Dans la voiture, nous ne discutons pas beaucoup. Je sens son regard sur mes jambes. Il m’excite beaucoup… Et les quelques verres que j’ai bus me désinhibent… Je le veux, entre mes cuisses.
— Tu veux aller où, ma belle ?
— Peu importe, tu avais une idée en tête ?
— Ben je sais pas, tu habites où ?
— Ah non, on ne va pas chez moi ! Il y a mes parents dans le mobile home.
— Et alors, c’est quoi le problème ?
— Ben j’ai pas envie d’avoir du monde dans les pattes !
— Ah ? Ben pourquoi, qu’est-ce que tu comptes faire ?
— Tu as des capotes dans ta voiture ?
— Ouais…
— Alors trouve un coin et tu verras pourquoi je veux personne dans les pattes !
Je ne sais pas trop ce qui m’a pris, c’est la première fois que j’agis comme ça, et j’ai une boule dans le ventre… Un mélange d’excitation et d’appréhension. Que va-t-il se passer ?
Il dévie sa route, prend un chemin qui mène dans le bois et se gare. Le coin semble tranquille. Ce n’est pas le moment de renoncer.
— – Les capotes sont dans la boîte à gants, que comptes-tu faire ?
Je nous décroche (ceintures de sécurité), il recule son siège. Je me penche sur lui et ouvre son pantalon que j’abaisse à ses genoux, avec son caleçon. Son sexe, imposant, s’échappe de sa prison de tissus.
— La vache, elle est vraiment grosse !
— T’inquiète, c’est ce qu’il y a de meilleur pour une petite chatte de blanche.
— On va voir ça alors…
Je saisis son membre imposant dans ma main et je le dirige vers ma bouche. Ce soir, je me fous de la tendresse, je veux prendre mon pied.
Je glisse son gland entre mes lèvres humides, et m’active autant que je sais le faire. Je le sens grossir dans ma bouche. Il grossit tant que je ne peux plus le garder en bouche. Je prends donc le relais avec mes deux mains qui coulissent sur son membre si épais que je ne peux en faire le tour avec mes mains ! Je crache de la salive pour faciliter la glisse.
John est complètement penché en arrière, et il me regarde droit dans les yeux. Je fais glisser ma langue sur mes lèvres puis, sans lâcher son regard, je me penche sur son membre dressé et le lèche de bas en haut. Sa grosse bite est entièrement recouverte de salive. Je continue à le branler tout en massant ses grosses couilles bien remplies avec une main.
— Hummm tu sais que les p’tites coquines comme toi ça m’excite grave ?
— J’y compte bien, faut qu’tu sois bien dur pour moi !
— J’pense que je n’ai jamais été aussi dur, ma belle.
J’ouvre sa boîte à gants et prends une capote, et lui mets (j’enfile le gland avec la bouche).
J’ouvre mon short et l’enlève, je me mets au-dessus de lui met son gros manche sous ma petite chatte qui coule d’excitation et d’envie. Je descends lentement sur sa bite…
Je la sens m’écarter les lèvres, il étire mes chairs comme jamais… J’ai la sensation d’être remplie… Pleine… Hummm c’est si bon… Je pousse un long gémissement… Huuummmm…
Il commence à coulisser en moi avec beaucoup d’amplitude, je suis bruyante comme jamais…
— J’adore t’entendre couiner comme ça. Vous les blanches je sais que vous êtes fan des grosses bites noires.
— Huummmm oh oui, c’est trop bon !! Hummm…
Il se met à accélérer la cadence, je crie si fort, qu’on pourrait m’entendre de très loin (et je pense que la voiture doit bouger beaucoup) ! Sa grosse bite m’écarte complètement, et elle ne rentre pas complètement…
Nous transpirons beaucoup, mes cheveux commencent à coller, la sueur perle sur son front. Il arrête des mouvements, je lui ouvre sa chemise. Il a des abdos impeccablement dessinés. Je descends de mon perchoir et me remets à mon siège, haletante.
— On passe à l’arrière blondinette ?
— Avec plaisir Mr. gros calibre.
Nous sortons par les portières et nous installons à l’arrière. Il s’assied au milieu, je le chevauche en posant mes pieds sur la banquette arrière de part et d’autre de ses cuisses. Il glisse sa bite sous ma petite chatte trempée, et je m’empale avec délice dessus ! Je monte et descends autant que je le peux et je crie mon plaisir !
— – Haaa !! Haaa !! Haaaa oui !!! Haaaa c’est bon !!
Avec toute l’aisance qu’il est possible d’avoir à l’arrière d’une voiture, John me soulève et nous retourne. Je suis désormais allongée sur la banquette, les jambes en l’air et écartées, John est au-dessus de moi et il se met à me pilonner de toutes ses forces. Je hurle de nouveau mon plaisir !
Dieu que ce mec est bon ! C’est clair que les sensations n’ont rien de comparable à ce que j’ai pu pratiquer avec mon copain ! Ou avec n’importe qui d’ailleurs !
La baise dure comme ça une bonne vingtaine de minutes, je n’ai jamais pris autant de plaisir sexuellement, c’est vraiment trop bon !
— Oh je vais jouir ma belle !
— Haaaa ! Haaaa ! Oui, jouis dans ma bouche !!
— Avec plaisir !
Il sort de ma chatte, tire sa capote et dirige sa bite vers mon visage. Je tire la langue pour essayer d’en récupérer un maximum. Ses jets sont puissants et fournis, une bonne dose arrive dans ma bouche, mais quelques jets s’écrasent sur mon visage, dans mes cheveux.
Je n’en peux plus, il m’a achevée
Nous sortons, nous rhabillons et remontons à l’avant de la voiture. Il repositionne son siège et démarre. Cela me laisse le temps de reprendre mes esprits.
— Tu m’as tuée ! Je n’en peux plus !!
— Avec moi c’est tout ou rien blondinette. Et puis, casser de la petite chatte de blanche, serrée comme la tienne, j’adore plus que tout !
— Eh bien moi, je dois avouer que j’ai bien apprécié ta grosse queue !
— Elle est à toi le temps que tu veux, ma belle !
— Pour ce soir, je n’en peux plus ! Tu me ramènes ?
— OK, tu m’indiques la route ?
— Oui !
Il me ramène jusqu’à mon mobile home, la route à faire n’était plus très longue.
Une fois arrivés devant la porte du mobile home, nous nous embrassons fougueusement. Il me soulève et passe ses bras sous mes cuisses. J’enroule mes bras autour de son cou. Notre baiser dure de longues minutes. Puis il me dépose au sol.
Il me colle au mobile home, glisse sa main dans mon short et commence à me titiller le clito. Je suis si bien et excitée et comblée que le simple fait d’avoir ses doigts qui me caressent me fait jouir en quelques secondes. Je n’avais jamais ressenti autant de pression sexuelle et jamais je n’ai joui aussi vite !
— Hummm… C’était trop bon John…
— Alors je te laisse aller te coucher, à très vite ma belle.
Il m’embrasse de nouveau et s’en va.
Je rentre dans le mobile home, me dirige vers ma chambre, enlève mes talons, puis le reste de mes vêtements. Je me glisse, tout sourire, sous mes draps.
Je crois que j’ai trouvé mon plan cul pour les vacances…