Nous sommes donc revenus aux lieux de la fête (chacun par un sentier différent en faisant attention à ne pas revenir à la vie des autres convives en même temps).
Elle est allée tout de suite retrouver ses parents, passablement éméchés, a même fait une bise à son père en me regardant du coin de l’il, il était tellement saoul qu’il n’a pas remarqué l’haleine chargée de sperme (de mon sperme) de sa fille unique adorée… quant à moi, aux anges, détendu et vidé, je suis allé me servir deux flûtes de champagne.
Je suis alors retourné vers Alexandra lui en offrir une et ses parents se sont mis à discuter encore. Je les faisais rire et je trouvais qu’ils étaient impressionnés par ma situation professionnelle et mon érudition. Je savais donc d’où Alexandra tenait cette libido sapiosexuelle débridée.
Leurs parents lui ont même dit à un moment donné de la discussion : « tu vois ma chérie, c’est un homme comme lui quil te faut ». Elle et moi, nous nous retenions d’exploser de rire, peut-être était-ce trop tôt pour avouer que leur fille m’avait divinement pompé le dard alors qu’on s’était rencontré 6 heures auparavant…
Qu’elle avait commencé à me lécher la rondelle et que je comptai bien en faire autant, lui bouffer la chatte et la faire couiner avec ma bite en la prenant par tous les trous dans tous les sens…
Mes parents nous on rejoint, ils avaient l’air d’apprécier Alexandra aussi. Jeune, belle, classe et sexy à la fois. Après mon divorce, ils cherchent à me voir heureux avec une fille. J’ai appris par la suite que les parents d’Alexandra aussi désespéraient de voir leur fille avec quelqu’un de bien…
Je pense même qu’ils ont chacun imaginé de manière fugace une relation, mais ont vite chassé cette idée de leurs têtes.
Vint alors le début de la soirée musicale, une partie du parquet fut libérée et transformée en piste de danse pendant qu’on discutait, quelques chansons joyeuses ont fini d’entraîner l’assemblée à danser de manière endiablée (et passablement éméchée).
Et puis vint « Purple Rain » de Prince, elle dit à ses parents : « allez danser ! », les miens suivirent la cadence. Je me retrouvai seul avec Alexandra, on s’est éclipsés encore une fois…
Elle m’a pris par la main et on est allé à 50 mètres de la fête, près d’une de nos granges. On entendait parfaitement la musique, mais étions seuls au monde… alors on a dansé.
Une danse langoureuse, bouche contre bouche, main contre corps. A se caresser en tournoyant, à se palucher sans respirer pendant toute la chanson, mes doigts dans ses cheveux puis sur tout son dos, ses fesses, ses seins… elle n’était pas en reste… plus elle sentait mon érection grandir, plus elle se frottait contre moi, m’agrippant les fesses (mais qu’est-ce qu’elles ont toutes avec mes fesses ?)
Et puis à la fin de la chanson, je la pris par la main et l’emmenait dans la grange.
Je pris soin de refermer la lourde porte de l’intérieur, ce qui lui fit sortir un petit rire et une question qui restera gravée dans ma mémoire : « tu vas bien t’occuper de moi ? ».
Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais je lui dis : « toute la vie s’il le faut ».
Elle resta muette et me fixa du regard intensément. Alors je l’emmenai avec délicatesse près d’une barrique posée au sol et la fit s’asseoir dessus. Je lui enlevai sa veste, des baisers sur ses bras, puis lui enlevai son débardeur, des baisers sur sa bouche, son ventre, et enfin ses superbes seins, gonflés de désir, les tétons durs comme des petits cailloux, elle était extrêmement sensible des seins alors je les ai avalés enhardi par ses gémissements. Chaque coup de langue la faisait gémir de plaisir, je passais d’un sein à l’autre, entre eux, dessous, à leur naissance sous ses bras aussi et quand je nen avais pas un dans la bouche, mes doigts titillaient ses tétons encore humides de ma salive, je les pinçais puis les léchais… elle adorait cela.
Après 15 bonnes minutes d’amour données à ses deux magnifiques globes de plaisir, mes mains ont descendu naturellement.
Son ventre tout d’abord, doux et chaud, une envie irrésistible de l’embrasser, de coller la tête tout contre. Puis je descendais encore et laissais ma langue (qui est très longue) se faufiler entre son pantalon et le haut de son pubis, elle n’en pouvait plus… elle était prête.
Alors je me suis relevé face à elle et tout en l’embrassant tendrement, me mis à lui ôter un à un les boutons de son pantalon, elle me murmura un « ouiiiii » non équivoque…
Alors je lui ai ôté son pantalon, elle avait fait tomber ses talons hauts avant, mais les avait remis juste après sans même redescendre du tonneau. Elle était là en face de moi, sa peau légèrement bronzée, ses seins blancs avec chacun un mamelon rose en leur centre, ne portant qu’une culotte (de satin blanc) et une paire de talons. Je bandai comme un âne à cette vision féerique.
Un dernier baiser sur ses lèvres (du haut), je descendis lentement, très lentement, ses seins au passage puis son ventre, puis des baisers sur l’intérieur de ses cuisses, ses jambes, ses pieds, puis je me mis à remonter.
Elle n’en pouvait plus, je le sentais, elle voulait ma bouche contre ses lèvres (du bas), alors je lui embrassais le pubis, à travers sa culotte qui avait une belle auréole humide et alors je la lui ôtai.
J’ai alors levé la tête vers elle, elle me regardait avec une expression extrêmement sérieuse et sans quitter son regard, je collai ma bouche contre son sexe qui était intégralement rasé de frais (elle avait eu le même pressentiment que moi ce matin…). Elle plongea la tête en arrière avec un : « oh oui lèche moi bieeeeennnn… »
Aussitôt dit ! Aussitôt fait !
Ma bouche prit ses lèvres en entier, ma langue infatigable (elles le disent toutes) se mit à parcourir chaque recoin de sa jolie petite chatte à tournoyer autour de son clitoris, à tapoter, à laper ses petites et grandes lèvres jeunes et fermes, avec ma spécialité : faire pendant que je la lèche consciemment des « hmmmm » avec ma gorge, les microvibrations apposées sur sa chatte décuplent alors son plaisir.
Et ça, ça me procure un plaisir dingue. Encore mieux que l’orgasme, de savoir que ma partenaire prend réellement son pied grâce à moi.
Et vu ce qu’elle m’a fait en début de soirée, j’ai l’impression qu’elle est sur la même longueur d’onde. On est fait pour s’entendre donc…
J’ai ressenti trois orgasmes durant ce cunnilingus endiablé. Trois fois, elle criait mon nom (étouffé par la musique de dehors) et je sentais ses cuisses serrer ma tête, son corps se tendre et un surcroît de cyprine m’arroser le visage pendant qu’elle me caressait les cheveux et avec, cerise sur le gâteau, quelques envolées assez crues du style : « oh putain tu me lèches trop bien », « vas-y bouffe moi la chatte », ou des « t’aimes ça me faire mouiller comme une dingue hein ? ». Elle avait la même propension que moi à dire des insanités dans le feu de l’action. Elle était décidément la femme parfaite.
Sa chatte avait un goût délicieux et sa mouille, je la buvais avec délectation…
Elle eut l’air étonné de cela, non, moi j’aimais boire à sa source, tout comme elle avait bu avec soif mon jus d’homme un peu plus tôt.
Alors elle tira mon visage vers le sien et m’embrassa à pleine bouche, cela l’excitait apparemment de goûter le nectar de sa propre chatte.
Puis elle décida de se lever, de me faire asseoir à sa place et baissa mon pantalon pour la deuxième fois.
Ma queue au garde à vous tambourinait contre mon nombril, elle se mit accroupie, je voyais son joli fendu à mes pieds, ses deux magnifiques seins sur mes cuisses et son visage contemplant ma belle grosse queue, l’objet de son désir, qu’elle allait assouvir encore une fois.
Elle recommença à me lécher, tout le sexe, bourses, hampe, frein, gland pendant de longues minutes, l’embrassait sur chaque centimètre, l’intérieur de mes cuisses aussi, elle adorait lécher la peau de mon aine, entre mon pubis et mes jambes et en même temps elle tâtait avec ses doigts, puis avec sa main la dureté de ma bite, puis apposa ses lèvres contre mon gland, sans bouger, elle voulait que je bouge, que je lui baise la bouche, ce que je fis.
D’une main, elle se caressait les seins de l’autre la chatte, à chaque fois en souvenir de ma bouche, de mes lèvres, de ma langue.
Et moi, je lui tenais délicatement la tête et effectuait ces merveilleux mouvements de va-et-vient dans sa bouche… elle ne s’autorisait que ses adorables mouvements de langue autour de mon gland, mais je la baisais bel et bien…
Mes couilles de nouveau remplies de sperme tapaient contre son menton pendant que ma queue se frayait dans la chaleur, l’humidité et la douceur de sa bouche, un passage jusqu’à sa gorge petit à petit.
Elle gémissait. Je la sentais jouir par ses caresses et par la sensation de se faire empaler par la bouche.
Me sentant venir, je lui demandai : « où veux-tu mon sperme ma toute douce ? » alors elle prit ma queue à deux mains et s’échina à me traire bien comme il faut.
Son visage juste au-dessous de mon gland, la bouche grande ouverte et la langue tendue en coupe, elle me branla avec vigueur.
Alors je vins encore une fois. Encore plus de sperme que la première fois (ce que je pensai impossible), d’abord au fond de sa gorge, puis sur sa langue puis de longues giclées encore sur tout son visage et ses seins. Elle m’avait encore vidé…
Elle se leva, belle comme jamais, recouverte de sperme qui dégoulinait de son front à son ventre, plus qu’une faciale ! Une intégrale…
Elle s’évertua à récupérer tout mon sperme de ses doigts et de porter à sa bouche puis, je sortis la pochette de la poche avant de mon costume afin de l’essuyer encore. Un autre baiser fougueux puis nous nous rhabillâmes en hâte. Envie de reprendre une coupe de champagne.
Nous sommes revenus alors à la fête. Discrètement. Il était 1h du matin. Tout le monde était bourré sauf nous. On est retournés prendre le dessert (besoin de sucre avant d’organiser la suite des événements… de beaucoup de sucre…