De Julien à Julie 15
Avis aux lecteurs:
À titre d’expérimentation, dans cet épisode, je mets entre crochets [] le numéro du chapitre évoquant un personnage ou un évènement. Cela pour permettre une meilleure compréhension du contexte tout en évitant d’avoir à relire les quatorze chapitres précédents celui-ci, ce qui peut être rébarbatif.
Faites moi un retour sur cette initiative à travers vos commentaires (en positif ou négatif).
En vous en remerciant par avance-
Yphos
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Au réveil, ma sur se blottit contre ma poitrine et je suis heureux de sa présence auprès de moi [14]. Toutefois, il me faut me préparer pour aller à la fac.
J’ai une journée chargée ! Outre les cours, je dois aller chez maman, et ce soir Carole [10] doit venir passer la soirée ici.
Lors du petit déjeuner que nous prenons ensemble, j’expose mon emploi du temps à ma sur. Et évoque la visite de la prof qui s’est attachée à moi.
Elle me demande :
— Veux-tu que je vous laisse ? Mais Je ne sais pas où aller !
— Non Mathilde ! Priorité à notre famille ! Je vais la prévenir, on verra ce qu’elle décide de faire.
— A propos de la famille comme tu le dis, j’ai repensé au comportement curieux que maman avait ces derniers jours. Elle semblait désolée à mon encontre, sans que je ne sache pourquoi ! Quant à Arnaud, il semblait me fuir. Je commence à comprendre maintenant !
— Ne t’inquiètes pas soeurette, je vais en savoir plus tout à l’heure. Ce que je te demande, c’est de ne pas les contacter. Ni l’un, ni l’autre ! Tu me le promets ?
— Promis ! Tu reviens à quelle heure ?
— Probablement vers seize heure ! Veux-tu que je te ramène quelque chose de la maison ? Des fringues ou autre chose ?
— Je Je ne sais pas, pourrais-je t’emprunter quelques affaires, éventuellement?
— Ma garde robe t’est ouverte !
Il est vrai que dans le passé, c’est moi qui lui avais chipé des sous vêtements [1] en enfilant ses bas. Quel moment de honte j’avais pu éprouver quand elle m’avait surprise. Heureusement que, désormais, j’ai appris à assumer ma féminité!
J’ajoute :
— Fais comme chez toi ! Tu peux aussi m’avancer dans le ménage si tu veux !
Je suis heureuse de la quitter sur son sourire et du long baiser qui s’en suit.
Arrivée à proximité de la fac, je m’assieds sur un banc et appelle Carole au téléphone. Elle me répond brièvement :
— Attends, je suis en train de me garer ! Oh, mais je t’aperçois ! Comme tu es belle ma chérie !
— C’est gentil de me dire ça ! Reste dans ta voiture le temps que nous discutions. Il ne faut pas que l’on nous voie trop proches l’une de l’autre. Ah ! Ça y est ! Je te vois, mais restons discrètes !
Nous n’échangeons pas de signe, juste des regards furtifs, pouvant passer pour être dus au hasard..
J’enchaîne :
— On doit se voir ce soir, mais ma sur est à la maison, je t’expliquerai
— Je suis déçue ! Je voulais tant passer la soirée avec toi !
— Tu sais, Mathilde est très discrète et très tolérante, donc je maintiens mon invitation !
— Tu Tu es sûre que
— Je préférais t’éviter d’être surprise par sa présence, mais j’escompte bien te voir ce soir et prends un pyjama !
— C’est promis ! Je viendrai !
Je la vois sauter de joie dans sa voiture. Et nous raccrochons.
Je laisse Carole prendre de l’avance et, en la suivant à distance, j’apprécie de regarder les ondulations de son fessier. Elle s’affaire à tapoter sur son téléphone et je reçois un message qui me fait sortir de ma fascination. J’y lis :
« Ton regard me brûle les fesses ! »
Sans s’être retournée, elle a senti que je l’observais ! Je réponds instantanément :
« Le regard ne va pas suffire ! À ce soir pour la suite ! »
« Humm ! Je suis impatiente ! Je t’aime, petite impudente ! »
Lors du cours d’économie, mon baiseur de prof [12] sait rester naturel et ne manifeste en rien son intérêt pour moi. Je lui en sais gré ! Là encore, notre relation doit rester discrète.
Chez Maman
Après mon repas au restaurant universitaire, j’appelle ma mère pour lui demander si je peux passer la voir. Elle en est enchantée et m’attend même avec impatience.
Quand j’arrive, elle m’accueille à bras ouverts et me propose un thé.
Nous devisons quelques minutes de la pluie et du beau temps et je lui expose le but de ma visite. Ma sur Mathilde s’est réfugiée chez moi après avoir découvert que son copain couchait avec elle [14].
Elle réplique :
— Oh si tu savais comme ça m’embête qu’elle nous aie vus, mais je vais tout t’expliquer
— Attends maman ! Je souhaite que Mathilde puisse entendre ta version que je pourrais déformer involontairement. Je vais enregistrer ce que tu dis !
Elle renâcle et j’insiste en dédramatisant. Je pose mon appareil sur la table de salon et lui offre sa tasse de thé pour détourner son attention.
Maman se lâche :
— Je vais tout expliquer depuis le début, moi aussi je veux y voir clair dans cette histoire, voilà ce qui s’est passé :
« Mathilde avait invité Arnaud à la maison, il y a une quinzaine de jours. J’ai trouvé charmant qu’il vienne avec un bouquet de fleurs à mon attention. A plusieurs reprises, j’ai senti qu’il m’observait en coin, mais n’y ai pas attaché d’importance.
Lors du repas, à de nombreuses reprises, il m’a effleuré les doigts quand je lui passais les plats. Son pied a touché le mien plusieurs fois, bien que je me reculais.
Quand il est parti, il m’a effleuré l’épaule et ses bises étaient très proches de mes lèvres.
Ça m’a troublée, mais je me suis reprise. Je n’ai pas souhaité contrarier Mathilde en évoquant des contacts qui, après tout, étaient peut-être fortuits et involontaires. »
Maman reprends sa respiration et termine de boire sa tasse, que je dépose sur la table.
Elle enchaîne :
« Quelques jours plus tard, un après-midi, il est venu à la maison. Comme je m’interrogeais sur sa présence, il m’a affirmé avoir rompu avec ta sur et qu’il avait besoin de récupérer un pull qu’il avait oublié, en même temps il rendait un disque qu’il avait emprunté à Mathilde.
J’étais désolée de cette rupture et un peu vexée que Mathilde ne m’ait rien dit.
Il est vrai qu’elle sait être secrète par moment et je ne souhaitais pas m’immiscer dans sa vie privée. Elle m’en parlerait quand elle en aurait envie, pensais-je !
J’ai fait entrer ce garçon et suis allée chercher ce fameux pull. Par courtoisie, je lui ai offert à boire, il a choisi un soda et je me suis fait un thé. Nous avons conversé et il m’a réaffirmé avoir rompu avec ta sur pour incompatibilité de caractère. En restant vague.
Puis, il a changé de sujet pour me complimenter. Que j’étais une belle femme ! Son baratin me flattait, bien qu’il paraissait sincère et désintéressé, de prime abord.
Au moment de se quitter, il a posé ses mains sur mes bras et j’ai frémi d’émotion. Il a fait sa première bise sur la commissure de mes lèvres et la seconde carrément sur mes lèvres. Comme je n’ai pas su réagir à cette inconvenance. Il m’a enlacé franchement pour m’embrasser à pleine bouche.
Je l’ai laissé faire !
Ça m’a chavirée ! Je ne savais plus ce que c’était ! Depuis votre père je n’ai pas connu d’autres hommes. Et même avec lui, ça faisait longtemps qu’il ne me touchait plus !
Pour en revenir à Arnaud, ma raison exigeait que je le repousse, mais mes sens souhaitaient tout le contraire.
Je me suis abandonnée à lui et quand il m’a allongée sur le tapis du salon, je l’ai laissé venir sur moi ! J’ai re-découvert des désirs oubliés et je me suis sentie prise dans un tourbillon de plaisir.
Ce jeune homme me faisait l’amour ! J’avais ce sexe qui me pénétrait en cadence, j’accompagnais les mouvements de son corps et ondulais le mien en rythme, jusqu’à l’extase.
Ça faisait une éternité que je n’avais éprouvé de plaisir charnel et là, je venais de le faire avec l’ex de ma fille.
J’étais partagée entre la honte et le plaisir. Dans tous les cas, il était hors de question que j’en parle à quiconque et surtout pas à Mathilde !
Il est revenu le lendemain, puis les autres jours pour m’aimer à chaque fois !
Je tiens à préciser qu’il n’y avait pas de sentiment entre nous, juste du sexe ! »
Maman réalise qu’elle en a dit plus qu’elle ne le souhaitait et me fait signe d’interrompre l’enregistrement.
Je n’en fais rien et lui affirme :
— Ce gars t’a menti maman ! Il n’avait pas quitté Mathilde, ce pourri a juste voulu coucher avec toi !
— Si Si ce que tu dis est vrai, alors ta sur avait raison de me traiter de salope !
Maman se penche alors vers le micro de mon téléphone resté sur la table et implore :
— Oh Mathilde, pardonne-moi ! Je ne savais pas que vous étiez encore ensemble. Si je ne voulais pas te parler de cette union, c’était pour éviter de te blesser. Je t’assure que c’est un malentendu !
Maman se met à sangloter et j’interromps l’enregistrement, avant de la consoler dans mes bras. Je lui propose un mouchoir pour qu’elle sèche ses larmes, à la suite de quoi, elle dit :
— C’est un peu de ta faute ! Ça m’a déculpabilisé quand j’ai pris conscience que toi aussi tu couchais avec quelqu’un de plus âgé [3]. Alors pourquoi n’aurais-je pas le droit d’en faire autant avec ce jeune garçon.
— Là, maman, tu triches ! Je ne t’ai rien suggéré ! Même si c’est vrai que tu es une belle femme, qui mérite d’être aimée. Toutefois, si je peux me permettre, tu devrais arranger ta tenue. Veux-tu que je m’en occupe ?
Maman reste bouche bée et je l’emmène par la main devant sa coiffeuse. Je fais avec ce que j’ai dans mon sac à main et dans son nécessaire à maquillage pour redonner à son visage l’éclat qu’il mérite. J’ajuste sa coiffure en lui faisant une tresse sur le coté. Elle se laisse faire comme une poupée et finit par dire :
— Tu as raté ta vocation ! Tu aurais dû être esthéticienne !
— Merci ! Mais ce n’est pas suffisant ! Cette robe est austère et, en dessous, ça ne doit pas être mieux ! Fais voir !
Je soulève un pan de sa jupe et découvre une culotte assez haute en coton. Ça fait « mamie », assurément !
D’un geste réflexe, elle rabat sa robe et dit :
— Mais enfin, Jul ! Oh pardonne-moi Julie !
— Ce n’est rien ! Nous sommes entre femmes, inutile d’être si pudique. Regardons ce que tu as dans l’armoire !
Alors qu’elle s’assied sur le rebord du lit, je fouille dans les meubles. Je déniche deux belles robes, ainsi que des sous-vêtements, que j’aimais porter en cachette il y a quelques temps [1]. C’est donc sans hasard que je suis allée piocher dans ses affaires.
— Oh mais je ne vais pas remettre ça ! Je ne rentre plus dedans et puis c’est trop court ! Quant à ce porte-jarretelles, je suis sûre que je n’arriverai même pas à le mettre.
— Essaie ! Pendant que tu te changes, je vais chercher les souliers qu’il te faut.
— Tu crois vraiment que c’est utile de faire tout ça ?
— Je veux que tu sois belle ! Alors faisons cet essai, tu te changeras plus tard si tu te sens mal à l’aise
Je l’abandonne temporairement. Malheureusement, je mets plus de temps que prévu pour explorer les boîtes à chaussures et finis par trouver une paire d’escarpins à haut talons pouvant convenir. Quand je reviens, maman est de dos, en train de fixer ses jarretelles, elle sursaute en me voyant entrer dans sa chambre et s’excuse finalement de ce mouvement incontrôlé.
Pour la première fois, je vois la croupe de ma mère. Sa culotte diaphane laisse transparaître sa raie fessière et cela m’émeut. Son soutien-gorge brodé dessine admirablement sa poitrine. Quand elle se tourne vers moi en enfilant une robe, je reste fascinée par l’importance de sa toison, peu dissimulée par sa culotte. A nouveau, je suis troublée !
— Alors comment me trouves-tu ? Me demande-t-elle.
— Parfaite ! Mets ces souliers pour compléter
Elle pose une main sur mon épaule pour prendre appui et enfile la paire de souliers que je lui ai proposée.
Je prends du recul pour admirer le résultat et siffle d’admiration !
— Tu es ravissante !
— Tu es gentille, mais je n’oserai jamais sortir comme ça !
— Tu es sexy à souhait ! Tous les hommes vont tomber à tes pieds !
— Je ne sais pas si c’est ce que je souhaite. Un seul homme me suffirait !
— Essaie l’autre robe maintenant, pour voir si elle te convient mieux
Elle se change, et cette robe dos nu ne s’accorde pas avec son soutien gorge apparent. Je lui en fais la remarque, en le lui dégrafant. Elle finit de l’enlever et réajuste sa poitrine dans la robe.
En distinguant furtivement ses auréoles ornées de longs tétons drus, un fort désir m’étreint.
Elle se mire dans la glace, en me remerciant de lui consacrer autant d’attention. Je remarque que son ton est plus enjoué et qu’elle prend plaisir à ces essayages, entre « copines ».
Pris dans un élan de tendresse, je m’approche d’elle, pose mes mains sur ses hanches, et dépose une bise sur sa nuque.
Elle tourne un peu la tête pour me tendre sa joue, mais c’est son cou que je bise. Elle sent bon et j’ai plaisir à la bécoter.
Très maternellement, elle accepte ce geste d’affection, que je fais durer en mordillant son lobe d’oreille. Elle me laisse faire en penchant la tête sur le coté J’ai passé mes bras autour de sa taille pour l’enlacer affectueusement. Elle se love contre moi et m’écrase un peu la poitrine.
Quand sa fesse droite touche ma bosse, elle n’ignore pas que je bande. Je crois même déceler des petites pressions de son fessier sur mon gland.
Elle a fermé les yeux et se laisse bercer dans mes bras tandis que je lui mordille la nuque. Les pressions sur mon sexe sont désormais insistantes et nos respirations deviennent haletantes.
Elle geint :
— Oh non ! Il ne faut pas ! Ce n’est pas bien !
Ses gestes sont tout différents de ses mots. Elle ondule très significativement ses fesses pour écraser et faire rouler mon sexe dans sa raie.
Elle me laisse faire quand je fais glisser sa robe au sol et me saisis de ses seins pour les pétrir. Elle garde les yeux fermés et insinue sa main derrière elle, entre nous, pour s’emparer de mon sexe qu’elle malaxe à travers ma jupe.
Très vite elle fouille ma culotte et extirpe mon membre qu’elle manipule avec précision. Elle nous fait avancer à petits pas vers la commode proche où elle prend appui d’une main, tout en se penchant vers l’avant.
Elle écarte sa culotte d’un doigt et guide mon bout à l’entrée de sa grotte.
Le moment est si intense que j’en oublie tout scrupule !
Je pénètre ma mère dans un état de surexcitation. J’ai l’impression de faire l’amour pour la première fois !
Je me reprends vite, pour prêter plus d’attention à la satisfaire avec douceur, mais elle appuie sur mes fesses pour imposer un rythme plus vif. Ce qu’elle préfère, ce sont plutôt des grands coups de sabre (comme moi, d’ailleurs !).
Ce que j’exécute ! J’y vais fort en appuyant significativement mes coups de reins à la soulever du sol.
Malencontreusement, dans un mouvement plus ample, je sors d’elle et quand je veux retrouver le bon chemin. Elle glisse sa main et me guide vers son anus.
J’ai une seconde d’hésitation et la vois s’écarter les fesses. Elle souffle :
— Oui ! Vas-y ! Viens !
Malgré l’abondance de la cyprine qui recouvre ma queue, la pénétration s’avère difficile.
Elle râle :
— Aïe ! Aïe ! Oh oui c’est bon ! Aïe ! Oui, vas-y !
Son sphincter m’enserre la hampe et j’hésite à m’enfoncer plus. C’est elle qui finit par s’empaler à fond sur mon dard.
Encore une fois, je vais trop lentement à son goût. De fait, je décide d’adopter un rythme plus brutal pour la saillir ! Elle reçoit mes coups de butoir en râlant plaisir et soupire de bonheur à chaque coup de rein.
Je change alors de stratégie en imposant des séquences différentes, tantôt rapides, tantôt lentes et profondes, tout en lui caressant le clitoris.
Mais, c’est quand je redeviens bestial qu’elle s’envole.
Ses jambes d’abord, puis tous ses membres sont pris de tremblements, avant qu’elle ne se mette à hurler son orgasme.
Elle sait bien que je me suis vidée en elle lors de ce moment d’extase mutuel.
— Oh maman ! Maman !!!
Je l’enserre avec tendresse quand elle me dit d’un ton contrarié :
— Tu vois bien que je suis une salope, je couche même avec mon fils !
— D’abord, tu n’es pas ce que tu prétends être ! Et puis, je ne suis plus ton fils.
Par contre Je veux bien être ton amante !
— Oh Julie, ce n’est pas raisonnable !
— Tu n’as pas aimé, nous deux, maintenant ?
— Oh si ! Si ! Bien plus qu’avec « L’autre »
— Et puis, en plus, ça reste en famille ! Dis-je en rigolant.
— Mais à ce propos Et ta sur ? Et Sophie [1] ? Et Patrick [2], Que vont-ils en penser ? Comment va-t-on faire ?
— Tout le monde acceptera ! Ne t’inquiètes pas pour ça !
J’ajoute sur un ton plaisantin :
— Dame Françoise, me permettez-vous de vous nettoyer le derrière? Mais avant, puis-je solliciter un baiser ?
— Assurément, jeune fille, mais avant le baiser, veuillez commencer par me nettoyer ! Ajoute-t-elle en riant
Ma mère n’est plus celle que j’ai connue jusqu’alors ! Elle se métamorphose en femme désireuse de plaisir charnel avec même, un soupçon de perversité en souhaitant ce baiser à la sauce qui suinte de son anus ! Encore hier, je ne m’en serais pas douté qu’elle pût être aussi désireuse de sexe !
Au moment de la quitter elle me re-propose de ne rien révéler à ma sur. Je lui rétorque
— Plus de secrets entre nous ! Ça crée trop de problèmes ! N’est-ce pas ?
— D’accord, fais comme tu veux ! Et Tu reviendras vite ? Pour enfin Tu comprends ?
— Compte sur moi ! Nous avons beaucoup de choses à découvrir ensemble !
Je l’étreins avec beaucoup de passion avant de la quitter à regret.