Après une nuit très reposante, Sylvie nous servit le petit-déjeuner, toujours avec sa fameuse nuisette… sans culotte. Je sentais que cela allait devenir une habitude.
Contrairement aux autres jours, je décidai de faire du shopping, et nous nous retrouvâmes aux galeries Lafayette. Là, ma belle-sur était dans son élément, achetant les toilettes les plus chères… avec la carte de crédit de son mari. Pas une fois je n’entendis un merci !
Bien évidemment, j’avais mon idée…
Sylvie à chaque fois, me demandait mon approbation et mes conseils sur telle ou telle robe qu’elle essayait.
Alors à un moment, je lui demandai si ses dessous étaient aussi attrayants que ses dessus :
Tu es guêpière et porte-jarretelles ? Au début, ma femme n’aimait pas trop. A présent, elle en porte tout le temps… On va au dernier étage ? C’est là que je lui achète tout… enfin pour des tenues plus osées, j’ai une autre adresse…
Ah bon ? Ou ça ?
Tu veux vraiment savoir ?
Oui bien sûr. Ma sur m’a raconté beaucoup de choses…
Tiens donc… de quel ordre ?
Des trucs intimes sur votre couple…
Mais encore ?
Ben… (Sylvie devint rouge pivoine), ce que tu lui fais faire…
Comme quoi, par exemple ?
Ben… heu… c’est-à-dire… "
Cette fois, Sylvie connaissait vraiment la honte, peut-être pour la première fois de sa vie ! La femme sûre d’elle, la bourgeoise aux grands airs était liquéfiée d’avoir à exposer des trucs sûrement salaces sur notre couple, que lui avait révélés ma petite salope "exhibe" de femme…
La pousser dans ses retranchements était une vraie bénédiction pour moi ! Je lançai un petit regard complice à son mari, qui lui aussi "buvait du petit lait" de voir sa femme ainsi dans l’embarras !
Bon ben, accouche Sylvie ! Ma femme t’a vraiment raconté des trucs pornos sur mon couple ?
Heu… oui… un peu ! Les trucs d’exhibe" que tu lui proposes, les soirées un peu chaudes à plusieurs, les séances SM…
Ah que ça ?! Il y a beaucoup plus croustillant ! Et tu en penses quoi ? Ça t’excite, à voir ! "
Sylvie, vaincue, baissa la tête. Elle avait certainement pensé que j’aurais été frappé de honte, par ces révélations sur ma vie sexuelle un peu "border" ! Mais voilà, j’en tirais plutôt une certaine fierté… tandis que la pauvre Sylvie avait reçu en pleine poire la petite vacherie qu’elle m’avait envoyée dans la figure… retour à l’envoyeur.
Évidemment, ayant compris la manipulation de sa femme, Raphaël, le mari presque cocu, reprit les rênes en main ! Et il enfonça le clou !
" Mais, Sylvie comment peux-tu parler de ces choses ! Tu n’as pas honte ! La vie sexuelle de ton beau-frère ne te regarde absolument pas ! Comment peux-tu laisser ta jeune sur te raconter ces… ces horreurs ! (Pas de doute, il rentrait bien dans son rôle de mari offensé, qui veut remettre sa femme dans le droit chemin !)
Tu m’ennuies Raphaël, ce n’est pas si terrible que ça ! Ma sur est consentante… et elle prend au moins son pied… ELLE ! Bon alors, c’est où que tu lui achètes ces fringues un peu osées ?
Un sex-shop du XVème arrondissement.
Oui, elle m’en a parlé. Je ne connais pas ce genre d’endroit.
Tu m’y emmèneras ?
Si ton mari est d’accord ?
Il n’a rien à dire…
Non mais tu crois quand même pas que je vais te laisser aller dans ce genre d’endroit, non ?
Écoute Raphaël, continue, et j’y vais en porte-jarretelles et bas recouverts d’un pardessus pour tout vêtement… porte-jarretelles que je vais choisir maintenant d’ailleurs ! Paul, tu me conseilleras !
Non mais, et puis quoi encore ! Pas question que tu voies ma femme en porte-jarretelles. Allez, on rentre.
Rentre, toi, si tu veux. Je crois que je vais les essayer sans culotte, les porte-jarretelles ! "
Raphaël se tut. Me glissant un clin d’il discret, il semblait déjà très excité du spectacle qu’allait nous offrir son épouse !
En montant l’escalator, Sylvie me glissa à l’oreille :
Ça m’excite trop tout ce que tu fais à ma sur. Tu me le fais quand tu veux ! Moi aussi je veux devenir ta chienne !
Sylvie resta 2 heures à essayer plusieurs dizaines de bas, porte-jarretelles, guêpières, soutiens-gorge, nuisettes… ensembles plus ou moins sages ou osés !
A chaque fois, elle me demandait mon avis sur telle couleur, tel balconnet de soutif qui lui mettait les seins en valeur ou pas… tel type de culotte, string, Tanga, brésilien… telle sorte de bas. Visiblement, elle ne connaissait pas grand-chose à la lingerie.
Dès le début, je m’en aperçus. En effet, elle avait retiré sa robe pour mettre un ensemble bas, porte-jarretelles, string, soutif noir. Je pus ainsi la voir à moitié nue, car Madame, pour emmerder son mari, sortait de la cabine et se mirait dans l’une des innombrables glaces…
Elle faisait de nouveau un petit numéro "d’exhibe"…
Je m’aperçus très vite que Sylvie n’avait jamais mis de porte-jarretelles de sa vie, au premier essai :
Sylvie, on met d’abord les bas et les jarretelles, et la culotte en dernier… tu as fait l’inverse.
Ah bon… tu m’aides ?
Dis donc, tu ne veux pas qu’il te mette tes culottes non plus ! Il y a des limites !
Vois-tu Paul, c’est dur d’avoir un mari jaloux… toi, tu es plus tolérant avec ma sur…
Sans doute, mais plus strict pour le reste.
Darjeeling, Victoria’s secret, Aubade, Rouge-gorge… toutes les marques y passèrent.
Évidemment, beaucoup d’hommes de passage dressaient la tête à la sortie de la cabine d’essayage… pour admirer la belle en petite tenue ! Je lui expliquai que les bas résille faisaient plutôt "pute", les bas couleur chair, plus "femme honnête", et les bas couture, pour les femmes qui voulaient montrer qu’elles avaient un porte-jarretelles.
En tout, il y en eut pour 2400 euros, entre robes et lingerie. Et pour ce dernier poste, Sylvie demanda à son mari de payer lui même avec sa carte… une humiliation de plus : le mari payait de sa poche les artifices dont profiteraient d’autres hommes.
2400 euros ! Chère Sylvie ! J’espérais que Raphaël aurait bientôt un retour sur investissement !
Mais avant cela, il faudrait que sa femme soit offerte à un troupeau de bites, dégradée, humiliée, dépravée… avilie…
Je savais d’entrée de jeu comment ma belle-sur allait quitter les galeries : une robe moulante grise, s’arrêtant mi-cuisses, des escarpins noirs, des bas couture noirs, et le porte-jarretelles de la même couleur… et c’était tout.
Raphaël s’en étrangla, il essaya de dissuader sa femme de se promener nue sous sa robe dans les rues de Paris, mais Sylvie, avec un mauvais regard, lui déclara que cela pouvait être pire encore ! Il faisait semblant d’être le gentil mari qui a honte que sa femme se promène dans la rue, avec rien sous sa robe, les seins dont les pointes perçaient au travers du tissu moulant, et le petit buisson au contact des courants d’air ! En réalité, cette situation l’excitait pleinement ; il se demandait juste ce que j’allais encore bien pouvoir faire endurer à sa femme, autrefois si prude !
Je choisis alors, par pure perversité de nous installer sur différentes terrasses de café avec des vues bien dégagées…évidemment, Sylvie s’asseyait toujours sur des chaises, bien à la vue des autres hommes. Elle voulait vraiment en faire baver à ce pauvre Raphaël ! Beaucoup eurent tôt fait de remarquer que la grande blonde en robe courte ne portait pas de culotte sous son porte-jarretelles ! Et qu’en s’y prenant bien, on pouvait distinguer par moments son petit chaton sous la robe…
L’un d’entre eux était obnubilé par le jeu de jambes à la "Sharon Stone" de ma belle-sur. Il ne cessait de fixer son entrecuisse, attendant le moment où Sylvie décroisait les jambes, laissant apercevoir le triangle de poils blonds… et la fente !
J’avais d’emblée identifié son manège… il était temps de repousser les limites de l’apprentie salope !
Ah, je crois que tu as un admirateur !
Pas étonnant, à force de t’exhiber comme une pute en chaleur ! Et qu’est-ce que tu vas faire maintenant ? Tailler des pipes dans les chiottes ?
Raphaël, tu me fais chier !
Mais non, voyons, elle n’oserait pas ! C’est ta femme quand même !
Ah bon ? Vous me mettez au défi ?
Mais non, allez, rassieds-toi Sylvie. De toute façon, on n’aurait pas de preuves de ce que tu aurais fait ou pas avec ce type !
Et si je lui dis de me prendre en photo avec mon portable…ça suffira ?
N’importe quoi ! Tu vas te calmer Sylvie. Et s’il te viole ? Moi, ton mari ou pas, je te laisse te démerder avec ce type !
Bon, écoutez les enfants, je vais vous départager. Sylvie, tu dis à ce type de te suivre, il te tripote un peu et ça s’arrête là… OK ?
Ça n’en restera pas moins une salope quand même !
Tu le redis encore une fois et je lui demande de m’enculer… OK ?
Raphaël se tut. Sa femme s’approcha de moi et me dit à l’oreille :
Je suis toute mouillée ! Je n’ai jamais été aussi excitée de toute ma vie.
Sois prudente quand même. Tu restes en communication avec moi. Je te donnerai mes consignes…
Sylvie se dirigea vers le bar, glissant un grand sourire enjôleur au gars. Celui-ci la suivit quelques minutes après, il nous lança un regard pour avoir notre assentiment. Je hochai positivement la tête…
" Tu crois qu’elle va le faire ?
A mon avis, oui, Raphaël… tu l’as trop bien chauffée. Sinon elle aurait l’air d’une conne ! Si tu savais ce qu’elle m’a glissé à l’oreille tout à l’heure !
Quoi ?
Fais de moi ta chienne "