Dédommagement sur la bête
The debt rape.
Coulybaca / Cee, Tee
Les cordes étaient serrées, le bâillon efficace, il pouvait bouger un peu la tête mais c’était tout alors qu’il se débattait sur son siège.
C’était très amusant d’observer ce blondinet lutter pour desserrer ses liens. Les jambes de son pantalon rouge tirebouchonnaient sur ses cuisses et son tee-shirt blanc était tendu en travers de son buste.
— Au chômage, couvert de dettes tu entretiens une adorable petite chose comme Charlotte. Tu nous dois 20.000 $ et le patron veut les récupérer à tout prix. On va te faire une petite démonstration de ce qui pourrait se passer… Intervint Marcus en lui collant un coup de poing sur la mâchoire avant de l’empoigner par les cheveux pour le regarder droit dans les yeux.
— Elle devrait être rentrée à cette heure-ci! Dit-il brisant le silence menaçant. Il vissa un silencieux sur le canon de son 38 sous les yeux affolés de Billy.
— Elle ne devrait plus tarder… Concéda-t-il paniqué.
Peu de temps après, ils entendirent le bruit d’une clef que l’on glissait dans une serrure et Charlotte entra chez elle.
Elle était ravissante, elle portait un sweater jaune pâle sur un pantalon bleu, qui mettait ses délicieuse formes en évidence, elle était l’image même de la parfaite secrétaire.
Sa longue chevelure brune cascadait sur ses épaules pour s’arrêter à mi-dos.
Dès qu’elle vit Billy ligoté et bâillonné sur une chaise au centre du salon de leur appartement de San Diégo, elle poussa un cri perçant jeta son sac se ruant au travers de la pièce pour tenter de le libérer de ses liens.
C’est alors que Marcus sortit de la cuisine et lui posa le canon de son arme sur la tempe.
— Recule Charlotte… Tiens-toi au milieu de la pièce!
— Oh mon Dieu, ne nous faites pas de mal… Que voulez-vous? De l’argent? Questionnait Charlotte affolée, mains en l’air, ses yeux bruns rivés sur son Billy qui grommelait des menaces incompréhensibles.
Finalement elle leva les yeux sur Marcus.
— S’il vous plait… Ne nous faites pas de mal… Nous vous donnerons tout ce que nous avons… Nous ne dirons rien à personne…
— Ton mari nous doit une grosse somme d’argent qu’il doit rembourser séance tenante. Marcus pointa son revolver sur l’entrejambe de Billy.
— Non, s’il vous plait ne lui faite pas de mal! Hurlait Charlotte refoulant ses sanglots.
— Je ne lui ferai pas de mal si tu te comportes docilement avec nous salope! Je veux qu’il te regarde rembourser ses dettes!
— Que… Que voulez-vous dire?
— Pour commencer déloque-toi! Lui intima Marcus impitoyablement.
— Billy, crois-tu qu’elle porte une petite culotte? Dit-il gratifiant Billy d’un coup d’épaule en plein visage.
— Arrêtez je vous en prie! Les mains de Charlotte tremblaient comme des feuilles alors qu’elle gardait les yeux rivés sur Billy et Marcus.
— Que voulez-vous dire lorsque vous prétendez que mon mari vous doit de l’argent?
— Il te le dira plus tard! Allez salope, montre nous que t’es une épouse aimante en te montrant une fille docile!
Marcus sentait sa bite raidir dans son pantalon alors qu’il retirait son sweat de sa ceinture invitant l’indécise Charlotte à lui obéir.
Lorsqu’il retourna de force le petit doigt de Billy, ce dernier poussa un cri de douleur perçant, elle se résigna à enlever son chandail.
Charlotte déboutonna ensuite lentement son caleçon le laissant choir alors qu’elle enlevait ses chaussures.
Elle se trémoussait maintenant figée de honte, elle baissait les yeux au sol.
Marcus lui ordonna de mettre les mains sur sa tête, elle obéit docilement.
— Un soutien gorge coordonné à une petite culotte de dentelle jaune Billy… Je parie que tu adores la baiser! Elle doit être drôlement bonne…
Billy regardait fixement Marcus avec haine, mais cela faisait bien rire Marcus, Charlotte sanglotait doucement, les yeux rivés au sol, suppliant Marcus de leur foutre la paix!
— A genoux Charlotte, garde les mains sur la tête!
La jeune femme se laissa tomber à genoux
— Cambre le dos ma chérie, met en valeur tes nibards!
Marcus caressait d’un doigt attentif les collines de chair ferme encore recouverts par les bonnets de dentelle, ils étaient ronds, fermes, naturels, et pour tout dire à sa convenance.
Charlotte était une somptueuse jeune femme, bronzée, harmonieuse, et pour tout dire pine au cul mettable!
— Je pourrai tuer ton Billy, la vie suivrait son cours. Puis je partirai… Pas de problèmes pour moi, mes amis m’aideraient à disparaitre le temps que les choses se tassent… Peut-être devrai-je le faire finalement et te laisser en dehors de tout cela…
Il pointait son revolver sur son malheureux mari ligoté sur la chaise tout en pinçant les mamelons de la jeune femme affolée.
— Nonnnnnnnnn… Nonnnnnnnnnn… Hurlait Charlotte paniquée.
— Bon d’accord… Releva la tête et descends mon pantalon sur mes chevilles
Tout en pleurnichant, de grosses larmes coulant sur son visage ruinant son mascara, Charlotte déboucla la ceinture de son pantalon et le descendit docilement sur ses chevilles, dévoilant sa bite raidie. Il se plaça de profil et invita Charlotte à en faire autant.
Je veux que Billy bénéficie d’une excellente vue. Regarde attentivement Billy, si je te vois détourner les yeux je lui tire une balle dans la tête!
Sur ces mots Marcus se pencha sur Charlotte et plaça le canon de son revolver entre ses dents, ses lèvres purpurines frissonnaient de terreur.
Il sourit en entendant le mari ligoté chercher à se manifester malgré son bâillon.
— Préfères-tu sucer le canon de mon revolver ou ma grosse bite, ma chérie? Ils peuvent tous deux te cracher dans la bouche, mas l’un d’eux s’avérerait mortel!
Elle détourna la tête.
— Ou bien je peux me contenter de me faire sucer la bite… Il fit un pas vers Billy, Charlotte reprit ses lamentations.
— Le canon de mon revolver ou ma bite, à toi de choisir ma chérie!
Charlotte souffla misérablement :
— Votre bite…
— Plus fort!
— Votre bite…
— Dis à ton mari que tu veux sucer ma mentule pour rembourser ses dettes!
— Je veux lui… Lui sucer la bite… Sanglota Charlotte brisée par l’adversité, mais elle se reprit immédiatement et se redressa.
— Je dois payer tes dettes…
Billy secouait la tête en signe de refus, et sous ses yeux furieux Marcus saisit une poignée de cheveux de sa ravissante épouse et enfourna sa grosse bite directement dans sa bouche rétive.
— Ne pense surtout pas à me mordre, si tu ne veux pas recevoir, ainsi que ton mari une rouste dont tu te rappellerais toute ta vie!
Marcus grommelait alors que Charlotte parcourait son épaisse hampe de la bouche, ses yeux débordaient de grosses larmes, des filets de mascara noir striaient son visage.
— C’est vraiment une bonne suceuse mon petit Billy! commenta-t-il à l’adresse du malheureux toujours ligoté sur sa chaise, puis se retournant vers Charlotte :
— Ma chérie, débarrasse toi de ton soutien-gorge tout en me suçant, mais ne quitte surtout pas mon vit des lèvres!
Charlotte broncha mais lui complut misérablement, elle ne cessa de le sucer alors qu’elle tenait le bras dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge le laissant ensuite glisser au sol.
Marcus hilare la regardait faire tout en giflant rudement les nibards de sa malheureuse proie.
— Bien que tu aies ma queue en bouche, gémit pour lui montrer ton plaisir! Montre-lui que tu adores sucer ma grosse queue!
Charlotte sanglota mais n’en continua pas moins à lui tailler une somptueuse pipe.
— Bon je crois que je peux accepter tes petits cris comme des gémissements…
Il lui frappait de plus en plus sauvagement les nibards, son visage rétif reproduisait ces vibrations involontaires.
Marcus aurait voulu d’une part lui empoigner la tête pour la baiser brutalement en bouche, mais il était conscient que pour Billy assister au spectacle de sa femme se comportant comme la dernière des prostituées ne pouvait que le torturer impitoyablement.
Il sentait sa bite s’expandre entre ses lèvres, il l’attrapa alors par la chevelure.
— Dis à Billy que tu vas me sucer les burnes… Charlotte pleurait à chaudes larmes et le suppliait d’en rester là!
Il pressa le canon du revolver entre ses miches.
— Je… Je… Veux sucer… Ses… Ses grosses couilles!
Marcus attira son visage contre ses couilles velues elle entreprit de le sucer docilement, elle sanglotait le visage enfoui dans ses poils pubiens, elle braquait ses yeux sur Billy.
— Regarde bien ce que ta femme doit faire pour sauver ton gros cul couvert de dettes Billy, Préfères-tu qu’elle s’exécute ou que l’on t’abatte comme un chien?
Il empoigna la chevelure de Charlotte et la força à se relever lui enfonçant le canon de son arme dans la gorge.
— Il est temps maintenant que je baise cette pute, comprends-moi mon gars, c’est plus une victime de tes dettes qu’un viol gratuit!
Allons-y!
La traînant sur la table à manger, Marcus la positionna sur le ventre et lui écarta les cuisses en grand, ses orteils reposant à peine au sol.
— Ne fais pas un mouvement! La menaça-t-il froidement
Il prit son sac et en sortit deux menottes reliées par une bande élastique. Il lui enchaîna les poignets de chaque coté de la table, la bande élastique courant sous la table, la maintenant bien en place.
— Je vous en prie… Arrêtez… Je vous rembourserai… Combien mon mari vous doit-il? Hurle pitoyablement la malheureuse jeune femme la tête reposant sur la surface brillante de la table.
— 20.000 $ ma chérie… Rétorqua Marcus tout en se saisissant d’un couteau qu’il frotta contre la tendre peau de ses cuisses,
— Tiens toi tranquille ma petite chérie… Il trancha la ceinture de sa petite culotte et l’en dépouilla vivement.
— 20.000 $, je ne comprends pas comment… Nous sommes loin de posséder autant d’argent! Pleurnichait-elle, en tremblant comme une feuille.
Marcus refila un nouveau coup de poing en plein visage de Billy et lui posa des cure-dents sous les paupières pour lui interdire de fermer les yeux.
— Tu vas me regarder baiser ta femme et sache que cela durera tant que tu ne nous auras pas remboursé, ce sera peut-être pire la prochaine fois!
Il se retourna alors sur Charlotte et lui gifla sévèrement les fesses.
— Il a d’abord joué 5.000 $ qu’il a perdu et de paris en paris il monté à 20.000 $ de dettes. C’est le genre de ton mari…
Il lui frappa à nouveau la croupe puis glissa une main entre ses cuisses et empoigna sa fentine rasée de prêt.
— Ta chatoune est légèrement humide ma chérie, pas vraiment trempée… Mais. Je pense que cela devrait suffire pour coulisser agréablement dans ta chagatte.
— Non… Je vous en prie… Je vous rembourserai tout ce qu’il doit, mais laissez-nous!
Marcus agrippa ses cheveux et lui tira la tête vers le bas.
— C’est un marché… La prochaine fois je t’enverrai en ville et t’offrirais à un gang pour une nuit… Ils seront nombreux à user de tes charmes!
Comme Charlotte pleurait de plus belle, Marcus l’embrocha sans plus tarder, sa chatoune était étroite, la pénétration n’étais pas aisée mais il la martela tout de suite de profonds coups de boutoir.
Il la violait avec ravissement sous les yeux horrifiés de son gentil mari. A chaque coup d’estoc, sa victime grognait de douleur alors que Billy restait silencieux la regardant désespérément, désolé de le voir user et abuser des charmes de sa ravissante femme.
— Ma proposition de tuer ton mari puis de vous quitter tiens toujours… Hurla soudain Marcus en s’enfonçant profondément dans son utérus meurtri.
— Prends déjà ça en attendant…
— j’essaierai de vous trouver de l’argent… Sanglota misérablement Charlotte. Elle reniflait misérablement cherchant à penser à autre chose. Marcus avait compris que c’était une forte femme, il voulait d’autant plus la briser.
— L’as-tu déjà enculée Billy?
— Nonnnnn… Pas ça… Je vous en prie… Hurla Charlotte affolée.
-Tu n’es qu’une pute remboursant des dettes. Lui rappela Marcus coulissant de plus en plus profondément, de plus en plus brutalement en elle.
— Répète-le ou je te la fourre dans le cul!
— Je suis juste de la viande à rembourser des dettes!
Marcus la baisait sans pitié, ravageant sa chatoune étroite tout en lui frappant les fesses à coups répétés, il lui saisit alors une poignée de cheveux et lui tourna la tête vers son mari.
— Dis le clairement à ton mari!
Comme Charlotte entamait son court discours, Marcus extirpa sa bite de sa cramouille et la pressa contre son tendre anus la l’amenant à pousser des hauts cris.
— Dis lui maintenant ou je te ferai encore bien plus mal! Répéta-t-il en empalant son orifice le plus secret.
— je suis juste une pute bonne à me faire baiser pour rembourser tes dettes de jeux!
Marcus se retira de son trou du cul et fit le tour de la table, il retourna son visage ses bras tendant la sangle élastique, il cracha son foutre dans sa bouche et sur son visage en la maintenant clouée au bois de la table.
— Les femmes qui choisissent des mollassons comme maris doivent en payer le prix! S’esclaffa Marcus
— Chômeur et joueur, avec ton argent bien sur, et te le lui as permis! Qui est le grand perdant Billy ou toi Charlotte?
Marcus se rhabilla rapidement et rangea son sac. Il avait dérobé les derniers bijoux de Charlotte et quelques bibelots de valeur qu’il avait trouvée ça et là, cela devait lui permettre de minimiser ses pertes. De toute manière, ils n’avaient aucun moyen de le rembourser!
— Je vous laisse tous les deux.
Marcus promena à nouveau le silencieux de son arme dans sa chatoune gonflée.
— Aurais-je mieux fait de la descendre Billy, préfères-tu que je la laisse en vie?
Billy hurla au travers de son bâillon, la chaise bascula et il tomba au son, toujours ligoté sur son siège.
Charlotte le suppliait des les épargner, de les laisser en vie!
— Je vous en prie Marcus ne me tuez pas… Je ferai de mon mieux pour rembourser nos dettes, je ne dirai rien à personne! Je vous en prieeeeeeeeeeeeee… C’est Billy le responsable de tout ça… Pas moi!
Marcus cessa de parcourir sa fente du silencieux de son arme… Et l’embrassa dans le cou.
— Tu es très sexy ma salope… Tu devras te rappeler, à l’avenir que c’est Billy qui est responsable de ton destin…
Marcus se dirigea vers la porte.
— Je suis sur que des gens ne vont pas tarder à te faire une petite visite!
Il quitta la maison sur ces mots et se dirigea vers l’autoroute.
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Marcus appela alors un numéro en ville.
— Oui… C’était son copain Cédric
— Je me suis occupé d’eux, Cédric…. Tu peux leur rendre une petite visite avec tes potes… Ils n’ont pas d’argent, tu n’as qu’à descendre Billy et tes gars et toi pourraient vous amuser avec elle toute la nuit, mais pas trop brutalement, je ne veux pas qu’elle soit blessée! Je veux pouvoir la prostituer pour me dédommager de leurs dettes!
— C’est d’accord mec!
— Je te préviens qui si l’on retrouve le corps de Billy ou si elle parvient à s’échapper je vous comme responsable toi et tes gars! Je te promets que vous crèverez tout doucement dans d’affreuses douleurs! Suis-je bien clair?
— On ne peut pas plus mec…
— Je ne veux que Péronne ne jouisse dans son corps, vous devez jouir sur elle non en elle!
— Oui… Oui!
— D’ici une paire de jours, des amis du middle-west seront en ville, ils me l’achèteront un bon prix! Elle fera une bonne pute quelque part dans un bordel du désert, forme là à cette besogne…
Elle est à toi pour deux, trois jours mon gars!
— C’est excellent
— Appelle-moi dans un jour ou deux… Marcus composa alors un autre numéro.
— Allo chérie… Oui… Une bonne journée… Je rentre à la maison… Préparez-vous toi et les gosses, je vous emmène diner en ville!
Texte trouvé sur Sex stories post
Traduit de l’anglais par Coulybaca
Dominique [email protected]