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Des cours (très) particuliers – Chapitre 3

Des cours (très) particuliers - Chapitre 3



Partie 3

Pédale dure

Ce soir-là Thomas avait le moral dans les chaussettes. Il cherchait une issue à cette situation qui allait probablement devenir insoutenable pour lui à court terme. À un certain moment, il ne pourrait plus arriver à satisfaire ses tourmenteuses… et alors, elles mettraient leurs menaces à exécution! La conséquence serait son renvoi du lycée et l’interdiction d’enseigner à tout jamais. La publicité autour de cette histoire l’empêcherait peut-être même définitivement de retrouver un employeur?

Les solutions envisagées menaient toutes à des impasses. Prévenir la police ou les parents des deux jeunes femmes n’empêcherait rien. Il était également dans l’incapacité de les obliger à rendre les fichiers. Il regardait la télé où une série policière américaine sans intérêt passait à cet instant…

Sans intérêt? L’une des victimes était à l’écran, en train d’appeler… un détective privé!!! Thomas se bondit de son fauteuil! Mais oui, pensa-t-il! Un détective privé! Et j’en connais un en plus!

Fiévreusement, il chercha dans son vieil agenda le numéro de Serge Noirot, un ami d’enfance devenu détective sur Strasbourg. Il le trouva. Il composa le numéro sur son mobile, mais un message de son opérateur lui annonça que ce numéro n’était plus attribué. Après avoir renouvelé plusieurs fois son appel, il dut se rendre à l’évidence, il avait probablement déménagé. Au bout de 20 ans… évidemment… Après quelques minutes d’abattement, le professeur reprit son smartphone et commença à "googleliser" son ami d’enfance. Après quelques minutes, il retrouva sa trace via d’un cabinet de détective sur Lyon, puis dans la presse sur Paris. Et il finit par s’assoir, découragé, lorsqu’il découvrit que Serge avait disparu dans un tragique et mystérieux accident de voiture.

Son mobile émit un bip. Il venait de recevoir un message. Il ferma les yeux, assailli de fatigue lorsqu’il vit qu’il provenait de Léa. Il les rouvrit et lut.

— Salut gros pédé. Je suis sûre que tu fantasmes bien sur les deux jeunes chattes que tu as léchées. Je me trompe?

Le ton était ironique et méchant. Thomas sentit la moutarde lui monter au nez!

— Oui, vous vous trompez, Mademoiselle…. Car dans la situation dramatique où je suis, j’ai plutôt envie de mourir! Tapa-t-il rageusement.

— Avant de te suicider, regarde plutôt ce que je t’ai envoyé, ça va te remonter le moral!

Le téléphone bipa à nouveau. Il y avait deux pièces jointes. Deux vidéos. Il savait déjà ce qu’il allait trouver… Il lança la seconde qui était la plus courte d’après le compteur. Et il dut avouer bien malgré lui, que de se voir ainsi à genoux les yeux bandés et les mains attachées dans le dos en train de lécher servilement une jolie chatte offerte, c’est bien excitant! Ses reins étaient parcourus de myriades de papillons tièdes…

— Alors ça te plait gros porc?

— Merci Mademoiselle.

— Regarde la vidéo, celle avec moi, sur ton PC et filme-toi en train de jouir. J’attends… tu as 5 minutes!

— Bien Mademoiselle. Comme vous voudrez… Fit-il la mort dans lâme, mais aussi avec le sexe bien dur.

Thomas répéta la même manuvre que la dernière fois. Une fois la vidéo dupliquée, il put la visionner tout en se filmant avec son mobile. Cette fois, bien qu’ayant déjà joui quelques heures plus tôt, il explosa en moins de deux minutes! La honte lui monta au visage lorsqu’il posta la vidéo en retour avec un message court.

— Voici, Mademoiselle Léa.

— La réponse arriva deux minutes plus tard. Laconique et cruelle.

— Tu es de plus en plus précoce gros pervers! Preuve que nos chattes te plaisent bien.

— Merci Mademoiselle… Thomas se dégoutait lui-même.

— Demain ce sera donc toi la chatte, tu vas voir comme c’est bon! Je t’enverrai un SMS à 10h, tiens-toi prêt Ducon.

— Bien Mademoiselle, merci. Son cur battait à tout rompre. Qu’allait-elle encore inventer?

La nuit de Thomas fut agitée. Il fut réveillé à plusieurs reprises par des érections intenses, et eut du mal à se rendormir à cause des dernières paroles de sa Maitresse. Que pouvait-elle bien avoir derrière la tête? Il se leva vers 8h30, prit une bonne douche, mais ne put rien avaler d’autre qu’un café. À 10h03, un SMS arriva.

— CC vieux perv. RV sur le parking de la gare SNCF à 11H sans faute sinon…

— Bien Mademoiselle Léa.

Thomas frissonna. La gare? Pourquoi un rendez-vous à la gare? Allaient-ils prendre le train? À 10h30 il quitta son immeuble et se rendit en voiture à l’endroit exigé. Un dimanche matin, l’immense parking était au 3/4 vide. Il n’y avait personne à l’horizon. Le prof se gara et arrêta le moteur. Puis il attendit. Il était 10h58, il avait un peu d’avance. En consultant son portable il vit qu’il avait reçu un message et un appel. Le message provenait de Léa.

— Un homme va te contacter. Tu vas répondre et tu ensuite vas faire absolument "tout ce qu’il te demandera". Sans discuter! As-tu bien compris Toto?

Les joues du fonctionnaire s’empourprèrent. Les paroles de sa Maîtresse lui revinrent en mémoire: "Demain ce sera toi la chatte". Oh mon Dieu, elle va m’obliger à… à…

Le téléphone sonna, c’était un numéro caché! Il prit l’appel, avec la gorge nouée…

— Allo?

— Salut Thomassoum41. Moi c’est Bitenfeu70, ton contact de 3gays.com. Comment ça va ma belle?

— Ah… heu… ça… va merci… Il se mit à transpirer.

— Bon! Tu peux sortir de la voiture? Je veux juste savoir comment qu’t’es gaulé…

Thomas accusa le coup tout en lorgnant dans toutes les directions. Il ne voyait personne.

— Merde! tu te grouilles pétasse????

Le prof ouvrit la portière et se redressa tout en jetant un regard circulaire. Il commençait à avoir peur.

— Ah oui je te vois, t’es pas mal du tout. On va se faire un plaisir de te donner ce que tu as réclamé!

— Ce… que j’ai… réclamé?… Paniqua soudain le prof de maths.

— T’inquiète, je juge pas. Moi ça me plait et mon pote aussi.

— Votre pote? Thomas sentit ses jambes mollir, il crut qu’il allait tomber dans les pommes et se raccrocha à sa voiture.

— Tu vois la camionnette blanche au centre du parking?

— heu… oui… un … Renault Trafic?

— Ouais c’est ça. Alors… Comme convenu tu montes par l’arrière, tu te désapes, tu mets le bandeau sur tes yeux et tu te verrouilles les menottes avec les mains dans le dos, ça te va? Toujours OK?

— Oh non… je peux pas faire ça… S’il vous plait… Fit Thomas d’une voix faible. Il se sentait de nouveau piégé. Léa l’avait bien eu, il était fait comme un rat. "tout ce qu’il te demandera" c’était donc ça!

— Écoute salope, on a tout fait comme tu voulais! Alors maintenant tu te dépêches, sinon ça va chauffer! s’énerva la voix.

"Tout ce qu’il te demandera"… résonnait dans ses oreilles… Il baissa la tête, se résignant soudain.

— O..oui… d’accord… j’arrive…dit-il enfin en raccrochant. Il ferma sa voiture et traversa le parking pour rejoindre le Trafic.

La porte arrière n’était pas verrouillée, il monta dans le véhicule utilitaire. C’était un modèle tôlé, avec séparation de la cabine avant. Il y faisait sombre. Thomas commença à se déshabiller. Le contact de ses pieds nus avec le sol froid recouvert de bois le fit frissonner. Dans une cagette il y avait plusieurs cordes, des chainettes, une paire de menottes et un long foulard bleu. Il prit les menottes et ferma l’un des anneaux sur sa main droite, puis noua le bandeau sur ses yeux avec des mains tremblantes. Enfin il joignit ses poignets dans le dos et verrouilla le second anneau sur son bras gauche. CLIC. Il était totalement à la merci de "Bitenfeu70". Son pouls s’accéléra.

Au bout de quelques minutes, des pas résonnèrent à l’extérieur. Puis quelqu’un ouvrit le battant qu’il n’avait pas complètement claqué. Derrière lui, la voix du téléphone souffla:

— Eh ben tu vois! Tu y es arrivé! C’est une bonne petite soumise ça!

L’homme monta dans le van et vint vérifier les menottes, il resserra le bandeau, puis se mit à lui peloter les fesses.

— Je vous en supplie… je suis l’objet d’un chantage! Ce n’est pas moi qui ai réclamé tout ça! Sil vous plait, libérez-moi… Croyez-moi!!!!

— Mais bien sûr que je vais te libérer! Mais pas tout de suite. On va s’amuser un peu. On était bien d’accord hier soir…

— Mais puisque je vous dis que ce n’était pas moi! s’énerva Thomas. Je n’ai JAMAIS dialogué avec vous!!!

— Non ce n’était pas toi, c’était la reine d’Angleterre! rétorqua le géant (qui s’appelait Michel) sur le même ton. Et il empoigna une des chaussettes de Thomas, lui pinça le nez avec force. Lorsqu’il ouvrit un large bec, il lui fourra la chaussette roulée en boule dans la bouche, le réduisant ainsi au silence. À l’aide d’un scotch épais, il fit plusieurs tours afin qu’il ne puisse pas la recracher.

— MMmMmh MMMhhh … hurlait silencieusement le pauvre garçon.

Une main ferme et chaude lui caressait le ventre, puis asticota gentiment ses tétons sensibles. Thomas sentit un début d’érection. Une onde chaude descendait de ses seins à ses reins…. Il tenta de ruer pour rompre l’excitation, mais son corps le trahissait. Il gémit lorsque Michel lui massa vigoureusement les testicules. Des doigts fermes lui étiraient les tétons et il sentit sa verge se déployer par saccades. Alors, Michel souleva calmement la chaine des menottes pour relever ses bras en arrière et le forcer à se courber en avant. Puis il attacha une seconde chainette pour relier ses poignets à un crochet au plafond. Le prof était maintenant complètement arqué vers l’avant, offrant ses fesses à qui voulait en profiter. Michel fixa enfin une barre en fer à ses deux chevilles pour lui maintenir les deux jambes tendues et bien écartées. Thomas bandait comme un cerf.

Le géant commença par lui caresser les cuisses très tendrement, puis lui pincer le scrotum, enfin il lui passa deux doigts sur l’anus. Au bout de quelques minutes de massage, Thomas était totalement ailleurs. Il soufflait bruyamment et rapidement par le nez. Michel décolla le scotch et le laissa recracher la chaussette. Il continuait à lui masser le gland et Thomas était dans un état d’excitation irrépressible.

— Alors, dis-moi salope… tu veux qu’on arrête? Cest ça? Je te libère et c’est fini?

De son autre main, il faisait rouler ses testicules l’un contre l’autre. Michel sentait le prof de maths proche de la jouissance, alors d’un coup, il cessa tout.

— Réponds-moi. On continue ou on arrête? Un bonne claque sur son petit cul ponctua la question.

Léa avait dit "tout ce qu’il te demandera", c’était clair comme consigne. S’il demandait d’arrêter, elle allait vraiment se fâcher, il ne pouvait malheureusement pas courir ce risque.

— On.. on… Continue… ex..cusez moi…

— C’est sûr? on fait comme c’était prévu?

— O.. oui…. Monsieur….

— Alors, on est bien d’accord, je ne veux PLUS que tu demandes d’arrêter, car c’est vraiment ce que tu as voulu!!!

Michel se redressa, sortit de la camionnette et claqua la porte arrière, laissant Thomas avec un sentiment de frustration et d’angoisse mêlées. Qu’est-ce qui était prévu au juste? Soudain la porte avant s’ouvrit et Michel s’assit au volant. Le Trafic démarra et s’élança hors du parking. Au bout de quelques minutes, Thomas perdit le compte de la direction qu’ils prenaient. Au bout d’un quart d’heure, le fourgon descendit sur le quai du Durgeon, fit encore cent mètres puis s’immobilisa au pied du pont sur lequel passe le boulevard de ceinture de la ville. La porte arrière s’ouvrit et Michel fixa les battants ouverts. il lui claqua les fesses:

— Monte ton cul de salope, allez! Bouge-moi ça!

Michel se plaqua derrière le captif nu et allongea les bras pour aller lui travailler les tétons. Thomas se mit à gémir et son érection renaquit. Il sentait le sexe de son geôlier durcir contre ses fesses et ne pouvait absolument rien faire pour empêcher quoi que ce soit. D’ailleurs "tout ce qu’il te demandera" c’était ça. Se laisser faire. Une seconde voiture vint se garer derrière eux. Le cur de Thomas bondit dans sa poitrine. Michel avait descendu son froc et frotta sa verge bien dure entre les fesses du professeur. Un bruit de pas.

— Entre mon pote! Y’en a pour deux tu vois!

— Oh que oui, j’vois ça! fit une autre voix avec un accent franc-comtois à casser des cailloux. Deux mains s’emparèrent de sa tête et enfouirent son visage contre un pantalon. Impossible de résister. Des senteurs musquées emplirent ses narines délicates. Il n’arrivait presque plus à respirer. Un doigt chaud lui massait la rondelle en tournant. Il gémit à nouveau tandis qu’un objet durcissait au contact de son nez. Bernard, un homme de la cinquantaine aussi long et sec que Michel était large, pouvait percevoir contre son sexe à travers le tissu le souffle chaud du petit pédé attaché. C’était très excitant!

— T’es ben un peu maso toi! fit-il en libérant son sexe. Moi ça m’dérange pas, tu vas m’faire la vidange…

Il passa son membre encore calotté sur les lèvres de Thomas qui détourna la tête. Bernard l’attrapa par les cheveux de la main droite et lui pinça le nez de la main gauche. Dès que ses lèvres s’ouvrirent, il y glissa son vit.

— Non oh mmhfff…. furent les dernières paroles sensées du prof.

Michel avait bien assoupli son anus avec un puis deux, puis trois doigts, il mit un préservatif lubrifié sur son membre bien dur. Il posa son gland sur la rosette offerte et enfila Thomas d’un bon coup de reins. Il gémit de surprise, mais ne put crier tout baillonné qu’il était. À l’autre bout, Bernard baisait lentement sa bouche résignée. Bizarrement Thomas n’éprouvait presse aucune douleur, au contraire son excitation grandissait d’un plaisir veule. Il était devenu un objet sexuel, une simple salope bonne à vider leurs couilles de mâles en rut. Michel commençait à faire des allers-retours plus rapides entre ses fesses et son gland raclait délicieusement contre sa prostate. Telle une femme, son plaisir était diffus et prolongé, il gémissait à chaque coup de reins. Bernard agrippa à ses oreilles et s’enfonça dans sa gorge jusqu’à ce que le nez du prof soit au contact de son pubis. À peine capable de respirer, il se sentait sali et dégradé, mais il sentait qu’il aimait ça. Plus le plaisir montait en lui et plus il se sentait "femme", prise par deux vrais bites en chaleur… Il n’entendit même pas d’autres hommes monter dans le van… Michel accéléra et déchargea dans son cul avec un râle.

Le vide froid dans le cul ouvert de Thomas n’allait pas durer. Il fut presque aussitôt remplacé par une nouvelle bite, qui se mit à le pistonner. D’autres mains lui étiraient les mamelons. Le prof tira sur ses liens pour tenter de se soustraire à ces nouveaux arrivants. Quelqu’un lui massait les testicules, on lui griffait le dos et une main lui tirait les cheveux. Il jouit une première fois dans un violent orgasme. Bernard se vida alors dans sa gorge avec un spasme. La queue dans son cul lui limait à nouveau l’anus avec vigueur, son plaisir ne retombait pas. Thomas n’eut guère de temps pour reprendre son souffle, car une autre queue se posait sur sa langue. Ivre de volupté il se mit aussitôt à la pomper avidement. Celui qui lui ramonait le fondement se mit à jouir aussi, le laissant de nouveau béant et frustré. Du sperme coulait le long de ses jambes. Il tendit ses fesses pour accueillir un nouveau mâle, avide de jouir encore.

— ah oui flute les photos! J’ai oublié… Fit Michel qui s’empara soudain du smartphone de Thomas pour prendre des photos et filmer l’orgie.

Les hommes se succédaient dans ses trous offerts, il perdit le compte de ses orgasmes et du temps.

Tous les SDF du quai arrivaient et faisaient la queue à l’arrière du fourgon. Pour une fois qu’ils pouvaient se soulager gratuitement, autant profiter du "Samu sexuel" !

Au bout de deux heures, la camionnette se vida et il ne resta plus personne. Michel qui s’était bien défoulé avec le smartphone de Thomas, refera le van. Il démarra le moteur et revint à la gare. Il détacha enfin le prof qui s’effondra sur le sol, à bout de forces. Thomas s’endormit…. lorsque soudain retentit la sonnerie de son téléphone, il sursauta. C’était Léa. Il ôta son bandeau et prit l’appel encore engourdi de sommeil.

— Alors, tout s’est bien passé vieille salope? Tu t’es bien fait défoncer la chatte?

— …. Il fut incapable de répondre. Son cur se serra.

— Envoie-moi une vidéo pour voir si tu as bien été obéissant!

Tel un automate, Thomas examina les fichiers récents. La mémoire son Samsung était presque pleine! Il joignit trois vidéos tournées ce jour d’après le compteur.

— Voilà Mademoiselle.

— Parfait! Envoie tout Ducon. Dépêche-toi!

Docilement, il obéit. Il se sentait las et brisé. Incapable de lui résister. Sa mâchoire était douloureuse et son fondement le siège d’élancements pénibles. Il y avait tellement de fichiers qu’il fallut plusieurs minutes pour tout transmettre.

— C’est très bien! Je suis très contente de toi ma lopette! Rentre chez toi et lave-toi, c’est fini pour aujourd’hui. Tu recevras de nouvelles instructions demain, bye!

Le prof était abasourdi. Puis il prit soudain conscience de l’endroit où il se trouvait, il s’habilla en toute hâte, quitta et fourgon et se réfugia dans sa voiture. Il était plus de 15h lorsqu’il démarra sa vieille Peugeot et rentra chez lui. À présent sa Maîtresse-chanteuse était en possession de dizaines de vidéos sordides, le montrant jouissant follement au milieu de ces hommes. À présent, il se sentait complètement inféodé et soumis. Elle avait vaincu sa résistance et ses préjugés. Par cette séance douloureuse, elle venait de briser totalement sa volonté. Et pourtant, tout ça ne lui avait demandé à elle que quelques clics. Il était complètement démoralisé. Il se doucha et s’endormit aussitôt.

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