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DCT, l'agence qui met en scène vos fantasmes – Chapitre 10

DCT, l'agence qui met en scène vos fantasmes - Chapitre 10



Huguette à 63 ans. Elle est veuve depuis plusieurs années et ne souhaite pas retrouver l’âme sur. La longue et morne relation qu’elle a entretenue avec son défunt ne la prédispose pas à renouveler l’expérience. C’est triste à dire mais, à un certain endroit, elle a vécu cette disparition comme un soulagement.

Au bout de quelques temps sa sexualité, éteinte par plus de quarante ans de monotonie conjugale, s’est manifestée. Ne se satisfaisant plus de séances masturbatoires plus ou moins prolongées, Huguette s’est mise en recherche de « coups » sur Internet. Cette démarche n’a produit que des rencontres éphémères, des étreintes furtives, avec des types pressés d’aller rejoindre leur femme.

Cette posture adultérine ne dérangeait pas forcément les plans de la sexagénaire, mais elle voulait plus. Le web lui apporta la solution en plusieurs étapes.

Pour cette histoire relativement simple à réaliser le client français de DCT avait souhaité que les traits de l’héroïne concordent avec ceux de l’actrice Cathie Renfort. Clarisse trouva elle-même le personnage idéal, parmi des profils amateurs recrutés grâce à une annonce pour de la figuration passée sur Internet.

Ghislaine du Chambon portait beau malgré ses 65 printemps. Elle cultivait une distinction certaine en lien sans doute avec sa particule. Son visage ressemblait à s’y méprendre à celui de la comédienne et son corps était parfaitement entretenu, certainement en partie à cause du jeûne que son absence de revenus lui imposait.

La demeure familiale à entretenir avec une maigre retraite et l’absence d’aide financière de ses deux enfants avait rendu l’existence de Ghislaine particulièrement précaire sur le plan financier. Ce paramètre rentra largement en compte dans la négociation avec DCT. Un accord, lui permettant de voir venir pendant quelques années, eut raison de ses réticences à jouer le rôle principal de cette production parfois scabreuse.

Cette explication donnée, nous retrouvons donc la fausse Huguette, bien décidée à jouir, de l’existence et du reste.

La première étape libératoire la conduit chez une esthéticienne, prêtresse du relooking. Pas difficile à trouver, c’est la maquilleuse de DCT qui se chargea du rôle. A l’aide d’une photo de l’actrice, elle réussit en quelques touches à améliorer encore la ressemblance des deux sexagénaires. Une épilation intégrale suivit, plongeant Ghislaine dans la perplexité, habituée qu’elle était à sa petite touffe blonde, en voie de raréfaction plieuse.

La nouvelle Huguette est une experte du Net. Elle a dégoté un forum où des femmes, de son âge pour la plupart, échangent sur leurs expériences. C’est grâce à l’une d’elle que la veuve dissolue prend connaissance de «L’Institut des Plaisirs ». Une explication longue et détaillée décrit les charmes particuliers de l’endroit.

Le discours est tellement élogieux que Huguette décide de vérifier par elle-même. Un simple coup de fil lui assure un rendez-vous pour la semaine suivante, dans dix jours exactement. Ce qui peut paraître un peu long mais c’est apparemment dû au succès que rencontre le dit institut.

La deuxième scène s’ouvre sur Huguette/Ghislaine découvrant les lieux qui présentent l’aspect général d’un centre de remise en forme. L’endroit est moderne, l’ambiance feutrée. L’hôtesse d’accueil remet a la retraitée un dépliant présentant le menu de l’établissement, à partir duquel Huguette décline son choix après quelques hésitations.

Nous voyons ensuite Ghislaine nous présenter son corps encore fort agréable dans le vestiaire oùu elle troque ses vêtements contre un vaste peignoir. La caméra s’attarde sur les seins lourds, aux larges aréoles, et non auréoles comme on le lit trop souvent. Le ventre est légèrement rond, le fessier large et rebondi. Les grandes lèvres émergent légèrement du pubis glabre.

La cougar en devenir pénètre maintenant dans une pièce peu éclairée, lumière doucement rosâtre. Une musique en sourdine se charge de donner à l’endroit un côté apaisant. Deux nymphettes en tenue légère l’attendent. La première a dans les vingt ans, blonde cheveux courts. La nuisette qui lui sert de blouse laisse deviner un corps svelte et adolescent. L’autre fille est une antillaise du même âge qui présente, outre la différence de couleur, une poitrine beaucoup plu significative que sa camarade.

Les deux filles délestent rapidement Ghislaine de son peignoir et lui font prendre place sur une table de massage disposée au centre de la pièce. S’ensuit une longue séance au cours de laquelle les deux masseuses démontrent l’étendue de leurs capacités, se préoccupant à l’aide d’une huile particulièrement épaisse des moindres replis de l’épiderme de leur cliente

Forcément au bout d’un moment les caresses dégénèrent, le sexe et les seins de la cliente devenant peu à peu l’objet principale de leurs gestes lascifs. Quand elle juge la sexagénaire suffisamment relaxée la noire, qui se prénomme Emma, lui propose de choisir dans un grand coffret l’objet qui correspond le mieux à ses désirs.

Huguette porte sa préférence sur un vibromasseur japonais double dont la blonde vérifie immédiatement le bon fonctionnement en l’appliquant sur la vulve de la vieille. La double pénétration qui suit, aidée par un massage ardent de son clitoris et de son buste, envoient rapidement Huguette vers l’orgasme.

La sexagénaire se tortille dans tous les sens au risque de tomber de la table. Les deux effrontées maintenant nues, n’en ont cure. Elles se relaient auprès de la vieille, lui présentant leur sexe ou leur poitrine. Celle-ci les lèche avec avidité, éructant des sons inaudibles, toujours en proie à une intense jouissance. Rideau.

Ghislaine a droit à une séance de spa pour se détendre. Elle en profite pour assurer à Clarisse que sa jouissance n’était pas feinte. La productrice lui répond qu’elle s’en doutait un peu. Il reste quand même un peu de travail à boucler. Ghislaine est prête, on peut y retourner.

La scène suivante, qui est également la dernière, se déroule dans une pièce carrée absolument noire, étroite, seule une ampoule au plafond désigne d’un éclairage blafard à Ghislaine, qui a remis son peignoir, un fauteuil voltaire qui trône dans la pénombre. La mature s’y assoit.

Elle observe les murs couverts de tentures de velours violet, dans lequel des orifices sont ménagés. Emma fait son entrée, revêtue d’un simple string de cuir blanc qui tranche sur ses contours mats. La fille trimbale tout un attirail.

Elle demande à Ghislaine de se lever et de s’approcher d’elle. Le peignoir tombe à ses pieds. La jeune antillaise lui fait enfiler un body noir transparent soigneusement découpé sur la poitrine et dans l’entrejambe pour ne rien masquer des appâts de la grand mère sexy. Des bracelets de cuir munis de mousquetons sont placés sur ses chevilles et poignets. La noire clipse ensemble les attaches des poignets dans le dos de Ghislaine.

Emma la fait asseoir à nouveau et lui passe aux pieds des escarpins aux talons épais et fort longs, puis elle place une barre , munie d’anneaux à ses extrémités et les fixe aux mousquetons des bracelets des chevilles. La vieille se relève, vacillante sur ses quinze centimètres de talons, entravée par la barre qui maintient désormais ses jambes à 50 centimètres l’une de l’autre. La black n’en a pas fini ; Elle enfile maintenant une cagoule de cuir noir sur la tête de sa captive. Elle boucle la jugulaire, seul le visage de Ghislaine émerge du carcan. Un anneau est fixé à l’arrière du casque. Emma glisse une cordelette à l’intérieur puis la fait passer dans les mousquetons des liens qui retiennent les bras de la vieille dans son dos.

Elle tire lentement jusqu’à ce que la tête de Ghislaine soit suffisamment tirée ainsi vers l’arrière à son goût, puis elle noue le lien. Un collier de cuir complète la panoplie, muni d’une laisse par laquelle Emma entreprend de promener la vieille dans la pièce. La déambulation, sans l’équilibre des bras est hasardeuse. La hauteur des talons et l’entrave trop large gênent considérablement les mouvements, de plus le lien qui tire sur sa nuque oblige la sexagénaire à regarder le plafond.

La lumière s’éteint. La jeune noire allume une forte lampe torche dont elle balade le faisceau ici et là. Elle tire la vieille vers l’une des tentures ; Un trou apparaît à mi hauteur. Emma place le fessier de Ghislaine devant l’ouverture. Une main ne tarde pas à en sortir, qui pelote salement l’intimité de la vieille. Une queue de fort belle taille succède à la paluche virile, savamment éclairée par le faisceau lumineux.

Ghislaine guidée par la fille place ses fesses contre le dard largement érigé. Emma la fait pencher en avnat dans une posture plus qu’inconfortable tandis que l’honorable membre fait irruption dans son fondement. Chaque coup de boutoir est préjudiciable à son équilibre ; Elle fait alors le choix de s’empaler sur la bite qui la besogne afin de retrouver un peu de stabilité.

Le coït est assez rapide. Ghislaine qui ruisselle de sa première éjaculation est maintenant traînée vers un autre orifice. Une autre queue placée plus bas l’y attend. C’est donc à genoux que la vieille aspire le gland tandis que la noire étale sur ses cuisses la semence qu’elle récupère des ses doigts dans la chatte béante. Le rai de lumière ne quitte pas pour autant la bouche de la vieille qui s’étouffe sur le dard qui la baise.

Un fort jet de foutre vient clore la scène. Ghislaine qui s’est dégagée, sentant venir l’orage, le reçoit en plein visage. Elle sucera ensuite successivement cinq bites d’apparences diverses qui finiront leur uvre de la même manière, donnant l’impression que la vieille a trempé son visage dans une espèce de soupe au tapioca. Emma pour épicer le jeu taquine son fondement à coups de badine tandis que Ghislaine continue à essorer des glands.

Dans la scène finale, un membre sombre et consistant, muni d’un gland disproportionné, vient lui perforer longuement l’anus. La pauvre gémit lourdement, soumise qu’elle est à ce braquemart indiscret et aux coups de cravache que la black sadique administre conjointement sur son dos et sa poitrine.

Le clap de fin tombe et la lumière se fait sur une Ghislaine hoquetante, tremblante, dégoulinante de stupre et secouée de frissons dus à la sodomie qu’elle découvrait à cette occasion. Il lui faudra un long moment accompagné d’une bonne douche chaude pour récupérer un peu. La bourgeoise légèrement hautaine est devenue en quelques minutes, par la grâce à DCT une salope ordinaire prête à se faire enculer pour préserver son patrimoine.

Ainsi va le vit…

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