Cette histoire sera contée avec deux points de vue : celui de notre héroïne, Valentina De Luca et celui de ses conquêtes.
Vu part Valentina De Luca:
Midi, je m’empresse de ramasser mes affaires pour enfin quitter la salle de cours. Je viens tout juste d’avoir 18 ans. 18 ans déjà! Hier encore je me retrouvais à faire des karaokés sur les chansons d’High School Musical, le temps passe si vite. Je parviens à ranger mes cours et je me dirige rapidement devant la sortie, soudainement la voix rauque de mon professeur de science économique et sociale, Mr.Gristier m’interpella : "De Luca, il faut qu’on parle".Milles et une questions traversèrent ma tête, de quoi veut-il me parler? Mes notes sont si catastrophiques? A-t-il remarqué mes antisèches la dernière fois?
"Installe toi ici", je mexécutais sans broncher. Mr.Gristier est un homme très intelligent, il est pas mal foutu pour un homme d’une quarantaine d’années, de soyeux cheveux gris ornent son crâne, il ressemble fortement à George Clooney, aussi sexy que lui, dommage qu’il ne soit pas libre.
"Bon..Je vais te le dire franchement, tu n’auras pas ton bac si tu continues ainsi. Tes notes sont insuffisantes, surtout dans ma matière, que se passe-t-il?"
"Elles sont si catastrophiques ?"
"Catastrophique est un adjectif qui ne peut même pas les qualifier".Putain, je suis vraiment dans la merde. Je ne sais même pas quoi lui répondre.
"Tu devrais prendre des cours de soutien" a-t-il suggéré.
"J’en ai déjà fait mais comme vous le voyez ça ne mène à rien". Il resta muet un moment puis il me dit :"Je te ferai cours tous les mercredi après-midi dans cette salle. Avec 1,5 de moyenne je ne peux pas te laisser foncer contre un mur". Je suis assez contente de voir qu’il donne de l’importance à ses élèves, c’est vraiment un bon professeur. Je me mordille la lèvre une bonne dizaine de seconde avant de le remercier. Je ne sais pas pourquoi mais je très excitée à l’idée de me retrouver seule avec lui.
Vu par Paul Gristier, le professeur :
Midi, ma matinée est enfin finie. Mais avant de partir je dois parler à la petite Valentina De Luca de ses notes pitoyables en SES. Valentina est une très jolie jeune femme, brune yeux marrons tirant un peu vers le noir, une poitrine imposante et un fessier bien galbé. Je l’avoue, je n’arrête pas de la regarder, surtout aujourd’hui, elle est vêtue un débardeur rouge vif avec un décolleté plongeant qui laisse apercevoir sa poitrine nue, elle porte sur ses lèvres un rouge à lèvre mat bordeaux qui fait ressortir ses yeux. Elle est la définition même de la beauté à l’italienne. Je fantasme sur elle depuis quelques mois, je sais c’est mal, je sais aussi que c’est mon élève mais quand je la vois je n’ai qu’une envie : déchirer ses vêtements et de la soulever très fort, l’entendre hurler de plaisir. Je lui demande de sasseoir pour qu’on parle. Bon sang qu’elle est belle. Je lui explique la situation et lui propose des cours de soutien, car malgré tout, elle passe le bac et je ne peux pas la laisser comme ça. Nous avons signé un accord : cours particuliers tous les mercredi après-midi dans cette salle. Avant d’accepter elle se mordille la lèvre, cette action a commencé à me faire bander. Je lui dis au revoir rapidement pour ne pas qu’elle remarque. Je sens que je ne vais pas pouvoir me retenir très longtemps.