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Dégradation d'un soumis – Chapitre 7

Dégradation d'un soumis - Chapitre 7



Dès le vendredi soir, je me travestis selon les ordres de mes Maîtresses; mon corset me serrait un peu et le string me rentrait dans les fesses. Je tenais plus ou moins l’équilibre sur mes talons aiguilles mais je faisais la joie de Maîtresse Caroline et de Madame.

— Tu es mignon comme cela, me dit ma femme…si tes collègues te voyaient!

Je servis debout les deux femmes à table et je dus les suivre ensuite dans la chambre où on m’ordonna de me mettre à genoux dans un coin et de regarder. Ma femme Brigitte se déshabilla lentement et langoureusement offrant sa croupe et sa chatte à Maîtresse Caroline qui la caressait doucement. Lorsqu’elle fut nue, elle passa ses mains sur les seins de Maîtresse Caroline en présentant sa chatte devant sa bouche. Caroline la mordilla doucement d’abord puis de plus en plus fougueusement. Brigitte poussait de petits cris qui résonnaient douloureusement dans ma tête. Voir sa femme perdre la tête devant sa Maîtresse est très excitant mais aussi très frustrant lorsqu’on ne participe pas à la fête. Brigitte arracha littéralement les vêtements de Maîtresse Caroline et les deux femmes roulèrent l’un sur l’autre, se malaxant les seins et glissant leurs genoux entre les jambes de l’autre. Elles se léchaient les seins, le sexe, les fesses, s’excitant de plus en plus. Je voyais leurs sexes dégoulinant de mouille. Lorsqu’elles relevaient la tête une sorte de mousse entourait leurs bouches. Les petits cris devinrent des halètements sourds d’abord, puis des râles et se terminèrent dans un long feulement. J’étais passablement excité à la vue de ces femelles qui jouissaient dans un ensemble presque parfait. Je bandais terriblement et je ne pus résister à l’envie de me masturber.

Lorsque leurs ébats touchèrent à leur fin, Madame se tourna vers moi et voyant le va-et-vient de ma main sur mon sexe, sortit brusquement du lit.

— Non mais ça va pas; tu crois que tu peux te masturber en nous reluquant. Tu sais bien que tu ne jouiras que lorsque nous te le permettrons. Cela vaut bien une punition n’est-ce-pas Caroline. On ne va pas permettre à ce voyeur de profiter de la situation. Mène-le au grenier…je vais lui ôter l’envie de jouer avec son ridicule petit truc.

Attaché par les poignets, on m’enleva le corset, ne me laissant que le porte-jarretelles, les bas et le string. Puis ma femme avec un plaisir sadique se mit à me fouetter avec vigueur sous les encouragements de Maîtresse Caroline. Après dix minutes, je suppliai Madame d’arrêter; je n’en pouvais plus. Mon dos, mes fesses brûlaient comme si on y avait promené un tison enflammé. Elle me détacha les poignets et par derrière me décocha de sa chaussure pointue un coup de pied dans mes testicules. Je hurlai de mal en tombant par terre. Dans un brouillard, j’entendais les deux femmes rire.

— Tu vois maintenant à quoi ça sert le truc que tu as entre les jambes…c’est pour nous amuser. Ca suffit pour ce soir; nous sortons toutes les deux. Si le cur t’en dit encore tu peux t’occuper de ta queue maintenant.

Je restai prostré sur le sol durant de longues minutes. J’entendis la porte claquer et la voiture démarrer. Je me relevai lentement et j’allai me coucher pour calmer ma douleur et mon humiliation.

Je dormis d’un sommeil de brute. Le lendemain matin, je fus appeler dans la chambre des deux femmes. Maîtresse Caroline prit la parole.

— Nous avons décidé que pour satisfaire tes besoins sexuels, tu aurais droit tous les quinze jours à une masturbation prodiguée par l’une d’entre nous. On te trairas comme une vache. Tu te mettras à quatre pattes et on te branlera jusqu’à ce que tu jouisses. Si l’envie nous prend, on t’excitera un peu avant de la façon qui nous plaira. Mets-toi à poil et à quatre pattes sur la table.

Maîtresse Caroline enleva son peignoir et frotta son sexe contre ma figure pendant que ma femme me "trayait". J’avais l’impression que son unique but était que j’éjacules le plus vite possible. Frustré que j’étais depuis déjà pas mal de temps, je ne pus me retenir longtemps d’autant que la chatte de Maîtresse Caroline m’excitait terriblement. Mon sperme envahit la table et bien sûr j’eus l’obligation de tout lécher.

— Penses que tu vas devoir attendre quinze jours pour rééditer cet exploit. Médites sur les inconvénients qu’il y a à vouloir vivre ses fantasmes. Enfin merci quand même de m’avoir permis de connaître enfin la jouissance avec Caroline. Comment ai-je pu supporter si longtemps tes attouchements insipides et tes pénétrations insatisfaisantes. Profites de ta semaine, car Caroline et moi, avons une surprise pour toi. La semaine prochaine tu connaîtras la vraie nature de ta femme et crois-moi, elle te réserve des surprises.

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