Un corps splendide comme on en voit peu. Des seins surélevés, comme pendus à des ballons. Une fille comme on en voit jamais. Sauf que lautre jeune femme est la seule. La plus jeune Claire, est comme subjuguée par cette diablesse de femme. Claire ne peut détacher son regard de ce corps. Lautre regarde aussi, éclaire, énonce les détails troublants. Envoutée par ces regards gourmands, Claire est prête à se laisser dévorée. Les yeux détaillent son corps, la déshabillent, la troublent. La diablesse est tout prêt, à toucher presque Claire immobilisée par les désirs de ce regard.
Le lieu de la rencontre est propice à ce genre dincident. Une grande plage, entre La Nouvelle et La Franqui. Peu de monde aujourdhui avec ce satané cers qui souffle. Une bourrasque plus forte envole la chevelure longue de Claire. Celle de lautre femme reste immobile, hors du temps. On dirait même que deux petites cornes sortent de ses cheveux. Il nempêche que son corps est admirablement bien fait. Sa stature de blonde nordique lui donne encore un attrait supplémentaire.
Claire la brune méridionale est immobilisée de ce tableau, inexplicablement attirée. Ses poils se hérissent doucement par elle ne sait quel action. Une autre puissance est en elle, elle obéi à un être quelle ne connait absolument pas. Elle rejoint la créature sans crainte, comme attirée par une promesse dun futur immédiat heureux pour elle. Dans un music-hall on dirait que le prestidigitateur la magnétisée.
Brusquement le vent sarrête prés de la diablesse. Claire continue de venir à elle. Elle ne soccupe même pas des rares baigneurs qui peuvent la regarder céder à cette tentation quelle ne connait pas.
La diablesse fait ce quil faut pour que Claire vienne contre elle. Elle la prend dans ses bras, ly enserre, la cloitre. Claire cède en tout ce que veut la diablesse. Son ventre est plein de désirs, elle ne les connait pas du tout. Elle voudrait tout avoir, un vagin rempli dune bite, la bouche pleine dun sexe de femme (alors quelle ne connait pas ce genre de distractions), et même son petit trou voudrait quelque chose dindéfinissable. Ses seins ont besoins dune bouche pour lécher les mamelons, les tétons.Le maillot devient trop petit. Claire ressent le besoin dêtre nue. Bien sur quelle que femmes le sont, mais pour Claire cest impensable pour sa morale propre.
Là, en pleine plage, elle se met nue, totalement nue, sans se préoccuper des autres. Sa petite fourrure quelle protège contre tout est offerte, donnée, livrée, aliénée. Son sexe se mouille de plus en plus. Elle a envie de faire tout ce que la diablesse lui demandera.
Claire est dans le bras de cette autre fille singulière. Elle se frotte à elle, particulièrement contre la poitrine dure. Elle sent de drôles de picotements sur ses seins, sur son ventre, dans son ventre : elle veut que Elle ne sait même pas ce quelle désire tant.
Des mains caressent son dos de haut en bas puis linverse. Au passage ses seins sont caressés magistralement. Ils étaient durs, ils sont intouchables. Son bas ventre se colle à celui de la diablesse. Cest chaud, cest captivant, cest agréable. Enfin les mains caressent les globes. Claire est au 7° ciel rien quavec les mains sur les fesses. Elle monte encore un degré quand une main passe dans la raie.
Claire est serrée contre lautre corps, la main dirige un doigt vers son petit trou. Il ne fait rien de particulièrement désagréable. Il masse simplement le bord, il en fait le tour, il se promène tranquillement. Claire bouge pour que ce sacré doigt reste un peu tranquille sur elle. La diablesse fait durer la tentation, le besoin un bon moment avant de lui donner satisfaction : le doigt entre doucement dans lanus. Claire pousse un profond soupir : elle a eu ce quelle voulait, en partie au moins.
La diablesse embrasse Claire sur la bouche, sa langue entre pour caresser la langue de Claire, immobile de ce plaisir nouveau : une langue de fille en elle ! Quelques personnes regardent ce drôle de couple, certaines femmes envient Claire. Des hommes bandent en voyant le couple commencer un enlacement menant à lorgasme.
Une main passe entre les deux corps : elle se dirige lentement, trop lentement vers la chatte mouillée, gluante presque de Claire pour apporter ce plaisir quelle veut maintenant. Un doigt est dans sa fente.
Il entre encore un peu, dévie avant darriver au but recherché par Claire. Il va tout en bas, plus loin que le périnée. Il se loge sur lanus encore une fois. A croire que la diablesse ne connait que la sodomie. Claire veut être branlée, masturbée, léchée. Même si possible avoir une bite dans la chatte. Mais le doigt entre encore dans le cul. Claire laccepte pour le plaisir quelle a eu tout à lheure. Il entre tout au fond bien plus loin que la première fois. Claire écarte ses fesses, ouvre son cul comme elle peut pour partir dans un autre orgasme.
La diablesse surveille les progrès de Claire dans cette déchéance. Elle la fait coucher sur le sable, Claire se laisse faire quand ses jambes sont écartées. Elle sent avec un plaisir grandissant la langue qui la lèche en montant des chevilles au haut des cuisses. Enfin elle sent un autre bonheur, le meilleur jusquàprésent : la langue qui lèche son abricot. Ce nest pas la première fois quelle a un cunnilingus, mais jamais aussi bien fait. Ce ne sont plus des gémissements : elle cri son bonheur de jouir ainsi. La langue continue à lécher même après lorgasme. Claire se tord dans tous les sens : son plaisir est le premier de ce genre, aussi bien fait, aussi réussit.
La diablesse veut aussi sa part, elle se tourne complètement, pose son pubis sur la bouche de Claire qui voit pour la première fois un sexe (peut-être) féminin. Il comporte tout ce quune chatte peut comporter daprès Claire qui sans gêne tend sa langue pour gouter et lécher le con de sa maitresse.
On ne peut dire qui a jouit la première, sans doute Claire qui se remet de son plaisir quand la diablesse disparait, volatilisée vers léther sidéral peut être..