Delphine et les rugbymans
Depuis cette journée où elle sétait fait baiser quasiment toute la journée, Delphine avait repris son petit train-train quotidien. De temps en temps une petite partie de jambes en lair avec son fils, une pipe dans les toilettes de son travail mais plus de gang-bang et dhumiliation en tout genre. Elle avait repris possession de son corps. Une fois par semaine elle allait chercher son fils au rugby et des fois elle soccupait du linge sale de léquipe. Malgré la pluie, elle décide de ne pas mettre de manteau et shabille de façon simple: un tee-shirt blanc, un jeans, des collants couleurs chair avec un soutif noir et une culotte de même couleur, sans oublier ses baskets, bref elle navait vraiment rien pour elle et pensait aller chercher son fils pour ensuite se coucher.
Une fois sur le terrain la pluie avait cessé. Elle sort de la voiture et son pied senfonce dans la boue. Il y en avait tellement quelle ne voyait pas sa chaussure, elle tente denlever son pied, mais il était tellement enfoncé que seul le pied vint, la chaussure était restée dans la boue. Elle enlève la deuxième et part en direction du groupe. Le contact de ses collants avec la boue était froid, le bas de son jeans était marron, elle arrive enfin prés des joueurs. Ils étaient tous également dans un sale état, de la boue de la tète aux pieds. Elle fait la bise à tout le monde, une quinzaine de mecs.
« Ah, maman tu es là on va pouvoir rentrer » Jean navait quune envie rentrer chez lui, il avait passé 1h30 sous la pluie et voulait se mettre au chaud. Mais ses coéquipiers à la vue de sa mère nétaient pas du même avis, il y avait peu de femmes qui se mêlaient daussi prés à léquipe. Elle, avait fait la bise à tout le monde sans se soucier de la boue sur leur visage, leur maillot sale ou lodeur de la transpiration. Ils se devaient de tenter leur coup avec ou sans lavis de Jean.
Au vu de la protestation de léquipe, elle se dit quelle nétait plus si pressée que cà de rentrer chez elle.
« Jean, nous ne sommes pas pressés, pourquoi ne pas me montrer une petite démonstration de votre entraînement ? » Jean ne dit rien et cest un camarade qui prend la parole.
« Pourquoi pas madame »
« Appelez moi Delphine, je suis encore assez jeune pour que lon ne mappelle pas madame »
« Très bien Delphine, on va sessayer à la transformation » Il pose le ballon sur le tee.
« Et si on laissait notre invitée tirer, quest ce que vous en pensez les mecs ? » Un brouhaha dacclamations se fait entendre.
« Mais je ne suis pas habillée pour ça je vais être ridicule »
« Mais non, mais non, tu cours et tu tapes dans le ballon, cest tout »
« Bon daccord »répondit Delphine. Elle recule pour prendre de lélan, sous les acclamations de léquipe, elle se met à courir. A cause de la boue et avec ce quelle avait aux pieds, cest-à-dire rien, mise à part des collants, sa course navait rien de gracieuse et ce que tout le monde attendait et espérait même son fils, arriva. Elle tombe de tout son long dans la boue dans un SPLASH bruyant. Les deux piliers de léquipe la relèvent. Elle était littéralement marron de la tête au pied, son tee-shirt dégoulinait de boue, son jean avait changé de couleur, son visage en était également recouvert, ses cheveux comme ses vêtements dégoulinaient. Toute léquipe riaient, Delphine dut admettre également que cétait plutôt marrant.
Bon voila tu es baptisée, bienvenue dans léquipe . Tous applaudissaient, des voix sélevèrent dans lassemblée Encore Encore
« Delphine, ça te dirait de recommencer ? »
« Pourquoi pas, je mamuse bien » Elle commençait à se douter de comment allait se terminer cet entraînement, ce nétait pas pour lui déplaire.
« Par contre jai limpression que ton pantalon te gène, tu devrais faire sans. »
« Tu crois ? Pourquoi pas, vous navez pas lair méchant » Et sous les sifflets de toute léquipe, elle enlève son pantalon, elle se retrouve en collant sa petite culotte noire en transparence. Comme la dernière fois elle prend son élan et se met à courir. Son cul bouge dans tous les sens et ne réclame quune chose dêtre libéré de cette étau de tissu. Et comme tout à lheure elle tombe dans la boue et se retrouve dans la même position que tout à lheure, le pantalon en moins. Les deux mêmes piliers la relèvent sans se gêner pour la peloter. Toute léquipe était morte de rire et une tension sexuelle commençait à monter.
« Je ne suis vraiment pas douée au rugby » Des A poil commencent à monter dans le groupe, Cédric le jeune qui depuis tout à lheure initie Delphine commence à la toucher de plus en plus sérieusement.
« Mais si, mais si, par contre tu devrais enlever ton tee-shirt, tu seras plus libre dans tes mouvements » Delphine enlève rapidement le vêtement, rajuste son soutien-gorge. Les insultes fusent, les sifflets pareils, tout le monde est chauffé à blanc. La situation est pesante.
Comme les deux premiers essais elle prend son élan et sélance, ses seins bougent son cul aussi. Toute léquipe na quune envie, baiser cette femme recouverte de boue en train de courir en sous vêtements et qui tente de taper dans un ballon.
Évidemment elle échoue et retombe, à croire quelle le fait exprès, elle reste allongée dans la boue, elle se prépare à ce qui va se passer. Cette fois ci toute léquipe la palpe et la relève.
« Je ne suis vraiment pas faite pour le rugby »
« Je suis sûr que tu es douée dans dautres domaines » lui dit Cédric il commence à lui toucher le cul et à la doigter à travers son collant et sa culotte.
« Cest vrai, vous voulez une démonstration ? » Sous les acclamations, elle se met à genoux et baisse le short et le caleçon de Cédric
« Attends, Jean est daccord pour quon baise sa mère »
Il ne réfléchit pas bien longtemps
« Bien évidemment, nous allons la fourrer cette salope » Toute léquipe se déshabille, elle est impressionnée par la taille des bites et elle se dit quelle va en prendre pour son grade. Ils se positionnent en rond autour de Delphine, une quinzaine de queues de toutes tailles, assez impressionnant. Elle commence par Cédric, elle donne deux trois coups de langue et elle senfonce une partie de son pénis, elle a du mal à toute avaler, mais au final elle a réussi à prendre toute la bite dans sa bouche. Elle gobe également ses boules pour ne pas faire de jaloux. Avec ses mains elle masturbe tout ce qui est à portée de mains. Elle se fait peloter, ses seins sont sortis de son soutif et pétris par des mains sales habituées à tâter le ballon. Une fois le tour terminé, elle se relève et se frotte comme une professionnelle avec sa barre. Elle sent les grosses pines dans son sillon, prêtes à exploser. Elle suce le premier venu, ainsi cambrée elle offre sa croupe à tout le reste de léquipe, on ne tarde pas à lui baisser son collant et sa culotte, on lui fesse le cul, devenu rouge et boueux comme tout le reste de son corps. On la prend vaginalement, les commentaires fusent, du style Un vrai garage à bites cette salope Elle a dû sen prendre des kilomètres de bites celle la . Ils passèrent tous dans sa chatte.
Jean sallonge par terre, Delphine a droit à quelques secondes de repos. Cédric prend la parole :
« Bon la salope, tu vas te faire mettre par ton fils » Elle se positionne sur la bite de son fils et colle son corps sur le sien. Il commence les va-et vient, il lui claque le cul, lui enfonce un doigt dans son anus. Elle crie, toute décoiffée, pleine de boue et de sueur mais elle en redemande.
« Prenez-moi tous » Ils ne se font pas prier, toute léquipe se rapproche delle. Au final elle a une bite dans son cul, se fait prendre vaginalement par son fils, suce une bite et branle ceux qui lui passent à portée de main. Elle se fait enchaîner ainsi par toute léquipe jusqu’à la grande éjaculation, tout le monde se retire, elle reste allongée dans la boue en attendant le feu dartifice final, ils sont tous en rond autour de Delphine, la bite à la main en train de sastiquer la tige. Le moins que lon puisse dire cest que le feu dartifice fut grandiose, aucune partie de son corps ne fut épargné. Sur tous son corps il y a de la boue et du sperme, sur tout son corps. Elle essaye de se relever mais son équilibre est sommaire. Les jeunes sont tous en train de se rhabiller. Cédric prend la parole
« Ton fils nous a donné ton numéro de téléphone, ne tétonnes pas de recevoir certains appels, on va garder ton soutif et ta culotte en souvenir, ça ne te déranges pas ? Au moins »
« Non, aucun »
« Tu es vraiment une salope, allez rhabilles toi sale pute » dit Cédric tout en mettant une grosse claque sur son cul.
Sur ces derniers mots Delphine se rhabille et rentre avec son fils. Elle est trop fatiguée pour conduire, elle laisse faire son fils. A peine installé son fils lui demande :
« Jespère que tu as encore faim » Il sort sa bite
« Suce salope » Cest ce quelle fait en s’appliquant.