— On va en haut, il me semble qu’on sera plus tranquille. Dis-je à Gladys.
Le cul de Gladys est à portée de bisous, je ne me gêne pas. Elle s’arrête au milieu de l’escalier de fer. Elle passe une main entre ses fesses et retire son plug, avant de continuer son ascension. Je regarde en bas. Adélia se fait draguer par une femme d’une quarantaine d’année, Théna est sur les genoux d’un mec beaucoup plus vieux qu’elle. Ma Malika s’affaire à prendre et apporter les commandes, tout comme la patronne. Pas de trace de Maria. Je rattrape ma jolie petite grosse.
Le haut, après avoir passé une lourde porte, est plus cosy, plus feutré, la musique y est plus douce, moins forte. Elle me prend par la main et m’entraîne dans la visite des lieux. On pénètre dans un long couloir, des petites alcôves de part et d’autre, des salles plus grandes, des "Glory-Hole", des douches et une salle réservée aux jeux plus poussés. On, plutôt, elle choisit une petite alcôve sans porte, il y a juste un petit rideau de filaments de coton rouge. Elle se retourne et se met à genoux. Je l’imite. Elle me regarde pleine d’incompréhension.
— On va se faire jouir mutuellement avec nos mains. Pas le droit d’utiliser autre chose… Pour l’instant.
Elle me sourit et c’est un jeu de caresses sensuelles, érotique au possible. Elle me parcourt les épaules, j’en fais autant. Je calque mes gestes sur les siens. Elle me prend les seins en mais, je les lui malaxe. Elle ferme les yeux, une petite tape sur ses seins la rappelle à l’ordre.
— Interdit de fermer tes yeux, compris ?
Elle me sourit. Ce manège dur longtemps, trop longtemps. Je la pousse et déséquilibrée, elle se retrouve sur le dos, à même la moquette. Je prends ses jambes sans ménagement et les lui pose sur ses épaules. L’odeur de son sexe me monte au nez. D’un coup, je la pourfends sans autre préliminaire. Elle a le souffle coupé.
— C’est ça que tu voulais, non, je me trompe ?
— Oui… Qu’elle est bonne ta queue, elle me remplit bien… Vas-y, défonce-moi.
Je me démène comme une diablesse dans son con. Elle crie, hurle à me casser les oreilles. Les flocs-flocs sont indécents, pornographiques. On change plusieurs fois de position. Levrette sauvage, cuillère, missionnaire, l’andromaque, la balançoire et j’en passe. J’ai honoré aussi bien sa chatte et son anus. On a fini cette cavalcade dans un long 69 ou elle a reçu une quantité de foutre phénoménale et moi, j’ai été arrosée, douchée par une pluie de cyprine.
Je suis couchée dans son dos.
— Putain, j’ai joui comme une tarée, comment tu fais ? T’est un putain d’étalon… Pardon, maîtresse, tu es… Piouuuu. Je ne suis pas bien vieille, mais tu m’as mis grave.
Je souris. Je lui malaxe les seins, et l’embrasse dans le cou. Ma queue fait des siennes.
— Encore ? Nan, pas possible… Tu es gavée de testostérone ma parole…
— Une douche ?
— Ouais, j’en plus que besoin, tu m’as remplis… Hihihihi.
Douche prise, on redescend. Malika est toujours en train de servir, la patronne est derrière le bar, Adélia est en train de sucer deux mecs pendant qu’une nana est en train de la prendre avec un gode. Quant à Théna, elle est prise en double et suce deux queues. Pas une once de jalousie, pas un pet de dégoût. Au contraire, je suis fière de mes petites femmes. Je commande une "H", Gladys me suit.
— La vache, que ça fait du bien… Dis-je après avoir bu une bonne gorgée.
— Oui, me répond-elle avec les larmes aux yeux.
Je lui demande de monter sur mes genoux. Chose à laquelle elle ne s’attendait pas, mais c’est avec un grand sourire qu’elle escalade le tabouret. Elle se met à califourchon, face à moi. On se bécote. Malika lui lance :
— Ne va pas me l’épuiser, la soirée n’est pas terminée.
— Je crois que je serais naze avant elle… Hihihihihi…
La patronne arrive dans le dos de Malika lui gratifiant d’un bisous sur l’épaule. Ma chérie me regarde les yeux mi-clos. Je lui envoie un baiser, elle me répond. Je lui souris, la patronne lui met une tape sur la fesse…
— Bouge-toi le cul, la table 69 t’attend… Hahahahaha…
Effectivement, une gosse vieille immonde qui est dans cette position avec un jeune éphèbe. Le pauvre, il est dessous…
Des slows, j’invite Gladys, qui en est ravie. Au lieu d’aller sur la piste, je l’entraîne sur un des podiums. On est collée-serrée. Elle a coincé ma bite entre ses cuisses. Elle me tend ses lèvres, je les lui prends. Je lui mange la langue, les lèvres. Elle ferme les yeux, mais se reprend vite. Mon pré-sperme lui inonde son entre-jambe. Elle en rigole. D’autres clients sont venus nous rejoindre. On est quatre couples à danser en hauteur, plusieurs sont restés en bas. Tous ont des mouvements équivoques, certains ont pris leur cavalière, au sens propre du terme, alors je ne me gêne pas, j’embroche ma partenaire qui ne s’attendait pas à ça. Elle forme un "O" avec sa bouche, j’en profite pour lui lâcher un long filet de salive. Elle joue de sa langue et déglutit.
Je suis bien, elle est bien. On danse langoureusement jusqu’à ce que la techno reprend ses droits. Je me déboite et retourne au bar, suivit par mon petit toutou.
À ma surprise, deux bières nous attendent.
— C’est le patron, me dit la serveuse, Vous pourrez renter quand vous voulez… Maria rentrera plus tard… Ou plus tôt.
— Ça va Amour… Malika vient de se lover dans mon dos.
— Très bien, tu es au courant pour Maria ?
— Oui, comme je suis au courant pour Adélia et Théna. Elles ne rentreront pas avec nous. Tu veux que l’on y aille ?
— Tu as fini ton service ? Lui dis-je sur un air faussement ironique, parce qu’il y a quelqu’un qui semble t’attendre.
La patronne nous regarde. Elle est magnifique. Ses cheveux noirs aux reflets bleutés, sa bouche immense aux dents d’une blancheur extrême (cela me ferait un joli collier de perle autour de mon gland), ses seins dont les tétons pointes vers l’inconnu, ses fesses fermes et sa cambrure à damner tous les saints. Presque aussi parfaite que ma blackette.
5h30 du mat. On est dehors, tous les trois, Malika, Gladys et moi. Rhabillées, on marche en zigzaguant lentement vers la voiture. Une voix nous interpelle :
— et, oh, vous n’allez pas me laisser toute seule ?
La patronne, en courant, pêne à nous rejoindre. Elle a décidé de finir la soirée (la matinée) avec nous.
Le retour se fait en silence. Après avoir stationné la voiture au garage, on est tous remonté tant bien que mal au patio. Dernier verre de champagne, dernière embrassade, on s’éteint. Malika et moi dans notre lit… Gladys et la patronne, je ne sais où.
18h00. Le lendemain. J’émerge difficilement. Ma puce dort encore. Je vais piquer une tête dans la piscine, ce qui me fait le plus grand bien. Deux ou trois longueurs plus tard, je sors en m’allume une clope. Je m’installe sur un transat, je suis bien.
Malika émerge une heure plus tard. Je l’apprends par la bombe qu’elle fait pour m’arroser. Elle est morte de rire. Je ne bouge pas, seul "Popol" réagit. Elle nage en m’incitant à la rejoindre, ce que je fais. On se retrouve enlacé, en train de s’embrasser.
— Je t’aime, Malika… JE T’AIME ! !!
Elle ne me répond pas, enfin si, elle m’embrasse passionnément, ce qui n’est pas pour me déplaire… On reste ainsi pendant de longues, trop courtes minutes. Le temps n’a plus d’importance, il semble être suspendu.
— Malika ?
— Oui, mon amour ?
— Veux-tu être ma femme, m’épouser ?
C’est une furie que j’ai dans les bras.
— Oui, oui, OUIIII. On téléphone à Émile pour le lui dire.
Je n’ai pas le temps de sortir de l’eau, qu’elle a déjà composé le numéro de "Papoune". Elle attend, attend. Elle s’énerve.
— Il n’est jamais là quand j’ai besoin de lui, dit-elle, il m’énerve.
— Je ne suis jamais là pourquoi ? Nous interroge une voix familière.
— PAPOUNE ! !! ! Oui, Oui, tu es là ?
Émile, toujours habillé, vient de faire son apparition, apparition inattendue.
— Qui veux-tu que ce soit ?
— Elle m’a demandé en mariage, dit-elle en sortant de l’eau et l’enserrant dans ses bras… Tu te rends compte, elle m’a demandé en mariage… Papoune, je peux ?
Je regarde le couple, il est vrai, avec larme à l’il.
— Oui ma chérie, tu peux lui dire…
Il n’a pas le temps de finir sa phrase qu’elle ressaute dans l’eau pour s’accrocher à mon cou.
— Oui, je le veux, je le désire, je T’AIME VANESSA, JE T’AIME…
Le vieux Émile se tape le front et cri :
— MARIA, MARIA, ON A DES NOCES A PRÉPARER… Mais où est-elle, bon sang de bonsoir, jamais là quand j’ai besoin d’elle (menteur).
Il repart avec sa démarche débonnaire à la recherche de sa sur, qu’il ne verra pas apparaître avant 21 h 00. Fraîche et pimpante, Maria vient nous féliciter. Je la questionne sur sa nuit.
— Chuuuuuutttttt??? ? Me répond-elle en rigolant.
— Gladys et la patronne ?
— Toujours dans ma chambre… Elles récupèrent… Hihihihi.
22 h 00, Émile est comme un gosse, il jubile, heureux pour Malika et moi. On est tous à table, sauf Théna et Adélia que l’on n’a pas revu depuis notre départ du club. On mange, on boit. Émile a annoncé la nouvelle au reste de la famille. Ils arrivent d’ici quinze jours, obligations professionnelles obliges. Les deux amantes d’un soir émergent. Vu leur tête, elles n’ont pas dû dormir beaucoup. Émile les renvoie prendre une douche, ordre qui ne demande pas à être contesté.
Il nous interroge sur la petite nouvelle. Je lui explique. Il éclate de rire.
— Bien, Vanessa, bien… Je vois que te fais aux murs de ta famille. J’en suis heureux.
Théna et Adélia arrivent, resplendissantes. Elles font la bise à "Papoune" qui leur annonce la nouvelle. On dirait deux jeunes pucelles. Elles nous sautent dessus et nous embrassent.
Maria va se coucher, elle entraîne Gladys avec elle. La pauvre. Émile y va peu de temps après, mais au lieu de se diriger vers sa chambre, c’est dans celle de Maria qu’il rentre. On rigole. Théna et Adélia sont épuisées, elles vont se coucher dans notre ancienne chambre, nous laissant seule. Après un gros câlin, la patronne, nous demande où elle va se coucher. Malika lui prend la main droite, moi la gauche…
