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Des vacances et des épreuves – Chapitre 5

Des vacances et des épreuves - Chapitre 5



Où il était question de ma nouvelle condition de lopette et où il sera question de la réalité de ma vie sexuelle.

Comme convenu j’étais au rendez-vous prévu par David. Assise au bar, jambes croisées, je portais le petit string rose de Daniel caché gracieusement par une longue chemise en lin blanc translucide, ce qui me donnait un petit air de gonzesse, ce qui ne me déplaisait en aucune manière. Je fumais une cigarette blonde quand il apparut, sortant de la cuisine. C’était vraiment un beau mec, équilibré, de belle allure et sûr de lui. Il se pencha sur le bar pour m’embrasser sur la bouche et m’invita à le suivre dans son appartement, au premier étage du même bâtiment. Bien entendu il me fit passer devant pour monter les escaliers pour profiter de reluquer mon déhanchement que je m’efforçais d’accentuer pour lui faire plaisir, plaisir qui se transforma en un palpage de fesses réglementaire de sa part. Je souris intérieurement, fière que je lui fasse cet effet.

Son appartement était agréablement agencé, chaleureux et je m’y sentis immédiatement à l’aise. David m’offrit un verre de vin blanc sec et fruité dont je félicitai sa qualité. Il me toisait de son regard bleuté qui me mit tout chose, moi, la petite lopette tout émoustillée depuis ma nouvelle révélation : « J’ai un cadeau pour toi, Pascaline. Je crois que cela va te plaire ! »

-Ah bon ? Comme c’est gentil.

Il déposa un joli paquet rose bonbon devant moi. Je me sentis rougir, très touchée par ce présent inattendu que je déballai délicatement. Il sourit franchement à la tête que j’ai faite lorsque je découvris ce que le paquet recelait ; à l’intérieur, je pus voir une paire de bas nylon rose et de deux sandalettes roses à talons bas !! Je pris les bas dans ma main, sans voix, tétanisée par ces parures si belles, mais si féminines. « Tu aimes ? », me demanda-t-il ?

-Je. C’est très joli, mais C’est pour les femmes ces choses

-Oui, c’est vrai. Et je crois que tu es capable désormais de porter et de t’affirmer comme tel, Pascaline. J’ai parlé avec Stéphane et nous avons conclu que ta destinée est de devenir une jolie petite lopette efféminée. Et je crois savoir que ton dépucelage avec la travestie n’est pas anodin.

-Oui je sais, mais Je ne suis pas sûre d’être une efféminée même si j’aime me sentir lopette.

-Comment le savoir sans avoir essayé ? Non ?

-C’est vrai, mais -ne fais pas ta timide, chérie, et fais-moi le plaisir de les porter pour moi. Si cela ne te convient pas, tu pourras toujours me le dire, non ?

-Oui Je Merci David.

Et voilà que devant un homme, la Pascaline que je suis devenue a glissé ses jambes pour la première fois dans ces si sensuels écrins. Le contact du nylon sur ma peau m’a immédiatement électrisé de plaisir, de douceur et de bonheur. La femme que mes amis m’avaient fait découvrir se matérialisa avec ces deux petits bouts de tissus. David m’enleva ma chemise, et m’aida à lasser les sandalettes à talons avec délicatesse et savoir-faire. J’étais toute chamboulée et ne parvenais plus à rassembler mes pensées tellement que les sensations érotiques de ces habits m’envahirent complètement. Fébrilement, je me mis debout, maladroite et fragile sur mes talons, je fis quelques pas devant lui qui me tenais la main, sentis le frottement de mes jambes gainées, l’une contre l’autre, m’inondant de plaisir. Ma démarche se fit plus sûre, ma joie plus visible. David n’eut aucun mal à deviner mon excitation réelle en baissant mon string afin que ma verge raide dure puisse exprimer toute ma personnalité, ma nouvelle identité.

En l’espace d’un instant, nimbée de ces atours typiquement féminins, je sus qui j’étais réellement et me rappelai les paroles de Catherine la travestie résonner en moi. Les tétons de mes seins se durcirent, mon émoi se transforma en quelques mots : « David, prends-moi, prends-moi tout de suite chéri »

Je me penchai sur le dossier du sofa, tendis ma croupe en chaleur à mon amant : « Viens me baiser, vite, vite, j’en peux plus ! ».

David se posta derrière moi, je sentis sa langue humide me lécher ma petite rondelle d’amour puis son phallus se présenta à l’entrée de ma rosette. Un éclair de chaleur mêlé d’une douleur fulgurante transpercèrent mon anus à peine dilaté, un cri violent s’échappa de moi pour laisser place à une vague de silence remplit de bonheur. Sa matraque phallique de Mâle actif me déchira les entrailles de lopette que j’étais. Je me sentis partir dans une contrée magique, mes pieds ne touchaient plus terre, David m’ayant pris par les hanches et par le cul, me défonça sauvagement durant ce que j’estimais être une éternité de plaisir anal. Je ne m’étais même pas rendu compte que j’avais éjaculé lorsqu’il me démontait encore la rondelle, mon sperme étalé sur le dossier du sofa, et je bandais encore, encore et encore il m’enculait avec ferveur et passion jusqu’à l’ultime jouissance de mon amant qui inonda mon puits d’amour de sa semence masculine en des râles bestiaux tout léonins. Son pieu divin resta en moi, lui s’affalant sur moi, sa sueur, ses muscles sur ma peau laiteuse, mes seins frottant encore sur le daim du sofa, mon sperme dégoulinant sur mes jambes gainées, ma queue encore raide, il me susurra à l’oreille : « Pascaline, tu es la meilleure lopette que j’ai jamais baisée.

Tu vas devenir ma femme, ma muse, ma salope. Je ferai de toi ce que tu n’avais jamais osé t’avouer. Tu seras mienne ».

Sans plus aucune réflexion je lui répondis : « Oui. Je suis à toi et ferai tout pour te rendre heureux. Maintenant je sais qui je suis et pour qui la lopette que je suis doit vivre".

À suivre

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