C’est un soir de Juillet que nous avons décidé de nous revoir…
Nous nous sommes vus quelques jours avant, avons discuté, et nous nous sommes plus. Peut-être étions-nous assez excités de cette rencontre ?
Je suis arrivé chez toi et c’est avec surprise que tu m’as accueilli ainsi vêtu : tu portais une minijupe, avec des escarpins bas. Tes jambes étaient galbées de collants ou de bas, je ne le savais pas encore, blancs, comme tu me l’avais dit Fines, et sexy, je ne pouvais détacher mon regard de tes si belles jambes.
– Oui !, tu portes des bas, je viens de voir ton porte -jarretelles
Je ne sais pas si tu l’avais fait exprès !
Je te regardais te déhancher en marchant devant moi, nous nous dirigions vers le séjour. Tu étais femme, belle et sexy. Tu étais maquillée, presque outrageusement, nous avions ainsi décidé les choses pour notre première rencontre. Je devais être "libre", et toi, attirante, aguicheuse.
Tu m’as proposé à boire, et tu es allée vers ton bar, un meuble dans ton petit salon, en hauteur Tu t’es tendue vers les bouteilles, et j’ai bien vu tes bas blancs, avec un porte-jarretelles tout aussi blanc.
Ta minijupe devait être le jeu !
En t’approchant de ton bar, je t’ai suivie, petit cochon qui était devenue une belle vicieuse, et je me suis collé à toi, j’étais déjà dur, et ma queue n’a pas eu de mal à trouver l’espace d’entre tes fesses. Mes mains se sont posées à tes hanches, tu es restée immobile ainsi, t’offrant à mes mains.
– Tu es sexy, Blanche !
C’est ainsi que j’avais décidé de t’appeler, puisque nous nous étions rencontrés par Internet autour d’un jeu de sous-vêtements blancs.
Ta poitrine n’avait rien de féminine, on aurait pu dire que tu étais une "plate", mais cela m’a excité quand même ! Je t’ai caressée, toi, toujours immobile, tendue comme si tu allais chercher un trésor sur une armoire. Ton tee-shirt, très moulant, ne faisait sortir que de tout petits seins. Tu étais si féminine ainsi parée, je t’ai caressée. Mes mains ont découvert les plis de ta jupe, tandis que mes lèvres se sont posées à ton cou. Parfumée, et aguichante ! Tu avais tout fait, parfaitement, et nous étions terriblement excités, je pense
Peu de paroles s’étaient dites entre nous, nous savions ce que nous voulions, et je te caressais, je me logeais entre tes fesses. Les mouvements de ton bassin m’indiquaient que tu me sentais, j’étais dur ! Habillé d’un pantalon léger, le tissu de ce pantalon ne pouvait pas cacher que j’avais envie de toi
Tu t’es alors cambrée en me disant :
– On ne se boit pas un petit coup avant ?
– Comme tu veux, mon joli, ou ma jolie ?
– Je préfère ma jolie, je te plais ?
– Oui, bien sûr que tu me plais, sinon, je ne serais pas là, ma jolie
Et j’ai recommencé à t’embrasser dans le cou et à te caresser, mes mains allaient là où cela te faisait plaisir, j’entendais tes soupirs ! Mes mains allaient de tes petits seins à ta taille, puis allaient se perdre à tes jambes, disparaissaient sous ta petite jupe courte, très courte, et parcouraient le haut de tes bas, ton porte-jarretelles. Pour le moment, je ne voulais pas aller plus loin, je voulais te laisser faire un peu les choses alors que j’avais une profonde envie de prendre ta tige dans mes mains. Je parcourais les alentours, je voulais que ce soit toi qui m’indique le chemin, la voie de tes trésors. Je me suis séparé de toi, avec regret, je voulais te laisse aller à ce que tu voulais
Nous avons bu quelques verres en nous disant quelques banalités. Ta voix était particulière, je ne sais pas comment tu le faisais, mais tu paraissais aussi féminine ainsi, et tu n’arrêtais pas de croiser tes jambes. Je te voyais ainsi, avec ta minijupe, je voyais ton porte-jarretelles de façon très fugace, de façon à m’inviter à plus te regarder.
– Je te plais !
Tu t’es ainsi exclamée en te levant, et c’est ainsi que je me suis rendu compte que tu t’étais aussi rasé les jambes. Il m’est arrivé de me raser les jambes, et je sais quel plaisir cela peut procurer.
En te déhanchant avec exagération, tu t’es approchée de moi. Tu me paraissais comme une véritable cochonne, présente à exciter, à aguicher. Nous avions convenu que tu devais être une salope, et moi, l’invité à baiser ! Tu ferais tout pour que nous baisions ! La musique couvrait à peine tes paroles, et je t’entendais me proposer un strip-tease !
Tu t’es mise à danser devant moi, ton bassin bougeait, on aurait dit une danse des fesses, une danse du cul Tu faisais absolument tout pour m’exciter, et tu y arrivais ! Le strip-tease n’eut pas lieu, tu te contentais de te caresser, d’approcher ton corps si près de moi que j’aurais pu t’embrasser, mais à chacune de mes tentatives, tu t’éloignais, me laissant la bouche ouverte en un baiser interrompu.
Tu en riais !
Je me caressais en te regardant, et c’est ce que tu voulais, cochonne !
Tu souriais à me voir ainsi me caresser pendant que tu te dandinais au rythme de la musique. Tu avais dû la choisir, cette musique puisqu’au moment de sa fin, tu ne t’es plus éloignée, et tu m’as invité à te caresser "autrement"
Mes mais se sont posées à tes jambes, je t’ai attirée à moi. La musique repartant, tu as recommencé à bouger, mais là, je t’avais emprisonnée. Ma bouche se posait à tes formes, je te faisais tourner, et tour à tour, je sentais ta tige sous ta le tissu de ta jupe, je sentais tes fesses, et je déposais tes baisers lents et intenses sur chacune de tes faces.
A ce moment, un moment bien précis, tu t’es immobilisée, et tu étais face à moi ! Mes mains sont allées sous ta jupe, et se sont posées à tes fesses. C’est ainsi que je t’ai attirée à moi, d’une telle façon que je sentais ta tige, sous tes tissus, à ma bouche. Tu portais un string, il faudrait que j’essaye de porter des strings, et tes fesses étaient aussi lisses.
Mes mains ont alors changé de rythme. Je me suis aventuré sous ta jupe, sous ton string, et je n’ai pas eu de mal à libérer ta tige. Je sentais la mienne dure, mais la tienne l’était tout autant.
L’alcool que nous avons bu nous a bercé les esprits, et nous étions très excités. Maintenant, ton bassin faisait ce mouvement bien sexe, d’allers en retours, tu t’offrais à moi. Une main s’occupant de ta verge, une autre allant découvrir ta vallée, je te caressais, et tu aimais cela !
– Suce-moi, prends moi la queue, salope !
C’est ainsi que tu m’as enfin invité à te gober. J’ai presque arraché ton string, l’ai mis à tes talons, et tu t’en es débarrassée. Ta queue formait une montagne devant moi, dessous ta jupe. Et c’est cette montagne qui m’excitait ! Je t’ai enfin pris dessous, ma tête a disparu sous les plis de cette jupe si courte, et tu t’es cambrée.
Ta queue était bien lisse, je la voyais, je jouais avec à la caresser devant mes yeux, j’aimais ce moment, m’exciter à te voir, à sentir ton gland me parcourir le visage. Je faisais exprès de me rater, ma bouche était ouverte, tu le sentais bien, mais je posais de multiples baisers le long de ta tige. Parfois, ma langue dardait son extrémité, sans jamais te prendre totalement Je sentais ton odeur de sexe masculin, douce et acre à la fois, et cela m’excitait encore plus. Tu devenais impatient, mais ce jeu me plaisait. Je caressais tes fesses, passais mes doigts entre ton petit trou et tes burnes.
– Suce-moi, fis-tu presque autoritaire, tu en avais assez de ce jeu, et moi aussi !
J’ai alors ouvert ma bouche, et ai pris ta verge de mes mains envieuses pour te diriger là où nous le voulions, dans ma bouche. J’ai commencé cette pipe, je t’ai sucé, pris ta belle queue. Bien droite, je parcourais de mes lèvres toute sa longueur, tu étais presque sur le point d’éjaculer. Je te sentais gonflé, tu t’étais emparé de ma tête pour accompagner ce mouvementJe profitais de cette pipe pour enduire mes doigts du mélange de ton liquide d’homme et de ma salive, un jus bien lubrifiant, un jus bien lubrique. Et je commençais à t’enculer. Le majeur d’une de mes mains n’eut pas de problèmes à trouver ta petite fleur anale.
– Ouahh, Mmmhhh, c’est bon !
Tu as juste dit ces paroles tandis que ta queue disparaissait complètement dans ma bouche et que ton anus s’ouvrait totalement. Ce majeur te martelait presque avec violence, et tu t’ouvrais Manifestement, toi aussi, tu savais ouvrir ton petit anus ! Mon majeur était tendu, et parcourait ton conduit rectal avec volupté tandis que tu te branlais dans ma bouche.
– J’ai envie de toi ailleurs !
J’ai continué à te branler, à te sucer parce que je voulais que tu sois dur en moi. J’étais encore habillé, et c’est avec ta queue dans ma bouche que je me suis déshabillé, j’ai adoré aussi ce moment, celui de me dévêtir alors que tes mouvements devenus forts, et que je me découvrais aussi : j’avais mis mes bas brillants. J’avais eu chaud, jusqu’à présent, mais maintenant, c’est autrement que j’avais chaud, et ailleurs !
C’est avec autorité que tu t’es dégagé de moi, toujours en dandinant de ton joli cul, que tu t’es éloigné de moi, en me faisant signe de venir. Nous sommes arrivés dans ta chambre, sur ton lit, sur lequel trônaient quelques "jouets". Tu t’es alors allongé, ouvrant tes cuisses sur le bord du lit, en te saisissant de ta verge et commençant à te branler. Je finissais de me déshabiller, et c’est totalement nu que je me suis agenouillé entre tes cuisses ouvertes
– Tu vas m’enculer ! t’ai-je dit.
C’est ainsi que je me suis de nouveau jeté à ta queue, à t’enduire de ma salive, mixant branlette et pipe ! Je déposais avec savoir ma salive à ta queue, et faisais en sorte que tu n’en perdes rien. Je te voulais bien lubrifié !
Je me suis séparé de toi ainsi, toujours tenant ta tige, et je suis monté sur le lit, ton lit. En faisant une petite galipette, je me suis placé à toi de façon à ce que tu aies mon cul à ton visage. Mes mains se sont séparées de ta verge, j’aurais tant voulu continuer à te sucer, mais je voulais que tu m’encules, que tu m’enfiles. Tu m’as doucement préparé, je me frottais à ton visage, et je sentais ta langue darder ma petite fleur anale. Tu avais aussi envie de me bouffer, partagée entre l’envie de me prendre les couilles et celle de me lécher l’anus.
C’est moi qui ait fini. J’ai senti ta langue toute dure chercher mon petit trou, et j’ai poussé, comme je sais le faire quand je veux qu’on s’occupe de mon trou C’est ainsi que je me suis "écarté", que tu as senti mon anus se dilater.
– Putain, c’est ton cul que je veux, ton CUL !
– Mmmmmmhhhhh, ais-je "dit" ?
J’étais bien trop excité pour ne pas vouloir ce que tu voulais : m’enculer, et j’avais tout fait pour cela ! Tu t’es emparée de ta queue, te serrant bien à la base, et je m’en suis approché !
Mon anus était tout à l’écoute de ce qu’il pouvait prendre, je bandais comme un fou. Au moment où, tout en glissant le long de ton ventre, j’ai senti le bout de ta queue inviter ma petite corolle à s’ouvrir, j’ai presque joui en te giclant dessus. Je me suis retenu, je voulais jouir avec toi en moi, même si cette "première" fois était bien là.
– Je te sens un peu trop "sec", mon cochon ! Je vais être "obligé" de te sucer encore !
– Tu veux de la crème, de la vaseline ?
– Oui, je veux bien de ta vaseline!
Tu t’es alors relevée, et j’ai enfin vu la beauté de ton cul !
Tu t’étais levé doucement la bassin, tu me présentais la verge sans pudeur, lubrique et luisante ! Je l’ai aussitôt gobée, trop tentante, trop luisante de bonheur ! Et j’ai recommencé une pipe. Et tu te branlais avec joie, je te voyais sourire, tandis que ta queue allait et venait dans ma bouche. Tu te cambrais avec force, plantant ta queue ainsi dans ma bouche, et je te gobais avec bonheur !
Ma main droite était de nouveau partie à ton cul. La ficelle de ton string était revenue à place, et j’ai dû l’écarter. Ton petit trou du cul était ouvert, il attendait mes doigts. Mon majeur s’est accompagné de mon index, histoire de t’élargir plus encore.
J’avais changé d’idée !
Une fois encore, mon esprit est allé plus encore jouissif !
J’ai eu envie de ton jus d’homme bien furtivement, mais me sentir en toi est allé encore plus loin. Je t’ai très bien préparé ainsi, en te caressant la verge tout en me lubrifiant avec ce beurre que tous nous apporté ! En fait, tu as réussi à te séparer de moi en faisant en sorte que je ne le vois pas pour ramener du beurre.
Je me suis ainsi exhibé à toi : ma bouche ouverte, mon majeur faisant mine de te trouver et de de se planter en toi. Et te poussant avec encore plus de force à ma bouche.
Tu es revenue avec une petite motte de beurre dans ta main, et je l’ai prise de mes doigts envieux Tu étais debout au pied du lit, et j’étais allongé sur le ventre, à te gober la verge ! Mais un petit secret se fait toujours vérité : tu m’avais empêché de voir ce si intense dong Tu savais que j’allais te sodomiser, et tu voulais me sodomiser aussi.
– Tiens, mets-toi ça dans le cul, j’ai envie que je te prenne aussi comme une salope pendant tu m’encules !
Qu’il était long, ce dong !, double, avec 2 verges dessinées à chacune de ses extrémités. J’étais maintenant allongé sur le dos. Je t’ai deviné monter sur lit, mais mes yeux, même fermés, plutôt ma langue et mes lèvres t’ont devinée. Tandis que je me plantais un bout de ce dong dans l’anus, ma langue a voulu jouer la téméraire, à te planter. Après t’être frotté à moi, tu t’immobilisais, me laissant tout le plaisir de te lécher l’anus, te lubrifier plus encore. Tu me lubrifiais bien aussi, à me branler la queue.
Puis, tu m’as serré la base de la tige, histoire de me dire que c’était le moment, que j’étais assez dur. Alors, tu t’es séparé de moi, et j’ai vu tes fesses s’éloigner, partir vers d’autres plaisirs. Tu t’es écarté les fesses et tu m’as serré. J’ai senti ta fleur anale s’ouvrir peu à peu. Je voyais ton cul ouvert se placer lentement au-dessus de ma verge. Jusqu’au moment où tu t’es laissé aller, où tu t’es laissé prendre, j’ai senti une immense vague m’emplir, ma verge entrait !
Ton anus était assez lubrifié, et aussi préparé par mes caresses et tes expériences passées, je le prenais ! Je sentais ta couronne autour de mon gland, me serrer plus encore, mais juste le gland. C’était merveilleux, j’entrais en toi et tu glissais, me comprimais juste ce qu’il fallait ! Et toi, ne perdant rien de cela, tu t’es emparé du dong que tu m’as donné dans le cul !
Tu martelais comme un fou, mais j’en étais déçu, de ta queue !!!, alors que ma tige te lisait l’anus avec volupté. Tu montais et descendais le long de ma tige en poussant de petits cris de joie, et toi aussi, tu te martelais !!!
Petit à petit, toujours vêtu, tu m’excitais tant ainsi, moi nu et toi encore parée de petites choses coquines, que tu as fini par te retourner. Je sentais ma queue pivoter en toi à la mesure des mouvements que tu te donnais.
Et une fois face à moi :
– Tiens, salope, tu la vois ma queue ? tu l’auras après !
Et tu as continué à t’empaler le long de mon bâton de feu. Tes cuisses étaient totalement ouvertes quand je me suis emparé de ta tige :
– T’as une belle queue, toi !
Je te branlais en te serrant bien la queue, mais tu ne t’occupais plus de mon cul !!! Tu as alors recommencé un tour, en demi-tour, tout en montant et descendant. C’est moi qui me branlait l’anus. Tes mains se sont jointes aux miennes et imprimaient des mouvements plus forts.
– Prends moi maintenant, j’ai envie de jouir en toi, c’est trop bon !
Je me suis alors écarté brusquement de toi, je n’avais pas encore joui et j’étais encore bien dur, tu as dû te trouver, avec plaisir, entre mes cuisses relevées puisque je t’ai vu sourire à la vue de ma fleur. J’étais totalement ouvert, je venais de retirer le dong, j’étais humide, chaud et lubrifié. C’est presque sans ménagement que ta queue est venue "taper" à ma "porte". J’ai poussé, et ainsi mon anus s’est ouvert, tu l’as vu, et tu es venu te loger en moi. J’ai posé mes chevilles à tes épaules, m’ouvrant plus encore.
Tu t’es alors emparée du gant, et tu m’as nettoyé la verge.
C’est le petit ennui de la sodomie, il faut de temps en temps se nettoyer pour continuer à se donner des plaisirs et cela devient facilement un jeu, se nettoyer et se parfumer !
Et tu m’as martelé, en grognant ton plaisir pendant que je gémissais du mien. J’aurais aimé avoir aussi une queue dans la bouche, tandis que tu me défonçais le trou du cul, mais cela serait pour plus tard. Je me cambrais, en m’écartant les fesses, tu allais et tu venais, sans jamais sortir, et je sentais ton gland se frotter au fond de mon cul. A chacun de ces "contacts", j’étais pris d’une vague de plaisirs sans aucune contenue, d’autant que tu me branlais la queue avec lenteur et force.
Tu t’étais bien enduit les mains de salive et tu t’étais emparée de ma tige. Tout en serrant, tu montais et descendais, et parfois, tes doigts faisaient mine d’être une couronne, et juste au niveau du gland, tu t’arrêtais et tu me donnais de tout petits coups. Quant à moi, mes mains s’étaient posées à tes cuisses, et je t’emmenais avec force en moi, t’aidant à venir t’enfoncer en moi.
Parfois, ton rythme se ralentissait, et tu recommençais ce petit jeu à venir presque sortir ton gland de ma fleur anale, et parfois, tu en sortais et je me sentais ouvert, totalement ouvert, et tu arrivais sans aucun problème à t’enfoncer à peine puis à ressortir. Tu étais tellement excité, et je l’étais tellement que nous faisions durer ces petits moments, tu sortais et tu ne me laissais pas le temps de me refermer, tu rentrais dans mon conduit rectal, de temps en temps, tu étais lent et doux, et de temps en temps, tu venais en moi avec force Mon anus devait être un véritable havre de paix, totalement ouvert car ta queue venait en moi sans problème, j’arrivais dans la somme de tous les plaisirs, à sentir tes couilles contre mes fesses.
Tu continuais à me branler !
Soudainement, tu as arrêté de me branler, tes mains se sont posées à ma taille, et tu as accéléré les mouvements. Tu t’es emparée de moi, et tu t’es accrochée, et tu martelé. Je sentais tes coups de queue, je sentais ta tige de chair aller et venir en moi de plus en plus intensément, de plus en plus absolument. Tu m’avais lâché la verge, et je m’en étais emparé, en la serrant bien à la base, m’exciter plus encore parce que je sentais que tu montais, que ton explosion venait.
C’est dans un râle profond que tu venais !
Je sentais ton sperme gicler avec intensité dans mon conduit rectal, m’emplissant d’une chaleur sexuelle. Je sentais ton jus m’emplir, mais je sentais aussi autre chose : comme une vague de chaleur, d’électricité darder de ton bâton, comme si ton jus s’emparait totalement de moi.
Je sentais d’immenses vagues de plaisir, comme si tu me transmettais ton plaisir. Mon conduit rectal devenait bouillant de ton sperme, de ta jouissance, de notre plaisir, et j’ai aussi grogné, même si je ne jouissais pas encore de ma queue, je jouissais de ton plaisir. J’ai grogné, et finalement, ce sont des petits cris qui se sont échappés de moi, je me faisais plus salope encore, et mes petits cris devaient rythmer des coups encore vigoureux et sensuels entre mes fesses.
Tu t’es totalement vidé en moi, je sentais tes giclées de plus en plus faibles, mais ta verge était bien enduite de ton jus, de ton sperme et des moindres recoins de mon anus devaient s’en échapper de belles coulées ! Manifestement, quand tu jouis dans un homme, dans un anus, tu l’emplis complètement.
Et tu as continué à me marteler le trou du cul pendant quelques minutes, et à chacun des mouvements, nous poussions de tout petits cris de jouissance.
Ta queue s’est ensuite trop amollie pour que tu continues, et nous nous sommes séparés. Tu es monté le long de mon corps, frottant tes fesses, ton cul, ton anus à chaque parcelle de ma peau, m’enduisant ainsi de mon propre sperme, et ce jusqu’à ce que tu finisses par placer tes fesses au dessus de ma bouche.
Tu t’étais accroupie au dessus de moi, t’écartant les fesses, et je pouvais voir ta fleur ouverte, et des coulées de sperme en sortant. Je dardais ton bel anus de ma langue, le calmer de ces joies. J’y enfonçais mes doigts sans problème.
C’est en poussant de mon majeur, que tu as pivoté et que tu t’es ensuite pliée. Tu voulais ma queue, et je bandais, me serrant la queue à la base, et imprimais des mouvements tels que tu as tout de suite deviné ce que je voulais, que tu donnes la pitance à ma queue.
C’est en grognant que tu t’es enfin posé sur moi en un soixante-neuf suave et lubrique. ta queue était encore luisante, mais je n’en voulais pas, et de toute façon, tu ne pouvais plus trop bander pour le moment, tu avais bien trop intensément joui en moi, puis, je devais te laver avant. Je t’ai lavé la queue de ce gant, ami de nos plaisirs.
Tu t’es emparé du dong que tu n’as eu aucun mal à enfoncer en moi, ma corolle anale trop heureuse d’être l’objet de caresses et de jeux. Tu me l’as planté, et a immédiatement commencé à aller et venir. Je ne sais pas comment tu te débrouillais, mais tu arrivais à me marteler encore tout en me suçant et me branlant. J’imagine que le souvenir de tes pénétrations en moi devait jouer à cela, parce que tu ne pouvais t’occuper de moi qu’avec tes deux mains.
En fait, le dong, tu l’avais sorti, tu l’avais posé, mais tu me suçais en me branlant de tes doigts savants. Tu jouais avec agilité de tes doigts, je les sentais remuer en moi, dans mon conduit rectal tandis que tu t’activais à me pomper la verge De mon côté, mon majeur accélérait le mouvement, je te sodomisais d’un seul doigt, mais tu appréciais.
– Vas-y, encule-moi le trou, vas-y fort ! as-tu fini par pouvoir me dire
– Donne-moi le gode, vite !
Et tu m’as donné ce si joli complice de nos plaisirs. Je l’ai lubrifié de ma salive en le gobant comme je l’avais fait de ta tige, et c’est avec douceur que je l’ai introduit en toi. Tu t’es écarté aussi, tu voulais plus encore, et j’ai donc accéléré les mouvements, plus loin et plus forts. Et c’est avec intensité maintenant que je te martelais l’anus tandis que tu me pompais avec force Je pouvais parfois sentir ta langue me prendre comme une sucette, et parfois déposer de petits coups à son extrémité tandis que mon jus, mêlé de ma salive m’aidaient à introduire ce gode en toi. Je te martelais maintenant.
Et tu as changé de jeux, je le désirais maintenant.
Nous nous sommes séparés, et tu t’es retournée. Tu as retiré le gode, et tu l’as remplacé par ma queue. Je me suis légèrement levé et ai plié mes jambes, afin que tu puisses t’allonger. Tu t’es arc-bouté, tu as soulevé ton cul et tu as écarté tes fesses. Je me suis penché, ai déposé quelques coups de langue à ta fleur. Je me suis encore enduit la verge de salive, et je me suis approché d’entre tes fesses. Tu t’es levé doucement, et mon gland est venu recueillir ton anus. Je n’ai pas eu de mal à m’y enfoncer un peu, ton anus se souvenait de mes précédentes visites.
C’est avec lenteur que je me suis enfoncé en toi, je voulais que tu m’accueilles avec joie. J’ai senti ta fleur s’écarter, et je suis alors entré, me cramponnant à tes cuisses, j’ai senti ma verge t’envahir totalement, j’ai senti le fond de ton conduit rectal. Tu t’es encore plus écarté en des mouvements lascifs. A chacun de mes mouvements, je sentais ta corolle anale me serrer le gland, en entrant et en sortant de ton cul.
Et c’est alors que j’ai perdu l’équilibre, je suis sorti de toi, et me suis retrouvé sur le dos. Ton anus était tellement écarté et lubrifié que nous nous sommes ainsi séparés sans mal. Ma queue s’est trouvée toute droite, et tu n’as pu t’empêcher de revenir ainsi, avec rapidité, lestement : tu es venue te placer au dessus de ma queue, et de tes mains, tu t’es écartée ton joli cul, et tu es venu t’empaler sur ma verge. Je t’ai senti de suite totalement presque à jouir de nouveau. Tu t’es immédiatement mis à te branler en montant et descendant sans ménagement le long de ma verge. Tu voulais être maître de ma jouissance, et tu voulais de moi que je me laisse faire, tu voulais maîtriser ma montée, que je vienne doucement, et tu savais y faire.
Tu t’étais totalement empalé sur moi et tu t’es arrêté de monter et descendre, et ton bassin s’est mis à bouger doucement. Ainsi, je sentais tes chairs le long de ma tige, et doucement, ma queue s’emparait de ta fleur rectale. C’est lentement que je me suis senti monté, et tu l’as senti. Tu t’es un peu plus levé, et en posant tes mains de chaque côté de ma tête, tu t’es penchée de telle façon à ce que je sente maintenant ton anus à mon gland, autour de mon gland. J’étais emprisonné de ton rythme, et tu faisais les choses de telle sorte que je sentais ta corolle anale se frotter avec douceur autour de mon gland.
Tes mouvements se sont faits plus rapides, tu recommençais maintenant à monter et descendre. Je sentais avec plaisir le bord de ton anus, l’endroit où le trou est plus étroit et qui serre intensément le gland. Tu grognais et je couinais de plaisir. Je montais, et tu le sentais, et c’est une décharge de joies électriques qui m’emplissait tandis que mon jus emplissait ton conduit anal. Je regardais notre trait d’union, et je pouvais voir aussi ta queue et tes boules ! Je me régalais de voir ma queue apparaître et disparaître entre tes fesses, voir ma queue luisante. Je sentais mon sperme gicler en toi, je jouissais une fois de plus, et je n’en finissais pas de me sentir bouillant.
– Putain, c’est bon !