Dans les semaines qui suivirent tous mes loisirs furent consacrés à la peinture des locaux. Mi Février le local professionnel était terminé, peinture, rideaux. Dans la maison l’entrée la salle salon et couloir était repeint. La cuisine, couloir avait une couche de peinture et il restait les chambres a faire. Nous étions le samedi en milieu d’après midi lorsque quelqu’un entra dans la maison. À ce moment j’étais en train de bricoler sous la baignoire car il y avait une fuite au niveau de l’écoulement. Au bout d’un moment je vis arriver une paire de jambe que je connaissais. Elles vinrent se placer au dessus de moi. Un pied vint alors délicatement me masser le bas ventre ce qui fini par faire gonfler anormalement le sur vêtement de bricolage. Au bout d’un moment de ce petit jeu une paire de main s’employa à descendre mon pantalon pour libérer ma queue. Puis les jambes firent demi tour et je vis une paire de faire de fesses apparaître avant de sentir une vulve humide et chaude que je connaissais avaler totalement mon membre. Je ne pouvais rien faire, ni bouger, ni sortir.
Maman montait et descendait sur ma queue, elle se servait de moi comme un god humain s’empalant toujours bien à fonds. Elle ronronnait de plaisir mais, personnellement ce traitement eut rapidement raison de ma résistance et je lui envoyais de gros jets de foutre qui la ravir au plus haut point.
Elle se retira alors de mon membre me laissant sortir de sous la baignoire.
-Ça vas mon cur me dit elle avec un large sourire.
-Oui un peu surpris mais bien.
-Tu as super bien bossé, cela méritait bien une petite récompense.
-Cela te plais?
-C’est super mon cur. Allez je te laisse travailler, je fais deux ou trois courses et je passe te récupérer tout à l’heure.
Je terminais mon étanchéité de baignoire et retournais à ma peinture, attaquer les chambres. Maman revint en début de soirée. J’avais fait une première couche dans une des chambres. À son visage je voyais qu’elle étais super contente de ce qui avait était fait. En voiture elle m’annonça qu’elle prévoyait de déménager dans trois semaines finalement. Je lui dits que d’ici la il y aurait tranquillement deux chambres de prêtes, pas la troisième,mais ce n’était pas grave car nous n’en avions pas besoin dans un premier temps. Nous sommes rentrez à l’appartement et je me suis précipité prendre une petite douche bienvenue. Au bout de quelques minutes j’entendis la porte de la salle de bain s’ouvrir puis presque aussitôt celle de la douche.Maman était nue et entra dans la douche avec moi.
-Je me suis dits que tu aurais peut être besoin de quelqu’un pour te savonner le dos.
-Oui pourquoi pas.
Elle attrapa le savon liquide et commença a me savonner le torse. La proximité fit rapidement son effet et je me retrouvai avec une bonne trique ce qui lui faisait plaisir au plus haut point. Alors elle se mis a genoux dans la douche et fit couler du savon sur ces seins avant de commencer a les masser. Au bout d’un petit moment elle releva la tête et me fixa.
-Le spectacle te plais me lança t elle.
-Je crois que te dire le contraire serait mentir non?
-Je crois. Tu viens mettre ton joujou entre les doudounes maternelles , elle vont s’occuper de toi.
Un telle invitation pouvait se refuser. Je placais ma queue entre ses deux obus et elle commença a masser lentement mon membre turgescent. La colonne de chair disparaissait entre ses obus avant de reparaitre fièrement. De temps a autre elle passai un petit coup de langue sur le gland. Elle releva les yeux et me dits.
-Ils te plaise mes nichons.
-Bien sur.
— Tu est bien au chaud entre mes obus, maman s’occupe bien de toi?
-Super bien il ne faut rien changer.
J’avais une gaule du tonnerre. Maman continuait a astiquer mon membre entre ses gros nichons. Puis elle se releva pour se mettre face a moi. Nous nous sommes regardé tendrement pendant quelques instants avant qu’elle arbore un large sourire et passe ses bras autour de mon coup pour m’enlacer. Ses lèvres vinrent délicatement se poser sur le miennes. Nous échangions de petits bisous avant que sa langue ne vienne toucher mes lèvres puis entrer délicatement dans ma bouche pour retrouver la mienne. Rapidement elles se trouvèrent pour commencer une longue et tendre étreinte. Notre baisé semblait sans fin, aucun des deux ne voulait y mettre fin. Ce fut maman qui cessa cette étreinte. Elle posa sa joue contre la mienne et commença à lever sa jambe en prenant appuis sur moi. Puis un de ses bras descendit le long de son corps et commença a caresser ses fesses. Elle approcha sa bouche de mon oreille et me dits.
-Laisse moi travailler ma rondelle avant de venir me planter ta grosse queue bien dur dans le cul pour me faire jouir en me défonçant la croupe.
Bien jolie programme. Maman était contre moi en train de commencer a se dilater l’anus pour se faire sodomiser. Ses nichons étaient écrases contre mon torse alors que ma queue toute dure ballottait contre sa vulve. Lorsqu’elle fut prête elle déposa sa jambe au sol, recula légèrement et s’empara du savon. Elle pris ma queue par le dessous et versa du savons sur cette dernière avant de commencer a bien l’étaler. Lorsque mon membre fut bien glissant elle releva les yeux et me dit:
-C’est a toi de faire maintenant, prends moi le cul et donne moi du plaisir.
Non seulement maman était plus que désirable mais cette ambiguïté et interdit dans notre relation ne faisait qu’attiser le désire. Elle libera mon membre, se retourna, posa les mains largement écartées contre le mur de la douche avant de fortement se cambrer en écartant les jambes. Le spectacle était terrible, une vrai chienne en chaleur attendant d être prise par un mâle. Son cul rebondit n’attendait plus que mon pieux bien dure. D’une main je vins lui écarter une fesse et de l’autre je pris ma queue pour déposer le gland contre sa rondelle. A son contact elle augmenta encore la cambrure de ses reins ce qui eu pour effet de commencer a pousser ma queue a lui dilater la rondelle. Je poursuivais lentement la poussée jusqu’a ce que le gland perfore sa rondelle et laisse ma queue lui pourfendre le cul. Cette intrusion dans cul lui provoqua une petite contraction et un petit ronronnement de plaisir. Par de petit allez et retour je lui enfonçais toujours plus profond ma bite gonflée de désir dans le cul. Elle savourait chaque centimètre gagné.
-Vas y mon coeur enfonce complètement ta bite bien dure dans le cul de maman.
Elle était habituée a ce genre de prise et je fut très rapidement contre son cul. Je l’attrapais alors fermement par les hanches et commençais a la limer pour son plus grand plaisir. Elle resserra alors les cuises jusqu’a ce qu’elles se touchent. Je sentais alors mon membre enserré dans son cul. Les vas et viens n’en était que plus difficiles mais source d’un plaisir plus intense. Puis, elle commença a rapprocher ses mains ce qui eu pour effet de lui redresser le torse et diminuer la cambrure de ses reins. Ma queue était maintenait littéralement comprime par sa rondelle et ce n’est que son extreme raideur qui permettait de poursuivre les vas et viens qui a chaque coup de boutoir lui extirpaient un cri. Ses seins ballotaient de part et d’autre et je sentais son ventre se creuser de plaisir. Je la repris alors fermement en main pour poursuivre de manière plus forte encore le pilonnage de son cul. Ses râles de plaisir sont maintenant ininterrompues. Elle baisse la tête et a le souffle court mais je ne baisse pas le rythme et continue a furieusement lui bourrer le cul qui rebondi a chaque coup de boutoir. Je commence moi aussi a sentir le plaisir monter, je reprends une grande bouffée d’air mais je ne tiens plus et lui expédie un belle salve de foutre dans le cul. Ces jets lui creuse totalement le ventre et le contracte de plaisir dans un ultime cri. Nous sommes tous les deux haletant et un peu a bout de souffle. Maman fini par desserrer les cuisses ce qui me permet de sortir de son cul. Elle se retourne alors et nous nous faisons face a face, sans bruit en nous souriant.
Finalement elle me passe la main dans les cheveux avant de nouveau se rapprocher et déposer ses lèvres sur les miennes. Nous échangeons un langoureux baiser dans lequel nos langues s’emmêlent pour ne plus faire qu’une. Puis, elle se recul et me dits en me fixant.
-J’ai jamais autant fait l’amour et pris de plaisir dans ma vie avec un homme qu’avec toi. C’est fou, c’est tellement fou et bon de faire l’amour ensemble. Tu me rend folle tu, comme si j’avais sans cesse besoin que tu me baise.
-C’est vrai que c’est un peu fou, mais c’est plus qu’agréable, cela te gène.
-Non bien au contraire mais parfois je me pose des questions si c’est bon nous, j’ai parfois peur que cela cesse un jour et tout cela.
-Tu sais je pense que la vie est faite pour un peu en profiter et si on peu se rendre heureux un temps et bien profitons en.
-C’est tu est super, j’ai beaucoup de chance de t’avoir. Tu m’a fait redevenir femme et tu me rend heureuse alors que demander de plus.
-Continuer.
Elle me répondit par un large sourire qui voulait tout dire. Nous nous sommes alors finalement douché et j’ai rejoins le salon pour préparer un petit apéritif bien mérité.
Au bout d’une dizaine de minuteś maman est sortie de la salle de bain de nouveau plus qu’existante. Elle avait remis ce mini kimono noir qui ne cachait pas grand chose mais marquait a la perfection ses formes généreuses. Ses ses jambes étaient revêtues de bas roses et elle était montée sur de superbes talon aiguille noir brillant qui tranchait avec le rose. Je la reluquais des pieds a la tête. Aucune faute, sexy, maquillée, la totale. Nous avons pris un sympathique petit apéritif a discuter de la maison. Maman était super contente du boulot que j’avais faits et elle se voyait déjà dans les mur. Nous sommes passé a table et avons poursuivi cet agréable moment en échangeant cet fois plus sur mes résultats scolaires qui n’était pas mauvais donc ce n’était que du bonheur. A la fin du repas elle me demande.
-J’ai prévu un petit désert spécial pour toi, cela te tente?
-Bien sur.
Que pouvais bien être cet étrange dessert? Maman se leva et partie dans la cuisine. Au bout de deux minutes elle revint avec une bombe de chantilly qu’elle posa sur la table.
-Tu peux reculer un peut de ta place mon coeur?
Je m’exécutais et elle poussa mon verre et l’assiette. Puis d’un seul mouvement elle me fit face en s’assaillant sur le bord de la table et me dit:
-Je sais que tu est gourmand, aime bien les fruits alors j’ai pensé a toi.
D’un geste langoureux elle retira la ceinture de son kimono et écarta largement les cuisses. Elle empoigna alors la bombe de chantilly et s’en aspergea le sexe.
-Voila, me dit elle, abricot chantilly, le dessert est servi si monsieur veux bien se donner la peine.
J’était assez surpris mais très positivement car le spectacle et le jeu était tentant. Je m’approchai donc entre ces cuisses. Je commençais par lentement sucer la chantilly en la regardant. Elle aussi se délectait du spectacle. Petit a petit je mangeai cette chantilly jusqu’au moment. Il ne restait plus que quelques traces mais, avec ma langue je prenais grand soins de parfaitement lui nettoyer le sexe. Lors ce fut le cas, le bout de ma langue commença a s’introduire entre ses grandes lèvres. Elle sentait parfaitement mon souffle sur sa vulve et moi excitation compte tenu de l’état trempé que je ressentais. Je fini par lui écarter les lèvres et me rapprocher de son clito. Lorsque j’eu le premier contact avec ce dernier elle eu un long frisson qui lui parcourut le corps. Son clito était lui aussi gorgé d’excitation. Je commençais alors simplement par le caresser lentement avec ma langue. Maman était aux anges je sentais les pulsations de son coeur augmenter et ses muscles se contracter. Alors je me mis a la fixer tout en maintenant titillant plus vigoureusement son petit bouton. Ces feulements ne se firent pas longtemps attendre. Cette caresse buccale l’enchantait, elle résistait et se pinçait les lèvres pour ne pas jouir trop vite mais, sous les coups de langues répétés elle fini par fermer les yeux. Rapidement son ventre se creusa et elle eut un violent multiple orgasme. Je la laissais reprendre un peu ses esprit et lui dit:
-Et bien il n’est pas que pour moi le dessert mais il est bien agréable et délicieux.
-Je l’ai bien aimé aussi et, a hasard tu n’en n’aurez pas un autre lui plutôt bien dure?
J’avais effectivement une trique du tonnerre et ne levais de la chaise. Dés que je fut debout, maman attrapa les boutons de mon jean et commença a les retirer. Elle fit de même pour le slip et attrapa ma verge turgescente et me dits
-Ca c’est mon dessert favori, une bite bien dure profondément planter entre me cuisses.
Elle se positionna a nouveau sur le bord de la table, écartant largement les cuisse pour m’inviter a venir la prendre. J’approchais alors mon membre vigoureux qui n’eut aucun mal a entrer dans son intimité détrempée. Elle fut aussi rapidement plantée au plus profond entre ses cuisses. Pour la prendre bien a fond je passais mes bras sous les genoux pour la prendre encore plus intensément. Alors que je commençais a la besogner, elle commença a me fixer. Rapidement aucun des deux ne voulais baisser le yeux même si le spectacle de ses seins ballottant sous les coup de boutoir était fort attirant. Mes coup de reins étaient de plus en long et profond. Puis ils prirent encore un petit peu de rythme et c’est elle que craqua en fermant les yeux et commençant a pousser de petit cris de plaisir. Cette victoire sur elle ne faisait que renforcer ma motivation a lui exploser la chatte. Ses cris devinrent de plus en plus constant. Je sentais sont intimité se contacter sur ma verges qui elle dure comme un roc continuai a la pourfendre. La sentant partir j’agrippais maman fortement pour continuer a la besogner. Soudain je senti une violente contraction de son sexe qui lui déclencha un important et bruyant orgasme. Mais de mon coté même si j’était assez excité je maitrisai encore la situation et continuai a lui défoncer la vulve. Comprenant que je poursuivait ma besogne elle écarta encore plus largement les cuisses. Elle était maintenant haletante chaque coup de rein la faisait frémir. Son ventre se contractait maintenant fortement et elles eux alors une enfilade d’orgasmes jusqu’au moment ou je fini par de nouveau lui éjaculer profondément dans les entrailles. Nous étions tous les deux a bout de souffle et après une longue étreinte corps a corps nous sommes allez nous coucher ensemble l’un contre l’autre.