Le bateau
La première chose que je fis en arrivant à Casablanca fut de reprendre contact avec David.
Je l’avais eu au téléphone et je lui avais dit que j’étais impatient de le revoir.
En rigolant David m’avait demandé ’C’est moi que tu veux revoir.
– Bien sur, j’ai aussi très envie de coucher avec toi, tu m’as
beaucoup manqué
– Tu m’as été fidèle ?
– Je n’ai pas mené une vie de nonne.
– AH AH AH ! ça je m’en doutais petite salope.
– Oui mais j’ai très envie de revoir ta bite.
– D’accord, voilà ce que je te propose, samedi on se fait une
petite sortie en bateau avec un copain, tu peux venir.
– Mais ton copain..
– Ne t’inquiète pas, ce n’est pas ma gonzesse, c’est un copain.
– Mais ça ne va pas le gêner.
– Penses-tu, lui c’est un amoureux de la mer, on sera tranquille.
– D’accord alors à samedi’.
Comme convenu ce samedi là je retrouvai David au port où son père possédait un voilier.
C’était la première fois que je montai à bord d’un voilier.
L’ami de David prénommé Marius avait lui un peu d’expérience de barreur, j’étais le novice.
Nous avons chargé quelques provisions pour le week-end puis David nous a demandé de vérifier les équipements.
Il m’avait prévenu à bord le capitaine est le maître, J’étais donc le mousse et Marius le second.
Nous avons largué les amarres du port de Mohammedia.
Nous sommes sortis du port au moteur puis nous avons hisser la voile.
Après quelques manoeuvres, nous nous sommes tous les trois assis sur le pont.
Le voilier surfait sur les vagues et le vent et l’air marin nous fouettaient le visage.
David barrait et nous plaisantions de tout et de rien.
Vers vingt heures, David a décidé qu’il était l’heure de manger, je savais ce que ça voulait dire et je descendis à la cabine pour préparer un repas chaud.
Au bout de quelques minutes David est descendu et m’a demandé ’Tu
apprécie la sortie.
– Oui c’est super, je ne pensais pas que ce serait si agréable.
– Tu vois je te l’avais dit, rien ne vaut que de se sentir
fouetter par les embruns.
– C’est vrai tu as raison’.
David a retiré son tee-shirt mouillé par l’eau de mer et s’est allongé sur la banquette.
Après avoir fumé une cigarette il m’a demandé ’Alors moussaillon
qu’est-ce qu’on va manger ce soir ?
– Ce sera une salade de thon tomates et des raviolis capitaine.
– Bien mais pour l’instant laisse les fourneaux, le roulis me
fait bander, viens me sucer, j’ai envie de te baiser.
– Mais comme ça..
– Comment comme ça ?
– Il y a Marius.
– C’est pas un problème.
– A vos ordres capitaine’.
Je me suis déshabillé et l’ai rejoint sur la banquette, nous nous sommes installés en soixante neuf, moi dessus.
Jetant un coup d’oeil j’ai vu Marius qui nous observait de son poste.
David commença à s’occuper de mon cul, pendant que je léchai sa queue.
Il me rentra un doigt, me branla l’anus, me saliva avec sa langue aussi profond qu’il pouvait puis me pénétra de deux doigts.
Depuis que nous baisons ensemble David a l’habitude de me préparer la rondelle, il sait que je vais m’ouvrir sous ses caresses et que je mouille du cul.
Ce qui ne tarda pas, il fait maintenant aller et venir trois de ses doigts dans mon cul et je me mis à gémir comme une pute.
Je me sentis complètement partir et tout en ondulant je dis à mon amant ’Baise-moi, j’ai envie de ton gros gourdin.
– Tu vas l’avoir salope, maintenant que tu as le fion bien
ouvert, je vais t’enculer comme une salope comme toi le mérite.
– Oui je t’en prie baise-moi, je suis en feu.
– Mets-toi debout et appuie toi sur le mat qui traverse la
cabine’.
J’ai pris la position demandée tout en cambrant mes reins au maximum et en écartant les cuisses.
Je sentis le gland turgescent de mon homme glisser dans le sillon des mes fesses bouillantes et se positionner à l’entrée de mon tunnel intime.
D’un coup de reins qui me fit pousser un petit cri de douleur mon mec me déflora le trou de balle puis s’enfonça en moi jusqu’à la garde profondément bien penché en avant.
Quand je sentis les poils follets du pubis de David contre ma croupe frémissante je sus qu’il était entièrement en moi.
Peu à peu mon sphincter se décontracta et le mal fit place à une douce langueur.
Je rejetai la tête en arrière et murmurai à mon amant ’Bouge,
baise-moi fais-moi du bien’.
En tournant la tête vers l’extérieur je vis Marius qui nous parlait, mais je n’entendis rien, ses phrases étaient couvertes par le bruit des vagues et le vent dans les voiles.
Il se tenait la main sur son paquet, et mimait des coups de reins.
J’étais sûr que le capitaine m’humiliait devant son second, et qu’il me prêterait à lui, j’avoue que cette pensée m’a électrisé et que si cela se produisait je serais je suis très consentant.
Pendant ce temps, je sentais la trique de mon homme me labourer les reins, ses coups étaient puissants et rythmés, je me sentais vraiment rempli par sa grosse queue.
Je fermai les yeux et me laissai aller, tout en tendant encore plus mes miches brûlantes pour venir au devant de ses coups de bite redoublés.
Mon mec avait posé ses mains sur ma poitrine et me pinçait les tétons.
Une onde de plaisir m’envahit, je sentis aux assauts puissants que David était prêt de jouir.
Dans mon canal maintenant bien dilaté le gros membre coulissait sans gène aucune et je commençai à haleter sentant monter en moi un fabuleux bonheur et je serrai mon muscle autour de la queue, pour mieux l’emprisonner.
Soudain je sentis mon amant se tendre et exploser, il se colla à moi pour m’envoyer sa semence au plus profond des intestins.
Je sentis les soubresauts du phallus, mon homme se retira et son jus coula entre mes fesses.
Je n’avais pas pris mon plaisir, cette courte enculade m’avait mis en feu et je me sentis frustré.
Je dis à mon mec ’Tu ne m’as pas fait jouir.
– Reste comme ça, je t’envoie Marius’.
Marius était un martiniquais, c’était la première fois que je le rencontrais.
Quand David eut pris sa place, il descendis dans la cabine et se déshabilla, sa pine était déjà tendue, elle me paraissait énorme, par rapport à David qui pourtant est bien doté, je crois bien que je n’avais encore jamais vu un pénis aussi énorme.
Je lui dis ’il faut un port d’arme pour ça !’
J’attrapai la matraque et commençai à la branler, il avait un gland d’au moins sept centimètres de large.
Marius me roula un patin qui me laissa pantelant, quand il me libéra je lui dis ’Je ne crois pas que tu puisses me sodomiser
avec ça.
– Pourquoi ?
– Mais ta bite est énorme, je ne suis pas sur de pouvoir prendre
un tel morceau dans le cul sans que tu me déchires.
– Arrête, David m’a dit qu’un jour il a réussi à te faire une
double pénétration avec des godes, je sais que j’ai une grosse
bite mais quand même elle n’a pas les dimensions de deux godes
ou alors c’était des petits et ce n’est pas ce que m’a dit
David.
– N’importe on va quand même essayer car je suis en feu et j’ai
énormément envie de me faire baiser
– Alors allons-y.
– Je t’en prie fais doucement.
– ne t’inquiète pas, je n’ai pas envie de te démolir le cul’.
Marius fut très tendre, il me caressa, il m’embrassa, nous nous allongeâmes sur la banquette, nous nous frottions l’un sur l’autre.
Nos corps se pressent et nos caresses deviennent plus précises.
Je pris la verge de mon amant dans ma bouche, je n’arrivai pas à tout prendre, je le léchai tout le long de sa fabuleuse hampe.
Mon homme me caressa mes fesses, mon cul ouvert accueillit ses gros doigts, la semence de David servant de lubrifiant, il fit tourner ses doigts à l’intérieur tout en les écartant.
Quand il pensa que mon orifice était prêt, mon mec me fit mettre à quatre pattes.
Il présenta son dard à l’entrée de ma grotte, il ne me forçait pas, il frottait son gland entre mes fesses me laissant m’habituer à ce magnifique calibre.
Bien que je sois bien ouvert, je sentis un sentiment de panique m’envahir et je tentai de me dérober mais me maintenant solidement par les hanches Marius me fit reculer pour que je m’empale sur sa verge raide.
Je me décontractai et forçai mon sphincter à s’écarter, le bout durci de mon amant me pénétra, mais la douleur fut trop vive.
Je poussais un hurlement de souffrance et me retirais, son gland était trop gros, mon homme fut déçu mais n’insista pas.
Devant cette gentillesse, et surtout parce que j’avais très envie de prendre cette pine dans le derrière, je dis à mon mec ’Nous
allons faire un essai dans une autre position, tu vas
t’allonger sur le dos, et je vais me mettre à califourchon.
– D’accord’.
Marius se mit comme je lui avais dit, je mis mes jambes de chaque côtés de son corps et m’accroupis sur lui.
De cette manière je pouvais doser la pénétration dans mon rectum, et m’écarter le cul.
Son gland rentra millimètre par millimètre, je m’arrêtai chaque fois que la douleur devenait insoutenable, la pénétration fut douloureuse mais supportable.
Afin de m’habituer à la monstrueuse présence qui m’obstrue le fondement, je me mis à monter et descendre pour m’assouplir la pastille.
Plusieurs fois je m’enculai et me déculai puis la douleur s’estompant je laissai l’extraordinaire tige de mon amant me glisser dans le ventre.
Quand je sentis les poils follets du pubis de mon homme je sus que j’étais complètement empalé
Je me penchai en avant et embrassai mon mec.
Afin de laisser mon trou du cul se dilater plus encore nous sommes restés quelques minutes sans bouger.
Au bout de quelques instants je sentis mon anus céder complètement et par petits mouvements circulaires, je me mis à aller et venir sur le colossal pieu de chair de Marius.
Le plaisir un instant retombé se remit à me gagner, mon anneau totalement détendu, je me mis à monter et descendre sur l’énorme bite.
Je me mis à onduler du bassin d’avant en arrière pour me dilater encore plus.
J’avais le cul maintenant entièrement éclaté, et je voyais que mon partenaire aima la façon avec laquelle je m’empalais sur son superbe membre dressé.
Il se mit à me sucer les tétons et à me caresser les fesses.
Chaque fois que je m’enfilais sur le splendide sexe raide, je me sentais partir un peu plus.
Seul pour moi comptait le gigantesque phallus qui me forait les reins m’ouvrant un peu plus le fondement à chaque pénétration.
Excité par mes mouvements, mon amant commença à accompagner mes va et viens de violents coups de reins ce qui eut pour effet de me faire monter et descendre plus vite sur l’imposant priape.
Chaque fois que l’immense pénis se plantait au fond de mon cul en fusion je poussais des cris de plaisir.
Ce que je ressentais était si bon que je voulais que cette enculade continue indéfiniment.
J’avais atteint la plénitude rectale seul pour moi comptait le volumineux membre qui me cassait un peu plus la pastille à chaque poussée et je me mis à délirer.
Mon cul était tellement ouvert que je savais que mon homme pouvait me sodomiser dans n’importe quelle position.
Mon mec, me prenant aux hanches, sortit sa phénoménale hampe raide de mon prose et me dit ’Allonge-toi sur le dos’.
Je m’exécutai, il prit mes jambes et les posa sur ses épaules puis d’un violent coups de reins m’enfessa.
Marius se mit à me posséder en de larges coups de bite, son sexe démesuré rentrait et sortait de ma grotte presque complètement à chaque fois élargissant encore plus mon tunnel intime.
J’avais posé mes mains sur ses hanches et commandais ses allers et venues en moi.
Jamais on ne m’avait baisé de la sorte, la monumentale verge érigée coulissait de plus en plus profondément jusqu’à ce que ses cuisses claquent contre mes fesses brûlantes.
Tout mon être n’était qu’un vaste brasier et je savais que seule la merveilleuse pine qui me bourrait pouvait éteindre le feu qui me consumait.
Je ne savais plus depuis combien de temps mon amant me besognait de la sorte, jamais une queue ne m’avait rempli comme celle de mon homme, j’avais rejeté la tête en arrière et fermé les yeux savourant la félicité qui montait en moi par vagues successives.
Tout en moi appelait le mâle, j’étais comme une chienne en chaleur le suppliant de m’inonder le rectum.
J’avais l’impression que de la lave en fusion coulait dans mon fondement, j’étais tellement en sueur et bien lubrifié par le sperme de David que j’avais l’impression de mouiller du cul comme une petite pute.
J’avais perdu toute retenue et la bouche grande ouverte je hurlais toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.
Soudain un spasme fulgurant me transperça, mes jambes battirent l’air, j’enfonçai mes ongles dans la chair des hanches de mon mec, mon corps se tendit comme un arc, un hurlement aigu jaillit de ma gorge et je retombai lourdement sur le sol perdant connaissance.
Quand je rouvris les yeux j’avais les cuisses écartées, Marius était toujours sur moi immobile, son fabuleux phallus fiché au fond de mon cul dilaté à l’extrême, il me dit ’Ca y est de
nouveau parmi nous ?
– Oui.
– Je suis bien comme ça enfoncé dans ton petit trou.
– moi aussi j’aime sentir ta bite palpiter en moi mais tu sais je
préfère quand elle bouge.
– Je le sais.
– Tu m’as encore fait bien jouir.
– je le sais aussi, tu m’as griffé les hanches.
– Mon pauvre chéri.
– mis non ça prouve que tu aimes ce que je te fais.
– Oh oui quand tu me baises je crois devenir folle de plaisir.
– T’inquiète pas, je vais encore te baiser.
– Mais toi tu n’as pas joui ?
– Non pas encore.
– Alors fais-moi jouir encore.
– Bien sur petite salope, je veux tirer mon coup cette fois-ci’.
Mon amant me souleva en me tenant par les fesses, je me retrouvais suspendu à lui, mes jambes autour de sa taille et mes bras autour de son cou.
Mon homme commença à me faire aller et venir comme un balancier, sur sa queue qui m’empalait le ventre.
Mon cul aspirait sa queue, mon mec replia mes jambes sur ma poitrine et se mit à me labourer au plus profond de mon sillon.
Le désir remonta en moi en flèche, mon trou du cul complètement démoli était bouillonnant, je lovai ma tête dans le creux de l’épaule de Marius me laissant porter par le plaisir qui m’amenait au septième ciel à chaque coup de boutoir.
Mon amant me limait de toute la longueur de sa fabuleuse pine turgescente.
Dans la cabine, en dehors de mes cris on entendait les bruits de succion que faisait mon trou de balle chaque fois qu’il avalait le fantastique priape.
Je ne fus pas long à repartir poussant des cris de volupté et roulant des hanches en rythme.
Le pénis noir me pilonnais l’arrière-train avec une violence inouïe et je me mis à contracter mon anus sur la biroute qui m’enfilait jusqu’à la garde.
Mes fesses embrasées étaient douloureuses à force de recevoir le ventre de mon homme qui claquait dessus.
J’avais atteint le point de non-retour et je me remis à délirer en poussant des hurlements de joie.
Mon corps se cambra et je tendis mon cul vers la splendide queue qui me ramonait, mes jambes battirent l’air, j’enfonçai mes ongles dans la chair musclée des épaules de mon mec, de ma gorge pulsa un hurlement strident et je retombai lourdement sur le sol flottant dans l’univers cotonneux de la jouissance.
C’est à cet instant que Marius sortit sa bite de moi pour éjaculer en longs jets de semence sur mon ventre.
Je sentis le corps de mon amant se lever et je restai bras en croix, cuisses écartées et les yeux clos savourant les dernières contractions de bonheur autour de ma corolle ravagée tout en sentant l’air marin dans mon trou resté ouvert
Quand je rouvris les yeux mon mec me regardait en fumant, il me dit ’Toi tu es une sacrée baiseuse.
– Et toi un super baiseur, je ne crois qu’un jour quelqu’un m’a
enculé comme tu l’as fait.
– Tu le mérites, je n’ai jamais vu un mec jouir du cul comme une
salope comme toi
– Comment ne veux-tu pas jouir quand tu prends une queue pareille
dans le cul.
– Mais au début tu ne voulais pas.
– Ce n’est pas ça c’est que je ne pensais pas pouvoir la prendre
dans mon trou du cul.
– Et tu vois finalement tu l’as prise.
– Et je ne le regrette pas.
– Tant mieux.
– Mais dis-moi pourquoi n’as-tu pas tiré dans mon cul ?
– J’aime bien de temps en temps tirer comme ça. Ca te gêne ?
– Non j’aime le sperme que ce soit dans mon cul, dans ma bouche
ou sur moi.
– T’inquiète pas tout à l’heure je tirerai dans ton cul, enfin si
tu veux bien encore baiser.
– Mais bien sur que je veux encore me faire baiser avec deux
queues pareilles à ma disposition je ne vais pas me priver.
– Tant mieux.’
Il était vingt et une heures, après une toilette, je me mis à faire le repas et nous dînâmes sur le pont.
Vers vingt trois heures nous nous sommes mis à l’abri dans une crique et David jeta l’ancre.
Après avoir bu quelques bières, enfin les deux hommes, car moi en période de baise je préfère avoir les idées claires et je me contentai de jus d’orange.
Le voilier est un 12 mètres avec trois cabines à bord, un coin toilette douche, et le coin vie où plus tôt j’avais reçu l’hommage de la marine.
Nous prîmes la décision de dormir dans la grande cabine à l’avant du bateau.
Je me retrouvai au milieu, une queue dans chaque main.
Je me mis à les sucer, David jouit le premier dans ma bouche et Marius sur mon visage.
Je récupérai le foutre sur ma figure avec mes doigts que je léchais jusqu’à la dernière goutte.
Au bout de quelques instants, les deux hommes recommencèrent à m’exciter la pastille avec leurs doigts.
David me poussa dans les bras de Marius, je m’allongeai sur lui et emprisonnai sa matraque entre mes cuisses.
David profita du fait que j’étais à plat ventre pour s’allonger sur mon dos et m’enculer.
Mon amant commença à m’éclater le cul en de lents mouvements de va et vient tandis que la grosse bite noire de Marius frottai mon ventre.
Celui qui me chevauchait claquait son ventre musclé contre mes fesses faisant monter en moi un délicieux désir.
Chaque coup de boutoir que mon baiseur m’assénait me faisait gémir tandis que l’autre m’embrassait goulûment, me mordant les lèvres et me léchant le visage.
Mon enculeur se mit à accélérer ses assauts puis se plantant au tréfonds de mes entrailles explosa en râlant, je sentis ses jets de foutre crémeux se répandre dans mon cul bouillant.
David se leva de sur moi, encore une fois il ne m’avait pas fait jouir alors que d’habitude il me baisait longuement avant de me tirer.
Je lui dis ’Pourquoi ne m’as-tu pas fait prendre mon plaisir.
– Je te prépare pour Marius, lui il va te faire jouir comme tu
le mérites petite salope’.
Marius me mit à quatre pattes, les fesses bien écartées, je me cambrai pour m’offrir plus encore ce qui lui fit dire ’Eh bien je
vois que note petite pute a très envie de se faire casser le
fion’.
Je sentis son gland s’écraser dans la raie de mon cul, cette fois sans difficulté, sa superbe queue glissa dans mon anus bien assoupli.
David se positionne devant moi et me dit ’Ouvre la bouche et rends
ma queue propre’.
Le sexe à demi flaccide est maculé de sécrétions anales et séminales, j’obéis et mon amant enfourna sa pine sale entre mes lèvres.
Je me mis à nettoyer la queue de David assis devant moi et Marius commença à me sodomiser lentement et profondément en levrette.
Je sentais sa gaule loin dans mon ventre, ses couilles tapent contre mes miches en feu.
Me tenant par les épaules, il s’enfonçait jusqu’à la garde puis ressortit pour ne laisser que le bout de son gros gland.
Je sentais le plaisir monter en moi, tandis que David retrouvait de sa vigueur dans ma bouche.
Celui qui me baisait se mit à accélérer le rythme, il sortait et rentrait complètement à chaque fois.
Les mains agrippées à ma taille il me propulsait vers sa matraque.
Mon cul venait s’empaler sur le gourdin, la douleur et le plaisir se mêlaient au plus profond de mon être.
Je sentais dans mon être enfiévré la plaisir s’insinuer en de multiples ondes.
David appuya sur ma nuque pour m’enfoncer sa pine dans ma gorge, et commença à donner des coups de plus en plus violents.
Mon anus était totalement dilaté, la gigantesque queue noire coulissait de tout son long à chaque passage.
Mon amant me défonçait à toute allure si bien que je n’arrivais plus à sucer David.
Je me mis à râler sous les coups de boutoir tout en masturbant David.
Ce que je ressentais était si grand que je ne tardais pas à perdre le sens des réalités.
Je me mis à rouler des hanches en cadence tout en tendant mon arrière-train vers cette merveilleuse verge qui me défonçait, m’ouvrant un peu plus le cul à chaque passage.
J’avais atteint le point de non-retour, tout mon corps n’étais plus que jouissance et je me mis à hurler toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.
C’est à cet instant que Marius explosa à l’intérieur de mon cul, il se cramponna à mes fesses pour m’envoyer sa purée au plus profond.
Ses abondants jets de semence crémeuse fusant contre mes parois surchauffées me provoquèrent un orgasme fulgurant, je tendis ma croupe vers le phallus qui se déversait en moi, et un hurlement strident de bonheur pulsa de ma gorge et je retombai lourdement sur la couche savourant le merveilleux moment qui venait de se passer.
David qui n’avait pas pris son plaisir dans ma bouche vint prendre la place de Marius pour voir ce qu’était un gouffre rempli de foutre.
Il se coucha sur moi et je sentis sa queue nager dans ma cage et au bout de quelques coups il vida son sperme à son tour.
Je restai allongé à plat ventre immobile écoutant les dernières contractions du plaisir contra ma corolle ravagée, des filets de liquide s’échappant de mon cul puis je m’endormis.
Plus tard dans la nuit je me réveillai, mes deux amants étaient en train de boire une bière.
Quand David aperçut de réveil et il me dit ’Ca y est on a piqué un
bon somme.
– Oui
– Alors viens sucer Marius, je crois qu’il a encore envie de te
baiser’.
Sans aucune hésitation je me ruai que la splendide verge noire à demi bandée, Marius me passa la main dans ma raie et il dit ’Mais
tu es une grande sale, ta raie est toute collante. Viens David
il faut laver le cul de notre salope préférée’.
Nous allâmes tous les trois dans la cabine douche.
David me fit pencher en avant, il m’écarta les fesses au maximum et dit à Marius ’J’ai une idée.
– Laquelle
– On va remplacer l’eau chaude.
– Comment ?
– Tu vas pisser dans la raie de notre petite pute.
– Pourquoi pas’.
Quand je compris ce qu’ils voulaient me faire, je tentai de me dérober tout en les traitant de salauds mais déjà le liquide chaud de Marius m’aspergeait le trou coulant tout le long de mes cuisses pour s’écouler dans le bac.
Je sus que j’étais pris au piège et me laissait faire, la chaleur et la puissance du jet étaient agréables sur mon anneau.
Mes fesses, mes jambes et ma raie étaient toutes mouillées, le liquide coulait un peu sur mon dos.
Le jet chaud décollait le foutre collé dans ma raie, Marius passa ses mains sur mes fesses et s’exclama ’Elles sont moins
poisseuses, mais elles méritent un deuxième passage, à toi
David’.
Mon ami me pissa dessus, ils m’écartèrent les fesses au maximum pour faire pénétrer sa pisse chaude dans mon anus.
Je sentais son gland sur les lèvres anales et les nombreuses giclées au fond du rectum.
Nous nous savonnâmes et nous lavâmes à l’eau froide puis nous retournâmes dans la cabine.
Un fois arrivés sur le lit les deux hommes me demandèrent de leur faire une pipe, ce que je fis avec une plaisir évident, quand ils eurent pris leur plaisir, il était plus de cinq heures, cela faisait presque six heures de baise et sagement nous décidâmes de dormir.
Vers midi, nous levâmes l’ancre pour retourner au port, pendant tout le retour Marius et David se sont succédés dans ma bouche et mon cul à tour de rôle.
Je me suis fait baiser comme une pute sur le pont, quand nous arrivâmes à destination, j’étais rempli de sperme de la tête aux pieds et j’avais l’anus complètement éclaté et pour la première fois depuis l’armée quand même un peu douloureux.
Avant de rentrer dans le port j’ai plongé dans la mer pour me débarrasser de la liqueur qui poissait tout mon corps.
Après avoir nagé quelques temps je suis remonté à bord et j’ai enfilé un short et un tee-shirt.
J’eus énormément de mal à marcher pour regagner la voiture et à peine arrivé chez moi, je pris une longue douche chaude pour évacuer les toxines des deux jours, je mis du baume dans ma raie et sur mon trou de balle dilaté puis je me couchai et je sombrai dans un sommeil profond.
fkroun