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Des potes pas si hétéros que ça – Chapitre 3

Des potes pas si hétéros que ça - Chapitre 3



Après ma mésaventure avec Antoine, le frère de Louis, mes ardeurs se calmèrent. Pendant quelques mois, je me contentais de me branler sagement sur internet. Mais bientôt, l’envie me prit d’enculer quelqu’un. Je voulais connaître la sensation de sentir un trou s’élargir au fur et à mesure que j’enfoncerai ma bite dedans. Néanmoins, le petit soucis était que les hétéros aimaient être branler, sucer par des hommes ainsi que les enculer mais dès qu’il s’agissait d’autre chose, ils se renfermaient automatiquement et refusaient tout par peur de paraître gay.

Une soirée chez Timothée était prévu pour le week-end prochain, et j’avais un plan vicieux en tête. Je partis à la pharmacie acheter du viagra et des somnifères puissants puis je revins chez moi en mettant le plan au clair mentalement. La soirée de Tim arriva plus vite que prévu, et finalement je fis la connaissance de beaucoup de ses amis. Ils avaient plutôt un style de racaille, des manières supères machos mais cela m’excitait au plus au point. L’un d’entre eux, Alexandre, m’attirait particulièrement. Il était de taille moyenne, musclé au possible, avait la peau bronzée des portugais et des cheveux châtains coiffés malgré tout soigneusement. Le jeune homme portait un jogging et un débardeur qui découvrait ses bras musclés. Il buvait de la bière et crachait dès qu’il pouvait comme si il avait besoin de donner une preuve de sa masculinité.

Au bout d’un moment, je mis mon plan en action. Quand la soirée battit son plein et que l’ambiance fut au maximum grâce à l’alcool qui coulait à flot, je versai tout d’abord un viagra dans le verre d’Alexandre le plus discrètement possible. Dans la pénombre, avec le mouvement des gens qui dansaient, personne ne m’avait vu: j’en étais rassuré. Une petite demie-heure plus tard, je vis Alexandre commencer à froncer les sourcils, une bosse se voyait à travers son jogging. Il alla s’asseoir, mettant néanmoins sont pull sur ses genoux naturellement. Le viagra faisait effet, je devais passer à la deuxième partie du plan: le somnifère. J’en mis deux dans un verre d’eau que j’allai lui donner: Alexandre ayant bu beaucoup d’alcool, il n’allait probablement se souvenir de rien le lendemain, je n’avais aucun doute à avoir là-dessus.

Au bout d’un moment, Alexandre commença à somnoler et je réagis rapidement: je saisis son bras en expliquant que j’allais veiller sur lui, que c’était peut-être pas anodin, puis je l’emmenai se coucher dans une des chambres de la maison de Tim. Une fois sur le lit, je fermais précautionneusement la porte puis me mit au travail: quelqu’un pouvait rentrer d’une seconde à l’autre, et cela m’excitait. Je m’assurai qu’Alexandre était bien endormi puis je lui enlevai son débardeur, caressant son torse musclé. Je passais ma main sur ses abdos dessinés, venant les embrasser de temps à autre puis j’enlevai son jogging. Il portait un boxer qui laissait voir une impressionnante érection. Je retirai rapidement son boxer, n’en pouvant plus et observai sa bite. Elle était grosse, avec quelques grains de beauté, il l’avait rasé il y avait quelques jours et quelques poils commençaient à repousser. Ses couilles volumineuses m’attirèrent automatiquement et je commençai alors à les lécher tout en regardant son visage endormi. Il était assoupi et ne se rendait pas compte que je le suçais; pourtant sa queue avait des soubresauts tandis que je léchais avec force cette bite d’hétéro. Je branlai le chibre, continuant le travail avec ma langue sur son gland. Je mouillai son frein puis continuai mes mouvements de vas et viens avec ma bouche. Je réessayai de faire une gorge profonde malgré ma mauvaise expérience avec Antoine. J’y parvins plus facilement, et je sentis même Alexandre gémir dans son sommeil.

Après m’être occupé suffisamment de sa bite, je le retournai doucement. Le fait qu’il soit endormi pendant que je le tripotai contre son grès m’excitai terriblement: il ne le saurait jamais, mais il aurait eu une relation gay. Je contemplai cette belle paire de fesse qu’il m’offrait, toutes musclée. Je mis mon doigt sur un grain de beauté sur sa fesse droite puis le passai dans sa raie. Je finis par enfoncer ce dernier avec force. Le passage était difficile: en vrai petit hétéro, Alexandre n’avait jamais touché à son cul. Je mis un deuxième doigts, baisant son trou avec force pour ouvrir le passage. Un troisième vint crisper le corps endormi du jeune homme: je me positionnai au dessus de lui et sortit ma bite toute bandée: je n’en pouvais plus, il fallait que je le pénètre. Sans autre mesure, je mis mon chibre dans son trou et poussait. Alexandre était encore tout fermé, je dus forcer le passage à grand coup de rein tandis que je défonçais son anus avec force. Il aurait crié si il avait été éveillé mais ce n’était pas le cas, son visage endormi ne trahissait rien de la douleur. En revanche, le lendemain matin le garçon n’allait rien comprendre. Je continuais de le pénétrer de plus en plus vite, ma bite épousant à merveille les courbes de son cul. Je n’avais même pas eu besoin de lubrifiant ou de capote. Tout en l’enculant, je le branlais avec force. Je m’acharnais sur son cul comme jamais, me disant que cela serait seulement la seule fois où je pourrais profiter de la sorte d’un hétéro impuissant. Finalement, à force de vas et vient je me sentis venir.

J’arrêtai rapidement mes mouvements pour venir me positionner au-dessus de sa tête: je mis mon gland sur ses lèvres, et je vins prendre sa tête pour le forcer à sucer ma queue. C’était trop bon, sa bouche s’ouvrait de lui-même tandis que je m’amusais à lui faire goûter mon calibre, mes bourses, tout en entier. Je sortis néanmoins pour éjaculer sur sa tête avec force de gémissements de plaisirs. Je le voyais là, recouvert de sperme, lui qui était si fier tout à l’heure de jouer à l’hétéro il avait désormais ma jouissance partout sur lui: du front jusqu’au menton. Après cela, je me mis à quatre patte et le branlai jusqu’à ce qu’il éjacule, toujours endormi. J’avalai chaque goutte de son sperme, puis essuyai le jeune homme: personne ne devait savoir ce qui c’était passé dans cette chambre, pas même Alexandre. Je ressortis alors mine de rien et me rendis en bas où je continuais de faire la fête: ma débauche sexuelle continuait, encore et toujours pour mon plus grand plaisir.

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