Il est neuf heures, lorsque les odeurs du petit-déjeuner apparaissent dans la ferme. Avec Louise, nous nous réveillons, les enjeux du jour sont bien trop importants. Nous nous câlinons et embrassons, puis nous allons rapidement dans la pièce de vie.
La famille est bien présente, et comme d’habitude, on se salue chaleureusement. Karine est habillée avec sa nuisette noire qui dessine à merveille sa poitrine. Mathieu revient de la cour faisant le constat qu’effectivement, une vitre de la grange a été cassée pendant la nuit, mais que rien n’a été volé.
Catherine est rassurée, et pour tout vous dire moi aussi. La matinée se déroule tranquillement chacun vaque à ses occupations, je garde tout de même un il sur Gérard. En présence de mon père, il est beaucoup moins collant avec ma belle-mère. Comme de par hasard me dis-je.
Le repas se déroule d’une manière totalement classique. Mon père, ma tante, ma cousine et moi parlons de cet après-midi rivière. Karine ne dit pas un mot, alors que le rictus de mon oncle s’affiche clairement. En effet, ma belle-mère a envie de se reposer. Elle devient alors une cible facile pour lui, la présence de Catherine, serait-elle suffisante pour éviter quoi que ce soit ? La question mérite d’être posée après l’échange de plaisir charnel le soir de notre arrivée.
De notre côté, nous partons en direction de la rivière, mais les interrogations ne lâchent pas mon esprit. Gérard, serait-il le seul fautif ? Karine, serait-elle sérieuse ? À vrai dire, je ne la connais pas vraiment.
Comme un imbécile, j’enfonce la roue de mon vélo dans un trou, et tombe. Mon père et ma tante viennent me voir. J’ai le genou écorché. Les deux finissent par partir à la rivière tandis qu’avec Louise, nous retournons à la ferme.
Nous avançons à pas de loup, Catherine est sur la terrasse puis aperçoit ma blessure. Je m’assois puis elle me passe du désinfectant qui me fait grimacer de douleur. Gérard et Karine viennent aussi à ma rencontre. Après tant d’émotion, je prends la décision de partir dans ma chambre pour me reposer. Ma cousine me suit de près.
Il est l’heure de guetter les faits et gestes. Du haut de notre chambre, avec Louise nous surveillons la cour de la ferme. Nous sommes assis sur nos chaises puis nous patientons. Le temps paraît long, quand soudain Karine arrive avec une sorte de transat et s’installe au soleil en maillot de bain.
Pas très loin, Catherine arrive dans la même tenue. Les femmes ont sans doute décidé de s’offrir un bain de soleil. En même temps, je comprends totalement la femme de la maison qui est au four et au moulin depuis notre arrivée.
Elle est plutôt agréable à regarder malgré un léger surpoids. Ses seins tiennent bien en place et ses fesses ballottent d’une façon agréable, mais j’oublie très vite cet instant, car je ne suis pas ici pour la mater, mais pour surveiller quelqu’un d’autre.
Les deux femmes discutent, depuis la fenêtre, il est difficile d’entendre quelque chose. Ma belle-mère, qui est toujours prudente avec le soleil, tend la lotion protectrice à Catherine. Ayant connu un moment intime à notre arrivée, la femme de Mathieu ne refuse pas cette proposition.
Elle met de la crème dans la paume de sa main, puis l’applique sur le dos de Karine. La vision est sensuelle, Catherine masse le dos de ma belle-mère, n’hésite pas à descendre jusqu’à la lisière du slip de bain. Comme hier au bord de la rivière la compagne de mon père baisse les bretelles de son haut pour ne pas le salir, fait de même avec l’élastique arrière.
La femme de Mathieu continue sa prestation en appliquant de la lotion sur les jambes de cette dernière. La sensation semble être divine. Louise est toujours à côté de moi, elle analyse la scène avec attention.
Une fois terminée, Catherine tend le tube de crème à Karine. Celle-ci fait comme la propriétaire des lieux. Elle est légèrement courbée en avant. Elle s’applique pour offrir à la propriétaire des lieux un massage divin.
Les deux femmes se laissent aller, elles se disent seules ici, c’était sans compter sur notre malice. La femme de Mathieu saisit ma belle-mère par le cou, puis l’embrasse. Comme au premier jour, les deux filles se cherchent. Elles se caressent les seins à travers les maillots de bain.
La scène est totalement érotique, mais je remarque tout de même qu’une fois de plus, ma belle-mère cède aux avances de Catherine.
Je trouve tout de même cette image beaucoup moins insultante pour mon père, j’ai du mal à l’exprimer, mais ici, je vois surtout une découverte d’une pratique sexuelle plutôt qu’un acte d’adultère.
Quand soudain, ma cousine me donne un léger coup de coude. Mes yeux sortent de mes orbites lorsque je vois apparaître, Gérard en slip. Le même style de sous-vêtement que la veille. Il racle le fond de sa gorge. Les deux femmes sursautent. Ayant vu la scène depuis la porte d’entrée, il leur dit d’un ton arrogant qu’elles peuvent continuer.
Avec Louise, nous nous devons de nous rapprocher. Nous passons par la porte arrière, puis nous nous positionnons dans l’angle de la grange qui donne sur la cour. D’où on est, personne ne peut nous voir.
Catherine est offusquée par le comportement de l’homme, tout comme par sa tenue inappropriée. Celui-ci lui demande si elle n’avait jamais vu d’autres garçons auparavant. Elle répond par l’affirmative, puis devient silencieuse.
Il interpelle de nouveau les deux femmes en leur disant de continuer leur activité. À ma grande surprise, Karine exécute sans rien dire. Elle embrasse de nouveau la femme de Mathieu, interrogative dans un premier temps, elle se laisse entraîner dans cet échange.
Elle répond à l’échange de langue. Elle se caresse les seins à travers les hauts de maillots de bain, mais Gérard ne l’entend pas de cette oreille. Il passe sa main dans le dos de ma belle-mère, puis lui dégrafe. Sa poitrine est désormais à l’air. Catherine se relève, et fait de même.
Elle prend même l’initiative de malaxer les seins de Karine, quand soudain deux autres mains se positionnent à la même place. Suite à ces premiers attouchements, j’ai une boule amère au fond de mon estomac. Louise est en furie, mais nous ne pouvons intervenir.
Ma belle-mère ne semble pas choquer par la situation, elle a glissé ses doigts dans le slip de Catherine, puis la caresse. Depuis notre position, nous voyons la scène en détail. La femme de Mathieu prend l’initiative d’enlever son bas de maillot. Apparaît alors une toison brune.
Karine se penche en avant pour entamer un cunnilingus. Elle titille le clitoris de la dame. De son côté, Gérard se masturbe en voyant ce qui se passe sous ses yeux. Il profite de la position de la compagne de mon père pour lui enlever son slip. C’est avec surprise qu’elle l’aide en levant une jambe après l’autre afin de lui enlever totalement.
Cette dernière change de position, se met à quatre pattes devant Catherine puis lui écarte les jambes. Elle plonge la tête entre les cuisses de la dame afin de continuer son cunnilingus. Mis à part les bruits de succion, nous ne voyons rien. Mon oncle a enlevé son sous-vêtement, puis présente sa verge devant le visage de la femme à Mathieu.
Elle le prend en main dans un premier temps, puis lui offre une fellation. Elle tète le gland de ce dernier comme un biberon. Après avoir été offusquée, elle devient faible devant cette bite tendue. Elle est certes imposante, mais cela ne doit pas suffire, bref, je ne comprends pas vraiment cette réaction.
Karine est toujours à genoux, continue de faire son cunnilingus à la propriétaire des lieux. Gérard décide de changer de lieu et propose aux deux femmes d’aller dans la pièce principale de la maison.
Elles prennent soin de prendre les vêtements qui sont au sol et le suivent. Avec Louise, nous nous devons de trouver une astuce pour assister à la scène. Il y a une fenêtre totalement ouverte sur la cour, c’est notre jour de chance. On se positionne de chaque côté. La visibilité est idéale.
Les deux femmes ont changé les rôles, elles sont sur le canapé. C’est désormais Karine qui gobe le sexe imposant de mon oncle tandis que Catherine lèche l’abricot épilé de ma belle-mère. La propriétaire y rajoute même deux doigts et fouille son vagin.
Gérard se sent fort et heureux, mais la vengeance sera à la hauteur, à la fois pour lui comme pour la compagne de mon père. Il descend d’un étage et s’offre une cravate de notaire. Malgré la colère, cette scène me provoque une érection. Je me sens honteux de réagir de la sorte.
Mon oncle monte et descend à un rythme affolant entre les seins de Karine. Au bout d’un moment, il la prend par les aisselles, puis l’allonge sur la table de la salle à manger. Il lui écarte les jambes outrageusement, puis frotte son sexe contre les lèvres de ma belle-mère. Catherine se positionne à côté d’eux, prend la bite de l’homme dans sa main puis la dirige en direction du puits d’amour.
Il effectue un coup de reins, le voilà dans les entrailles de madame. Dans un premier temps, il profite de l’instant en faisant des mouvements lents, puis devient rapidement très bestial. Karine crie à chaque pénétration. La femme de Mathieu en profite pour malaxer les seins de cette dernière, puis les pincer. Cela provoque l’excitation de ma belle-mère puisqu’elle grogne de plaisir.
Gérard n’est pas radin dans l’effort. Il change de position. Elle a les mains posées sur la table et offre sa croupe à mon oncle.
Il ne se fait pas prier pour lui adresser une claque monumentale, puis lui saisit les hanches. Il la prend avec beaucoup de vigueur, les seins de cette dernière ballottent de droite à gauche. Il la traite régulièrement de salope, de cochonne bonne qu’à baiser, et elle le suit dans ses paroles en lui disant « baise-moi, baise-moi ».
Mon oncle s’allonge sur le canapé, Catherine observe la scène avec jalousie, car depuis le début, elle n’a pas été pénétrée par l’homme. Elle se contente du minimum en palpant les seins de Karine. Cette dernière s’empale sur la bite de Gérard, puis ne ménage pas ses efforts. Elle se déchaîne comme une furie, monte et descend sur le pieu à un rythme complètement dingue. Ses cheveux blonds virevoltent dans tous les sens.
De mon côté, je suis à la fois dégoûté, mais aussi excité en voyant la scène. Mon érection me fait mal. Louise, quant à elle, est dans une colère noire, cela se voit avec la rougeur de ses joues.
Je me concentre sur la cible principale. Le duo a encore changé de position, cette fois-ci, Karine est à plat ventre sur le canapé. Gérard est contre son dos, et secoue la femme comme un prunier. On peut même entendre le bas de son ventre claquer contre les fesses de cette dernière. Prise par des spasmes, ma belle-mère pousse un grognement immense de plaisir et de jouissance.
Les gestes de Gérard sont aussi saccadés, une phrase de Karine résonne dans ma tête comme un coup-de-poing, « rempli moi, rempli moi ». Quelle salope me dis-je un cours instant.
Mon oncle vacille en entendant cette parole. Son bassin se contracte, il jouit dans les entrailles de ma belle-mère. Au moment de s’échapper, il donne un ordre à Catherine. Elle doit tout nettoyer. La pauvre femme lèche la chatte de Karine, avale le sperme qu’elle récolte. Elle fait de même avec la bite de Gérard.
Avec Louise, nous ne perdons pas de temps, nous partons rapidement en direction de notre chambre. Une fois arrivée, je suis en colère, mais aussi en érection. Ma cousine est quant à elle en furie, mais me voit dans cet état.
N’étant plus puceau depuis trois jours, elle comprend ma réaction. Elle m’aide brièvement à me soulager en m’offrant une fellation rapide. Il ne me faut que quelques secondes pour expulser mon sperme. Elle le boit pour éviter de se salir. Maintenant que l’affaire est terminée, il est l’heure de préparer la vengeance.