La soirée chez Anja et Bruno se poursuit en compagnie d’Annie et Jean-Marc qui sont arrivés en retard.
Contrairement à ce que leurs prénoms indiquent, il s’agit d’un couple de métis… Elle, d’après ce qu’elle me dit, est issue d’une union entre une Vietnamienne et un français alors que son mari est un métis antillais…
C’est un beau couple exotique… d’à peine 40 ans.
Evidemment, elle est brune aux longs cheveux descendant jusqu’au creux des reins, le visage ovale aux pommettes un peu aplaties, deux grands yeux en amande et une bouche large aux lèvres étroites. Sa silhouette est svelte avec une poitrine petite mais pointue… (Hummm ! De très jolis seins…).
La taille est ceinte d’une chaînette dorée mais je ne peux en voir plus car Annie porte une sorte de pagne de lanières multicolores.
Jean-Marc est ce que j’appellerais (même si je connais peu de Métis ou de Noirs…) un « beau mec »… Il mesure un bon mètre quatre-vingt, il a le crâne rasé, de grands yeux marron, un nez légèrement épaté et des lèvres ourlées… Ce doit être un adepte des salles de sport car il a une musculature bien dessinée avec des pectoraux saillants et des tablettes de chocolat bien marquées. Il porte encore son pantalon…
C’est sans honte aucune que je suis complètement nue devant eux… et je suis très fière quand Jean-Marc me dit :
— Nous sommes arrivés quand Bruno et Hervé te prenaient en double ! C’était chaud !
— Oh oui… Ils m’ont fait jouir comme jamais. Bruno est un sacré baiseur !
— Oui… Toutes les femmes qu’il a baisées en conviennent ! Moi la première ! Viens, nous allons nous isoler un peu dans un petit salon… Tu verras, nous allons bien nous amuser nous aussi !
C’est ainsi que je découvre ce salon particulier !
Il a de quoi être particulier… Deux croix de Saint André sont plaquées contre l’un des murs, dans un angle, il y a une sorte de sellette avec un sexe artificiel qui émerge de son centre… alors que dans un autre, il y a un fauteuil de gynécologue… Sur une étagère il y a tout un tas de sexes factices, des flacons… et au sol un vaste matelas couvert de velours pourpre. Bref, tout un arsenal coquin mais aussi fait pour la souffrance !
Devant mes yeux ébahis, Annie me rassure :
— Nous n’aurons pas besoin de tout cela ! Habituellement c’est le salon des sadomasos… Mais il n’y a personne ce soir ! Je suis pour le plaisir mais pas pour la jouissance dans la douleur !
— Vous me rassurez !
— Nous avons juste besoin d’être un peu à l’écart des autres… même s’il nous arrive de nous mélanger avec eux ! Et puis, tu es nouvelle, nous avons envie… de te goûter !
Après ces quelques paroles, Annie se penche vers ma poitrine, empaume le sein gauche et prend le téton du droit entre ses lèvres.
Jean-Marc passe derrière sa femme et lui ôte son dernier vêtement… Elle a le pubis entièrement rasé sauf une fine ligne de poils qui descend du nombril au capuchon de clitoris…
Puis il défait son pantalon sous lequel il ne porte rien d’autre…
Son sceptre de chair jaillit comme un diable de sa boîte ! Et quel membre ! Décidément ce soir je suis servie !
— Comme Hervé a ouvert le passage, je vais te sodomiser moi aussi. Tu n’as rien contre ? !
— Pas de soucis… j’ai découvert récemment quel plaisir cela me donnait, ne te prive pas !
— Tu vas voir et sentir… Jean-Marc sait se servir de sa bite !
— Eh bien… je suis tout ouverte pour lui !
Annie continue de me lutiner les seins et une main s’est introduite dans ma chatte… Elle porte ses doigts à sa bouche et nous dit :
— Ton suc est bon à boire !
— Laisse-moi goûter le tien !
— Oui… On va se mettre en 69 et Jean-Marc jouera les voyeurs… On s’occupera de lui ensuite !
Allongée sur le matelas au centre du salon, nous nous offrons une bonne jouissance de lesbiennes, tantôt l’une domine l’autre, puis les rôles s’inversent…
Nous goûtons nos sucs à pleine bouche, dardant nos langues au plus profond de nos sexes, y glissant parfois les doigts de la main…
Je suis d’ailleurs surprise de voir avec quelle facilité Annie accepte l’entrée de ma main presque entière dans sa chatte…
Désormais, je me lâche complètement lorsque je suis avec une femme, j’ai jeté par-dessus les ponts toutes mes inhibitions… dont celle des relations homosexuelles… Et peu de temps, j’ai vécu tellement de choses que je soupçonnais à peine… enfermée dans mes habitudes de bigote… Que de temps perdu surtout depuis que mon mari ne s’intéresse plus à moi !
Jean-Marc nous observe pendant tout ce temps en masturbant doucement sa bite… qui je crois, grossit encore…
Annie et moi, nous reprenons notre souffle et récupérons, allongées tête-bêche sur le matelas…
Jean-Marc s’approche de moi… me relève et me dit de me laisser guider pour prendre la position qu’il souhaite…
A genoux, il incline mon corps jusqu’à ce que ma joue droite repose sur le velours de la couche. Je sais que ma posture est indécente, mais je n’en ai rien à faire… Je vais me faire sodomiser pour la seconde fois de la soirée… C’est à croire que les mecs ne pensent qu’à ça !
Annie dit alors :
— Mais non ma belle ! C’est ton cul de femme mature qui les intéresse… Une croupe de jument comme la tienne sous une taille assez fine, c’est bandant au possible ! J’aimerais bien être comme toi ! Un cul de jeunette ne les intéresse pas… Il n’y a que Jean-Marc qui y est entré…
Dans le même temps, je sens les mains de Jean-Marc courir sur mon dos, frôler le creux de ma colonne vertébrale, caresser mes reins et mes hanches puis écarter mes globes fessiers.
— Tu as vraiment un beau cul ! En plus ton illet n’est pas encore refermé ! Ça va être le pied !
— Avec un cul aussi accueillant, tu vas bien jouir ! Jean-Marc est très habile de sa queue ! Tu m’en diras des nouvelles !
Annie injecte malgré tout du gel dans mon sphincter et couvre la bite de son homme ! Il y a tout ce qu’il faut à disposition dans ce salon…
Puis elle passe devant moi, j’ai sa chatte sous les yeux… Les lèvres intimes semblent gorgées de sang tant elles sont rouges… mais, je la perds rapidement de vue… J’entends juste l’ouverture d’un tiroir…
Puis son homme s’approche… introduit deux doigts dans ma chatte où il prend de la mouille dont il enduit, me semble-t-il, son membre couvert de latex.
Je sens le gland se poser sur ma rosette… Ne reposant plus que sur mes genoux et ma tête, je jette mes bras en arrière et saisis mes fesses pour les écarter et ouvrir mon sillon…
Jean-Marc me maintient de chaque côté des hanches… Une poussée et le gland franchit l’anneau plissé… Il prend son temps… Je sens que la sodomie va se passer en douceur…
Le membre entre en moi, je le sens qui avance dans mon sphincter… C’est bon, il glisse aussi facilement que s’il était dans ma chatte lubrifiée d’envie…
Un recul jusqu’à l’orée de mon cul, une nouvelle progression à chaque fois plus profonde, un nouveau va-et-vient… puis je sens le pubis de Jean-Marc contre mes fesses…
Ça y est ! Il est tout au fond de moi… Je me sens pleine, plus encore que quand Hervé ou les garçons m’ont pris par-derrière !
— Comment le sens-tu ? N’a-t-il pas une bite de compétition ?
— Oh oui, je suis pleine ! C’est bon !
— Tu n’as encore rien senti !
— Je ne demande qu’à voir et à sentir… mais cela me semble bien parti !
Et là, Jean-Marc entreprend des mouvements de va-et-vient lents mais à chaque fois qu’il se retire, il reste le gland à l’orée de mon anneau plissé et lorsqu’il plonge à nouveau, c’est tout au fond qui va… et sarrête avant de repartir vers l’arrière…
C’est vraiment une baise savante… Une de ses mains vient titiller un de mes tétons qui roule entre ses doigts… Humm… C’est bon…
La jouissance terrible m’emporte une première fois… un grand râle sort de ma bouche… Tout mon corps frémit…
Annie commente :
— Je te l’avais bien dit qu’il savait y faire…
— Oh oui… c’est tellement bon cette douceur, je préfère cela aux assauts brutaux que j’ai connus !
— Ah bon ?
— Je te raconterai comment je me suis fait dépuceler le cul par deux jeunes garnements !
Après ce bref échange, je sens qu’Annie vient derrière son homme…
D’une main elle lui caresse les burnes et de l’autre elle flatte ma croupe…
Mais, alors que Jean-Marc est tout au fond de moi, je sens comme une poussée supplémentaire…
— Que se passe-t-il ?
— Ah… J’attendais cela… Oui, prends-moi le cul pendant que je prends celui de Jeanne !
Je comprends alors que pendant que Jean-Marc me prenait profondément, Annie s’était équipée d’un gode ceinture avec lequel elle sodomisait son homme…
Je comprends mieux pourquoi nous nous sommes retirés dans ce salon particulier… Annie savait y trouver l’accessoire indispensable pour ce que ces coquins avaient projeté !
La copulation reprend… Quand Jean-Marc se recule, Annie en fait autant puis elle amorce le mouvement vers l’avant et son homme me pénètre à fond… et ainsi de suite pendant plusieurs minutes…
Les mouvements s’accélèrent…
Ma jouissance monte à nouveau dans mon ventre et… quand je sens les salves de foutre s’écraser au fond du préservatif je pars dans un orgasme qui me déchire littéralement tant cette sodomie savante et peu commune m’a excitée…
Je sens qu’Annie décule et elle vient se placer sur notre côté droit, exhibant fièrement ce gode qui vient de sortir du cul de son homme ! Elle dénoue les sangles et plaque une main sur son pubis en pliant deux doigts qui entrent dans sa chatte !
Quelques mouvements rapides et elle jouit à son tour… inondant notre couche de plusieurs jets abondants…
— Ah… que c’est bon d’être délivrée ainsi ! Dire qu’il n’y a que ce genre de chose qui arrive à faire jaillir ma fontaine !
— Je n’avais jamais vu cela !
— Oui, c’est un phénomène assez rare surtout avec une aussi grande quantité de liquide… mais quelle jouissance décuplée ! Personnellement, j’ai l’impression d’éjaculer comme un homme, mais cela n’a rien à voir !
— Comment l’as-tu découvert ?
— C’est depuis que je baise avec Jean-Marc. Il a trouvé que mon point G était très en avant de mon vagin et à chaque fois qu’il me baisait, je lui inondais le bas-ventre avant qu’il ne jouisse… J’ai appris à me retenir car je sais combien cela est frustrant pour lui… Mais comme il me fait partir plusieurs fois de suite, cela ne me gêne pas !
— Comment en es-tu arrivée à le sodomiser comme tu viens de le faire ?
— Oh… C’est simple, je crois que nous avons toujours été bisexuels ! J’aimais les hommes et les femmes et quand je l’ai connu, il avait déjà le cul ouvert ! Ensuite ça s’est fait tout naturellement dans nos parties de baise !
— Toi aussi, tu sembles bien ouverte… Quand nous étions ensemble, j’ai pratiquement introduit toute ma main dans ta chatte !
— Tu m’as fistée… J’ai toujours été « très ouverte et accueillante » si bien que cela ne me gêne absolument pas d’avoir deux queues comme celle de Jean-Marc en même temps dans ma chatte… Je dois éveiller beaucoup de fantasmes car lors de nos soirées coquines, je suis très sollicitée !
— Oh oui ! Très souvent Annie est prise en main dès notre arrivée ce qui fait qu’il nous est rarement possible de faire un trio comme celui-là !
— En tout cas, vous m’avez fait prendre plusieurs pieds mémorables !
— Tu verras, dans trois semaines quand nous serons chez nous, ce sera encore meilleur.
— Oh oui, tu sentiras quand les mâles se lâcheront dans tes orifices et que tu sentiras les giclées de sperme se déverser en toi… et je puis te dire pour y avoir goûté, qu’il y en a qui sont généreux !
Nous restons à bavarder de longues minutes dans l’intimité de ce salon, partageant nos expériences sexuelles…
Annie et Jean-Marc sont deux vieux routiers dans ce domaine… Annie a été pendant plusieurs années stripteaseuse dans de nombreux cabarets tant en France qu’à l’étranger et Jean-Marc faisait partie d’une troupe de « Chippendale » pour arrondir ses fins de mois au cours de ses études d’architecte.
— Bon, mes chéries, je dois vous laisser… Anja doit piaffer d’impatience… Je sais qu’elle a envie de ma grosse queue…
— Va mon amour… à bientôt ! Nous, on va chercher des partenaires dans le grand salon !
— D’accord… On se retrouve quand j’ai terminé avec la maîtresse de maison ! Je lui dois bien ça !
— Défonce-la et fais la grimper comme tu as su si bien le faire avec moi… Elle a tout d’une salope gourmande de bite !
Là-dessus, Annie et moi, nous repassons dans le grand salon… L’ambiance est chaude au possible… Ça baise un peu partout… dans des compositions à deux ou à trois… avec ou sans spectateurs…
Jean-Marc a déjà disparu avec Anja… qui a dû l’entraîner à l’écart des autres.
Soudain Annie attire mon attention :
— Regarde ces deux jeunots qui arrivent… Ne laissons personne prendre notre tour… J’imagine déjà comment ils vont nous faire reluire !
— Tu as raison, ils ont l’air TOP, allons voir ce que cachent leurs pantalons !
Annie m’entraîne :
— Salut les mecs, alors comme ça, on arrive en retard ? Moi c’est Annie et voici mon amie Jeanne !
— Enchanté gentes demoiselles, moi c’est Patrick et voici Ludo ! Pour vous servir !
Je pouffe en moi-même à entendre ces propos quelque peu vieille France tenus devant deux quadras complètement à poil !
Mais c’est vrai que ces deux jouvenceaux sont tout à fait charmants… tout à fait COMESTIBLES !
25 ans tout au plus, grands mais sans plus, aux environs du mètre quatre-vingt, le torse avantageux, aussi blond qu’on puisse l’être… des dents de carnassier d’une blancheur étincelante… dans un visage hâlé…
Patrick jette son dévolu sur Annie et Ludo, passant son bras gauche autour de ma taille nous guide vers un des immenses sofas qui est libre à ce moment.
— Venez, gentes dames, nous allons vous honorer si vous le voulez bien…
Ce à quoi, je réponds, prise de la même fantaisie oratoire :
— Bien sûr Mes Seigneurs, vos gentes Dames sont à votre service…
Comme ces deux coquins ont attaqué avec ce langage, pourquoi ne pas continuer ?
— Souffrez chers amis que l’on vous dévête !
— Faites, je vous en prie…
C’est ainsi qu’Annie et moi, nous ôtons la chemise et le pantalon de nos partenaires… Le plumage vaut le ramage… Les pectoraux et les tablettes de chocolat sont légèrement dessinés…
Puis nous mettant à genoux dans un même mouvement, nous descendons le pantalon…
La bosse emprisonnée dans le boxer de Ludo me semble prometteuse…
En levant les yeux, je passe plusieurs fois la main sur cette proéminence et le regard de mon futur amant semble dire : Vas-y ! Qu’attends-tu pour y goûter ?
Je fais glisser le dernier rempart et je débarrasse mon partenaire de tout ce qui l’entrave : Chaussures, pantalon, boxer… pour enfin découvrir l’objet de mon désir : son sceptre de chair qui est à moitié dressé devant son pubis…
Je jette un rapide coup d’il en direction d’Annie et Patrick qui n’ont guère d’avance sur nous puisque cette dernière semble encore en être aux caresses manuelles.
De mon côté, après avoir pris la mesure de ce qui me fait face, j’embouche le gland de Ludo et je fais tournoyer le bout de ma langue sur le méat… J’ouvre grand ma bouche et le membre entre au plus profond… Une fois qu’il est emprisonné entre mes lèvres, je commence à le pomper en travaillant uniquement avec mes joues…
Je ne veux pas aller trop vite, j’aime le goût de ce sexe et l’odeur un peu poivrée que dégagent les poils du pubis…
Mais Ludo ne me laisse pas achever ma fellation…
— Tu sembles être une bonne pipeuse, mais ce n’est pas ce que je veux… Viens allongeons-nous.
Je m’allonge donc sur le sofa et Ludo se couche derrière moi et nous nous emboîtons comme deux cuillers… Je sens son sexe dur entre mes fesses… Encore une sodomie ? NON !
Ludo passe un bras sous mon cou et de son autre main, il vient empaumer l’un de mes seins et joue quelques instants avec le téton dardé !
Je sens son sexe qui s’insinue dans ma fourche intime et le gland chercher l’orée de mon vagin : Ouf, il va me baiser normalement !
Pendant ce temps Annie et Patrick prennent une position quasi identique en face de nous… Mes mains rejoignent celles d’Annie… et les deux hommes commencent à nous baiser…
Personnellement, je suis inondée de cyprine si bien que le sexe de Ludo coulisse avec facilité… Ses mouvements alternatifs, lents au début, s’accélèrent puis ralentissent puis repartent de plus belle… Ce coquin sait y prendre pour faire monter et refluer ma jouissance : japprécie…
Décidément cette soirée d’orgie n’a rien à voir avec la brutalité, voire la bestialité des garçons… mais en moi-même, je les remercie de m’avoir ouvert les portes du plaisir !
Ludo manque de me faire jouir deux fois, je comprends qu’il se retient… pour mieux profiter de moi et mieux me faire jouir.
Soudain, je n’en puis plus… Dans un grand râle je me libère… Aussitôt, je sens les giclées de sperme au fond du préservatif !
Ludo chuchote à mon oreille :
— Aussi bonne baiseuse que pipeuse ! Bravo ! J’ai aimé quand tu as masturbé ma bite avec tes muscles intimes…
En face de nous Annie et Patrick jouissent aussi…
Nous restons dans la même position de longues minutes jusqu’à ce que je sente le sexe qui est en moi rétrécir et sortir dans ma chatte…
Pour ce soir, je suis repue de jouissances diverses et variées…
Nous prenons congé des hommes et nous partons à la recherche de Domi… que nous trouvons en grande conversation avec Hervé.
— Je veux rentrer… J’en ai assez pour ce soir… Merci à toi chère Domi de m’avoir fait découvrir toutes ces personnes !*
— OK… j’en ai assez aussi… Rentrons !
Trois semaines plus tard.
Après le dîner, je monte dans ma chambre…
Désormais, je ne perds plus mon temps à tenir compagnie à mon mari…
Si j’ai envie de regarder un film, j’ai ce qu’il faut dans ma chambre, si j’ai envie de lire, j’ai quelques livres à portée de la main et… j’ai osé : je suis retournée dans le magasin où j’ai acheté mes vêtements coquins… J’ai acheté une nouvelle tenue que je compte étrenner ce soir… mais aussi deux beaux godes et un Plug en silicone dont je me sers quotidiennement avant de m’endormir. J’ai tellement apprécié la sodomie que je veux être prête pour celui qui voudra user (et abuser) de ma voie arrière !
Je me prépare pour rejoindre Annie et Jean-Marc qui organisent une soirée coquine dans leur villa. Comme en ce samedi de fin d’été il fait encore très beau, je porte une robe d’un bleu électrique qui laisse mes épaules entièrement nues. Elle est retenue par ma poitrine généreuse et fière malgré mon âge mais quand même aidée par un redresse-seins dont j’ai récemment fait l’acquisition. La robe, un peu vague, ornée d’une bande de tissu froncé au niveau des seins s’arrête un peu au-dessus des genoux…
Amandine qui m’aide dans mes préparatifs me dit alors :
— Maman… Tu vas faire des ravages ce soir… Si tu n’étais pas ma mère…
Eh oui, je connais les penchants de ma fille… c’est elle qui m’a fait connaître Domi, celle qui m’a initiée aux plaisirs saphiques et m’a emmenée dans une soirée coquine dont je suis revenue complètement dévastée par des jouissances multiples…
Après une petite heure de route, j’arrive à l’adresse indiquée…
Annie m’ouvre la porte :
— Entre vite ma belle… Nous n’attendions plus que toi !
J’entre dans le salon où se trouvent déjà deux autres couples et Jean-Marc… Nous avons tous autour des 40 ans, il me semble que je serai la plus âgée du groupe mais cela ne me gêne guère… Désormais, je peux rivaliser sans peine !
Jean-Marc fait les présentations… Le premier couple est bien assorti… L’homme et la femme sont sensiblement de la même taille, je dirais autour du mètre soixante-dix, autant la femme est blonde autant l’homme est brun de peau, c’est un Latin à n’en pas douter… (Marie-Ange et Antonio).
Le second couple est composé d’une sculpturale métisse antillaise et d’un homme de haute stature, très maigre… (Coralie et Henri). Quant à Jean-Marc et Annie…
Cette dernière me dit alors :
— L’homme que nous avions invité pour te servir de partenaire s’est décommandé au dernier moment je n’ai trouvé personne pour le remplacer…
— Je n’aurai donc pas de partenaire masculin ?
— Non mais nos trois compères te satisferont certainement !
— Je pense… et puis, tu es là aussi !
— Oh, je ne serais pas seule à te câliner… Nos deux compagnes sont également bisexuelles !
Les bavardages se poursuivent pendant quelques minutes autour d’un punch antillais avant que Jean-Marc ne lance véritablement la soirée en dénudant le buste de l’Antillaise sculpturale…
Waouh ! Quelle paire de seins de folie… ils sont aussi gros que les miens (pour mémoire 90 C) mais leur forme et leur tenue sont remarquables…
Ils se dressent fièrement et les tétons qui ornent le centre de l’aréole sont gros comme un pois chiche…
La blonde fait tomber sa robe elle-même… et dévoile une jolie poitrine menue, presque une poitrine de jeune fille pubère… et son homme se dirige vers moi et se place dans mon dos : il dégrafe ma robe qui tombe à mes pieds dans un seul mouvement, dévoilant ainsi ma tenue…
J’ai frappé fort lors du choix… plusieurs lanières étroites partent du devant de mon soutien-gorge doré et remontent dans mon dos et je porte un mini string doré également qui ne masque que ma chatte alors qu’un unique cordon passe entre mes jambes…
Les trois autres femmes suivent mon exemple et se dénudent à leur tour, plus ou moins aidées par les hommes… L’Antillaise (qui en fait est la demi-sur de Jean-Marc) porte un tanga de dentelle blanche qui tranche sur sa peau noire. Annie et l’autre femme sont nues sous leur robe.
— Oh… les filles, toutes à poil !
Sur cette invitation de Jean-Marc, nous enlevons nos derniers vêtements… Quatre jolies femmes s’offrent ainsi aux regards concupiscents de trois hommes !
Henri me prend la main et nous dirigeons vers un divan d’angle ou nous nous asseyons…
Il m’embrasse, nos langues se mêlent dans un baiser humide et mes mains se dirigent vers la ceinture de son pantalon…
Puis d’un mouvement souple, je m’agenouille devant lui pour lui ôter ses vêtements… Pendant que je fais glisser boxer et pantalon, il ôte lui-même sa chemise… et dévoile un torse maigre mais dont on distingue quand même une musculature fine… mais, baissant les yeux, je découvre son sexe !
Et quel sexe ! Je pense qu’il peut largement rivaliser avec celui de Jean-Marc. Pas un poil sur le pubis et autour du sexe : ils sont rasés ! Je ne peux retenir ma surprise :
— Oh… Joli membre !
— Il est là pour te servir !
Je l’embouche aussitôt pour déployer toute ma science (nouvelle) de suceuse de bite… : quelques coups de langue autour du gland, quelques jeux sur le méat. Puis je l’avale progressivement jusqu’au fond de ma gorge avant de le ressortir et d’entamer le va-et-vient tout en pompant avec mes joues…
Dès qu’il est bandé à mon goût, je m’approche encore, je place ce beau dard entre mes seins que je presse autour pour l’emprisonner… et le faire aller et venir dans ce fourreau improvisé…
Henri apprécie mon initiative…
C’est la première fois que je fais cette caresse… découverte il est vrai lors de mon dernier passage au sex-shop : j’avais loué une cassette X… pour me masturber copieusement après mes achats…
Pendant que je maintiens le sexe entre mes seins, Henri le fait aller et venir dans ce fourreau doux et chaud… Parfois en baissant la tête, j’arrive à prendre rapidement le gland en bouche… Humm ! Que c’est bon et excitant !
Soudain Henri me prévient :
— Attention, je vais tout lâcher !
— Ne te gêne pas… Lâche-toi !
Il a à peine achevé de dire ces quelques mots que d’abondantes giclées de sperme maculent le haut de mon buste et quelques gouttes atteignent même mon visage…
Pour une première, c’est réussi !
Si Henri a éjaculé, son sexe n’a rien perdu de sa superbe… Il est toujours aussi raide qu’au moment où je l’ai mis entre mes seins !
— Viens… Je vais m’allonger sur le dos et tu vas venir me chevaucher en amazone !
— OK… Toute à ton service !
— Tu as raison, car c’est toi qui vas travailler !
— M’en fous… Du moment que j’ai ton mandrin dans la chatte !
Henri s’allonge, la tête relevée par un coussin et je l’enjambe face à lui…
Sa queue est dressée comme un pal… Je m’amuse un peu à le faire coulisser sur le devant de mon pubis, excitant au passage mon clitoris qui est sorti de son capuchon…
Je me relève un peu et tout naturellement le gland se loge à l’entrée de mon vagin…
Je n’ai plus qu’à me laisser descendre lentement pour m’empaler au plus profond !
Je sens le Priape remonter dans mon ventre et écarteler mon vagin qui se moule sur lui !
Ouf… ça y est… mon pubis est en contact avec celui d’Henri… J’ai chaud !
J’ai absorbé toute la longueur… et je m’étonne toujours de la facilité avec laquelle ma chatte et mon cul peuvent absorber des membres aussi imposants !
Je me lève sur les genoux puis je me laisse retomber ainsi un certain nombre de fois… Chaque fois le gland vient frapper ma matrice et j’ai des frissons qui remontent le long de mon dos.
Je vois dans le regard d’Henri que le plaisir monte chez lui aussi… J’ai même l’impression que sa bite gonfle encore…
Henri me regarde faire… puis il tend les mains vers mes seins dont il triture les tétons… les pinçant et les tordant successivement…
La sensibilité de ma poitrine s’est exacerbée depuis la rencontre avec les garçons…
Je sens… je sais que je ne vais pas tarder à me libérer…
Henri me regarde intensément… Il me semble qu’il m’attend !
OUI… Au moment même où la jouissance m’emporte dans un cri de délivrance, je sens des geysers de sperme inonder le fond de ma chatte !
Waouh… on ne dirait pas qu’Henri a déjà joui une fois entre mes seins… J’ai l’impression que les jets n’en finissent plus de jaillir…
Pour finir, je m’affale littéralement sur son buste, mon vagin n’arrêtant pas d’avoir des spasmes qui accompagnent le jaillissement du sperme.
Coralie nous rejoint à ce moment-là :
— Alors Jeanne, il t’a servie copieusement ?
— Oh oui… Quel jaillissement ! Que c’est bon de baiser sans capote !
— Tu l’as dit… C’est d’ailleurs pour cela que nous restons en petit comité pour ces soirées… Nous sommes sûrs de nos partenaires… Je viens d’éponger Antonio, il t’attend pour la suite !
— OK… Je vais y aller…
Sur ce, je me désunis et avec des petites serviettes placées là à cet office, j’assèche un peu les liquides qui suintent de ma chatte…
Lorsque je rejoins Antonio qui est à lopposé de la pièce, je retrouve Annie qui lui tient compagnie… en le masturbant d’une main discrète.
— Alors… Que dis-tu des performances d’Henri ?
Waouh… Il a de la ressource !
— Comme tous les hommes qui sont là ce soir ! Antonio ne va pas être en reste… Je te laisse en sa compagnie !
Nous bavardons quelques minutes pour faire connaissance et là, j’ai le temps de détailler un peu mon compagnon…
Sans être un athlète, amateur des salles de sport, Antonio est bien découplé : le visage carré, un nez droit, des yeux marron et une bouche bien dessinée lui font un air viril. Comme beaucoup de Latins il a une pilosité un peu abondante sur le torse qui descend jusqu’au bas-ventre où son sexe se perd dans un épais buisson de poils noirs.
Je reprends là où en était restée Annie en me saisissant de la verge qui est à moitié dressée puis je la prends en bouche pour une nouvelle fellation pour achever de faire renaître une bandaison, qui ne tarde pas d’ailleurs !
— Bien… Puisque Henri est passé par-devant, je vais passer par-derrière !
— Pas de problème, je suis prête !
— OK… alors… en levrette !
Je prends la position demandée et je mets mes bras en appui sur le dossier du profond fauteuil qui va nous accueillir. Je repense à la scène que j’ai pu voir lorsque Domi m’a prise en levrette avec son gode, ce qui me fait mouiller à nouveau !
Lorsque Antonio ouvre la raie de mes fesses en écartant les globes, il s’exclame :
— Ah ça oui… Tu es prête !
Et il retire le Plug que j’ai mis à la maison après avoir fait un lavement pour débarrasser mon antre secret de toute matière…
— Quelle belle rosette… elle reste ouverte, tu vas voir… ça va être le pied !
C’est ainsi que lors de cette soirée, les trois hommes m’ont prise chacun se déversant dans un de mes orifices… Jean-Marc ayant déversé sa semence dans ma bouche après que je l’ai gratifié de ma première gorge profonde !
Je dois reconnaître que cette soirée a été intense… Entre chacun des hommes, je n’ai guère eu de répit…
Mais… quel plaisir j’ai eu !
Quels regrets j’ai ressentis en rentrant à la maison !
Pourquoi n’ai-je pas découvert cela plus tôt !
A suivre.