Schuller de retour. Invitation au restaurant.
La semaine qui a suivi a été une semaine de repos forcé pour moi car je nétais pas en état physique dhonorer mes rendez-vous avec qui que ce soit.
Albert était parti en déplacement, ça tombait bien, et toute cette semaine là, jai essayé de me faire plaisir : shopping, esthéticienne, coiffeur, gym.
Je suis arrivée à contacter Arnault presque tous les jours mais à chaque fois, nos conversations éteint brèves car il était sur le terrain. Lors dun RDV skype, jai vu un paysage de dunes et de rochers avec des camions et des pick-up militaires. Ce genre darrière plan ne me rassure pas du tout.
Le vendredi après-midi, au bureau, jai reçu un coup de fil du service social de létablissement où Schuller poursuivait sa convalescence.
Selon la dame, il allait mieux et son retour à domicile était programmé dans les dix jours. Je lui ai confirmé que son appartement était en état et que je veillerai à ce quil ait tout ce quil faut pour que son aide-ménagère lui prépare ses repas.
Le soir même, jai annoncé cette nouvelle à mon chéri.
« Puisquil est de retour, tu devras te remettre à sa disposition, coquine ! Tu en meurs denvie, je le sais. »
Effectivement, quelques jours plus tard, notre voisin est revenu chez lui, amaigri, fatigué, la marche plus difficile, le pas plus lent mais lesprit vif et la voix ferme.
Lorsque je lai eu au téléphone, il ma juste dit dun ton péremptoire: « Vendredi, 20h dans le hall ! » puis il a raccroché.
Jen tremblais de tout mon corps. Schuller était bel et bien de retour.
Le vendredi, bien évidemment, jétais prête à lheure fixée pour le contenter et le questionnaire dont il attendait le retour était glissé dans une enveloppe disposée dans ma pochette de soirée. Arnault en avait été destinataire prioritaire mais il ne mavait pas livré ses réflexions et jattendais maintenant les réactions du vieux.
Pour satisfaire à la demande de notre vieux voisin, sous un ensemble jupe portefeuille et corsage de soie clairs et discrets, javais revêtu des bas noirs très simples mais fixés par un porte-jarretelle qui faisait partie dun ensemble en dentelle noire acheté pour loccasion.
Cet ensemble était un choix de mon homme qui me lavait indiqué sur un site internet de vente par correspondance.
Les deux pinces étaient posées et pendaient entre mes cuisses. Pas très élégant, ce dispositif, mais très excitant, finalement.
Javais reçu mon ensemble la veille et javais pu lessayer devant la caméra et Arnault lavait trouvé magnifique. Selon lui, il mettait mon corps en valeur et cétait vrai. Jétais hyper-sexy et je me suis longuement contemplée devant mon miroir.
A 20h, jétais dans le hall de notre immeuble. Schuller fût lui aussi exact. Il avait emmené un appareil photo. Le taxi nous attendait ; le même que lors de notre première sortie.
Pendant le trajet, le vieux a passé sa main entre les pans de ma jupe et a joué avec mes bas et mes jarretelles.
il a également exigé que jécarte mes jambes quelques secondes pour vérifier que mes pinces étaient bien en place puis le taxi nous a déposés devant un restaurant très chic du centre ville et on nous a guidés vers un boudoir privé comme seuls certains établissements un peu particuliers le proposent à leur clientèle, des couples légitimes ou non en recherche de discrétion et de sensations.
Un boudoir bien décoré, dans un style ancien et une petite table ronde, avec une nappe allant jusquau sol, bien sûr, nous attendaient.
Dans le coin de la pièce, une desserte assez grande sur laquelle était posé un vase de cristal contenant un magnifique bouquet de rose.
Sur lautre mur, un grand miroir dans un cadre ancien passé à la feuille dor. Rose, feuille de rose, feuille dor ! Ces allusions mont fait rougir. Je repensais à ce que le vieux mavait fait faire, avait exigé de moi, à tout ce que javais du dépasser pour parvenir enfin à enfoncer ma langue dans son anus de vieux porc, pour la faire aller et venir dans ce cloaque. Jen avais le feu aux joues.
Le maître dhôtel nous a installés. Une coupe de champagne nous a été servie. Installé à ma gauche, le vieux a posé son appareil photo sur la table. Il jouait avec la sangle. Il a ouvert la bouche pour la première fois de la soirée.
-« Vous avez rempli le questionnaire ? »
De nouveau, langoisse a envahi mon abdomen, un phénomène incontrôlable.
-« Oui, monsieur ! »
-« Posez-le sur la table ! »
Jai sorti lenveloppe de mon sac à main et lai déposée juste à côté de la main droite de Schuller.
Laraignée sen est prestement emparée puis Schuller a calé ses lunettes aux verres floutés sur le haut de son nez ; son visage luisait déjà de transpiration.
« Bien, nous allons voir cela, le temps que lentrée que jai commandée arrive. Vous avez constaté, ce nétait pas difficile. Il vous suffisait dêtre sincère. Dautre part, vous lavez certainement apprécié, aucune de ces questions ne traite directement de votre vie de couple ! »
-« Oui, monsieur. Je vous en remercie. »
-« Voyons donc vos réponses ! »
Il lisait le document, prenant son temps pendant que je dégustais mon champagne. Il a soupiré. « Je vais devoir synthétiser pour aller à lessentiel. Vous avez connu une relation homosexuelle. Vous me ferez bientôt le plaisir de me la relater dans le détail, bien évidemment, ce sera très excitant. Vous navez jamais connu quune relation sexuelle avec deux partenaires, jamais avec plus de deux partenaires. Vous êtes très attirée par les hommes âgés, voire très âgés, et surtout ceux qui sont laids, voire très laids, sans parvenir à expliquer lorigine de cette attirance que vous qualifiez de surprenante et que le visionnage dun film pornographique a révélé au grand jour récemment. Vous navez jamais vraiment pratiqué le sexe de manière violente, le « rough sex », selon lexpression anglo-saxonne et cette pratique vous effraie « un peu », selon votre expression. » Il a souri, une grimace en fait, puis de nouveau remonté sa paire de lunettes.
Jamais jusque là, on ne vous avait proposé des pratiques sortant, disons, de lordinaire imaginaire érotique bourgeois, mais votre orientation sexuelle vous incite à considérer que vous pourriez, finalement, selon votre degré dexcitation, satisfaire toutes les demandes de votre partenaire. Je dis bien toutes. »
Il sest retourné vers moi. Je retenais ma respiration.
« Cest exact, nous lavons vérifié ensemble ! Les pratiques qui vous font peur et que vous pourriez refuser : pour répondre à cette rubrique, vous avez indiqué : tout ce qui créé scandale public, blesse ou fait vraiment mal et là, vous distinguez la fessée sensuelle ou amoureuse, même appuyée, et lapplication franche du martinet ou du fouet qui marque la peau et peut blesser. Compte tenu de votre goût pour lobéissance, vous êtes cependant disposée, de manière générale, à faire tout ce que votre partenaire commande et à le laisser faire ce quil veut et vous appréciez particulièrement dêtre humiliée. Est-ce bien cela ? Ai-je bien résumé ? Une petite correction au martinet, à loccasion, vous conviendrait donc ! De fait, lapplication de quelques coups de spatule vous a plu, nest ce pas ? Du moins cest ce que jai personnellement constaté. »
-« Oui, monsieur, cest bien cela ! »
Javais les yeux baissés. Je ne pouvais surtout pas mentir.
« Et la cravache ? »
Jai de nouveau baissé les yeux avant de répondre : « Je ne sais pas monsieur ; je nai jamais été corrigée avec ce type dinstrument !»
-« Bien ! Je continue. Comment réagiriez-vous si je vous demande daller satisfaire une autre personne en vous mettant à sa disposition totale, comme vous le faites si bien avec moi ? Une personne, homme ou femme que je choisirai, pour son âge, son apparence physique extrême ou disons, son expérience, son imagination, sa perversité, compte tenu de votre fantasme particulier? »
Jai baissé les yeux avant de répondre dune voix mal assurée: « Je le ferai, Monsieur ! »
« Cela confirme ce que vous avez écrit. Et, pour revenir là-dessus, si je vous livre à des inconnus, dans une cave ou ailleurs ? »
Il insistait du regard, ma réponse a été rapide. Elle a jailli. « Je le ferai, monsieur ! »
-« Bien ! Javais également prévu une question concernant la pratique zoophilique. Vous ny avez pas directement répondu et votre réponse mérite éclaircissements même si, de toute évidence et je vous en remercie, vous avez entendue être sincère ! Vous dites : « Je ne sais pas ! ». Quentendez-vous exactement par cette réponse ? Répondez, je vous prie, de manière plus précise que jy vois plus clair sur ce sujet ! »
Comment répondre, il métait impossible de manifester un refus catégorique compte tenu de la règle posée ? Dire oui demblée métait également impossible sur le plan mental. Comment admettre, en effet, que je pourrais aller jusquà accepter dêtre livrée aux assauts dun animal ?
Ma réponse a été aussi peu claire que possible puisque je me souviens avoir répondu : « En fait, jamais cette possibilité ne ma été proposée. Je sais que cela existe, et que certaines personnes y prennent du plaisir parce quun soir avec mon mari, nous avons été sur un site qui propose le téléchargement de petits films très explicites. Nous avons été intéressés, notre curiosité a été sollicitée, comme sil sagissait dun documentaire sur des pratiques extrêmes, mais sans plus. La mise en uvre de cette pratique ne nous est jamais venue à lidée. Je crois que me connaissant mieux maintenant, tout dépendra du contexte et de mon état dexcitation. En fait, je sais que désormais, je suis capable de faire beaucoup pour satisfaire les désirs de celui qui me commande. Mais, pour linstant, je ne mimagine pas faire cela avec un animal. En plus, jai peur des chiens !»
Il a relevé la tête pour croiser mon regard. «La petite chienne obéissante et bien apprivoisée a donc peur des chiens ! » Il a ricané. « Bien, passons, lentrée arrive ! »
Le garçon a posé les assiettes devant nous.
« Après cette entrée, je vous ai réservé une surprise, un petit extra ! Jespère que cela vous fera plaisir ! »
« Merci, monsieur.»
« Mais dabord, mettez ceci. »
Il avait disposé devant moi deux écrins que jai ouvert avec délicatesse. Le premier contenait une fine chaîne de cheville en or et brillants, le second un collier ras de cou en cuir noir avec, sur le devant, un carré de brillants : de petits éclats de diamant apparemment. Je lai remercié.
Ces deux bijoux étaient superbes. Bien sûr, le collier était dun goût un peu spécial, un peu trop clairement SM pour dire vrai, mais finalement, compte tenu de ce que jétais devenue, pourquoi pas !
« Ces petits diamants vont vous aller à merveille ! Chaque fois que vous viendrez répondre à mon invitation, vous devrez les porter tout comme vous devrez porter les pinces que je vous ai offert ! Au fait, les porter est-il douloureux ?»
« Oui, monsieur. Elles font mal !»
« Les avez-vous desserrées un peu ? »
« Non monsieur ! »
Il souriait. « Cest très bien ! Sachez que si vous êtes sage et obéissante, je les desserrais peut-être à la fin de la soirée avant de les remettre en place. En cas de désobéissance, je devrais au contraire les serrer un peu plus ! »
« Oui, monsieur. Je serai obéissante ! »
Jai commencé par retirer mon collier de perles, le ranger dans ma pochette puis jai mis le collier noir qui était parfaitement à ma taille. Ensuite, après quil mait à nouveau complimenté et que je lai vivement remercié, jai mis la fine chaîne en or à ma cheville. Elle mallait à ravir. Depuis longtemps, je rêvais dun tel bijou dont je percevais toute la dimension sensuelle. Il la admirée et en profité pour caresser ma cheville que javais, à sa demande, posée sur ses genoux.
Il a savouré le soyeux de mon bas de la cheville à la jarretelle et en a profité pour aller plus haut, jouer avec les pinces qui étiraient mes petites lèvres et glisser un doigt habile dans ma fente. Je lai laissé samuser à sa guise ; je lui devais bien cela, puis nous avons savouré lentrée, parfaitement délicieuse, en buvant du champagne. Nos assiettes ont ensuite été desservies et le maître dhôtel sest retiré.
Ce double présent mavait apaisée, « apprivoisée », comme il venait de me le dire en souriant. Il a ensuite voulu prendre quelques photos ; je prenais la pose selon ses instructions et jétais bizarrement détendue. Bien évidemment, il a profité de ma docilité pour exiger de moi des postures très érotiques, très particulières, pour enrichir sa collection, selon son discours.
« Ah, voici venu le moment de votre surprise ; jespère quelle va vous plaire ! »
Les bijoux nétaient donc pas la surprise promise ? Que me réservait-il encore ? Jétais intriguée. Il a agité une petite clochette et un maître dhôtel est entré.
« Faites venir ma commande, je vous prie ! »
« Bien monsieur !» Puis lhomme a quitté la pièce.
Quelques instants plus tard, il était de retour et portait sur son avant-bras une fine écharpe de soie noire. Il sest approché de moi puis avec un ton très respectueux a déclaré : « Si Madame veut bien me permettre ? »
Jai acquiescé et il a noué ce foulard en bandeau sur mes yeux. Je ne voyais plus rien mais je ne ressentais aucune forme dangoisse ; jétais étrangement calme.
« De toute façon », me suis-je dit : « Cest normal puisque ce soir je sais que je ne suis quun jouet à la disposition du vieux. »
« Parfait, préparez la surprise commandée pour madame ! »
La main du vieux sétait posée sur ma cuisse en un geste dapaisement.
« Vous êtes prête ma chère ? »
« Oui, monsieur ! »
Cétait vrai ; javais hâte de vivre ce quil allait me proposer. Mon cur battait simplement de plus en plus vite à cause de ce sentiment dexcitation qui allait en grandissant. Jai perçu que lon déplaçait quelques objets, quune nappe était disposée sur une table.
« Puis-je disposer, Monsieur ? »
« Certainement et puisque tout est en place, faites venir lextra, je vous prie ! »
« Bien monsieur ! »
Le maître dhôtel est sorti puis quelquun dautre est entré. Un homme ; une odeur deau de toilette masculine ma enveloppée.
Il sest approché de moi et a pris ma main : « Si Madame veut bien le permettre ? »
Il a tiré ma chaise, ma aidé à me lever et ma guidée au milieu de la pièce. Le vieux a pris la parole : « Très chère, un coussin a été placée devant vous au sol afin que vous puissiez vous agenouiller confortablement. »
Je me suis donc agenouillée, mefforçant de rester immobile et aussi digne que possible compte tenu des circonstances. Obéir ! « Obéis ma belle, tu es là pour ça. »
« Allez, vous pouvez commencer. »
Le vieux sadressait de toute évidence à lhomme qui mavait aidé à me lever de ma chaise.
Mes fesses reposaient sur mes talons et mes mains sur mes cuisses. Un sexe dhomme est venu se poser sur mes lèvres. Un gland épais et lourd que le vieux ma commandé de parcourir de la langue. Ce gland avait la taille dune petite pomme. « Voici votre surprise, très chère ! Vous plaît-elle ? »
Il a pris une première photo et pendant toute la scène qui devait suivre lappareil na cessé de fonctionner.
« Oui, monsieur ! »
Cétait vrai, pour être honnête, et jai parcouru ce gland lisse, quasi sphérique et sec, de la langue, longuement.
« Dirigez-là, cette petite chienne adore être traitée comme cela !» ordonna le vieux à linconnu.
Celui-ci a pris les commandes du jeu et de sa main a appuyé sur la tête : « Suce ma bite, ma poule! Suce bien, il paraît que tu aimes la bite !»
Le vieux a ricané. Il jubilait. Jai obtempéré. Le sexe circoncis et propre était de taille imposante mais il allait et venait dans ma bouche sans cependant métouffer. Lhomme devait y prendre garde.
« Allez, occupe toi de mes couilles maintenant ! »
Je les ai léchées et parcourues de la bouche. Dures, épilées, parfaitement épilées, il a fait durer ce petit jeu, me demandant ensuite et en complément de caresser lentement son sexe des doigts de mes deux mains. Son sexe était volumineux et jessayais, en le manipulant, dévaluer sa taille. Je suis arrivée à une estimation : au moins 25 cm de long et des doigts dune seule main je ne pouvais faire le tour de la hampe.
« Alors, ma queue te plaît, ma poule ? »
Jentendis le petit ricanement de plaisir du vieux devant cette question parfaitement vulgaire.
« Oui, monsieur ! »
Il ma laissé moccuper de lui un moment puis : « Relève-toi, on va passer à autre chose ! »
Il ma aidé à me relever puis il ma placée face à un mur.« Les mains au mur ; plus bas, tes mains ! Oui, comme ça ! »
Je me suis appuyée sur le mur selon ses instructions et, pendant ce temps, il a remonté ma jupe.
« Ecarte tes jambes, ma poule, que je profite un peu de ton joli petit cul ! »
Ce disant, il a claqué ma fesse de la main droite pour mencourager et a écarté mes fesses pour mater ma chatte, les pinces quil a appréciées et soupesées et mon petit trou.
Le vieux a ricané de nouveau en savourant le spectacle. Il prenait photo sur photo.
Lhomme se préparait. Je lentendais, il devait lubrifier son sexe. Non, pas de sodomie avec ce sexe énorme ! Jai eu un geste de recul et de nouveau, une bonne claque ma corrigée et guidée vers une attitude de raison et de soumission.
Il a appuyé sur le creux de mes reins pour que je me cambre puis a écarté mes fesses et son gland sest finalement présenté entre les lèvres de ma fente. Jétais soulagée et jen ai soupiré daise.
Il ma pénétrée lentement, très lentement mais, malgré la douceur de son geste et le lubrifiant destiné à faciliter cette manuvre, cela a été un peu difficile.
Jessayais pourtant de ne pas me contracter, de ne pas résister. Jattendais vraiment ce sexe en moi ; Il a fini par me pénétrer entièrement et je me suis sentie empalée. Ce pieu me remplissait le ventre et je nosais bouger. Il est resté quelques secondes dans cette position puis sest brusquement retiré.
Je nai pu retenir un cri et le vieux a apprécié. Il ricanait. Il va finir par applaudir ce vieux cochon !
« Encore, voulez-vous ! » Il sollicitait linconnu au gros sexe. Celui-ci, de nouveau, sest lentement introduit en moi puis a attendu quelques secondes, juste le temps pour moi de savourer sa présence, avant de se retirer à nouveau violemment. Jai crié à nouveau et ce petit jeu cruel sest poursuivi, le temps que le vieux finisse par se lasser.
Un certain temps, car il appréciait ce spectacle de ma totale soumission au pilon de cet inconnu ! Jallais mécrouler ! Jétais excitée et appelais ce sexe en moi pour quil me remplisse, quil me défonce et me fasse enfin jouir. Mon ventre appelait la présence de ce sexe énorme.
« Alors très chère, votre surprise vous plaît ?»
Jai gémi avant de répondre : « Oui monsieur ! »
Jétais épuisée par ce petit manège quil trouvait amusant et dont il se délectait! « Jeune homme, finissons-en, je vous prie ! »
Linconnu ma de nouveau pénétré lentement puis a entrepris de me pilonner à grands coups de reins qui me défonçaient le ventre de plaisir. Il était endurant et sous ses coups de reins violents, dévastateurs, mais si bons, jai fini par exploser de jouissance.
« Ca y est, elle jouit! »
Le vieux prenait photo sur photo et je suis tombée à genoux, la tête posée contre le mur ; javais presque perdu connaissance. Jamais je navais connu un tel orgasme. Linconnu est venue devant moi, a relevé ma tête pour retirer le bandeau, ma retourné le buste vers lui et a mis son sexe entre mes lèvres.
« Allez, lèche, tu vas adorer ! »
Son sexe était toujours aussi dur, lisse, maculé de sperme. Ma vue sest éclaircie et tout en léchant ce sexe, jai regardé cet homme. Il avait un visage sans grâce, épais, glabre, les cheveux courts et drus, les yeux noirs et enfoncés dans les orbites ; un corps parfaitement épilé, trapu avec juste un peu dembonpoint et des mains courtes et puissantes.
Il ma de suite fait penser à un professionnel du sexe.
Jai longuement léché et savouré son sexe parfaitement tendu et son sperme comme cela métait commandé, puis il ma aidé à me relever et le vieux ma demandé de reprendre position mains sur le mur. Linconnu ma guidée et a écarté mes jambes.
Il a appuyé sur mes reins pour les creuser et a versé un gel sur mon petit trou. Jai compris et frémi mais jai décidé de ne pas résister. Il a introduit deux doigts en moi pour lubrifier ma muqueuse interne puis posé son gland humide sur mon anneau et a insisté pour le forcer.
Jai crié sous cette poussée et mon anneau sest peu à peu ouvert. Le gros sexe ma pénétrée profondément. Linconnu a écarté mes fesses et a poussé davantage. Il était en moi, à fond et je gémissais de plaisir. Il ma longuement pilonnée. Jétais en feu et mon ventre a fini par exploser à nouveau. Il a continué jusquà jouir en longues giclées dans mes entrailles.
Le vieux sest exclamé : « Elle jouit encore ! Nom de nom, quelle salope !» Il en a ricané et sifflé dadmiration.
Linconnu a claqué ma fesse une dernière fois et je me suis écroulée à genoux, épuisée. Peu à peu, jai repris mes esprits et retrouvé la force de bouger ; linconnu ma aidée à me relever puis le vieux ma donné lautorisation de me rendre dans le petit cabinet de toilette attenant à notre boudoir où jai pu me rafraîchir et réaliser une nécessaire toilette intime. Jai attendu que tout bruit cesse dans le boudoir pour y revenir.
Le vieux mattendait à table et son appareil photo en main, il visionnait tranquillement les clichés. Devant son verre à eau, il y avait une fine cravache noire. A la vue de cet instrument, jai eu peur.
« Vous allez adorer ces photos, ma chère, elles sont superbes ! »
Je me suis assise à son côté.
« Belle soirée, nest-ce pas ? »
Cette question attendait réponse. « Oui, monsieur ! »
« Vous ne pouvez le nier, vous avez été comblée par cette surprise. »
« Oui, monsieur ! »
Jétais épuisée et je ne mentais pas puisque mon ventre était encore secoué de spasmes.
« Le repas qui va suivre va vous aider à récupérer, ma chère, car cette soirée ne fait que commencer. Jattends de vous, en effet, quà chacune de nos rencontres, vous vous surpassiez pour me plaire et me donner du plaisir, nest-ce pas ? Tout le plaisir que je suis endroit dattendre de vous !»
« Oui, monsieur, je vais tout faire pour vous satisfaire ! Vous pouvez compter sur moi ! »
Il a posé sa main arachnéenne sur la mienne.
« Je le sais, et cest pour cela que je vais être très, très exigeant avec vous, de plus en plus exigeant. Cest très excitant pour moi, vous comprenez ? Vous vous rendez compte, le monstre physique que je suis peut satisfaire toutes ses envies, tous ses fantasmes, même les plus inavouables, avec vous si jeune, si belle, un corps parfait, si intelligente et sensible aussi. Votre intelligence et votre lucidité ajoutent à mon excitation, bien évidemment car je perçois parfaitement votre répulsion, vos dégoûts, vos efforts pour les dépasser et finalement me satisfaire et je vais bien en profiter ! Vous devrez être totalement à ma main, cest mon désir et mon objectif. En plus, obéir vous excite et plus ce que lon vous demande est difficile, plus ladrénaline monte en vous et plus vous ressentez du plaisir, cest cela ? Quen dites-vous ? »
Sa main est venue se poser sur ma cuisse : un geste de réflexe recul de ma part puis aussitôt labandon physique total. Il a ricané.
-« Je suis à votre disposition, monsieur et je vais faire tout ce que vous me direz de faire. » (A suivre)