Précédemment : je me prends la tête avec Laure qui a découvert ce que nous faisions Armelle et moi. Je nai pas vraiment dormi et je suis allé au village où jai fait la connaissance dEstelle. Cette dernière était un sacré bon coup.
Après le repas je décidai daider Armelle à sa corvée de vaisselle. Nous tournions chacun notre tour à cette corvée. Je me disais quen allant vers elle, je me ferai pardonner plus facilement de mon comportement asociale.
Elle l’avait, jessuyai. Le silence était pesant. Alors que dhabitude nous parlions tout le temps. Je décidai de briser la glace.
— Je te présente mes excuses.
Pas de réaction de sa part. Je me retournai pour voir si nous étions surveillés. Je déposai un baiser dans son cou. Elle ne me repoussa pas. Je collai ma queue gonflée de désir sur son fessier. Elle ne bougea pas. Je sentis même son bassin ondulé. Je me penchai a son oreille.
— Je suis sincèrement désolé. Seulement les évènements dhier soir mont perturbé.
— Lesquelles ? Demanda t-elle.
— Laure nous a vu et si elle est partie aussi vite, cest parce quelle ne voulait plus nous voir.
— Elle nous a vu ? Sexclama t-elle.
— Chut!! Tu veux quon nous voit comme ça ?
— Non tu as raison. Qu’est ce que tu as fait ce matin ?
— Je texpliquerai tout à lheure. Parce quaprès lavoir entendu, tu auras envie.
— Daccord, me dit elle en passant sa main sur ma queue.
La vaisselle fut vite expédiée. Nous partîmes pour la piscine rejoindre nos amis. Comme je my attendais Laure nétait pas là. Elle avait dit aux autres vouloir passer du temps avec ses parents.
L’après-midi fut comme toutes les autres. Bronzette, baignade, jeux entre nous, puis vint lheure de la douche.
Armelle entra la première dans une douche puis je vins la rejoindre. Elle mattendait encore en maillot. Nous nous embrassames tout en defaisant nos maillots. Je pétrissais ses magnifiques seins pendant qu’elle me branlait comme elle savait si bien le faire.
— Alors tu as fait quoi ce matin ? Demanda t-elle entre deux baisers.
— Je suis allé prendre mon petit déjeuner dans le salon de thé. Jai rencontré Estelle. Elle ma invité chez elle.
— Tu las baisé ? Tout en descendant vers ma queue pour me sucer.
— Oui, elle ma demandé de la sodomiser.
— Tu avais mis une capote au moins ?
— Évidemment.
— Et alors ça donne quoi ?
— Franchement cest trop bon. Dailleurs jaimerai bien te le faire goûter.
— Pourquoi pas. Mais dabord je déguste ma sucette préférée.
Elle me prit en bouche puis joua avec mon gland. Elle me faisait plaisir comme à chaque fois. Jallais venir rapidement. Je la prévins. Elle se retira juste à temps. De longs jets de sperme allèrent dans ses cheveux, sur son visage et sur le coin de sa bouche. Elle essuya son visage et la commissure de ses lèvres avec son index et le mit dans sa bouche.
— Ça t’a plu ?
— Comme toujours, ma belle. Maintenant à moi de me faire pardonner.
Je défis le noeud de sa culotte de maillot de bain. Jaccédai à son magnifique abricot. Son clitoris était sorti et ses lèvres luisaient de mouille. Je léchai ce fruit du plaisir. Aspirant ses lèvres tout en introduisant un doigt puis deux dans son vagin. Elle ondulait du bassin tout en me saisissant les cheveux. Elle gémit malgré elle. Les gens autour de nous durent comprendre ce qui se passait.
Je rentrai ma langue dans son sexe en plus de me doigts. Puis je glissai un doigt vers sa rondelle. Jappuyai document sur son illet. Mon doigt entra doucement. Je la sentis se crisper. Malgré cela elle ne se déroba pas. Ma langue glissa vers son illet pour le lubrifier de salive et de sa mouille. Puis je me remis debout. Je la plaquai contre le mur de la douche, dos à moi, et je plaçai mon gland à lentrée de son anus.
Elle se pencha tout en écartant les fesses puis je poussai doucement. La pénétration ne se fit pas comme avec Estelle. Elle était difficile et je voyais que ma belle avait mal.
Je me retirai décidant den rester là. Je la câlinai car elle pleurait. Je me sentais mal pour elle.
— Je suis désolé.
— Ne ten fais pas. Je me suis laissé faire. Nous ne ferons pas plus ce soir, daccord ?
— Oui je suis daccord. Si tu veux, on se fera un câlin avant de dormir.
Elle arrêta la douche. Nous nous essuyâmes chacun de notre côté, puis nous nous habillâmes. Elle sortit la première et je suivis quelques secondes après.
Nous rentrâmes au mobile-home. Jaidais à la préparation du repas pendant que ma belle alla sallonger. Ma mère me demanda comment aller Armelle. Je haussai les épaules lui disant quelle avait peut être ses trucs de filles.
Malgré tout je m’inquiétais. Le repas en cuisson, jallai dans sa chambre. Je la trouvai plier en deux sur son lit, pleurant. Je massis à côté delle, posant une main réconfortante sur son dos.
— Tu as mal ?
— Oui, mais pas là où tu penses. Cest le bas de mon ventre.
— Ça va être la mauvaise période ?
— Oui dans peu de temps.
— Et pour lautre endroit ?
— Jai eu mal mais ça a vite passé, rassure toi. Je pense que tu es un peu trop gros pour passer par là sans préparation.
— Daccord. On mange dans vingt minutes, repose toi.
Finalement Armelle préféra rester au lit ce soir là. Je partis la vaisselle terminée.
Sur la route menant au coin isolé du lac, je rencontrai Laure. Elle se disputait visiblement en étant au téléphone. Elle ne me vit pas tout de suite. Je mapprochai delle sans faire de bruit. Non pas que je voulais espionner sa conversation. Au contraire jespérais plutôt quelle ne me remarqua pas. Je ne voulais pas encore subir un nouvel affront de part.
Pas de bol pour moi, elle avait dû sentir ma présence. Elle se retourna et me regarda venir vers elle. Elle mit fin brusquement à son appel. Je bandais déjà ma volonté, prêt à tout entendre.
— Tu as entendu ma conversation ? Attaqua t-elle demblée.
— Non je nai même pas fait attention, répondis je sur la défensive.
— Tant mieux dans ce cas. Qu’est ce qui tamène par ici ?
— Je vais au feu de camp.
— Ça te dérange si on y va ensemble ?
— Non si tu ne ten prends pas à moi.
— Je ten veux toujours mais je peux passer outre pour ce soir.
Nous continuâmes à discuter sur la route du feu de camp.
— Ta dévergondée de soeur nest pas avec toi, ce soir ?
— Non. Elle ne se sentait pas bien. Les problèmes que vous avez chaque mois.
— Ah daccord. Pour en revenir à ce que je tai dit, hier soir, jy suis peut être allé un peu fort.
— Non il y avait du vrai dans ce que tu as dit. Cest pas franchement sain, cette situation. Depuis hier soir je me dis que si cétait nos parents qui avaient vu, ça aurait pu être difficile à expliquer.
— Cest vrai.
Elle sarrêta subitement. Nous nétions pas loin du coin isolé qui servait aux rencontres sexuelles. Et justement à ce moment là des personnes sadonnaient à ces pratiques.
Elle alla se cacher au coin de la cabane et minvita à la suivre.
— C’est de là, que je vous ai vu, chuchota t-elle. Je me demande qui est en train de le faire, ajouta t-elle en se penchant.
Je pus regarder ses jolies fesses moulées sa robe dété. Je me penchai à mon tour, me collant à elle. Elle sentait très bon. Un mélange de fleur fraîche et de vanille. Sa peau au teint metisse et dorée demandait à être caressé.
Les personnes qui se donnaient du plaisir, s’avéraient être Alexa et Jibé une fois de plus. La belle chevauchait Jibé, montant et descendant sur la queue de son amant. Je vis ses seins rebondir à chaque coup de bite quelle prenait. Ils étaient magnifiques, presque aussi gros que ceux dArmelle ou Laure. Mon pote devait se faire plaisir.
Ma queue grossissait dans mon boxer. Une bosse se forma sur mon short. Et malgré moi cette bosse frottait contre le joli fessier de Laure. Elle dut sen rendre compte mais nen dit rien.
Je men hardis et je décidai de frotter cette bosse plus fortement. Elle ne bougea toujours pas. Javais même limpression quelle appréciait.
Je plaçai mes mains de chaque côté de sa taille et commençai à remonter sa robe centimètre mar centimètre. Je vis le début de son boxer en satin bleu pâle, comme la couleur de sa robe. Je glissai une main sur le devant de son boxer et je vins appuyer légèrement sur son sexe.
Le tissu était légèrement humide au toucher.
Cette coquine était une voyeuse et ça la faisait mouiller.
Notre couple finit son affaire. Ils se rhabillèrent puis partirent vers le lac.
Laure se dégagea de moi. Remis sa robe en place. Me sourit et les suivit à distance, me laissant sur ma faim.
Je me dis quil était temps que je passe à laction avec Laure.