Avec une de mes ex nous étions allés dans une brasserie de mes connaissances et nous avions décidé d’y déjeuner (logique).
Vu que mon ex d’alors était assez coquine voir chaude nous commencions donc à manger et elle me dit attend je reviens, je lui dis "OK".
Puis elle revient nous savons que les femmes aiment passer aux toilettes régulièrement donc je ne me suis pas inquiété plus que cela.
Elle se rassoit et entame son assiette et soudain me dis "Attrape c’est un cadeau".
Moi, intrigué je passe donc ma main sous la table et, sens comme une étoffe douce et un peu mouillé, je me dis donc "C’est sa serviette de table" donc je commence à relever la main et je la vois rougir et me dire "Non garde sous la table s.t.p.".
Je fais mine de faire tomber ma propre serviette pour enfin voir de quoi il s’agit et là, quel bonheur!
Je découvre sa petite culotte de satin en dentelle pourpre et l’endroit humide, je le comprends mieux maintenant.
Cela m’excite quelque peu et fait monter en moi un très léger début d’érection.
Mon voisin de table s’étant aperçue du stratagème me regarde et me sourit complice.
Mon amie d’alors tend sa jambe comme pour sentir mon état que la rougeur de mes joues ne laisse pas passer.
Elle frôle masse doucement mon entre jambes, commence à me faire monter une pré érection.
Je me lève et vais vers les toilettes en indiquant à mon ex de mit rejoindre.
Je monte donc quatre à quatre les marches et me trouve ainsi dans la section toilette pour hommes.
Ma douce de l’époque mit rejoint sans se faire prier.
Je sortais alors de ma poche sa douce culotte, soit moins humide que lorsquelle me l’avait remise, et je luis dit "Grosse chaudasse, tu as envie que je te prenne là c’est ça?".
Elle ne sourcilla point et se pencha alors sur le petit lavabo.
M’offrant cette croupe revêtue de sa simple jupe que je relevais d’un coup.
Pour elle rien que le fait d’entendre le cliquetis de ma ceinture se défaire et d’entendre le zip de ma braguette je vis quelques légères gouttes de sa mouille couler sur sa cuisse gauche.
Elle pencha sa tête vers moi et me vit pantalon et boxer aux chevilles, mon pénis tout dardé.
J’aimais jouer avec le dessus de sa chatte, la lui frôler, lui faire glisser ma queue sur le dessus de ses lèvres, lui frôler le clitoris que je sentais déjà bien dégagé.
Puis pour ne pas paraître trop long ensemble aux toilettes, je m’enfournais en elle d’un seul coup sec et vif lâchant au passage un "Han" de soulagement.
Et je la besognais le mieux, le plus profondément que je le pus.
Je m’activais pour soulager son supplice et au moment où je sentis mon éjaculation proche: je me défourna de son antre bouillant et ruisselant, elle s’agenouilla et me pompa le pénis d’un coup, avec ses mains qui me plaquèrent sur le mur avec force et ainsi elle m’aspira sans ressortir mon pénis.
Je fermais les yeux et me laissais aller et là mon dieu le geyser, je me vidais dans sa bouche, je sentais tout mon sperme lui couler sur la langue et la sentais déglutir, sans broncher, mon jus chaud.
Quelques derniers coups de langue sur mon gland, mon méat et elle rebaissa sa jupe, renfila sa petite culotte et redescendis comme-ci de rien n’était.
Moi, je la suivis quelques minutes après, le temps de m’être passé de l’eau sur le visage pour retrouver un teint normal et nous finîmes notre repas et nous partîmes faire du lèche-vitrine.