Bonjour, avant de commencer je vais me présenter, je mappelle Carole jai 32 ans et se suis marié depuis 12 ans avec Eric. Physiquement jattire souvent le regard des hommes, je mesure 1,65 mètre et pèse 58 kg, mais ce qui attirent beaucoup la gente masculine ce sont mes fesses bien rondes et ma forte poitrine (90E). Je suis marié depuis 10 ans avec Laurent et nous filons le parfait amour même sil me reproche parfois dêtre trop réservé sur le plan sexuel.
Lors de nos dernières vacances (à la Toussaint) nous avons été dans un parc très connu pour sa bulle dans laquelle se trouve une immense piscine.
Mon mari aimant beaucoup les jeux deau lors de nos passages à la piscine il me laissait souvent toute seule.
Etant très pudique je ne porte que des maillots de bain une pièce mais malgré tout ma poitrine faisait retourner quelques hommes ce qui me gênait fortement. Le fait donc de quitter la piscine relativement rapidement me permettait déchapper à ces regards. Le premier jour vers 16h00 je décide de quitter mon mari et de regagner le cottage. Arrivé dans les couloirs menant aux cabines individuelles pour se changer il ny avait quasiment personne je neu donc aucun mal à trouver une cabine libre après avoir récupéré mes vêtements dans mon casier.
Alors que javais enlevé mon maillot et que je séchais quelquun voulu vérifier si la cabine que joccupais était libre et alors que javais correctement fermé ma porte le verrou qui était certes fatigué tomba laissant la porte souvrir sur ma nudité. Un homme se tenait dehors, il sexcusa immédiatement et devant cette surprise et je ne pu cacher la poindre partie de mon corps je repoussais la porte et mappuya avec mon dos dessus.
-Excusez moi madame je ne savais pas que la cabine était occupée.
-Ca ne fais rien, mentais je. Jétais extrêmement gêné que cet homme est pu me voir nue.
-Désolé, mais si puis me permettre vous êtes très séduisante et très bien faite.
— Merci répondis-je davantage gêné par ce compliment.
-Bonne fin de journée.
-De même.
Jentendis lhomme séloigner et mon cur commença à se calmer. Il me fallu un petit moment pour reprendre mes esprits mais nayant plus de verrou sur ma cabine je ne pouvais pas rester indéfiniment contre la porte. Je menveloppais dans la serviette et je pris mon sac et changea de cabine sans jeter le moindre regard dans les allées de peur de tomber sur mon « voyeur » involontaire.
Une fois changé je ne revis pas lhomme qui mavait vu nue car même si linstant avait été bref je me rappelais très bien de son apparence, un homme dans la quarantaine plutôt bel homme, grisonnant, avec un torse musclé et légèrement velu. En remontant je fis part à la réception du problème afin de ne pas me retrouver une nouvelle fois dans cette situation.
Mon mari me rejoignit au bungalow un peu plus tard en soirée. Je lui fis part de ma mésaventure il éclata de rire me disant que ce nétait pas un drame. Néanmoins je ne lui confia pas les compliments dont javais fait lobjet suite à cette intrusion dans ma cabine.
Le lendemain jhésitai s longuement avant de reprendre la direction de la piscine mais je ne pouvais pas rester au cottage toute la semaine et de ce fait, me gâcher en partie les vacances pour un malheureux accident, mais ma pudeur me fit longuement hésiter. Je pris mon courage à deux mains pour sortir des cabines de peur de retomber devant linconnu dhier. Une fois installé sur un transat au bord de la piscine je fis rapidement un tour dhorizon afin de vérifier sa présence, à première vue personne mais devant limmensité du complexe il pouvait tout simplement être en dehors de mon champ de vision. Mon mari me retrouva par courtes périodes avant de repartir sur les toboggans ou autre attractions.
Mon sang se figea lorsque je vis mon inconnu de la veille arriver de lautre côté de la piscine accompagner dune grande brune qui nétait autre que sa femme. Même sil était accompagner, je ressentais une gêne de savoir que cet homme mavait vu nue. Je pris donc la décision daller dans la piscine afin de pouvoir me camoufler au maximum. Je commençais à être plus à mon aise et a pratiquement oublier sa présence lorsque quelquun sadressa à moi dans mon dos.
-Bonjour, encore désolé pour hier.
Une fois retourné cétait lhomme dhier qui venait de me reconnaitre. Je ne lavais pas vu plonger dans la piscine sans quoi je laurais immédiatement quittée.
-Ce nest pas grave, vous ny pouvez rien la serrure a lâchée.
— Oui mais jai bien ressentit votre gêne et je tenais à mexcuser de nouveau mais face à face cette fois.
— Oui jai été très gêné et je le suis toujours dailleurs, merci tout de même.
— Mais vous savez quand on a un corps comme le votre il ne faut pas en avoir honte bien au contraire, il est même dommage de porter un maillot de bain une pièce comme le votre.
Je devins rouge à cette remarque et je le remerciai timidement.
-Bon je vous laisse, je ne voulais pas vous déranger davantage mais vraiment cacher un corps comme le votre dans un maillot comme ça, cest du gâchis.
— Je le trouve très bien mon maillot, répondis-je légèrement agacé.
-Je ne dis pas le contraire mais il vous cache trop, notamment la magnifique poitrine que jai aperçue hier soir. Bon, je vous sens à nouveau embarrassé alors bonne soirée.
Cette dernière remarque mavait effectivement terriblement troublé et je navais pas pu répondre. Je regagnais mon transat tout en réfléchissant à tout ceci. Il est vrai que mon mari insistait depuis un moment pour que je porte un bikini mais ma forte poitrine me dérangeait et je navais jamais fait leffort de rechercher un bikini avec un bonnet E comme le mien. Lidée faisant son chemin en quittant la piscine je métais convaincu dacheter dès le lendemain matin un bikini, il restait tout de même un dernier problème : trouver un magasin proposant des maillots bonnet E. Rentré au bungalow je fis part de mon intention à mon mari qui sen trouva ravit, après de longues recherches sur internet on trouva enfin un magasin proposant toutes sortes de maillot de bain et surtout jusquau bonnet G !!!
Le lendemain matin comme convenu mon mari et moi avons donc prit la direction du magasin se situant tout de même à près de 50 km. Une fois sur place après avoir essayé plusieurs maillot mon choix se porta un ensemble bleu qui pour le coup mettait largement mes seins en valeur. Ce choix était plus celui de mon mari que le mien, je le trouvais un peu trop « tape à lil » mais devant les arguments de mon mari javais finalement accepté de le prendre.
En fin daprès midi au moment de prendre la direction de la piscine jhésitais entre prendre mon nouveau maillot bikini ou mon ancien une pièce mais mon mari protesta me faisant remarquer que lon navait pas 100 km juste pour avoir un bikini et ne jamais le porter. Cette critique me fit donc prendre le bikini. En sortant de la cabine jétais extrêmement gêné, javais limpression que tout les hommes me reluquaient, jen devenais parano. Mon mari me calma une fois installé au bord de la piscine.
-Regarde bien au tour de nous et dis-moi quel homme te regarde ?
– euh attends
-Tu vois bien tu nen trouve pas arrête dêtre pudique et en plus tu es magnifique.
Sur ces mots il membrassa, il avait finalement raison aucun homme ne me reluquait cétait simplement mon imagination qui me jouait des tours due à ma grande pudeur. Eric me quitta pour rejoindre les différents bassins me laissant seule, très rapidement je plongeais dans une légère torpeur. Soudain une voix me fit sursauter :
-Bonjour !
– Euh bonjour répondis-je surprise.
-Je vois que vous avez suivit mes conseils, ce maillot vous met davantage en valeur notamment votre très belle poitrine.
-Merci
— Appelez-moi Antoine.
-Carole.
-Je vous sens à nouveau embarrassée, je ne sais comment vous débarrasser de cette gêne qui vous bloque.
-Aucun il faudrait remonter le temps et que vous ne mayez jamais vu nue.
-Je trouverais bien un moyen, à plus tard peut être et je vous le répète vous êtes magnifique dans ce maillot.
-Merci, répondis-je, sentant mes joues rougirent.
La soirée pointait le bout de son nez lorsque je pris la décision de regagner mon cottage. Alors que je récupérais mes affaires dans mon casier Antoine arriva et se glissa dans une des cabines derrière moi. Et lorsque je fis face aux cabines pour en chercher une de libre, Antoine sétait glisser dans celle juste derrière moi et avait baissé son short de bain aux chevilles et laisser la porte de façon à ce que je ne puisse pas le rater.
Jen restais bloquer devant cette vision.
-Maintenant on est à égalité ! me lança-t-il.
Le temps me sembla durer une éternité avant que je prenne la direction dune autre cabine, mais pendant ce temps mon regard resta figé sur lénorme morceau de chair qui pendait entre ces jambes. Tout en étant au repos son sexe était plus gros que celui de mon mari en érection. « Félicitation » fut le seul mot qui sortit de ma bouche alors que je prenais la direction dune cabine vide.
Vos réactions et idées maiderons à finaliser la suite.