Je vais déjà me décrire, je suis brune, les yeux bleus, 1 m 70 pour 75 kg environ (ouais ouais, j’ai pas une taille de guêpe). J’ai une passion débordante pour les tatouages et disons que ça se voit "un peu".
J’ai toujours eu un rapport très particulier avec le sexe. J’ai commencé très tôt à me toucher, me découvrir, à fantasmer …
Mais ce n’est pas le sujet, passons aux choses sérieuses. Je vais vous confier comment j’ai perdu mon « innocence ».
J’ai 18 ans. Je suis en terminale (que je fais pour la deuxième fois). Et oui, je suis encore vierge. Je collectionne les petits copains, je me suis d’ailleurs fait une sale réputation. Mais bon, malgré leur insistance j’ai toujours refusé qu’ils me touchent. Il manquait LE petit truc (et vous dire quoi, j’en aurait été incapable). Cela ne m’empêche pas de les allumer correctement. J’y prends même un malin plaisir. Me caresser devant eux, leur confier certain de mes fantasmes . Vous comprenez pour quel genre de personne je passais.
J’ai UNE très bonne amie, Laura (20 ans, blonde, yeux bleus, assez rondelette et très mignonne), que je retrouve tous les soirs après le collège, on va se planquer dans un cimetière pour fumer, boire un peu et discuter de tout et rien.
Un soir elle vient accompagnée d’un garçon. Jérémy, grand, brun, les yeux bleus, mince, 25 ans.
C’est son petit copain, elle m’en a souvent parlé mais je ne l’ai jamais rencontré. On a tout de suite bien accroché et sommes devenus de très bons amis. Il est rare que nous ne soyons pas tous les trois à traîner ensemble après les cours.
Enfin ! Les vacances scolaires !! J’ai eu mon BAC ! Alléluia. Mes parents vont me laisser faire un peu ce que je veux.
Je reçois un appel de Laura. Elle m’invite à sa crémaillère, ils s’installent ensemble avec Jérémy.
Pour une question d’organisation on décide avec ma mère que je passerais la nuit là bas.
La soirée est pas mal, potes, musique, alcool etc. …. Jérémy me colle, je vous jure c est pas une impression de gamine dépravée, il me colle vraiment. Bras autour de la taille, main sur la cuisse, se frotte contre moi quand je danse …. Laura me fait une crise de jalousie. Me dit que je n’ai pas à me comporter comme je le fais.
Je prends la mouche. Putain, j’ai rien fait ! Je débarrasse des plats, des verres et vais dans la cuisine. Je commence à faire la vaisselle, il faut que je m’occupe l’esprit.
J’entends des rires, des "salut", une porte qui claque. Des invités doivent être parti mais il y a encore du monde dans le salon.
Je me concentre sur ma vaisselle.
Puis d’un coup je sens quelqu’un se coller contre moi, je sens ce que je pense être une boucle de ceinture dans le bas de mon dos. Puis une main immense viens se coller sur ma bouche. La pression contre mes fesses se fait plus intense. Je me tiens au bord de l’évier et tente de pousser mon assaillant, en vain. Il colle sa bouche contre mon oreille, je sens son haleine effluves de bière. Sa barbe naissante me pique la nuque.
"Tu es juste une petite allumeuse, et ce soir, je vais te baiser"
C’est la voix de Jérémy qui chuchote dans mon oreille. Je ne sais pas ce qui me prend à ce moment là mais j ai failli défaillir. Une chaleur violente vient inonder mon bas ventre (comme quand je fantasme seule dans mon lit, mais en vraiment, vraiment beaucoup plus intense) Et malgré moi je gémis.
Il rit doucement en se frottant à moi et s’en va.
Je reste planté la, comme une conne, le souffle court, les jambes qui tremblent à regarder les verres vides dans l évier.
Je prends mon portable et appelle ma mère, ça ne répond pas. Ils se font une soirée de leur côté. Elle ne pourra pas venir me chercher.
J’ai terriblement peur, et en même temps je suis terriblement excitée.
Je réfléchis, il ne pourra pas me toucher. Laura est là. Et vu la crise de tout à l’heure elle ne le lâchera pas d’une semelle.
La soirée suit son court comme si il ne s’était rien passé, il ne me regarde même pas. Il ne s’approche plus de moi. Et Laura a vraisemblablement oublié ses écarts.
3h du matin, Jérémy a trop bu. Il s’excuse auprès du couple qui est encore avec nous et va dans sa chambre se coucher.
On débarrasse un peu, et le couple finit par partir. Laura m’ouvre le clic clac. Je vais prendre une douche et enfile mon pantalon de pyjama et mon t-shirt. Elle m’attend sur le canapé lit. Elle s’excuse pour son comportement. Elle a bien vu que je n’y étais pour rien. Puis elle va se coucher.
Je me couche aussi. Mais je n’arrive pas à fermer les yeux. Je repense à Jérémy et ce qu’il m’a fait dans la cuisine. Je glisse ma main dans mon pantalon et me caresse doucement.
Sa façon de se coller à moi, ce coté brutal, c’est la base de mes fantasmes. Mon ventre se tord, je me caresse plus vivement. Je sens le plaisir monter à vitesse grand V. Je l’imagine m’arrachant mon jeans. Sa main sur ma nuque me forçant à me pencher sur l’évier. Défaire sa ceinture, descendre sa braguette et ..
La porte de leur chambre s’ouvre.
Je panique, retire ma main et ferme les yeux. J’entends des pas, mais impossible de savoir si c’est Laura ou lui. Elle ou lui va aux toilettes. Elle ou lui se lave les main. Elle ou lui est dans le couloir.
La porte se referme. Je pousse un soupir de soulagement. Me tourne sur le coté et ferme les yeux, mon cur bat si fort que j’ai l impression qu’il va percer ma poitrine.
Soudain, la couverture se soulève. LUI se glisse derrière moi. Je m’apprête à me jeter par terre en hurlant mais ses bras sont vite autour de moi. Un contre mon ventre l’autre sur ma bouche.
« Chuuuuut, elle dort, tu ne voudrais quand même pas qu’elle se réveille »
Mon ventre se tord de plus belle. Je sens son corps nu et chaud contre moi. Je suis partagé entre l’envie de me débattre et celle de me laisser faire.
Je tente de le repousser, plaquant mes mains, mes ongles sur ses cuisses. Mais en même temps je me cambre, collant mes fesses, encore protégées par mon fin pantalon en coton, contre sa queue raide. Il grogne doucement et fait des mouvements de bassin contre moi.
« Ne fais pas de bruit » me dit il
Il relâche ma bouche.
Je chuchote « Tu es cinglé ! Je t’ai rien fais ! Laisse moi tranquille ! Imagine si Laura se lève ! »
Il attrape mes cheveux et me tire le visage vers l’arrière.
« C’est toi qui me cherche depuis plusieurs mois, avec tes regards mielleux et tout ce que me raconte Laura sur toi. Et si tu ne fais pas de bruit elle ne se réveillera pas. »
Je ne comprends pas de quoi il parle. Je ne l’ai jamais vu autrement qu’en simple ami.
« Dis moi que tu n’en a pas envie et je me casse »
Mon esprit bouillonne, sa façon de me toucher, de me parler, le fait de sentir toute cette rage, cette excitation qui émane de lui. Je ne peux et veux pas lui dire non, je ne veux pas non plus lui dire que je suis encore vierge. Je n ai pas l’impression qu’il soit au courant. Puis avec tout ce que les mecs disent sur moi, il doit se dire que je suis une vraie salope.
Je ne dis plus rien, attrape sa main libre et la glisse dans mon pyjama. J’écarte mes cuisses et ses doigts frôlent ma chatte.
« Huuum !! Je le savais ! Tu es déjà trempée »
Je soupire. Je ne pense même plus à mon amie qui est à quelques mètres de nous. Je laisse parler mon corps et mes envies. Je me tourne face à lui. Avec la lumière qui perce les volets, j’arrive à percevoir ces yeux. Ils brillent d’excitation. J’attrape ses cheveux et l’attire vers moi. L’embrasse à pleine bouche me collant fortement contre son corps chaud.
Je le sens soupirer, il serre ses bras dans mon dos les glissant sous mon t-shirt. Il me le retire rapidement, nous fait basculer et s’allonge sur moi. Je pousse mon bassin vers lui. Je sens sa queue frotter mon sexe. C’est encore meilleur que quand je me caresse. Alors je bouge et bouge encore.
« Petite salope ! Tu vas jouir si tu continues »
Il pose sa main sur ma gorge et me plaque contre le matelas dur du clic clac. Je me perds, me noie. Il a total emprise sur moi. Il est tout ce que j’ai jamais rêvé. Mon fantasme.
Il retire de son autre main mon bas de pyjama.
« Les préliminaires, se sera pour une autre fois. Si tu savais depuis combien de temps je rêve de te baiser ! »
Il attrape sa queue et la frotte contre mon sexe dégoulinant. Il se place à l’entrée de mon vagin et se glisse en moi. Je sens mon ventre se déchirer. Heureusement qu’il tient ma gorge. Je crois que j’hurlerai. Il s’enfonce en grognant. Délectant chaque centimètre. Je souffre abominablement.
Il ressort de moi.
« Hummmm ! Tu es serrée comme j aime !!! »
Il se renfonce. Ma chatte est en feu. J’ai mal.
Ça m’excite ! Putain de merde, çà m’excite !!!
Il commence des vas et vient. Plus il me perce, plus je sens cette chaleur monter en moi, mais en beaucoup, beaucoup plus intense.
Il accélère, resserre ses doigts sur ma gorge, pince mes seins avec son autre main.
Je le regarde, lui fait comprendre que je vais jouir.
« Laisse toi aller petite chienne »
Je laisse donc la vague de plaisir m’envahir. Mon corps est secoué de spasmes que je ne peux pas contrôler. Mes cris bloqués par son étranglement.
Je me remet peu à peu alors qu’il continue de me pilonner.
Son visage se crispe. Il sort de moi et me fait assoir, et viole ma bouche avec sa queue. Je subis ses assauts, je me laisse faire puis il ralentit et dans un soupir se déverse au fond de ma bouche. C’est salé, gluant, chaud et surtout délicieux. J’avale son foutre.
Il caresse mes cheveux.
« Toi, tu es à moi »
Il embrasse mon front et s’en va se recoucher près de Laura.
Le lendemain matin, c’est Laura qui me réveille. Elle pose son doigt sur ma bouche me signifiant de ne pas faire de bruit. Elle me tend une tasse de café. Je jette la couverture et m’assois, je grimace. J’ai mal au ventre.
On discute un peu de la soirée mais je suis ailleurs, je repense à ma nuit avec son petit copain. Je n’ai même pas honte . Je suis même ravie.
Je me lève pour aller dans la salle de bain. Punaise j’ai mal au ventre.
Laura chuchote : « Merde Sophie ! »
Je la regarde, elle montre du doigt une tache sombre sur le drap du clic-clac. Une tache de sang.
Je panique. Comment expliquer ça !
Elle hausse les épaule en souriant :
« C’est pas grave ! Moi aussi je reçois souvent mes règles la nuit. J’en parlerais pas à Jérémy, promis. »
Elle me fait un clin d’il et m’indique où son les serviettes hygiénique.
La pauvre . Si elle connaissait l’origine de ce sang .