Après le dîner, chacun vaque à ses occupations. Je suis encore dans mes pensées, je me demande encore si ce qui s’est passé cet après-midi avec Louise est normal. Certes, c’est une belle demoiselle, elle est attirante, et parfois même sexy, mais elle reste ma cousine.
Mon père et Karine discutent, s’embrassent. Ma belle-mère porte une robe courte, elle profite de l’air frais pour se détendre. De leur côté, mon oncle et ma tante regardent la télévision avec les propriétaires de la ferme.
Il est pratiquement vingt-trois heures lorsque la plupart des protagonistes partent en direction des chambres. Je me demande encore ce que va me réserver Louise, après les allusions ironiques concernant mon apprentissage sexuel, si je peux me permettre de le dire ainsi.
Lorsque je rentre dans la chambre, ma cousine semble totalement normale, pas d’attitude potentiellement sensuelle. Elle porte malgré tout, une nuisette plutôt sympathique, elle est noire avec des échancrures en dentelles sur le haut du dos. Je racle tout de même le fond de ma gorge pour signaler ma présence. Elle se retourne, me fait un sourire en coin de bouche puis me fait un signe du doigt pour la rejoindre à la fenêtre.
J’y vois mon père qui bécote encore Karine sur le banc. Je suis plutôt content de le voir heureux et épanoui. Cela lui permet d’avoir un moral au beau fixe après son divorce avec ma mère. Le duo ne s’arrête pas à des bisous doux sur la bouche, puisque mon paternel caresse la poitrine de ma belle-mère à travers la robe.
L’image est assez claire, un spot lumineux éclaire ce petit coin de jardin. Petit à petit, Rodolphe passe sa main sous la robe de madame, il lui touche la cuisse et certainement plus, mais le tissu nous empêche d’en voir plus.
Karine se rapproche de l’oreille de ce dernier, puis les deux tourtereaux quittent le jardin. On les entend à peine monter les escaliers, on entend à peine le bruit de la porte. Ce soir, nous n’en verrons pas plus, mais je suis surpris par l’attitude de Louise. Serait-elle devenue un brin voyeuse ? Comme moi, la veille, lorsque j’ai surpris Catherine et ma belle-mère en train de partager un moment de plaisir. La question mérite d’être posée.
Je rejoins le lit, plus ou moins déçu de ne pas avoir vu plus. Ma cousine semble ressentir la même chose. Elle me rejoint, me câline avec une douceur que je reconnais désormais bien. Nos corps sont proches, et comme d’habitude mon sexe commence à réagir suite à cette approche.
Après un doux câlin, je prends pour une fois l’initiative de l’embrasser, elle ne me repousse pas bien au contraire. Nos langues s’emmêlent, jouent entre elles, puis lorsque nos bouches se séparent un filet de bave apparaît. Je continue mon activité, je lui fais des bisous dans le cou, puis lui enlève avec délicatesse les bretelles de la nuisette.
Les seins de Louise en forme de poire apparaissent désormais sous mes yeux. Je ne peux m’empêcher de les gober et de mordiller les tétons de cette dernière. Avec un brin d’audace, je dirige ma main entre les jambes de ma cousine. Je caresse ses cuisses, puis remonte jusqu’à la lisière de son sous-vêtement.
Je touche sa vulve à travers le tissu. Son souffle commence à s’accélérer puis elle prend l’initiative de me toucher la verge à travers le caleçon que je ne tarde pas à enlever. Ma bite est en érection. Louise se penche en sa direction, puis m’offre une fellation. Elle avale ma tige, titille mon gland, et caresse mes testicules.
Je lui prends la tête entre mes mains, afin de la relever. Je l’embrasse tendrement, puis j’écarte outrageusement ses jambes. Je me dirige en direction de sa vulve, lui enlève son sous-vêtement, un délicieux string en dentelle, puis lui offre un cunnilingus. Je lèche ses lèvres de haut en bas, puis entre deux doigts dans ce doux vagin.
L’effet ne se fait pas attendre puisque les soupirs de Louise sont désormais réguliers. Avec ma langue, je fouille l’intérieur de son antre. La réaction est immédiate, puisque sa mouille commence à être produite par le plaisir. Elle mord même sa lèvre pour éviter de faire trop de bruit. Elle prend ma tête entre ses mains, je me relève, elle souhaite m’offrir ma première fois.
Je lui informe que je n’ai pas de préservatif pour éviter un accident, mais elle ne tient pas compte de cette remarque, l’envie est trop forte. Avec sa main droite, elle saisit ma fesse, puis avec la gauche ma bite. Elle la dirige en direction de son abricot. Je suis à deux secondes de mon dépucelage, si je peux me permettre de le dire ainsi.
Une chaleur particulière envahit mon corps, je me décide à donner mon premier coup de reins. Lors de cette première pénétration, je reste immobile pendant quelques instants.
Louise comprend ma réaction, la sensation est d’une douceur extrême, puis rapidement, je fais des mouvements avec mon corps. C’est un véritable délice, je continue de prendre ma cousine en missionnaire. Petit à petit, j’imprime un rythme un peu plus accéléré. Étant au-dessus de Louise, j’en profite pour embrasser sa poitrine quelques fois.
Désormais, elle prend l’initiative de changer de position. Je me couche sur le dos, et elle s’empale sur mon sexe brillant de mouille. Elle me chevauche avec douceur dans un premier temps, puis devient rapidement une furie. Elle monte et descend sur ma bite à un rythme effréné.
Ses seins ballottent devant moi, la situation est totalement excitante. Je ne maîtrise plus rien. Maintenant, elle me tourne le dos, et reprend sa chevauchée. Ses fesses délicieuses sont dans mes mains. Je profite de cette position pour caresser son petit illet, et même y glisser un doigt. À ma grande surprise, j’y rentre sans difficulté.
Cette action la propulse dans un plaisir intense qu’elle exprime par un grognement assez fort. De mon côté, je sens que la sève monte, je ne vais pas pouvoir me retenir éternellement dans cette situation. Elle se retourne, me fait de nouveau face, et me chevauche à nouveau. Cela doit être sa préférée.
Je l’informe tout de même que je vais jouir. Mais elle ne tient pas compte de cette information. Elle semble hypnotisée par l’activité. Ma bite continue de pénétrer sa vulve, quand je la sens se contracter. Je vois bien qu’elle serre les dents pour ne pas réveiller les habitants de la ferme.
Je reformule mon information, lui dis clairement que je vais jouir. Je n’ai même pas le temps d’avoir une réponse que j’explose dans les entrailles de ma cousine. Nos souffles sont saccadés, afin de me rassurer, elle m’informe qu’il n’y a aucun risque de quoi que ce soit.
Nous nous câlinons, puis nous embrassons de nouveau. Louise m’informe que je suis un bon étalon. Je souris à cette remarque, elle insiste. Après ces derniers mots, nous nous endormons l’un contre l’autre entièrement nus.
Je ne pensais pas perdre ma virginité avec Louise, mais je dois avouer que cette première expérience était d’un délice absolu.
Il est aux alentours de neuf heures lorsque le soleil fait son apparition à travers les volets. Je me réveille en premier complètement nu à côté de ma cousine. J’en profite pour admirer de nouveau son corps. Et surtout le creux de ses reins.
Le fameux sixième sens a dû faire son effet, puisqu’elle ouvre ses yeux à son tour. Elle tourne sa tête en ma direction puis m’embrasse. Je ne peux m’empêcher de la prendre dans mes bras, enfin, plutôt de saisir sa poitrine. Elle semble réceptive à cette approche. Elle imprime un léger mouvement avec son fessier. Bien entendu, ma bite ne tarde pas à durcir.
Je suis surpris de voir qu’elle est déjà humide au niveau de sa vulve, je me frotte contre elle, mais aussi parfois contre le sillon de ses fesses. Je ne me fais pas prier, je prends la hanche de Louise, puis dirige ma verge dans son puits d’amour.
Je pousse légèrement, et me voilà de nouveau dans ce vagin d’une douceur extrême. Un petit cri sort de sa bouche, pas de douleur, mais de plaisir. Contrairement à hier soir, je prends un peu plus d’initiatives. J’imprime un savoureux mélange de mouvements à la fois lents, et rapides. Le bas de mon ventre claque sur les fesses de Louise.
La vision de ce délicieux fessier me fait rapidement vaciller. Du coup, je me positionne en missionnaire afin de mieux me contrôler, mais ce matin, mon corps en a décidé autrement. L’excitation est à son comble. Je pilonne ma cousine avec vigueur, elle m’en mord légèrement le cou, puis au bout de quelques instants, je ressens des contractions dans mon sexe.
Je sens que je vais exploser d’ici peu. Louise doit le ressentir, puisqu’elle appuie avec ses talons sur mon dos. Je sais très bien où elle veut en venir, la situation m’excite tellement que je me répands en elle en un rien de temps.
Je reste malgré tout confus dû au manque d’endurance, mais ma cousine m’informe que c’est totalement normal. C’est tout un exercice de pouvoir durer, mais parfois, une bonne baise, je le dis selon ses mots et tout aussi bien qu’une longue partie de jambes en l’air.
Sur ces derniers mots, on prend la décision de descendre dans la salle de vie de la ferme. Les sourires s’affichent lors de notre arrivée. Les bonjours fusent de chaque bouche, on prend un bon petit-déjeuner, puis Karine la compagne de mon père me propose de l’aider à aller faire le marché dans le village tout proche. J’accepte sans hésitation.
Louise se propose, mais il y a d’autres choses à faire dans la ferme. Je peux ressentir sa frustration, et surtout une pointe de jalousie. J’essaye de la rassurer avec une accolade, mais cela ne semble pas être suffisant. Je lui indique tout de même que cet après-midi, nous irons au bord de la rivière.
Il est pratiquement dix heures, ma belle-mère est toujours aussi sexy, une robe d’été légère laissant apparaître les bretelles blanches de son soutien-gorge. Nous montons dans la voiture, puis nous partons dans le village voisin.