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Des découvertes en pagaille – Chapitre 1

Des découvertes en pagaille - Chapitre 1



C’est ma première histoire sur le site. C’est donc une première pour moi que d’écrire. Cette histoire à vocation à être longue si cela vous plait. Si vous avez des améliorations ou des conseils à me donner, laissez un message sur le forum.

Des découvertes en pagaille

Je m’appelle Maxime, j’avais 18 ans lorsque commence cette histoire. La rentrée en prépa scientifique s’annonçait et tout me réussissait : de très bon résultats scolaires, de très bons amis, une bonne entente au sein de ma famille et avec mes camarades de classe. Une seule chose péchait : les filles. J’avais toujours été un garçon timide, encore plus avec les filles. Les fêtes auxquelles je participais se faisaient rares, et je préférais une bonne soirée de jeux vidéo entre potes à une soirée dansante avec des gens inconnus. Encore plus si ces inconnus étaient des filles.

A l’époque je doutais beaucoup de moi, ce qui expliquait ma timidité. J’étais pourtant plutôt beau garçon avec mes 1 mètre 82, mes cheveux châtains, mes yeux bleus, une musculature un peu développée vu mon goût pour les sports. Parmi mes amis, voici les quelques qui seront utiles à l’histoire que je vais vous raconter. D’autres pourront faire irruption au cours de l’histoire, je les décrirais alors.

Guillaume tout d’abord, un très beau mec, étant sortis avec pas mal des filles du bahut, et pas les plus moches, un féru de la salle de musculation, les cheveux très sombres et une taille identique à la mienne. On était meilleurs amis depuis notre rencontre fortuite en voyage scolaire il y a 8 ans. Il était actuellement en couple avec Alice depuis la fin de l’année de seconde.

Alice était une très belle fille, les cheveux longs et blonds tombant jusque sur ses épaules, un visage d’ange qui avait fait craquer tous les garçons du bahut. Elle était plutôt petite (1m65 et quelques) et fine, mais bien gâtée avec un 85 B et des seins en poires. Elle était très coquette et aimait les robes et les beaux et grands décolletés, au plus grand plaisir de Guillaume et des garçons de la classe. Alice était amie avec Morgane.

Morgane faisait chavirer tous les curs. Elle avait des cheveux d’un noir profond qui contrastait avec son visage rayonnant, son grand sourire et ses yeux verts en amandes. La nature lui avait offert un magnifique 89 C bien ferme et un cul à faire retourner les morts qui, avec son mètre 72 en faisait une magnifique jeune femme. Elle aussi aimait à s’habiller léger, voire légèrement provoquant parfois.

Vient ensuite Rose, ma meilleure amie. Elle aussi était petite, la même taille que Alice, mais elle était un peu plus ronde que Morgane et Alice, affichait un 91 D, des fesses bien remplies. Ses cheveux châtains allaient à ravir avec son grand sourire.

Pour finir il y avait enfin Garance, très bonne amie de Rose, grande (même taille que moi) les cheveux bouclés et châtains, très amusante, avec une poitrine parfaite (un 89 C aussi), des fesses bien rondes qui rebondissaient dans son leggings quand elle marchait.

La rentrée arrivait enfin.

Je me suis réveillé à 8h comme à mon habitude. Il faisait encore chaud en ce début de mois de septembre 2014. La rentrée était à 9H et j’habitais à proximité du lycée. J’enfilais mes habits tirés au hasard dans mon armoire et je descendais déjeuner en vitesse. Je croisais mes deux petits frères de 14 et 11 ans qui partaient eux aussi. J’avalais donc mes tartines et filait à l’école.

Notre classe fut la dernière à quitter l’amphithéâtre, mais le fait qu’Audrey soit notre professeur rattrapait bien cela. Elle était magnifique : 28 ans seulement, une espagnole plantureuse pur souche d’un mètre 75.

Même si j’étais timide et introverti, je ne m’empêchais pas de reluquer lorsque je le pouvais. Que ce soit mes professeurs ou mes camarades. J’étais alors amoureux de Morgane et je fantasmais beaucoup sur elle, tout comme Guillaume avant qu’il ne se range avec Alice (c’était la version officielle).

L’année commençait donc de la manière la plus normale qui soit, nous entrions dans la routine habituelle école-travail-ordi-dodo. Après un mois de cours, l’anniversaire d’Alice approchait et elle avait prévu une soirée pour le week-end prochain en petit comité, au plus grand bonheur des invités. Justement, ces deniers étaient Guillaume, Morgane, Vincent (un très bon ami) et Garance. Nous étions le mardi lorsqu’elle nous l’annonça.

La fin de la semaine fut monotone, mes résultats tournaient autour de 17 sans me forcer et je ne pensais qu’à cette petite soirée, la deuxième seulement à laquelle je participais (la première fois étant une boom en colonie, ce qui ne compte pas vraiment). J’étais excité mais aussi un peu tendu, ne sachant pas comment je devrais me comporter. Guillaume me rassura en me prévenant que l’alcool aiderait à me décontracter, mais aussi à décontracter les autres invités. Guillaume et Morgane devaient dormir chez Alice, Guillaume avec Alice dans le lit des parents afin que Morgane puisse dormir dans le lit de Alice.

Le vendredi, jour de l’anniversaire, arriva. Je faisais un détour par chez moi pour déposer mes affaires, me doucher, m’habiller un peu plus correctement et prendre mon portefeuille afin de ne pas arriver les mains vides. Je passais donc par le supermarché du coin, acheta quelques bières (Guillaume s’était occupé des alcools forts). J’arrivais chez Alice aux alentours de 20 heures, à l’heure précise. Guillaume m’ouvrit, et j’entrais dans la maison de Alice, une maison assez grande en centre-ville d’une ville de banlieue parisienne, dans un style un petit peu bourgeois-bohème. Morgane était déjà là. Mais il manquait Vincent et Garance deux habitués des retards.

Heureusement cette fois-ci le retard ne fut que de 20 minutes. La soirée pu donc commencer et les bières tournaient. On parlait de tout et de rien. Cette soirée s’annonçait salvatrice, et je ne m’en doutais pas encore à quel point. On mangeait les quelques pizzas achetées au commerçant du coin et de fil en aiguille on arriva sur les coups de 23h00.

Chaque personne avait déjà bu 3 ou 4 bières et l’ambiance était vraiment très cool, sans prise de tête. Guillaume amena alors le gâteau avec les 18 bougies ainsi que les cadeaux qui nous avions apportés. Tout le monde chantait et Alice souffla ses bougies. Elle déballa ensuite les cadeaux. Morgane lui avait offert une jolie robe courte à fleurs, couvrant le haut des cuisses, et laissant les bras dégagés. Garance lui offrit une jolie bague, bon marche, mais l’intention y était. Enfin Vincent et moi avions opté pour des produits cosmétiques, choisis sous les conseils de Guillaume. Il fut d’ailleurs le dernier à donner son cadeau. Il était très blagueur et avait un humour parfois graveleux mais sans dépasser les bornes. Il n’avait pas failli à sa réputation.

Alice découvrit deux ensembles de lingerie en dentelle avec porte-jarretelles. Tout le monde éclata de rire et Alice devint toute rouge, elle cacha tout de suite le cadeau essaye de taper Guillaume. Mais il la prit dans ses bras et l’embrassa ce qui la calma. Il était maintenant minuit et Garance et Vincent décidèrent de quitter la fête, un peu fatigués.

Il ne restait plus que Guillaume, Alice, Morgane et moi. Guillaume sortit alors les bouteilles d’alcools forts (vodka et rhum) ainsi que des sodas. On se posa dans le salon et on se mit à boire tout en discutant de tout et de rien. Après une petit heure comme ça, la vodka était fini et le rhum bien entamé. Tout le monde était éméché et la discussion dériva sur le cadeau de Guillaume.

Morgane, qui malgré les apparences était aussi timide que moi, semblait elle aussi complètement libérée. Alice admit qu’elle trouvait le cadeau de Guillaume drôle et qu’elle ne s’y attendait pas, mais lui fit la remarque qu’elle aurait aimé ne pas l’avoir devant tout le monde. Elle alla le chercher pour regarder plus dans le détail ces deux ensembles, qu’elle n’avait fait qu’apercevoir 2 heures plus tôt.

Alors qu’elle le ramenait Guillaume lui suggéra de l’essayer pour que nous puissions voir ce que ça donnait. Elle s’en offusqua d’abord, mais après quelques encouragements de nous trois, et de l’alcool qu’elle avait bu elle accepta. Elle revint deux minutes plus tard en lingerie et tout le monde se tût. Elle était magnifique, le soutien-gorge noir faisait ressortir ses seins car Guillaume avait pris la taille en dessous exprès, les bas affinaient ses jambes et le tout la faisait grandir. Je ne pus retenir un début d’érection, tout comme Guillaume. Nos regards se croisèrent et un petit sourire se perdit. Alors qu’Alice essayait le deuxième ensemble, elle se rendit compte qu’il était un peu trop grand, le produit n’étant pas aux normes européennes, la taille était fausse.

Alice dit alors en rigolant qu’il devrait aller à Morgane. Elle se mit à rougir et il n’en fallut pas plus pour que Guillaume et moi la poussions à l’essayer, très influençable elle accepta. Alice ressortit de sa chambre toujours dans sa lingerie fine et donna l’autre à Morgane pour qu’elle l’essaye. Lorsqu’elle sortit, je crus que mon cur allait s’arrêter de battre.

L’ensemble lui allait parfaitement, englobait ses seins et le remontant légèrement, les bas blancs et la culotte blanche donnaient une impression de pureté, telle la vierge immaculée. Moi qui n’avait jamais vu ça, j’eu une érection bien marquée, Guillaume aussi. Mais Alice était assise sur lui et elle le sentit. Elle lui fit alors un sourire que j’aperçus et l’embrassa. Morgane revint s’asseoir à côté de moi sur le canapé et nous ne savions pas où nous mettre face aux deux tourtereaux qui s’embrassaient.

Morgane m’attirait terriblement et l’alcool aidant je me cola à elle et passa mon bras autour d’elle. Elle se retourna vers moi et je décidais alors de l’embrasser sur la bouche. Elle ne réagit pas durant plusieurs secondes comme tétanisée, puis ouvrit sa bouche me laissa alors champ libre pour lui faire un vrai baiser.

Je savais qu’elle n’avait jamais eu de copain, et je prenais donc toutes les précautions nécessaires. Pour ma part cela c’était limité à une fellation dans une colonie l’année dernière. Je sentis au fur et à mesure de ce baiser qu’elle se décontractait.

Je m’aventurais alors à lui caresser le ventre, le dos, les cuisses afin de ne pas la brusquer. Je lui fis un baiser dans le cou et je me rendis alors compte que Guillaume et Alice entrait dans la chambre des parents de Alice, Guillaume portant Alice dans ses bras. Nous étions maintenant seuls dans le salon. J’osais alors commencer à lui caresser les seins.

En même temps je me levais et la portais moi aussi dans mes bras pour l’emmener dans la chambre d’Alice, pourvue d’un lit double. Je la déposais délicatement sur le lit, retirait mon tee-shirt et mon pantalon puis vient rejoindre Morgane sur le lit.

Je lui faisait des baisers sur le ventre, en remontant vers les seins, comme ce que j’avais pu voir dans certains films. Je lui dégrafais, non sans mal, son soutien-gorge et découvrit une magnifique poitrine ferme et des tétons pointant fièrement vers le ciel. Je les lui embrassais avec ardeur et quelques couinements se firent entendre. Ils étaient durs comme du fer, mais elle m’interrompit.

Elle me repoussa sur le côté, je me retrouvais alors sur le dos à côté d’elle, puis elle me monta dessus. Elle m’embrassa aussi le cou, puis le torse et descendit jusqu’à mon caleçon dans lequel mon sexe était bien à l’étroit. Elle tira dessus et me l’enleva.

Mon sexe était maintenant bien dressé, même s’il ne faisait que 16 cm, et le prit en bouche. D’abord le gland qu’elle léchouilla puis ensuite la hampe. Elle n’avait pas beaucoup d’expérience, cela se sentait, mais elle faisait de son mieux. Je sentais quelques coups de dent, mais rien de bien grave.

Je saisis alors ses cheveux puis commença à imprimer un mouvement à sa tête. Je prenais mon pied et j’étais non loin de la jouissance. Je la prévins et elle eut à peine le temps de quitter mon sexe que de longs jets de sperme vinrent s’écraser sur ses seins. Je décidais alors de la repousser de nouveau sur le côté. Je lui enlevais sa culotte et commençait un cunnilingus. Elle semblait aimer ça puisque qu’elle faisait de plus en plus de bruit. Elle se tortillait dans tous les sens. Je continuais mon cunnilingus en insistant sur le clitoris tout en commençant à rentrer une phalange dans son vagin. Je poussais un peu plus loin et sentit alors son hymen.

Je levais la tête vers elle et elle me fit un hochement de tête entre deux halètements. Je décidais alors de lui faire l’amour. Je pris mon sexe en main et lui titilla le clitoris en faisait des mouvements de haut en bas et en m’enfonçant légèrement entre ses lèvres. Après une minute à faire cela je plaçais ma verge à l’entrée de son vagin et commença à forcer un peu.

Elle gémit et je me retirais donc, puis je m’enfonçais de nouveau un peu plus profond. C’est alors que je sentis son hymen contre mon gland. Je forçais un petit peu et il se déchira. Elle émit un petit cri de douleur, mais je continuai mon entreprise et m’enfonça jusqu’à la garde.

La sensation était incroyable. Ma bite était comme emprisonnée dans un fourreau capitonné. Elle gémit alors très bruyamment et je commençais de lents va-et-vient jusqu’à ce que les cris de douleur se transforment cris de plaisir. J’accélérais donc la cadence et je me mis à la pénétrer rapidement. Ma main gauche malaxait ses seins et ma main droite tenait en place son bassin.

Je prenais de plus en plus de plaisir et elle aussi. Je sentais la semence monter et Morgane se mit à bouger son bassin, de plus en plus rapidement. Elle jouit alors, contractant tous les muscles de son vagin. Cela me provoqua une décharge, et j’eus à peine le temps de sortir mon sexe que je lâchais de longues giclées de sperme sur tout son ventre.

Je remontais alors jusqu’à son visage puis l’embrassa longuement. Elle ne disait pas un mot mais affichait un sourire béat. Je venais de passer la meilleure soirée de ma vie, mais j’étais si fatigué que je m’endormis à côté d’elle. Elle fit de même et se retourna avant de s’endormir.

Fin du chapitre 1

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