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De Hervé à Vanessa, chienne soumise – Chapitre 22

De Hervé à Vanessa, chienne soumise - Chapitre 22



Je retourne au bar chancelante. Tout le monde est nu.

— Bon, l’apéro a été agréable, maintenant, l’entrée. Leur dis-je.

Emile est plié de rire. Gégé est interrogatif. Le vieux lui explique que je suis capable de bander et de juter à la demande et de jouir comme une nana. Gégé demande à voir, mais les trois filles sont occupées à se gameller, se brouter le minou. Gégé n’en revient pas. Sa copine lui a toujours refusé le triolisme et d’après ce que l’on voit, elle a l’air d’aimer ça.

— C’est vrai, Vanessa, tu es capable de jouir plusieurs fois ?

— Tu veux vérifier par toi-même ?

— Euh, non, non, je ne suis pas, Euh…

— Pas pédé.

— Oui, je suis comme Émile, un hétéro convaincu.

— Moi je veux bien !!! Dit Maria en gloussant.

— En scelle, Tatoune.

La belle vieille se met à quatre pattes sur la table du salon. Je viens derrière elle lui bouffer sa moule. Domi, esseulée, s’accroupit entre les deux hommes et entame une double fellation. Les trois filles se mangent toujours. Les cris de jouissance me transportent dans un monde de plaisir obscène. Une fois la vieille chatte bien lubrifiée, je monte sur la table et enfourne ma bite dans le conduit accueillant. J’y vais à la hussarde. Maria glousse sous mes coups de queue. Ses seins ballottent, mon ventre claque sur ses fesses. Je tiens le rythme en hurlant mon plaisir.

— OUIII… PUTAIN QUE TU ES BONNE MARIAAAAA… TU ME FAIS BANDER… HAN… HAN… HUMPF…

Maria est prise de spasme et son corps se tend. Une petite claque sur les fesses et elle se cambre. Je jouis, incroyable, sans éjaculer. Je saute de la table et présente mon sexe à sa bouche. Elle me gobe sans les mains, elle m’aspire. Je lui prends la tête et je lui baise la bouche. Je ne peux plus me retenir, je déverse un flot de semence intarissable.

— Haaannnnn… Oui, que c’est bon de jouir dans ta bouche… Putain, prends ça…

Maria, en experte, garde mon jus en bouche, me le montre et déglutit en me regardant, satisfaite. Elle s’essuie les lèvres du revers de la main.

— Merci Vanessa…

— De rien… J’ai soif.

Je retourne au bar. Domi s’acharne sur le phallus de son père, pendant que Gégé la prend en levrette. Je me fais servir une coupette. La délivrance de Gégé arrive, il éjacule sur le dos de Domi qui reçoit l’offrande de son père dans sa bouche. Elle le connaît bien, elle attend le deuxième flot. Il arrive très vite et elle se délecte de ce nectar.

Gégé me regarde avec envie. Je lui dis que dès qu’il sera de nouveau opérationnel, qu’il me suive. Je rejoins les trois donzelles qui se fouinent encore. Je prends Véro par sa tignasse et l’allonge sur le dos.

— Alors p’tite pute, on n’aime pas les femmes et on s’envoie mes deux gonzesses ? Tu vas ramasser. Tu vas jouir comme jamais…

Je la prends par-dessous les fesses et emmanche son cul. La sodomie est violente. Elle ouvre la bouche mais rien ne sort. Elle me regarde avec l’envie de se faire défoncer. J’y vais avec force et entrain. Malika vient se faire reluire son abricot. Théna agace le clito de Véro. Elle ne sait plus où elle est. Elle bouffe le sexe de ma chérie, se fait branler par Théna et sodomiser par une "shemale". On jouit toutes les quatre simultanément. Des râles, des corps tendus, une femme qui se cambre, quel beau spectacle pour notre public. Je lâche les vannes dans le fondement de ma suppliciée. Un torrent de sperme jaillit au plus profond de Véro qui s’évanouit.

Malika, Théna et moi, on se relève péniblement et on rejoint nos petits mateurs.

— Et bé… Dit Gégé.

— Tu vois mon brave Gégé, le seul inconvénient avec ma fille, c’est quand elle est partie, on ne peut plus l’arrêter.

— Oui, bon, pour ce soir je crois que j’ai assez donné. Je vais aller me refaire une beauté.

— Oui et emmènes ma traînée avec toi, je crois qu’elle en a besoin.

— Attends, je vais t’aider. Me dit Maria.

On est cinq sous la douche de la cabine de Maria. On se savonne les unes les autres. Véro est claquée, elle nous dit qu’elle n’a jamais ressenti cela. Elle me dit que je suis un démon, un sacré baiseur. La une claque magistrale retentit.

— Ok pour le démon. Mais un sacré baiseur, non. Une sacrée baiseuse. Dit Malika en se frottant la main. Et tu ne parles plus de ma gonzesse en ces termes. COMPRIS !

— Oui excuse-moi.

Je lui prends les joues en serrant d’une main et lui crache dans la bouche. On éclate tous de rire, sauf Véro. Penaude elle ressort, se sèche et s’en va pour remonter à la plage arrière.

— Ô, tu comptes aller où comme ça ?

Elle reste figée. Maria lui passe un énorme collier de cuir noir. On sort de la douche, on remet les nôtres qui sont plus "classes". La vieille nous dit de remonter, elle nous rejoindra. Véro reste avec elle.

On croise Adélia. Je lui demande ce qu’Emile lui a dit.

— On reste quelques jours de plus. Me répond-elle. Là, il faut que je file dire à Axiana d’aller rechercher Caro et David.

Je remonte pour retrouver Malika en grande discussion avec Émile. Ça a l’air sérieux. Émile me fait signe de m’approcher.

— Vanessa, j’ai un petit problème avec Gégé.

— Ah bon ?

— Il a des goûts un peu spéciaux en matière sexuelle. Il aime mater des scènes… Euh…

— Sado-maso ?

— Oui, et en concertation avec lui, on aimerait que vous dressiez Véronique.

— Qui ça vous ?

— Toi, Malika et Théna. Vous seriez ses Maîtresses.

— A voir si Véro est d’accord.

Je vais voir Gégé et je lui demande si Véro acceptera. Il est sûr de lui, qu’elle ne prend son pied que comme cela, contrainte et soumise.

Justement, Maria et Véro font leur retour. Véro marche derrière Maria qui la tient en laisse. Elle est affublée de son large collier et de bracelets aux poignets et aux chevilles. Maria donne la laisse à Gégé. Véro s’accroupit à ses pieds. Gégé rebande et me regarde avec envie. Maria me glisse dans la main un plug de bonne taille avec un strass noir.

— Écoute-moi bien, dit Gégé à Véro, tu vas rester là aux ordres de Vanessa. Tu vas lui obéir et faire tout ce qu’elle te dira de faire. Je crois que l’idée te plaît, vu que tu mouilles comme une petite chienne.

Je demande à Véro si ce que dit son mec est vrai. Elle me répond par un "Oui, Madame Vanessa" tout timide et honteux. Je prends la laisse en main, je m’assoie sur un tabouret du bar. C’est la première fois de ma vie que je suis dans le rôle qui m’est offert, celui de Maîtresse. Maria voit mon trouble.

— T’inquiètes, Vanessa, je t’aiderai. Me dit-elle. Emmène-la sur la table basse et offre-lui mon cadeau.

Véro me suit à quatre pattes. Sa croupe, son cul m’excite. Je demande à Gégé de m’accompagner. Une fois ma petite chienne installée, je demande à Gégé de lui remplir le cul, ce qu’il fait immédiatement. Véro jouit instantanément.

— Qui t’a dit de jouir ? Fais-je d’un ton sec.

— Han… Han… Qu’il est bon son p’tit cul. Chaud et accueillant.

— Vas-y, bourre-la bien.

Gégé y va de bon cur. Elle se pince les lèvres, sa respiration est calée sur les coups de son mec. Gégé se cabre et jouit, dans un dernier effort, au plus profond du cul de sa nana. Je le remplace et lui donne la laisse. Il a compris, je vais aussi lui déverser mon foutre. Je rentre facilement. Ma petite chienne s’effondre sur ses avant-bras. Je tire sur sa crinière pour la relever. Je me positionne à la hussarde et lui fais sucer le plug. Elle est dans un autre monde puisquelle le prend avec avidité. Je n’ai pas envie que cela dure des plombes, je tire fort sur ses cheveux pour me planter bien au fond. À chaque coup, elle avance sur la table. Je sens mon jus bouillir dans mes couilles.

— Haaaa, ouiiii, salope, prends tout… OUIIIIII.

Malgré le traitement, je lui mets une quantité moindre, mais plus que raisonnable. Aussitôt ma queue sortie, je le remplace par le plug. La voilà bouchonnée, pantelante, couverte de nos sueurs.

— Reste là, pas bouger…

On l’abandonne pour rejoindre les autres. Elle est belle, excitante avec son bouchon dans le cul. On nous sert deux coupes.

— J’en peux plus…

— AHAHAH… Vanessa est vannée. Pouffe Émile.

On rigole de bon cur. Je demande à Émile s’il y a un endroit pour stocker ma chienne du moment, à moins que Gégé ne veuille dormir avec. Il me fait non de la tête. Émile fait signe à une matelote, qui est nue maintenant, lui demande la clé de la cabine arrière. Il me dit que c’est une petite cabine exiguë, mais il y a tout ce qu’il faut pour un minimum de confort. Je suis la matelote qui m’emmène aux tréfonds du yacht. Elle ouvre une porte.

— Voilà, Mademoiselle, c’est là.

— Vanessa et tu me tutoies.

— Bien Vanessa.

— C’est vrai que c’est exigu…

— C’est là où nous enferme Monsieur Émile lorsque l’on a fait une bêtise…

— Et ça arrive souvent ?

— Non, très rarement, la dernière c’était Adélia.

— Et qu’avait-elle fait ?

— Refusé les avances de Monsieur.

— Et depuis elle couche avec lui ???

— Non, non. Depuis il sa rattrape avec Axania et nous… Hihihihi.

Je lève les yeux au ciel, enfin, au plafond. Incorrigible ce p’tit vieux. On remonte rejoindre le petit groupe. Émile et Adélia sont en grande discussion. Je m’approche d’eux deux. Émile me voit et me prend par une fesse. J’ai une réaction de gonzesse à qui on a touché le clito. Tous mes sens sont exacerbés. Émile me sourit et me taquine l’autre. Je le regarde d’un il noir. Il détourne les yeux comme le ferait un enfant pris les mains dans un pot de confiture. Il reprend sa conversation avec Adélia. Conversation brève.

— La ma grande, c’est avec ma fille qu’il faut voir cela.

— De quoi ?

Il s’éloigne en rigolant. Je me tourne vers Adélia.

— Que voulait-il dire ?

— C’est un peu spécial, je te dirais tout en la présence de Malika et Théna. Ça les concerne aussi.

Elle va pour s’en aller, je la retiens par le bras. Je fais signe à mes deux femmes qui rappliquent aussi sec. On va plage avant, on s’assoie toutes les trois, Adélia restant debout. Elle nous regarde toutes les trois d’un air grave.

— Bon, je me lance… Pas évident… Voilà, j’aimerais faire partie de votre groupe de fofolles. Vous aimez comme vous le faites me fait perdre la tête, je n’arrive à rien. L’autre soir quand vous avez fait l’amour vous étiez tellement belles que j’ai failli faire une connerie en entrant dans la zone de mouillage. Enfin, bref. Je vous en veux un peu. Je suis jalouse de vous voir si complices, si proches. J’en ai une boule au ventre à chaque fois que je vous vois. Je ne veux pas laisser mon travail, il me paît, mais faire partie de votre groupe est mon plus grand désir… Voilà, c’est dit…

On reste sans voix. On se regarde toutes les trois, on se sourit. On se lève de concert et on prend Adélia dans nos bras.

— Adélia, tu fais partie de notre groupe. Ne t’inquiète pas, j’ai assez de jus pour vous aimer toutes les trois…

Elles éclatent de rire. Me voilà à la tête de trois nanas avides de sexe.

— Et qu’a dit Émile ? Dit Malika.

— Il s’en fou, qu’il y a bien longtemps qu’il voulait m’adopter… Je suis sans famille. Aux quatre autres furies, il leur a proposé, mais elles ont refusé. Contrairement à moi, elles ont toujours une mère ou un père. Elles prennent leur boulot au sérieux, mais juste un job.

— Vient, on va annoncer la bonne nouvelle à notre p’tit vieux. Dis-je.

On court comme des imbéciles vers le salon. Véro est toujours en position d’attente. Caro et David sont de retour. Émile, Domi, Gégé et Maria sont assis dans un canapé. Je prends la parole.

— Émile, on est décidée à accepter Adélia dans notre clan.

— A la bonne heure. Maria s’occupera de la Véronique. Vous quatre, prenez ma suite, elle est bien trop grande pour moi et elle vous sera bien plus utile. Je prends la vôtre. Allez, je ne veux plus vous voir, débarrassez-moi le plancher… OUST.

On repart en marchant, de peur des réprimandes de Maria. Une fois l’échappée franchie, on court jusqu’à la somptueuse suite d’Emile. On est ébahis par le luxe de cette chambre. Un salon avec télé, une table à manger, un bar, un lit king-size et une salle de bain qui s’apparente à la nôtre. On saute de joie, on s’embrasse, on se jette sur le lit. Mon regard est attiré par une pochette en cuir. Sur cette pochette, une inscription, "Adélia". Je prends cette pochette et je la passe à l’intéressée. Elle refuse de l’ouvrir, elle préfère que ce soit moi. Je l’ouvre et je me mets à larmoyer.

— Je crois que tu es plus dans notre clan, lui dis-je en sortant un collier identique au nôtre.

— Met le moi, dit-elle d’une vois tremblotante, je veux que ce soit vous qui me le mettiez.

À six mains, on lui passe le bijou autour du coup et on l’embrasse.

— Attendez, ce n’est pas fini… Repris-je.

Je sors les deux documents qu’Emile m’a remis ce matin. Adélia fond en larme. Émile l’a adopté, j’ai deux surs et une nièce à aimer, à adorer, à protéger.

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