Le temps passait et la vengeance d’Antoine ne venait toujours pas. Pourtant, il avait souffert d’un gang bang constitué des potes de son frère, cela devait être plutôt humiliant. Néanmoins, je n’eus plus aucune nouvelle de lui pendant ces semaines. En revanche, je m’amusais bien dans ma classe. Depuis qu’Enzo et Charlie m’avait démonté avant mon prof de sport dans les vestiaires de la piscine, je m’amusais à leur lancer des regards aguicheurs pour les gêner. Les deux hétéros n’avaient plus l’air si surs d’eux et je pensais qu’ils avaient peur que je raconte notre plan à trois à quiconque.
Mais je continuais de jouer. Par exemple en cours, je m’amusais à suçoter doucement mon stylo devant Enzo ou alors je restais un peu plus longtemps que prévu nu dans les vestiaires. Je sentais que des deux garçons, il était celui qui était le plus réceptif à mes avances. A chaque fois que je le séduisais presque ouvertement, il baissait les yeux totalement gêné et fronçait les sourcils comme si ce que je faisais n’avait aucun sens. Pour autant, je ne désespérais pas de retrouver la grosse bite du bel étalon espagnol. Quelle ne fut pas ma déception quand j’appris qu’il s’était mit en couple avec une fille de ma classe! Mon honneur en fut touché et à partir de ce moment là, je continuais de le chauffer partout au lycée.
Au self, quand le garçon était en face de moi, je laissais traîner un peu de yaourt au coin de ma bouche intentionnellement ou alors je me mordillais constamment les lèvres en cours. Vint un jour où j’arrivais dans les toilettes du première étage de mon lycée, pendant une heure de trou, et j’allai pisser aux urinoirs. Quelle ne fut pas ma surprise quand je vis Enzo qui s’y trouvait déjà. Je m’approchai alors avec joie, et profitait du fait que je me soulageais pour regarder le chibre du jeune homme. Sauf que ce dernier s’en rendit compte.
Au début il ne dit rien puis nous finîmes nos affaires et juste avant que je sorte, Enzo me bloqua le passage. Il planta son regard dans le miens et presque à contre cur, car il devait céder à ses pulsions homos, il me dit:
"Mets toi à genoux.
-Pardon?, répliquai-je en haussant les sourcils.
-T’as très bien compris. Tu crois que je vois pas que tu mates ma bite là? Où que tu me chauffes depuis des semaines alors que je suis en couple avec Charlotte? Et bah je te le dis direct, elle couche pas cette meuf et j’ai les couilles qui vont exploser donc tu vas me servir de vide couilles. Mais tu vas fermer ta gueule.
-Parles-moi autrement et on en reparlera, répondis-je avec un faux sourire avant de le contourner pour sortir."
Mais Enzo n’entendait pas les choses de cette oreille. Il me saisit au cou avec force et me força à me mettre à genoux tandis que je me débattais vainement. A vrai dire, je ne m’étais pas beaucoup de cur à la tâche car j’avais affreusement envie de prendre son sexe dans ma bouche à nouveau. L’espagnol le sentait et il m’entraîna dans une cabine de WC. Là, il baissa son pantalon et son boxer, me dévoilant la même bite énorme que dans mes souvenirs. Excepté le fait que cela faisait longtemps qu’il ne s’était pas rasé apparemment, une touffe brune jaillissant au-dessus de son intimité. Je pris donc cette dernière dans ma main et commençai les mouvements de masturbation. Je sentais la peau du garçon qui allait de haut en bas, frottant son gland et lui procurant un plaisir immense. Je touchai à ses couilles effectivement dures qui n’avaient pas du être vidées depuis longtemps, et je finis par prendre le tout en bouche.
Son chibre se moulait parfaitement entre mes lèvres. Je crachai dessus pour que je puisses coulisser plus facilement. Une fois la bite dans ma bouche, je m’appliquai en venant titiller de ma langue ses zones érogènes. Enzo poussait des grognements à intervalles réguliers en m’encourageant de quelques mouvements de bassins. J’embrassai son gland avec passion puis descendis mes lèvres le long du monstre avant de prendre les bourses dans ma bouche. Je les suçai lentement tout en le branlant rapidement. L’espagnol frissonnait de plaisir. Soudain, des bruits se firent entendre à l’extérieur de la cabine, vers les lavabos. C’était quelques mecs qui étaient rentrés pour se rafraichir mais le réflexe d’Enzo fut de m’attirer contre lui et de me forcer à prendre la bite entière en gorge profonde. Ses mains fortes me retenaient contre le sexe tandis que j’allais étouffer. Je voyais ses poils pubiens à quelques centimètres de mes yeux, sentant la forte odeur de sexe qu’ils dégageaient. Ma bite se raidit.
Quand le groupe fut partit, il me relâcha enfin et je voulus me relever pour l’engueuler mais Enzo s’en moqua totalement. Il me retourna, baissa mon pantalon et colla son chibre à mes fesses sans demander quoi que ce soit. J’ouvris de grands yeux indignés mais il se contenta de me baisser la tête, enfonçant progressivement son gland dans mon anus encore fermé. Je frémis, cela faisait tellement longtemps! Il enfonçait doucement son membre à l’intérieur de moi et je ne me sentais pas forcément bien. Je pouvais voir ses abdos se contracter tandis qu’il donnait des coups de bassin. Au bout d’un moment, il rentra la bite en entière en me mettant la main devant la bouche pour ne pas que je cris, puis entama une série de vas et viens qui me firent monter les larmes aux yeux. Lui me regardait d’un air noir, on aurait dit qu’il se défoulait enfin, qu’il se vengeait du fait que je l’ai fais languir pendant tant de temps, qu’il eut du lutter pour ne pas me faire l’amour.
"Merde c’est trop bon, je te jure, t’as le meilleur des petits culs de salope, j’adore te défoncer, me murmura-t-il à l’oreille sans que je ne pus rien répondre"
Il poussait des râles de plaisir à intervalles réguliers. Je décidai alors de changer de position. J’avais envie pour une fois de contrôler la situation. Je repoussai le garçon, puis le poussai sur le siège des toilettes où il attendit, le sexe en érection, que je vienne m’asseoir dessus. Enzo avait l’air de prendre son pied tandis que je descendais et que je remontais le long de ce pénis dur, contrôlant chacun de mes mouvements. Je découvrais enfin les joies de la maîtrise, je n’étais plus l’esclave de quelqu’un mais je choisissais tous les gestes que j’effectuai. Mes lèvres vinrent rencontrer celle du macho qui les embrassa sauvagement en murmurant des paroles coquines à mes oreilles. Je passai une main dans ses cheveux, la descendant ensuite sur son torse musclé au fur et à mesure des vas et viens, allant même jusqu’à mordiller son téton. L’espagnol n’en pouvait plus, et rapidement il s’exclama:
"Putain dégages je vais gicler, je te jure penches toi, prends tout!"
Je m’exécutai rapidement et le finit à la main. Mon nouvel amant jouit sur ma tête, me recouvrant d’un sperme à la saveur délicieuse et je nettoyai le sexe avec passion, le sentant perdre de sa dureté dans ma bouche, ce qui m’excita encore. Je sentais que maintenant que l’acte était passé, Enzo voulait retourner voir ses amis, oublier cette affaire mais goûter à la liberté sexuelle plus tôt m’avait changé. Je me levai sans prévenir et commençai à me branler juste devant ses lèvres. Le jeune homme eut un mouvement de recul, il ne voulait certainement pas prendre un pénis en bouche, mais il n’eut pas le choix. Je bouchai son nez de la façon qu’on me l’avait fait mainte fois auparavant puis j’éjaculai au fond de sa bouche, attendant assez longtemps pour qu’il avale tout avec un air dégoûté.
"Chacun son tours, lui lançai-je avant de me nettoyer le visage pour sortir des toilettes"
Enzo avait l’air relativement choqué de ma nouvelle initiative. Il se racla la gorge puis sortit, intimidé désormais. Je songeai à sa copine qui n’avait aucune idée que son copain la trompait qui plus est avec moi, et j’eus soudain légèrement pitié mais mes désirs sexuels déjà m’empêchaient de réellement culpabiliser: j’en voulais encore et toujours plus.