bureau, sur le lit qu’elle réserve aux patients pour les examiner. Le pompier parti, alors qu’elle a donné quelques couvertures à l’homme et mis ses vêtements dans le sèche linge et qu’elle renvient dans son bureau, elle découvre avec surprise le visage de la jeune femme, une ancienne amie avec laquelle elle a fait une partie de sa scolarité.

Elle est jolie, transie de froid sous ses cheveux mouillés, sa robe mouillée, des polaires mouillées, elle grelotte, incapable même de se changer.

Après avoir pris des vêtements pour la jeune femme elle revient dans son bureau et entreprend de la changer, elle aide la jeune femme à retirer les vêtements humides qui lui collent à la peau, et elle constate un peu surprise que la femme ne porte pas de soutien gorge, elle la frictionne avec une serviette, lui passe de gros pulls, entreprend de retirer la robe qui ressemble un peu à ces longues jupes à la couleur hésitant entre le bleu clair et le gris que portent les religieuses en civil.

Elle constate avec un peu plus de surprise encore que la femme ne porte pas non plus de petite culotte, elle a les fesses rouges, la fesse droite surtout. La jupe trempée semble avoir un peu de sang au niveau des fesses la docteure aide la femme à se sécher, elle regarde avec surprise le haut des cuisses, des traces blanches elle l’aide à passer petite culotte et un jean qu’elle a pris dans ses propres vêtements. Elle l’allonge sur le lit, lui donne aussi des couvertures, et va préparer un thé bien chaud qu’elle rapporte dans son bureau avec un peu de nourriture.

La femme s’est pelotonnée dans le lit, enveloppée de couverture, et découvre soudain qu’elle connait la personne qui la soigne, sourit : « Oh, Anne-Laure pour une surprise je n’aurais pas cru te retrouver par ici, je croyais que tu étais partie »

« Bonjour Christina Je suis revenue quand mes études ont été terminées, reprendre le cabinet de mon père qui abandonne la pratique en libéral. Tu vas bien ? Tu as mal quelque part ? Il y a des traces de sang sur ta jupe on dirait que tu as reçu des coups sur une fesse tu as été blessée ? Nous bavarderons plus tard, que je prenne soin de toi d’abord. »

« Des traces de sang ? Non je n’ai pas été blessée, mais » La question est bien embarrassante

Comment expliquer

La docteure précise ses interrogations : « Tu es religieuse Christina ? Tu as toujours été portée vers la religion Mais du coup je me suis demandée tu ne portais pas de sous-vêtements ni soutien gorge, ni petite culotte pour une religieuse  et il m’a semblé voir  est-ce que cet homme aurait abusé de toi ? »

« Non, il n’a pas il ne m’a pas violentée il a nous avons Oui, c’est vrai je suis religieuse oh ! Anne-Laure Comment je ne sais pas ce que j’ai fait de mes sous-vêtements qu’est-ce que tu as vu ? Je suis un peu perdue, j’ai eu si froid »

« Il y a des choses qui peuvent ne pas me regarder mais peut-être pas. Je crois que cet homme a enlevé ta culotte et a eu un ou des rapports sexuels avec toi. J’ai vu en haut de tes cuisses des traces blanches qui ressemblaient à des traces de sperme, le sang de ta jupe pourrait être du sang lié aux rapports sexuels si tu étais vierge s’il t’a forcée à ces rapports d’une façon ou d’une autre je dois le signaler et le dénoncer dès maintenant que j’ai des doutes. Je dois faire des examens, et ce salopard dormira en prison ce soir, voilà pourquoi je t’interroge si directement. »

« J’étais vierge oh mes vux j’étais vierge et nous avons eu des rapports sexuels, à plusieurs reprises j’ai fait des choses mais, il ne m’a pas contrainte, encore moins violentée je suis tombée dans ses bras, quand c’était si terrifiant dans cette gare il m’a presque sauvé la vie et je me suis retrouvée dans ses bras tremblante, trempée il m’a prêté des polaires et j’ai retiré le haut les seins libres sous les vêtements d’hommes et la foudre et le tonnerre, le plafond qui tombe, il me tire vers lui, pour m’éviter de recevoir une branche sur la tête je suis dans ses bras, la foudre fait un bruit terrifiant, il me serre contre lui, mes seins s’écrasent sur sa poitrine et je sens contre ma cuisse son couteau dressé dans sa poche et je sais en même temps que ce n’est pas son couteau je tu sais je m’éloigne en réaction, et l’arbre s’enfonce un peu plus dans le toit je me colle contre lui et je sens tu comprends ? »

« Il t’a séduite ? Il a manuvré pour te séduire et profiter de la situation, je comprends parfaitement, ça ne le conduira pas en prison mais c’est un salopard. »

« Non, j’étais consentante, je j’en ai eu envie, tout mon corps s’est embrasé dans la tempête je me suis collée contre lui j’ai senti ce que j’ai su être son membre dressé, j’ai poussé mon pubis contre ça puis j’ai voulu me reculer, j’ai repoussé sa poitrine de mes deux bras, mais j’ai mis en avant mon pubis, j’ai frotté mon ventre contre cette chose dure j’ai presque joui je te choque ? »

« Je suis médecin. Il en faut beaucoup dans les rapports consentis pour me choquer ! Que tu parles de jouir me surprend, disons »

« J’ai passé la nuit à comment dire avoir des relations sexuelles, toute la nuit, autant qu’il a pu j’ai appris beaucoup de choses j’ai joui mais ce n’était pas la première fois, je suis une femme, et j’ai eu des envies de plaisir jamais avec quelqu’un d’autre que moi et là, quand mon ventre s’est frotté contre son sexe j’ai décidé, sans décider, physiquement j’ai décidé, mon corps m’a ramené contre lui, j’ai collé mon bassin contre lui, je me suis mise à j’ai senti mon sexe se mouiller, couler rien n’aurait pu m’empêcher de presser ma poitrine contre la sienne, mon ventre contre le sien,  de telle façon qu’il sente qu’il pouvait faire de moi ce qu’il voulait. »

Anne-Laure devient curieuse. Christina, la petite sainte, qui est devenue religieuse sitôt majeure, qui est donc restée vierge jusqu’à ses trente  deux ou quatre ans, Christina s’est dévergondée par une nuit de tempête, dévergondée sans retenue ? La faire raconter sans en avoir l’air

« Il ne t’a pas forcée, mais il a pu profiter de la situation, te sentir fragile, tu as eu peur »

« Non, c’est moi il m’a donné des vestes chaudes, et j’ai échangé ma chemise et ma veste contre des polaires, j’ai retiré mon soutien gorge quand j’ai senti mes seins dans ses vêtements j’ai commencé à me sentir différente la pointe de mes seins qui glissait sur le tissu librement à chaque mouvement, mes seins qui bougeaient  et quand je me suis changée il n’a pas essayé de regarder même quand un éclair a illuminé ma poitrine puis il me sauve, vraiment, ses réflexes m’ont évité d’arriver ici en sang, ou pire et je me retrouve contre lui parce que je profite de l’occasion pour me jeter dans ses bras, et tout mon corps sait à ce moment là que je vais franchir le pas quand je sens son membre sur mes hanches je manuvre pour le coller contre mon ventre je me frotte contre lui et je me donne, c’est aussi simple que cela. Ce que j’ai éprouvé à ce moment-là ! Souvent j’ai pensé à Sainte Thérèse d’Avila, son extase, souvent je me suis donné ce plaisir seule. Et voilà, faute d’un ange j’ai pris un homme, un soir que personne ne pourrait nous déranger, ni nous voir, qui aurait été  assez fou pour prendre la route ? »

« Mais il te désirait, pardonne-moi l’expression, mais il bandait il bandait ! Il te voulait et s’est collé contre toi la bite raide ! Pour que tu en aies envie »

« J’en avais envie autant que lui, j’étais trempée, ma culotte était mouillée, pas par la pluie je lui ai tendu mes lèvres et mes jambes ne me tenaient plus, il a ouvert les polaires, caressé mes seins, je me suis faite pesante pour qu’il aille sur la banquette, je me suis laissée allonger, j’ai eu quelques réflexes pour retarder le moment où il allait remonter ma jupe ne pas avoir l’air d’une femme facile, mais je le voulais lui pour me faire jouir comme Thérèse d’Avila il a arraché ma culotte sentir mon sexe à l’air j’ai écarté les jambes j’ai attendu qu’il me pénètre et quand il a senti la résistance de mon corps, qu’il a eu conscience de ma virginité j’ai mis mes mains derrière ses reins en moi-même j’ai dit et j’ai crié VAS-Y ! et il a forcé le passage, et l’orage s’est fait plus violent, tonnerre et éclairs j’ai crié du fond de mon ventre, je l’ai retenu, et il a bougé en moi, j’ai remonté les genoux, je le voulais le plus loin possible, et j’ai senti comment faire sa bite roulait au fond de moi, Oh !les mots qui me viennent je la voulais tout au fond de mon vagin, et je pensais, enfonce-là moi dans mon con j’ai tourné mon bassin vers lui, et je me suis laissée baiser jusqu’à ce qu’il jouisse, et le flot de sperme m’a fait jouir aussi, j’ai crié comme une folle j’en voulais encore, mes jambes derrière ses reins je le retenais pour qu’il me donne tout ce que je pouvais en tirer »

« Tu tu m’excites, dévergondée, moi qui suis sans homme depuis des semaines des mois. »

« Alors tu comprends ce qui m’as pris. Je n’ai jamais eu d’homme entre mes jambes, et là, en voilà un disponible chaque fois que j’ai pu, je l’ai excité pour qu’il me reprenne ! J’ai repris ses mots pour qu’il m’entende dire des mots qui l’excitaient. Quand il me murmurait à l’oreille "tu aimes ma bite" je le redisais "Je veux ta bite" et je la voulais vraiment, "tu sens ma grosse queue" je lui disais "Mets-la moi ta queue, tout au fond". A un moment il m’a caressée doucement entre les cuisses, après m’avoir prise la première fois, il caressait ma fourrure, il me disait que j’avais une jolie petite chatte il n’y voyait rien il faisait noir comme dans un four et froid j’ai enfoncé ses doigts dans ma chatte et j’ai pris ses doigts pour les sucer il a recommencé, m’a caressée, je lui ai demandé de me branler "Branle-moi, branle-moi, fais moi jouir" et j’ai commencé à le branler lui jusqu’à ce qu’il soit raide assez pour me reprendre, je l’ai guidé vers ma fente il m’a fait jouir mais je ne voulais pas qu’il décharge j’avais envie d’autre chose et je l’ai encouragé à mettre sa queue sur mon ventre, puis entre mes seins et j’ai été dépassée, je le voulais entre mes seins, mais l’odeur, la sentir si près de mes lèvres je me suis rapprochée, il n’osait pas je l’ai prise dans ma bouche, je voulais gouter et je ne l’ai plus quittée j’ai sucé, aspiré, jusqu’à ce qu’il ne puisse plus se retenir, il me prévenait, il ne croyait pas que je le voulais et j’ai tout pris dans la bouche j’ai tout avalé au fur et à mesure, je le tétais littéralement la bouche pleine de sa queue et de son sperme je ne voulais plus quitter sa queue jusqu’à ce qu’elle devienne toute petite marrant »

« Mais tu parles comme une petite cochonne tu m’excites »

« Tu sais il est chez-toi, je ne suis pas jalouse, j’ai pris tout ce que je pouvais. Au cours de la nuit on a eu froid, il s’est levé et il a fait un petit feu avec des morceaux de branches de sapin, très prudemment ça a réchauffé un peu notre abri, et mis un peu de lumière je l’ai laissé me regarder sous toutes les coutures j’aimais ça, sentir son regard sur les seins, ma fourrure, mon entre jambe, ma jolie chatte comme il disait j’ai écarté les lèvres pour lui montrer que j’étais à lui il s’est relevé pour mettre un peu plus de bois, il bandait, sa bite raide devant le feu accroupi devant le feu, il bandait j’aimais regarder sa bite, j’ai eu une idée pour lui offrir la même chose je me suis levée et je suis allée uriner de l’autre côté du feu, tournée vers lui cuisses écartées largement quand j’y pense, j’ai aimé ça tu n’as pas idée »

« Mais Christina tu t’es conduite comme une petite salope ! »

« Oui, il me l’a dit, "Tu es ma petite salope de la nuit" quand je l’ai rejoint, et il m’a mise sur le ventre, je crois qu’il en voulait à mon »

« Il voulait t’enculer ? Là tu hésites, quand même ! »

« Oui je crois, mais avant il m’a léchée, partout il a léché ma petite chatte, mes cuisses, mes seins, ma chatte encore, et il m’a retournée sur le ventre, il m’a léchée entre mes fesses et il a mis la pointe de sa langue sur mon petit trou, derrière, j’ai aimé ça et il a cru que j’allais lui donner mon cul mais j’ai fini par dire "Non, pas par là !" et il a renoncé il avait déjà mis le bout de sa queue sur mon petit cul alors il m’a prise sur le ventre, et j’ai tout fait pour compenser je me suis cambrée, et j’ai dit les pires choses que je connaissais pour l’exciter, pour lui montrer que j’étais folle de ce qu’il me faisait »

« Oh Oh ! Tu t’es mise à baiser comme une petite chienne comme moi quand je suis en chaleur »

« Oui, c’est ce que je sentais une femelle en chaleur, d’abord pour le récompenser, il n’a pas cherché à me prendre de force, à m’enculer alors que je l’avais laissé venir tout près  et à mesure que je me mettais à baiser je devenais plus excitée je lançais ma croupe vers sa bite, voilà la vérité il fallait que sa queue cogne au fond de mon con je prenais goût au bruit de mes fesses contre ses cuisses et l’orage revenait, le feu qui rougeoyait, nue à quatre pattes et lui qui grognait je me suis mise à crier de tous mes poumons quand le plaisir a commencé à monter mes seins ballottaient sous ma poitrine j’aimais ça, les sentir aller dans tous les sens et je lui disais, je lui criait, mets là au fond, baise-moi, encore, plus fort. ! Il s’est mis à me claquer, me donner une fessée, fort

Ça me faisait jouir, je lançais ma croupe de plus en plus fort, mes fesses claquaient contre ses cuisses, un bruit fort comme l’orage et là catastrophe. Je jouis ! je hurle de plaisir je crie qu’il me mette sa bite plus au fond, je crie que je veux qu’il me mette ses couilles et sur un éclair, du vent, du tonnerre tout à la fois on entend un arbre qui tombe encore, il a dû tomber sur le précédent qui s’enfonce encore un peu plus dans le toit, et l’eau entre a flot, éteint le feu on s’est protégé comme on a pu et on a attendu. »

« Dieu t’a punie ? »

« Je crois qu’il en a d’autres à punir avant moi, non, le hasard, mais c’était grandiose, qui a jamais eu un orgasme à déraciner des arbres ! »

« Je te laisse te reposer »

C’est à ce moment là qu’Anne Laure s’aperçut qu’elle n’avait pas éteint son dictaphone et que tout le récit de Christina était audible. C’est comme cela que l’histoire de Christina m’est parvenue, un jour qu’Anne-Laure m’a parlé d’une religieuse, et je me suis souvenu de l’histoire de Pierre un peu différente

Je n’imaginais pas qu’il y avait d’autres personnes qui avaient des choses à dire sur le sujet et que leur histoire me parviendrait.

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