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De bien belles vacances – Chapitre 2

De bien belles vacances - Chapitre 2



Alors que je suis en train de signer mon contrat, une femme fait son entrée dans le bureau. Elle est grande, magnifique. Sa poitrine généreuse tient difficilement dans un haut de maillot de bain minimaliste où juste les auréoles sont dissimulées. Le bas est dans le même esprit, laissant deviner son sexe apparemment tout lisse.

— Ha chérie, voici Julien. Il va travailler pour nous ! Julien, voici Sarah, ma femme.

 –      Bonjour Julien me dit-elle avec un sourire charmeur. Jacques t’a tout montré je suppose, et tu dois faire l’affaire.

 –      Il est parfait !

 –      Mais dis-moi, reprend Sarah en se penchant vers moi, tu as bien lu toutes les petites lignes ? 

 –      Je crois. Dis-je les yeux rivés à sa magnifique poitrine

— on verra bien ! ajoute-t-elle en quittant la pièce.

 La ficelle de son string guide mon regard vers son entre jambe où j’aimerai bien plonger.

— Bon, julien, tout n’est pas marqué dans ce contrat ! Pour la tenue de travail, on préfère que tu sois nu. Il pourra y avoir des extras.tu pourras rester certains soirs ?

 –      Oui monsieur, tout ce que vous voudrez ! dis-je avec plein d’enthousiasme

— Tout ce que je veux.Intéressant !  tu commences demain matin, d’accord ?

 –      Très bien, a demain alors !

 Il me fait la bise non sans me mettre une main aux fesses. En sortant, j’aperçois Sarah sur la banquette où je viens de me faire baiser en train de prendre un bain de soleil dans le plus simple appareil. Quelle poitrine ! 

 Je suis encore dans cette vision lorsque j’arrive à la maison. Maman est sur la terrasse à prendre elle aussi un bain de soleil. Elle porte un maillot deux pièces qui, sans être aussi minimaliste que celui de Sarah, ne cache finalement pas grand-chose. J’aime quand elle le porte car cela met ses formes en avant. 

 Je m’assois près d’elle pour lui raconter, en partie, mon entretien.

— Je suis fière de toi mon chéri, tu as su te mettre en valeur ! Ce monsieur a bien eu raison. Tu es un bon gars !

 –      Merci maman, j’ai fait mon maximum.

 J’ai du mal à dissimuler mon érection que la pensée de mon ’entretien’’ fait monter. Elle se tourne sur le ventre et défait l’attache de son haut pour bronzer.

— Tu me mettras de la crème, demande-t-elle en se redressant sur ses coudes.

 Cela me permet de voir sa poitrine, révélant des tétons plutôt bien dressés. J’attrape le tube de crème et la passe dans son dos. Maintenant complétement allongée, elle me laisse passer la main le long de son corps. Plusieurs fois je descends volontairement sur son bas de maillot qui est un peu rentré entre ses belles fesses. Elle ne semble pas réagir. Je commence alors à crémer ses jambes en commençant par ses mollets. Je remonte doucement vers les cuisses. En passant de l’intérieur vers l’extérieur, je bascule un peu sa cuisse, ce qui ouvre légèrement son entre jambe. Le tissu du maillot s’est un peu glissé dans sa fente, laissant presque voir ses grandes lèvres. Elle doit s’épiler le sexe car je ne vois aucune pilosité le long du mince bout de tissus. En faisant la deuxième jambe, j’accentue même la force de ma main sur la douce peau de sa cuisse. Celle-ci s’écarte encore un peu plus. Il me semble qu’elle a même légèrement écarté les jambes. En effet, ses pieds sont maintenant sur les coins du transat.

Ne serait-elle pas en train de .mouiller ?! je suis à la fois surpris, gêné mais aussi excité de voir le fond du maillot prendre une légère tinte plus foncée. Je finis en passant sur le bas de ses fesses, sans trop oser remonter trop haut. Mais les quelques passages de ma main écarte suffisamment le globe fessier mon m’ôter les doutes de son état. 

— Tu es un amour, me dit-elle en se redressant à nouveau sur ses coudes, je vais pouvoir faire le reste ajoute-t-elle avec un petit sourire

— Je t’en prie maman, tout ce que tout voudra ! dis-je en me levant tout en dissimulant mon érection.

 Je rejoins ma chambre où je me déshabille directement pour me branler. Je suis terriblement excité par ce qui vient de se passer. Je regarde discrètement ma mère par la fenêtre tout en me caressant. Elle s’est mise sur le dos et se crème la poitrine avec ses deux mains. Mais cela ressemble plus à des caresses qu’à un simple crémage. Elle malaxe ses beaux seins à pleine main, attrapant parfois ses tétons pour les étirer. Une main descend sur son ventre, et se glisse sous le maillot. Les mouvements des doigts est explicite. Elle se branle sur son transat ! Est-ce moi qui l’est mise dans cet état ? Nous nous branlons tous les deux, mais elle ne le sait pas. Je descendrai bien la rejoindre et plonger ma tête entre ses cuisses. Je n’ose pas la rejoindre avec ma terrible érection et la regarde prendre son pied. Elle se cambre sur son transat, creusant son dos. Sa main fouille toujours sa chatte et l’autre martyrise son téton. La bouche grande ouverte mais sans bruit, elle laisse passer l’orgasme.

Elle se remet alors sur la ventre comme si de rien n’était. J’ai joui moi aussi, giclant par terre. 

 Je la rejoins un moment après, avec mon maillot pour me mettre à côté d’elle. Sur le dos, elle ne me voit pas arriver tout de suite. Ses seins nus sont magnifiques. Lorsqu’elle m’entend m’assoir près d’elle, elle a le réflexe de chercher son haut tout en mettant un bras devant sa poitrine.

— Tu peux rester comme ça, tu sais. 

 –      Mais je . Apres tout, tu as raison. Tu en surement vu des paires seins à la plage !

 –      Oui, aussi

— Comment ça aussi, dit-elle en riant, ou est-ce que tu aurais bien pu en voir ! ajoute-t-elle en s’asseyant. 

 Sa belle poitrine pointe ainsi vers moi.  Ses tétons sont dressés.

— Alors, insiste-t-elle, dis-moi un peu !

 Elle me pousse de la main, pour me chahuter gentiment. Je ne quitte pas sa poitrine des yeux tellement elle est belle. Je me remets à bander malgré moi.

— Ho, ben, tu sais,j’avais une copine.

 –      Avais ? et maintenant ? allé, dis-moi tout !

 –      Maintenant, plus personne.

 –      Même pas quelqu’un en vue ? dit-elle avec le regard posé sur mon maillot

— Nonpersonne

— Un garçon peut être ?

 Elle aurait deviné pour Antoine ? Comment elle saurait ? Dans tous les cas, je me suis mis à bander encore plus fort.

— Tu sais, tu peux me dire.tu as droit.fille..ou garçon.ou les deux

 Je n’avais jamais parlé de ça avec ma mère. Je suis un peu gêné mais la situation m’excite toujours autant.

 Elle me prend dans ses bars, enserrant mes épaules, emprisonnant mes bras. Ses seins se plaquent contre mon torse. Je seins ses tétons sur ma peau. J’ai l’impression que mon maillot va se déchirer, que ma queue va exploser.

— Tu es un homme maintenant, tu as droit de découvrir ces choses, dit-elle en relâchant ses bras. 

 Sa main passe sur mon sexe dressé. Je ne sais pas si c’est volontaire mais elle s’arrête et regarde mon maillot déformé avec sa main dessus.

— Dis donc mon chéri, tu es en pleine forme ! dit-elle avec un sourirecoquin. 

 –      Excuses moi.je .

 Elle referme la main sur ma verge au travers du maillot.

— Quand tu m’as crémée tout à l’heure.tu fais ça si bien.je.moi aussi, je suis .excitée

 Elle est toute proche. Sa main emprisonne toujours mon membre qui vibre entre ses doigts. Elle respire plus vite. Elle s’approche encore. Ses seins effleurent à nouveau ma poitrine. Elle serre plus fort ses doigts. Je manque d’air ! J’entre-ouvre la bouche pour aspirer. Elle colle ses lèvres sur les miennes. Sa langue glisse entre mes dents. Son baiser est long, sensuel, merveilleux. Je le lui rends alors qu’elle se couche sur moi. Elle me dévore le visage, frottant son bassin sur le mien. Ma queue me fait mal dans mon maillot. Je lui caresse le dos puis descends vers ses fesses. Elle parvient à faire glisser mon maillot, libérant enfin mon sexe tendu à l’extrême. Elle s’en saisit et le branle. Sa buche n’a toujours pas quitté la mienne. Je lui saisis les seins. Quel bonheur de toucher enfin cette poitrine que j’ai tant regardé ! Lorsqu’elle lâche ma bouche, je me jette sur ses tétons pour les sucer. Elle gémit fortement. Je parviens à défaire son bas de maillot. Elle se frotte encore, puis emprisonne ma queue entre ses cuisses.

Je sens la moiteur de sa chatte sur ma bite. Mes coups de rein instinctifs frottent mon gland sur ses lèvres détrempées. Elle écarte ses cuisses, m’ouvrant la voie de son antre. Je la prends d’un coup. Elle s’affale sur mon pieu en râlant de plaisir. Ses ongles me griffent la poitrine, attrapent mes tétons. Je lui maintiens les fesses et je la pilonne par en dessous, rythmer par le claquement de mon bassin sur ses cuisses. Sa chatte dégouline de bonheur. Elle gémit sans discontinuer jusqu’à ce qu’elle explose dans un grand cri. Elle se contracte sur mon membre, l’aspirant au fond de son ventre. Je jouis à mon tour en me cambrant, poussant encore un peu plus ma queue dans sa matrice.

 Elle s’affale alors sur moi de tout son poids, respirant bruyamment, le temps de reprendre ses esprits. On a joui très vite, trop vite, comme deux amants trop longtemps séparés. J’aurais voulu faire durer ce moment magique, unique sans doute, car elle ne voudra sans doute pas recommencé. 

— Oh mon chériquel pied tu viens de me faire prendre !

 –      Tu tu as aimé ?

 –      Aimé ? adoré oui ! depuis le temps que je me dis que mon garçon est maintenant un homme ! tu ne m’en veux pas au moins ?

 –      Mais non ! je te regarde depuis des annéestu es si belleje n’aurais jamais pu espérer une telle chose.

 –      Que cela reste entre nous, d’accord ? si tu as une copine ou un copain, c’est tout à fait ton droit ! sache que je serais toujours là pour toi !

 –      Toi aussi tu peux avoir quelqu’un maman, garçon ou fille ! dis-je en souriant

— Pourquoi tu dis ça ?….tu m’as vue avec Mélissa ?

 –      Haha ! j’avais un doute mais donc tu as fait ça avec Mélissa ?

 –      Parce que tu crois que je ne sais pas pour Antoine ? C’est sa mère, et elle vous a entendu !

 –      Mais son mari ?

 –      Gérard est souvent parti et on a sympathisé. Quand elle m’a parlé de votre soirée chez eux, j’avoue que cela m’a bien excitée.  Elle aussi d’ailleurs ! quand je lui ai dit que vous aviez bien le droit de vous amuser, elle m’a dit que nous pourrions aussi nous .amuser toutes les deux. 

 Maman bisexuelleelle aussi ! Quelle journée ! Je crois que je vais lui raconter on entretien dans le détail ce soir. Surtout qu’elle m’a proposé de rester nus tous les deux, maintenant que nous n’avions plus rien à cacher.

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