Précédemment : La première semaine a été ponctuée par le voyeurisme dArmelle et moi même pour finalement se terminer en attouchements sexuels et en relations sexuelles buccale respectives.
Le jour même de notre plaisir commun, Armelle et moi fîmes la connaissance de personnes de notre âge.
Dans le lot il y avait, un mec de notre région avec qui elle sortit pendant le reste des vacances, et deux filles.
Lune était de Paris et sappelait Alexa et lautre était de lest et se prénommait Laure. Lune était blonde et lautre brune au teint métis avec des yeux bleus très clair, presque blanc. Je lavoue, jai tout de suite craqué pour elle. Et puis son décolleté me laissait penser quelle avait un magnifique 90C voir D sous ses vêtements.
Nous passions beaucoup de temps tous les cinq, entre la piscine, les longues marches dans les bois et les balades en ville. Les soirées étaient ponctuées de long bavardage autour du lac de notre camping. Au fur et à mesure nous commençâmes à parler sexe.
À notre âge les hormones nous travaillaient beaucoup. Ainsi jappris quAlexa avait des vues sur un mec du camping et que ça lui arrivait de se caresser en pensant à lui. Laure de son côté avait un copain par chez elle. Elle couchait avec lui de manière régulière et aimait le sucer. Heureusement que ce soir là nous étions dans le noir presque total car elles auraient vu lérection fortement prononcer qui déformait mon short.
Armelle et moi rentrions à notre mobile-home quand elle me prit le bras et memmena dans un coin sombre et hors de vue de quiconque. Elle se colla à moi et déposa un baiser sur mes lèvres.
— Je t’ai vu, me dit elle mystérieusement.
— Tu as vu quoi ?
— Je tai vu en train de bander pendant quAlexa et Laure racontaient leurs histoires de cul.
— Et moi, jai vu David la main dans ton boxer, en train de te doigter pendant quelles parlaient. Je parie que tu es toute mouillée.
Jaccompagnais mes mots en glissant à mon tour une main dans son short et son boxer. Elle était trempée. Mes doigts glissèrent facilement sur sa chatte, lui arrachant des gémissements quelle navait pas avec son copain de vacances. Jallais lui retirer son haut lorsquon entendit des gens venir vers nous. Nous nous cachâmes rapidement derrière une cabane à outils et nous attendîmes.
Aux gémissements et aux râles, nous comprîmes que ces personnes étaient venues faire la même chose que nous. Armelle se colla dos à moi et se pencha au coin de la cabane pour les observer faire. Jen profitai pour descendre un peu son short et son boxer, puis je continuai de la caresser. Elle passa la main dans mon short et sortit ma queue. Elle me masturba doucement et jen faisais de même avec elle.
Je la redressai et collai mon sexe contre ses fesses. Mon autre main passa sous son tee-shirt et sous son soutien gorge.
Les râles et les gémissements se firent de plus en plus intense. Les deux allaient venir rapidement.
Nous aussi nous allions venir. Armelle ondulait fortement des hanches et moi je sentais mon sexe se contracter. Elle tourna sa tête vers moi et elle jouit en m’embrassant. Je jouis de mon côté sur ses fesses. Quelques gouttes attirent dans lherbe et sur son boxer en dentelle.
Nous nous éclipsâmes rapidement puis sur le chemin, Armelle me dit quelle savait qui baisait à quelques mètres de nous.
— C’était Alexa avec le mec sur qui elle a des vues.
-Pas possible, rétorquai je. En tout cas ça ta bien excité de les matter.
-Javoue que jaurai bien voulu, ce que javais dans ma main, ailleurs.
Je mentirai si je disais le contraire.
— Il nous faut des capotes, en déduisit elle. Et puis si tu as envie de te faire Laure, il va ten falloir.
— Évidemment.
Le lendemain, nous partîmes assez tôt au village, pour trouver une pharmacie. Malgré le fait que cétait un village touristique, trouver lofficine se révéla digne dune quête dIndiana Jones. Il nous fallut prêt dune heure.
En entrant létablissement était presque vide. Les clients devant nous étaient hollandais et je voyais la pharmacienne se démener à se faire comprendre. Par chance les clients parlaient anglais et Armelle était douée. En deux minutes ils furent servis puis ce fut notre tour.
— Bonjour, je voudrais une boîte de préservatif, sil vous plaît.
— Quelle taille ? Me demanda la pharmacienne dont la blouse menacée de souvrir à cause de sa forte poitrine.
— Normale, répondis je incrédule.
— Je ne crois pas, sexclama soudain Armelle.
— Ah bon?! M’étonnais je.
— Eh oui, mon cher, me dit elle avec un clin dil. Je dirais plutôt grande taille, en se retournant vers la pharmacienne.
Cette dernière partit parmi ses armoires et revint avec un sourire entendu. Je payai, puis nous rentrâmes au camping. Sur la route Armelle les rangea dans son sac, jugeant plus sûr de les garder.
Laprès midi nous allâmes à la piscine rejoindre les filles et David. Armelle lembrassa langoureusement tout en posant sa main sur son entrejambe. Je fis la bise aux filles et Alexa me présenta Jibé, son copain. Je lui fis un clin dil et elle me répondit dun sourire. Nous nous étions compris.
Alexa portait un maillot un pièce entièrement noir qui ne la mettait pas vraiment en valeur. Avec le recul elle devait faire ça pour ne pas attirer les regards sur ses seins qu’elle avait de fort volumineux.
Armelle avait passé son habituelle bikini à motif à fleur. Les deux parties se liant dans le dos pour la partie haute et sur les hanches pour le bas.
Laure nétait pas en reste. Elle portait ce jour un maillot une pièce, certes, mais avec un fort décolleté dont je pus apprécier de regarder ses deux vallées.
Nous passâmes la première heure sur des transats à bronzer, puis Laure proposa de faire un jeu dans leau. Nous nous séparâmes en trois équipes. Alexa et Armelle avec leurs copains et Laure avec moi. Je proposai de jouer au chevalier. Les filles iraient sur les épaules des garçons et elles devraient faire tomber leurs adversaires.
Le premier match eut lieu entre Alexa, Jibé d’un côté et Armelle et David de lautre. Cela ne dura pas longtemps. Jibé sétait bien ancré au sol, permettant à Alexa de pousser Armelle. Celle ci bascula en arrière. La ficelle de son slip de bain saccrocha dans la chaîne de David, et elle se retrouva les fesses nues dans leau. Dans une fausse pudeur elle cria puis se jeta sur le morceau de tissu.
Le deuxième match se passa entre Alexa, Jibé, Laure et moi. Je me jetai dans la piscine puis Laure me rejoignit. Je m’assis au fond de leau puis elle vint sasseoir sur les épaules. Je sentais sur ma nuque le fin morceau de tissu protégeant le fruit que je voulais déguster.
Jibé et moi, nous commençâmes à nous tirer la bourre gentiment, pendant que les filles nous motivaient. Nous nous approchâmes pour que les filles se poussent mutuellement. Nous nétions pas en reste. Jibé faillit me déstabiliser au premier assaut. Mais je reviens aussitôt à la charge. Laure avait compris ce que je faisais et elle insista sa prise sur Alexa. Jallais pousser quand je sentis Laure partir en arrière. Je suivis presque aussitôt.
Sous leau je me retrouvai avec le sexe de ma magnifique brune sur le visage. Nous remontâmes aussi vite à la surface. Elle sexcusa davoir atterri sur mon visage. Et je mexcusai davoir par mégarde toucher son intimité avec mon nez. Elle me fit un sourire et un clin doeil puis me glissa à loreille que ce serait notre secret.
Le reste de laprès midi nous fîmes des concours dapnée avec les garçons et les filles discutèrent chiffon, tout en bronzant.
Vers 18h nous nous séparâmes, nous promettant de nous voir vers 21h. Nous nous dirigeâmes Armelle et moi vers les douches quand Laure nous rattrapa.
— Vous allez aux douches ? Nous demanda t-elle
— Oui, répondis je.
— Je peux me joindre à vous ? Celles à côté de mon emplacement sont pleines.
— Bien sûr, lui sourit Armelle.
Elle partit en passant son bras en dessous du bras droit de Laure et se retourna vers moi en me faisant son sourire coquin.
Ces douches là étaient également bondées. À lexception d’une douche simple et d’une douche suffisamment grande pour accueillir deux personnes. Les filles décidèrent de prendre leur douche ensemble, me faisant fantasmer sur ce qui pourrait se passer.
En entrant dans ma douche, jimaginais leurs deux corps ruisselant, les filles se caressant, se donnant du plaisir. Javais une érection qui aurait plu à Armelle.
Tout en me lavant jentendais les gens sortir les uns après les autres. Il ny avait plus que deux douches fonctionnant. Je crus entendre des gémissements, mais ce devait être mon imagination.
Je sortis avant les filles et je m’installai sur un banc devant lentrée des douches. Elles arrivèrent cinq minutes plus tard. Armelle rayonnait, tandis que Laure semblait gêner par quelque chose. Jessayai de linterroger du regard mais elle fuya mon regard et partit vers son emplacement.
Sur le chemin de retour à notre mobile-home, je demandai à Armelle ce qui sétait passé. Elle me sourit et me répondit simplement.
— Si tu veux savoir si ce sera un bon coup, je te le confirme.
— Attends, la retins je. Quest ce que tu as fait ?
— On sest fait des petits plaisirs. Mais comme cétait sa première fois avec une fille, elle sentais gêner en te voyant.
— Donc j’avais bien entendu des gémissements. Il faudra que tu me racontes ça en détail.
— Seulement si tu es sage, me taquina t-elle.
Nous passâmes les trois heures suivantes avec notre famille puis nous partîmes aussi vite vers notre cachette coquine, découverte la veille.
Je la saisis tout de suite puis je plongeai une main sous son tee-shirt et une autre dans son short. Elle ne portait rien en dessous. Je la caressai pendant quelle me glissa à loreille ce quil était advenu dans la douche.
— En entrant dans la douche jai défait mon soutif de bain et ma culotte. Je me suis mise toute nue devant elle. Elle a préféré garder son maillot. Mais je voyais son regard sur moi quand je me savonnais tout en caressant mes seins et ma chatte..
Jintensifiai mes caresses. Elle frissonna puis reprit son récit.
— Je lai invité en prenant une de ses mains à me toucher. Elle a caressé avec douceur mes seins, puis je lai embrassé. Elle a retiré son maillot. Et oui, mon coquin, elle a des seins plus gros que les miens avec des tétons bien marron. Elle est totalement épilée. Sa chatte est bonne à lecher. Tu vas prendre ton pied.
— Pour le moment je vais moccuper de toi. Tu as pris les capotes ?
— Oui.
Je baissai totalement son short puis je sortis ma queue. Elle me suça un peu puis me mit la capote. Je mallongeai dans lherbe puis elle vint sempaler sur ma queue. Son fourreau était étroit, humide et chaud. Elle montait et descendait doucement. Je voyais ses seins tressautés. Je les saisis et les portais à ma bouche. Mordillant ses tétons, caressant sa chatte en même temps.
Au bout de cinq minutes de ce traitement, je la fis sallonger dans lherbe et elle écarta ses jambes. J’en profitai pour la lecher puis je présentai ma queue à lentrée de sa chatte. Je poussai jsuquau fond doucement mais vigoureusement de ce puits damour. Elle couina plusieurs fois, portant sa main à sa bouche. Elle se retira puis se mit à quatre pattes, m’invitant à la prendre en levrette.
Cinq minutes de ce traitement eurent raison de moi. Je jouis en la pénétrant, emplissant de sperme la capote. Je me retirai et elle se retourna pour me retirer le plastique et suça ma queue tout en la pressant pour récupérer les dernières gouttes.
Nous nous rhabillames puis nous rejoignimes nos amis.
Mais ce que je ne sus que plus tard, c’est que nous avions été espionnés.