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De Dame patronnesse à libertine. – Chapitre 5

De Dame patronnesse à libertine. - Chapitre 5



Après la soirée chez Annie et Jean-Marc, je n’ai eu que deux semaines de répit avant d’être invitée pour une nouvelle soirée coquine chez Coralie et Henri. Il s’agissait là aussi d’une soirée privée où tous les participants sont sains donc c’est sans capote que les hommes baisent les participantes… sauf bien sûr lors des sodomies par mesure d’hygiène. Pour les fêtes de fin d’année, il y a eu une coupure de plusieurs semaines avant que les soirées reprennent. Entre-temps, avec la complicité d’Annie, j’avais subi une épilation complète au laser chez une esthéticienne de ses amies laquelle m’avait également posé un cavalier doré sur le capuchon du clitoris. Désormais je m’étais complètement affranchie de mon mari qui ne me touchait plus depuis bientôt deux ans déjà ! Avant, il me sautait une fois de temps en temps… vite fait et dans l’obscurité de ma chambre et il partait aussitôt dans la sienne.

Il se contentait d’assurer financièrement la matérielle de la maison et ne posait pas de question sur mon emploi du temps. Les repas pris en commun avec Amandine et son jeune frère étaient encore assez courants en semaine mais dès le week-end, chacun prenait son envol. Mon mari participait à des tournois de golf ou suivait son équipe de foot préférée lors de ses matchs. Amandine nous quittait après le repas de midi du samedi et ne réapparaissait plus que tard le dimanche soir. Je savais qu’elle était avec son amie. Quant au garçon, il rejoignait une bande de « potes » comme il appelait ses copains de lycée. J’étais libre de mon corps et de mon esprit.

Je ne regrettais plus de m’être quasiment fait violer par les quatre garçons à la fin de l’été dernier. Ils avaient, sans le savoir, libéré ma libido et je l’assumais bien volontiers, cédant tous mes orifices aux hommes et aux caresses des femmes auxquelles je les rendais volontiers. J’étais devenue entièrement bisexuelle et à près de 45 ans, j’en étais fière !

Mais je n’en avais pas assez. J’avais désormais une garde-robe coquine assez bien fournie… bien que ces quelques vêtements ne restent guère sur le corps des femmes qui évoluent la plupart du temps dans le plus simple appareil. Par ailleurs, pour rivaliser avec les femmes plus jeunes (rares) que je croisais, j’avais repris peu avant Noël des séances de sport destinées à raffermir mes muscles. Ainsi trois fois par semaine, je faisais des séances de cardio-traîning et du footing sur un tapis roulant.

Je ne gommerais jamais mes fesses plutôt rebondies et ma poitrine opulente qui attiraient bien souvent les ardeurs des hommes et des femmes que je rencontrais. J’étais d’ailleurs devenue une adepte inconditionnelle de la sodomie et j’ADORAIS quand un mec me prenait le cul en serrant ma taille entre ses mains. Il ne se passait pas une soirée sans que je me fasse prendre l’ANTRE INTERDIT que je livrais bien volontiers. Je m’étais habituée en y glissant toutes les nuits des plugs de plus en plus volumineux si bien que les hommes les mieux membrés de notre cercle coquin n’avaient aucune difficulté pour y entrer. Il suffisait juste d’un peu de gel !

Quel dommage que les règles d’hygiène que tous avaient acceptées imposaient l’usage du préservatif pour les sodomies… mais c’était réellement plus prudent. Ma chatte, ma bouche et mes seins ne rechignaient jamais à recevoir ces hommages humides… qui s’y déversaient abondamment !

À la fin janvier, Annie a profité de l’absence de son homme pour m’inviter dans une sortie « entre filles » avait-elle dit.

— Habille-toi sexy sans excès… je vais t’emmener dans un lieu que tu ne connais pas encore. J’ai envie de m’encanailler mais je ne veux pas y aller seule !

Ce samedi-là, Annie est passée me chercher à la maison vers 19 heures et elle m’a laissé prendre le volant de sa voiture en disant qu’avec le genre de chaussures qu’elle portait, elle ne se sentait pas à l’aise. Nous avons quitté Paris et nous avons pris l’autoroute du sud. Annie était vraiment canon. Déjà relativement grande, elle portait des cuissardes à hauts talons qui ne laissaient apercevoir qu’une bande de chair réduite avant l’ourlet de sa jupe. Le haut était couvert d’une tunique orientale qui accentuait encore le métissage asiatique d’Annie. Sa longue chevelure était rassemblée en une queue-de-cheval descendant au creux des reins. Peu après la sortie d’Auxerre, nous sommes entrées dans un grand parking en bordure d’une petite route… et tout au fond il y avait un bâtiment brillamment illuminé et dont l’enseigne était tout un programme « L’OLISBOS »

Devant ma surprise, Annie m’a dit :

— Tu vas voir, si cela n’a pas changé, c’est un club très sélect… on va trouver des mecs performants dans un cadre très fun ! J’ai envie de me faire défoncer à la chaîne.

— Tu ne crois pas que je suis trop âgée pour de tels lieux ?

— Oh non, sois rassurée. Toi aussi tu auras du succès. Les femmes matures comme toi attirent les hommes plus jeunes.

— Si tu le dis.

— Sois-en sûre… je l’ai observé plus d’une fois.

C’est bras dessus-bras dessous que nous entrons dans ce club coquin. Comme nous sommes deux femmes, nous ne payons qu’un droit d’entrée réduit qui en fait correspond à la caution du casier dans lequel nous pouvons laisser nos vêtements et nos papiers et valeurs. Curieusement Annie reste habillée. Nous prenons la coupe de champagne de l’accueil au bar puis Annie me dit :

— Allons nous montrer, je vais te faire visiter les lieux.

— OK ! ça marche. Allons faire nos emplettes !

C’est ainsi que je découvre ce qu’est un club libertin. Cela n’a rien à voir avec l’ambiance des soirées privées que j’ai connues jusqu’à présent. Là, tout est conçu pour la satisfaction de tous les besoins sexuels dans une ambiance feutrée baignée d’une lumière rougeâtre. Il y avait déjà pas mal de monde. Trois couples à moitié déshabillés évoluent sur une mini piste de danse, deux filles quelque peu maigrichonnes (à mon avis) se trémoussent aux barres de pole-dance, des couples ou des trios copulent joyeusement dans les coins câlins. Le sauna et les jacuzzis sont vides… mais disponibles pour des jeux aquatiques. Annie soudain m’indique une porte basse en disant :

— C’est l’accès à la cave où se trouve le « Donjon » mais ce soir… ce n’est pas pour nous !

Nous revenons dans la salle principale. Une des barres est libre et aussitôt Annie monte sur le podium. Elle commence à onduler au rythme d’une musique syncopée, faisant des effets de jambes qui remontent sa minijupe de plus en plus haut. Oh… il me semble qu’elle ne porte pas de string ou autre tanga. Tout en continuant sa danse lascive, elle remonte lentement sa tunique jusqu’en dessous de seins, la laisse retomber plusieurs fois sous les sifflets des voyeurs des deux sexes qui se sont assemblés pour regarder mon amie danser. C’est de plus en plus chaud.

Je ne porte qu’un léger soutif et un tanga de dentelle blanche qui mettent mes formes en valeur quand soudain je sens un homme se coller contre moi par-derrière et empaumer ma poitrine dans ses mains :

— Serge… pour te servir !

Je ne réponds rien mais je sens un sexe mâle chercher à se loger dans ma raie culière. Humm… de belle taille. Je me trémousse un peu pour exciter cet homme qui a des vues sur moi. Pendant ce temps Annie a ôté sa tunique et je découvre sa poitrine déjà nue. Avait-elle un soutien-gorge ? Je n’en sais fichtre rien et je m’en moque. Désormais sa danse est carrément érotique. Elle joue de sa minijupe comme elle a joué de sa tunique pour finalement l’enlever.

Elle apparaît uniquement vêtue d’un mini string et de ses cuissardes sous les applaudissements de la douzaine de personnes assemblées. Deux hommes se détachent des voyeurs et aident Annie à descendre du podium pendant qu’une des barmaids ramasse et emporte les vêtements de mon amie que je perds de vue. Serge m’entraîne vers un des coins câlins qui se trouvent libres. Je découvre un mec taillé en hercule… des épaules larges sur un buste de culturiste… un visage mâle éclairé par des yeux bleus… et une barbe naissante comme c’est la mode… wow… un vrai canon… trente ans maximum !

Lorsqu’il veut m’embrasser, je ne me dérobe pas… bien au contraire… je laisse sa langue fouiller ma bouche pendant que ses mains pelotent mes fesses et font glisser mon vêtement. Je mouille déjà comme une fontaine… et quand Serge m’interroge :

— Nouvelle ?

— Non… simplement de passage !

— Alors profitons-en. J’aime bien la nouveauté !

— Moi aussi… je sens qu’on va bien s’entendre !

En disant cela, je laisse ma main droite descendre jusqu’à la taille et au travers du tissu de son boxer, je palpe sa bite qui est effectivement d’une taille en rapport avec la carrure de mon futur amant !

Mon soutien-gorge vole en même temps que je descends le boxer de Serge. Nous sommes à égalité : NUS tous les deux ! Son sexe est déjà bien dressé et lorsque ma bouche l’avale, je sens déjà les prémices de sa jouissance sourde à l’extrémité.

— Non… tu sembles une bonne pipeuse mais c’est de ta chatte que j’ai envie !

— OK… on verra ensuite si tu as encore envie !

Et là, il me couche sur un pouf haut pour me prendre en levrette. Je suis juste à la bonne hauteur et la posture est plutôt confortable. Tout mon buste est en appui sur le dessus couvert de velours rouge et mes seins sont un peu écrasés. Serge glisse une main dans ma raie et apprécie :

— Déjà bien mouillée !

— Ouiiiiiiii ! Ne me fais pas attendre !

Je suis complètement partie dans un délire sexuel. Je sens, je sais que Serge va bien m’envoyer en l’air !

Je l’entends à peine déchirer l’enveloppe du préservatif et lorsque son gland se présente à l’orée de ma chatte, je lance mes mains en arrière pour saisir les globes charnus de mes fesses en criant presque :

— DEFONCE-MOI !

Je ne dirais pas que mon amant est monté comme un âne mais je sens sa queue volumineuse et longue pénétrer lentement mon sexe jusqu’à sentir les poils drus de son bassin venir au contact de ma raie ! Quelques secondes de répit et la copulation commence. Lente au début puis de plus en plus rapide si bien que j’ai l’impression de sentir une bielle bien huilée me pourfendre. J’encourage Serge à me baiser encore plus fort quand soudain un autre homme nous rejoint dans le coin câlin. Il est nu également… et je n’aurais pas la bite de Serge plantée au fond de mes entrailles que je jurerais que c’est son membre qui est face à ma bouche. Une voix s’élève :

— Sacha… le jumeau de Serge !

Je ne m’étais pas trompée. Ils sont vraiment semblables. J’ouvre la bouche et Sacha s’approche pour que je puisse gober son membre. Je m’étoufferais presque lorsqu’il arrive au fond de ma gorge… mais je ne peux pas aller plus loin. Une gorge profonde ? Impossible malgré ma bonne volonté. Il est vraiment trop bien membré ! Je me contente d’une fellation aussi profonde que possible, baveuse à souhait.

Je travaille avec ma langue, avec mes joues, pompant avec ardeur et délices ce membre puissant, jouant de la pointe de ma langue sur le méat du gland. Mes sensations sont en deux points de mon corps : ma chatte pleine du sexe de Serge… ma bouche pleine de Sacha son jumeau ! Mes pensées sont ailleurs !

Ce dernier me donne le rythme avec une main posée sur ma nuque… pendant que Serge m’envoie en l’air une première fois. Il reste dans mon vagin et je sens que sa bitte n’a pas débandé car il n’a pas joui ! Il s’est retenu ce coquin !

Et il reprend son va-et-vient dans ma chatte. Il me baise différemment.

Il sort à chaque fois et entre à nouveau de plus en plus vite. Je perds un peu la notion de ce qui se passe… puis une seconde jouissance m’emporte au moment où Serge se lâche dans le préservatif. Je sens ses giclées puissantes frapper le latex. Qu’est-ce qu’il me met ! Sans la capote, je suis sûre que ma chatte aurait débordé !

Les deux jumeaux se retirent de ma chatte et de ma bouche et une brunette sortie de je ne sais où se précipite sur le sexe de Serge, ôte le préservatif et déguste le foutre qui l’entoure.

— Je te présente Armelle ! C’est NOTRE femme.

— Enchantée. Tu as bien de la chance d’avoir de tels étalons à ta disposition !

— Oh si je n’avais qu’eux ! Comme eux me partagent, je suis partageuse aussi alors je n’ai pas de raison de me priver ! Regarde ce que je viens de lever ! Voici Tony !

Là je découvre un jeune homme qui ne doit pas avoir plus de vingt ans. Blond comme les blés, la peau pâle, presque diaphane. Armelle reprend son sexe dans sa main comme pour le guider… et le masturbe doucement dans le creux de sa main. J’observe Armelle. Elle n’est pas très grande, je dirais un mètre soixante-cinq tout au plus mais ce qui me frappe aussitôt, c’est le volume de sa poitrine et la fermeté qui s’en dégage… et qui ne doit rien à la chirurgie. Elle doit faire au moins un bon 90 D ! La taille est fine et les fesses rebondies et bien rondes. Quelques tatouages ornent ses poignets et le bas de son dos. En moi-même, je pense que je me la ferais volontiers… mais accepterait-elle ?

Mais pour l’instant, ce sont les trois hommes qui sont au centre du débat (si on peut dire).

Sacha s’est allongé sur le tapis moelleux qui couvre le sol et entretient d’une main distraite la bandaison que j’ai achevé de faire naître. Son sexe dressé vers le plafond et couvert de latex semble me narguer… et je ne me prive pas d’aller le chevaucher. Dès que je me sens empalée au plus profond, je commence les mouvements alternatifs de bas en haut, le gland vient frapper ma matrice et j’ai chaud… d’autant que Sacha triture les pointes de mes seins qu’il tord et fait saillir. Comment a-t-il deviné que j’ai les seins si sensibles qu’il m’arrive de jouir rien qu’en caressant les pointes pendant qu’un gode vibre dans ma chatte ou mon cul ???

Mais pour le moment, je suis toute entière tournée vers mes sensations… si bien que je jouis une première fois, inondant de cyprine le bas-ventre de mon partenaire. Quand je retrouve mon souffle, Sacha m’allonge sur son buste et je devine plus que je ne sens qu’une autre personne se place derrière moi et mon cul offert !

Oh non, ce n’est pas Serge qui va me sodomiser ! Deux bites de ce calibre, je ne sais pas si je supporterai !

Eh bien NON. C’est Tony qui s’y colle !

Mais ce coquin ne cherche pas mon petit trou (plus si petit que cela depuis que le passage a été ouvert). Je sens que son gland cherche à s’introduire à côté de la queue de Sacha puis il entre doucement dans mon sexe. Waouh. Une double vaginale. Une première pour moi… et je l’accepte volontiers. Je sens les deux sexes mâles coulisser en moi… ils frottent l’un contre l’autre dans un mouvement alternatif bien coordonné !

Je suis de plus en plus humide malgré un premier épanchement provoqué par Sacha.

Je suis tellement mouillée que les deux bites coulissent en moi comme s’il n’y en avait qu’une. Armelle encourage Sacha et Tony :

— Allez-y les mecs. Défoncez-la cette catin. C’est un vrai gouffre à bites !

Quant à moi, je savoure. Je sens mon plaisir monter une nouvelle fois dans mes reins. La jouissance est proche. Elle est là et éclate quand Sacha jouit lui aussi avec un beuglement de bête sauvage !

Il est aussi généreux que son frère. Son sperme gicle en rafales au fond de la capote. Tony se retire, ôte rapidement le préservatif et je sens des giclées chaudes tapisser le bas de mon dos. Le groupe se disperse peu après alors qu’Armelle me guide vers un des jacuzzis :

— Viens, je vais te nettoyer.

— Oui… je veux bien et j’ai aussi besoin de récupérer un peu avant de retrouver l’amie avec laquelle je suis venue.

— La métisse asiatique ?

— Oui. Annie.

— Ne te fais pas de soucis pour elle. Elle est bien occupée, je ne t’en dis pas plus, on ira voir le spectacle ensuite !

Lorsque nous sommes dans le jacuzzi après être passées sous une douche tiède, nous bavardons comme deux vieilles amies. J’insiste pour lui dire :

— Quelle chance tu as avec un homme pareil… viril et bien monté ! Je t’envie un peu et surtout cette idée de partage.

— Oui… les jumeaux me baisent souvent à la suite l’un de l’autre. Ils sont si semblables que je ne les distingue pas au premier abord. C’est leur manière de me baiser qui me permet de les différencier !

En effet, elle me précise que quand l’un ou l’autre a une aventure coquine en dehors de leurs activités dans les clubs échangistes, ils se racontent aussitôt comment cela s’est passé. Ainsi, il n’y a pas de jalousie. Lorsque nous sortons de l’eau, nous nous séchons mutuellement en échangeant force caresses et baisers jusqu’à ce qu’Armelle m’invite à la suivre.

— Tu vas voir comment ta copine Annie fait le spectacle !

— Tu crois ? Elle a déjà dansé à la barre !

— Non, c’est un autre genre de spectacle… et je peux te dire que dès le début, ça a été chaud bouillant ! Les deux mecs qui l’ont aidée à descendre du podium l’ont entraînée dans le coin câlin réservé aux parties à combinaisons multiples et ils se sont donnés à fond. Et il y avait du monde pour prendre la suite !

— Tu m’en diras tant. Je sais que c’est une chaudasse.

— Oh oui… on peut dire qu’elle a un sacré brasier entre les cuisses et il faudra plus d’un mec pour l’éteindre ! Et peut-être même quelques filles. Elle se paie un gang bang comme j’en ai rarement vu ! Elle n’a pas une minute de répit !

Effectivement Annie est bien entourée. Quand nous arrivons, elle chevauche le mari d’Armelle et masturbe la bitte des deux mecs à genoux auprès d’elle… et tout autour il y a des voyeurs… dont l’un qui semble bien connaître Armelle. Il lui précise : six vaginales, deux sodomies, six fellations et deux 69 lesbiens… sans compter ce qui est en cours !

Waouh… quelle endurance ! Et en si peu de temps. Il y a moins d’une heure que nous nous sommes quittées !

Lorsque Serge jouit à son tour en même temps qu’Annie, une salve d’applaudissements retentit… d’autant que les deux mecs que mon amie masturbait ont craché leur sperme en même temps. Annie à genoux sur le podium dit alors :

— MERCI à tous. J’en ai assez pour ce soir ! Je vous laisse !

Puis elle se tourne vers moi et ajoute :

— Ça faisait longtemps que je voulais m’offrir ce genre de soirée… maintenant, une séance de sauna et on rentre à Paris !

— OK. Moi aussi j’en ai assez. Je te raconterai en cours de route. Je suis tombé sur des mecs. F A B U L E U X !

Comme je suis seule à la maison (mon mari participe à un tournoi de golf en Normandie et Amandine est chez sa copine du moment), nous terminons la nuit ensemble dans le même lit. Le milieu de la matinée est déjà loin lorsque nous nous réveillons… et partageons un 69 lesbien plein de douceur avant de nous lever et de prendre un petit-déj copieux et reconstituant. Le soir je raconte mon escapade à Amandine qui me donne également des détails croustillants sur son week-end !

Quelques semaines plus tard, je reçois un luxueux carton d’invitation à une soirée coquine à laquelle est joint un mot manuscrit : « de la part de Coralie et Henri et d’Annie et Jean-Marc ». Il me reste un peu plus d’une semaine avant la date indiquée.

Cependant je suis intriguée par le mot manuscrit qui y est joint, aussi, j’appelle mon amie Annie pour avoir de plus amples explications.

— Cette soirée est un peu comme la réunion de l’ensemble du groupe de coquins et coquines qui fréquentent habituellement les soirées privées organisées par les uns et les autres. Nous serons presque tous là !

— Génial… comme cela, je verrai tout le monde et je pense que je m’amuserai bien !

— J’en suis sûre. Il y a toujours des surprises et des nouveautés. Tu en seras une !

Comme je trouve que je suis un peu trop pâle, je passe chez mon esthéticienne où je fais plusieurs séances de bronzage intégral et le samedi matin c’est la séance d’épilation des sourcils et de coiffeur. Je veux être en beauté pour cette soirée !

Par curiosité, je cherche sur la toile où se trouve ce manoir : Au nord du Loiret, presque en limite avec les Yvelines… je n’aurai pas beaucoup de route à faire. En début de soirée, je m’habille : Les sous-vêtements : un ensemble en dentelle blanche avec un tanga et un soutien-gorge redresse seins. Une jupe noire en lainage qui arrive au-dessus des genoux… avec une veste assortie très échancrée. Un chemisier en soie ivoire dont je laisse les boutons ouverts de manière à laisser apercevoir mon sillon mammaire… et des bottines à haut talon qui arrivent au-dessus de la cheville. Un seul bijou : une chaîne de cou en or portant mon prénom ciselé… et bien évidemment le cavalier du capuchon du clitoris.

Comme les soirées sont encore fraîches, je prends en plus une grande étole en cachemire dans laquelle je m’emmitouflerai en sortant de la voiture. Je n’ai pas à me soucier de l’itinéraire car j’ai entré l’adresse dans le navigateur de ma Mini Cooper et la radio joue des airs de musique classique en fond sonore. Le temps passe vite… je suis même surprise de la rapidité lorsque le navigateur m’indique une allée forestière large et bien entretenue… cent mètres plus loin, cette dernière est bordée de torches qui forment une sorte de guide vers une large esplanade où s’élève le fameux manoir : C’est presque un château. J’ignore combien il peut y avoir de pièces mais toutes sont éclairées, au rez-de-chaussée comme au premier étage. Un vigile accompagné d’un chien m’indique où me garer et m’accompagne jusqu’à l’entrée où il affiche un code chiffré pour ouvrir la porte. J’entre. Une soubrette accorte et court vêtue m’accueille et me guide vers un grand salon éclairé à giorno dans lequel une bonne trentaine de personnes bavardent joyeusement.

Je retrouve mes amis avec joie car je me sentais quelque peu perdue. Je croyais tomber tout de suite dans l’ambiance coquine mais non. Annie me guide vers un couple, certainement le plus âgé de notre assemblée et me présente :

— Jeanne… notre nouvelle amie. Voici Ludovic et Françoise, nos hôtes.

— Enchantée.

— Sois la bienvenue parmi nous.

Pendant qu’Annie échange quelques mots avec Ludovic, Françoise m’entraîne à l’écart :

— Raconte-moi ta sortie avec Annie. Il paraît que tu es tombée sur des mecs bien montés ?

— Oui. Ils étaient plus que bien montés. Pas de bittes de cheval, mais d’une longueur et d’un diamètre appréciables. J’ai même eu droit à une double vaginale !

— Dis donc, tu fais de plus en plus fort !

— Bah… c’est tellement bon. Dire que je m’en suis privée si longtemps mais c’est Annie qui a fait le plus fort !

— Oui, elle m’a raconté qu’elle avait fait un gang bang de folie !

— Oui. Je n’oserais pas en faire autant !

— Moi, j’y suis déjà passée il y a quelques années… mais je ne recommencerais pas !

Soudain le fond musical s’arrête et c’est Ludovic qui prend la parole pour nous souhaiter la bienvenue et nous invite à bien nous amuser :

— Mélangez-vous comme vous voulez. Prenez du plaisir… sans limites que celles que vous voulez bien vous imposer. Deux jeunes amies se joindront à nous vers minuit. Je n’en dis pas plus ! QUE LA FETE COMMENCE !

Je passe volontiers sur le début de la soirée où mon statut de nouvelle venue me vaut trois belles jouissances avec deux mecs et avec Françoise avec qui je fais un 69 d’anthologie agrémenté de pénétrations avec un gode double… qui m’a pris en même temps la chatte et le cul !

Il faudra que j’en achète un… mais avec un système vibratoire. L’heure de minuit approchant, tous les convives qui sont plus ou moins déshabillés (je dirais même moins…) rejoignent le grand salon où des plateaux avec des vivres sont disposés. Françoise notre hôtesse prend la parole au micro :

— Jeanne, Annabelle et Marie-Hélène, rejoignez-moi. Vous êtes les trois nouvelles participantes qui cet hiver ont rejoint notre groupe. Comme c’est la tradition désormais, vous allez participer à notre « Colin Maillart coquin ». Je laisse le soin à celles et ceux qui voudront bien le faire de vous bander les yeux. Ensuite, vous choisirez dans l’assemblée celui ou celle que vous toucherez et devant l’assemblée réunie, vous nous offrirez le spectacle de votre jouissance ! Quant à vous mes amis, ouvrez le cercle !

Sur le coup, je panique un peu… surtout quand je sens que l’on me fait tournoyer sur moi-même. Je sais que nous sommes au milieu du cercle. Je ne voudrais pas que le sort me fasse retrouver quelqu’un qui m’a déjà fait jouir ici ou ailleurs… mais le sort est le sort… il faut accepter. Personne ne parle, la musique diffuse en sourdine un air bien connu. Je me décide enfin après avoir fait quelques pas à l’intérieur du cercle qui est assez vaste.

Les mains en avant, j’avance et je finis par les poser sur les épaules d’une personne. J’aurais très bien pu les poser sur deux personnes voisines. La douceur du grain de peau me fait aussitôt penser que c’est une femme qui est en face de moi. J’en ai confirmation lorsque cette personne prend un de mes mains dans la sienne. C’est bien une femme. J’en suis certaine car je sens un parfum qui ne peut être que celui d’une femme… et en plus celui d’une jeune femme !

Elle a de longues mains fermes dépourvues de bijoux.

Elle me dit avec une voix métallique provoquée par un appareil :

— Venez Jeanne. Ne craignez rien… je vous guide jusqu’au lit rond qui se trouve dans le petit salon.

— Oh oui… j’y suis passée tout à l’heure… c’est une jolie pièce !

— Asseyez-vous au bord du lit mais surtout n’ôtez pas le bandeau. Ce sera le privilège de Ludovic lorsque nous aurons terminé.

— Bon. C’est d’accord. Je suis toute à vous !

— Pas forcément, un ou une participante pourra nous rejoindre.

Quelques instants plus tard, je suis allongée sur ce lit qui ressemble plus à un podium.

À ce moment, je sens deux mains écarter doucement mes genoux et un souffle chaud remonte le long de mes cuisses jusqu’à mon pubis sur lequel il insiste longuement, tantôt fort, tantôt doux. Heureusement j’ai essuyé le sperme que mes deux amants précédents ont déposé auparavant mais à ce moment c’est ma chatte qui suinte. Une langue s’introduit entre mes petites lèvres pour laper ce nectar et remonte plus haut pour titiller mon clitoris et le gober avec douceur, il roule entre des lèvres dures pendant de longues minutes… puis la bouche gobe le cavalier et le fait aller et venir dans sa bouche en jouant de la langue. Waouh ! Cette caresse est si bonne que je sens que je vais partir.

Mais non… je me retiens. C’est si bon que j’ai envie de la rendre à ma partenaire. Soudain, je sens qu’elle change de position en montant près de moi sur le lit où elle me fait allonger entièrement, les cuisses largement ouvertes. En moi-même je pense immédiatement que tout le monde doit voir mon intimité étalée au vu de tous et au plaisir physique, s’ajoute aussitôt une sorte de plaisir cérébral que je ne connaissais pas encore. Je sens les mains qui remontent le long de mon corps, frôlant les hanches, ma taille, jouant quelques instants autour de mon nombril puis agaçant la pointe de mes seins. Puis deux cuisses viennent encadrer ma tête. Un doux parfum vient de cet entrejambe que je ne vois pas mais que je sens tout près de ma bouche.

Lorsque je sens à nouveau le souffle sur ma chatte offerte, je n’ai plus de doutes. Ma partenaire veut que je lui rende ses caresses. Quand je relève ma tête pour monter au niveau du sexe féminin qui est au-dessus de moi, je sens qu’on glisse un coussin sous ma nuque pour que je sois plus à mon aise. Il y a des personnes prévenantes dans notre assemblée ! Ma bouche est à la bonne hauteur et je trouve facilement l’entrée de ce sexe qui s’offre ainsi à ma langue. Je lape le nectar qui s’en écoule et la langue de ma partenaire en fait autant dans ma chatte, enfonçant deux doigts dans le cornet qui s’est déjà ouvert pour deux participants quelque temps plus tôt… et dont l’odeur certainement encore présente ne semble pas rebuter ma partenaire. Je ne veux pas être en reste et je me concentre sur ce que je lui fais. Je laisse courir mes mains sur ses fesses, je remonte le long de la taille jusqu’à la poitrine que j’atteins difficilement.

L’étroitesse des hanches et de la taille, les seins bien formés mais menus me confirment que ma partenaire est bien plus jeune que l’ensemble des femmes présentes !

S’agit-il de l’une des nouvelles participantes qui devaient nous rejoindre après minuit ? Certainement car je ne vois pas quelle autre femme pourrait avoir cet aspect physique !

Ses caresses buccales sont savantes et ses doigts pénètrent au plus profond de ma chatte puis vont frôler l’entrée étroite mais sans insister… juste un effleurement !

Malgré moi, je sens mon illet s’ouvrir… mais je redouble d’attention car si mon plaisir monte (et je sens que je ne vais plus pouvoir le retenir longtemps…) les mouvements de plus en plus désordonnés de ma partenaire montrent que chez elle, le plaisir n’est pas loin !

Soudain je n’en peux plus… un dernier effleurement sur mon anneau étoilé et la prise en bouche de mon clitoris m’envoient au septième ciel dans un rugissement de plaisir. Dans les secondes qui suivent ma partenaire se lâche également et quelques jets de liquide maculent mon visage.

Tiens me dis-je alors : une femme fontaine !

Les applaudissements des voyeurs assemblés pour nous regarder éclatent alors tandis que Ludovic ôte le bandeau qui cachait mes yeux en me disant :

— Jeanne. Je te félicite. Regarde qui le sort a désigné pour toi ?

Oh stupeur !

Oh effroi !

Je reconnais Amandine dans ma partenaire. J’ai fait l’amour avec ma fille !!!

Et cette dernière me regarde avec un grand sourire pour me dire :

— Maman, c’était très bon. Le sort a bien fait les choses. Cela faisait si longtemps que j’avais envie que nous nous retrouvions ainsi toutes les deux. Nous n’avons fait de mal à personne et il me semble que tu as pris beaucoup de plaisir !

— Oh oui. Tes caresses et tes baisers étaient si doux… mais je ne sais pas si j’aurais apprécié de la même manière si cela n’avait pas été dans de telles circonstances.

— Eh bien puisque l’une et l’autre nous avons aimé, plus rien ne nous empêchera de recommencer dans l’intimité de nos chambres respectives.

— Tout à fait d’accord !

— Bien. Maintenant, je me dois de remercier notre hôte. Regarde, il m’attend… son sexe prêt à me pourfendre.

Et Amandine s’éloigne avec Ludovic qui lui a négligemment passé un bras autour le la taille et empaumé une fesse : Ma coquine de fille va s’envoyer en l’air après en avoir fait autant avec sa mère. Décidément, nous formons un beau duo de coquines. A suivre

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