— Bande de cochons! s’écrie Djinn en riant.
— Vilains voyeurs! Ca vous a plu?
En fait je suis bien contente qu’ils nous aient vus, Julien est fin prêt à remettre ça. J’ai bien l’intention de bisser avec Djinn ou Mylène, mais la petite Fanny m’inspire aussi
Mylène, qui sait recevoir est allée chercher une bouteille de champagne et confie à Julien la délicate tâche de l’ouvrir.
Je ne peux m’empêcher de le mater, sa jolie bite bat au rythme de ses efforts pour sortir le bouchon et c’est très excitant, surtout lorsqu il saute, sa queue accompagne gracieusement le mouvement! Me donnerait-il des idées?
Djinn s’éclipse pour aller prendre une douche. Dommage, son odeur quasi animale mêlée de sueur et de mouille me plaisait bien.
Tout le monde est servi et nous dégustons en silence. J’aime cette ambiance où tout le monde est à l’aise nu, détendu (enfin, toutes, sourire, parce que Juju bande toujours comme un cerf). J’aime le sexe et la complicité que cela induit parfois comme c’est le cas ici.
Il reste un fond de champ’ et Mylène qui ne manque pas d’imagination suggère à Fanny:
— Je sais bien qu’on n’est pas à la Noël, mais pourquoi tu lui ferais pas une pipe au champagne à ton mec?
Sur le coup, Fanny rosit, mais elle réalise qu’elle est à poil, que tout le monde est à poil, que son mec est à point et que si elle ne le fait pas, une autre s’en chargera avec plaisir. Alors elle ouvre la bouche, Mylène y verse le restant de liquide en lui prodiguant ce sage conseil:
— Gardes en un peu pour quand tu avaleras la fumée.
Ca détend l’atmosphère, la brave petite s’agenouille devant son homme et le prend en bouche.
Mylène et moi ne perdons pas une goutte (c’est le cas de le dire) du spectacle qui insensiblement nous chauffe et rallume le feu intérieur. Il faut dire que la jeunette est douée pour le calumet. Elle pompe, aspire, frotte contre sa joue, branle à une ou deux mains le chibre de son copain qui a bien du mal a résister. Mymi, que ça motive, s’est installée entre mes cuisses et me gamahuche en faisant des bruits mouillés.
Quand elle revient, propre comme un sou neuf, Djinn est morte de rire :
— Alors les Shadocks, ça pompe?
Elle est installée près de moi et agace du bout de son joli pied les tétons de Mylène. Julien a une vue directe sur sa chatte et le spectacle, ajouté à celui de Mylène me broutant, sans compter la pipe que lui taille Fanny, ont vite raison de sa résistance. Il envoie la purée sans prévenir, Fanny avale tout consciencieusement en continuant de le branler jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien à téter.
— C’était bon, mon Juju? J’ai adoré, faudra qu’on recommence!
Elle découvre alors Mylène et décide de se faire brouter à son tour en s’installant sur le visage béat de Julien dont la langue entre aussitôt en action. Pour ne pas être en reste, Djinn attire ma tête vers son entrecuisse pour que je lui prodigue les mêmes soins. Mais au bout de peu de temps elle change de place pour venir entre moi et Julien, auquel le goût de la chatte de Fanny redonne des forces. J’ai juste à me tourner pour continuer de la butiner pendant qu’elle fait des pattes d’araignée sur les couilles du jeune homme.
Le sexe se redressant elle s’allonge pour le sucer. De fil en aiguille il est de nouveau utilisable et bientôt la belle Orientale vient s’accroupir sur ce manche, les fesses rebondies de Fanny à portée de vue et de caresse. La jeune femme sursaute mais ne proteste pas quand elle glisse sa main le long de la raie, pas plus que quand elle lui enfonce un doigt, préalablement enduit de salive.
Tout cela bien sur sans que Djinn arrête sa danse du ventre sur le pieu du gamin. Son anus s’ouvre et se ferme au rythme de sa baise, on dirait qu’il respire, c’est si mignon!
Le rythme accélère, elle abandonne la petite pour se mettre en grenouille. Mylène, attirée par le bruit, cesse son turbin pour venir mater à mon côté, vite, jambes mêlées, nous nous branlons réciproquement.
Je suis fascinée par Djinn ou plutôt par le mouvement de ses reins et de son cul de cavale superbe. Elle engloutit la queue de Julien qui participe au mouvement en donnant de grands coups de reins. Fanny vient nous rejoindre, sa position devenant de plus en plus précaire vu la véhémence des baiseurs.
Mais Djinn n’entend pas se contenter comme ça, elle sort le manche de sa chatte, s’écarte les fesses et se l’enfourne dans l’étoile où il trouve son chemin sans difficulté.
Le gamin a du mérite car il ravage littéralement le cul et le pistonne long et profond, pour la plus grand satisfaction de la propriétaire, qui y va également comme une furie, se l’enfonce jusqu’aux couilles en encourageant le gars en le tenant au courant de la montée de son plaisir.
Soudain la perverse retire la bite de son derrière et installe le garçon à 4 pattes pour entamer une feuille de rose qu’elle lui prodigue savamment, j’en sais quelque chose! De temps en temps elle lui gobe les couilles, les lui caresse, il adore être manipulé, tout heureux d’être si bien gâté!
De sa jolie main elle a dégagé la queue bien en arrière et la branle à toute vitesse devant nos yeux étonnés et ravis!
Fanny, bonne fille craignant sans doute que le traitement de Djinn soit trop rapidement efficace, s’est agenouillée et aspire le sexe quand il est à sa portée, le mouillant de sa salive, la bouche grande ouverte.
— T’aime ça te faire traire, mon salaud! On va te les vider tes jolies couilles!
Djinn astique à toute vitesse le manche qui ne va pas tarder à exploser. Quand ça part, Fanny se régale du jus de son mec qu’elle lèche pendant qu’il se rétracte doucement.
J’ai l’impression que Djinn a pris son pied comme ça, elle à l’air vidée et s’est allongée lascivement. Mylène et moi restons sur notre faim, moi surtout, je suis la seule à ne pas avoir baisé avec Julien, pour une fois je n’aurais pas craché dessus (façon de parler!) mais pour le coup le pauvre est hs pour un moment et je n’ai pas à me plaindre de la soirée!
Le spectacle valait le détour! C’était tellement surprenant que j’en oublié de me caresser! Ca n’est que partie remise, j’ai bien l’intention de revoir tous ces joyeuses luronnes et luron, seul(e)s ou en groupe