Marie-C, ayant échappé à ses poursuivants, erra longtemps dans la forêt, avant de s’asseoir sur le sol, toute nue et de se mettre à pleurer. Puis alors que le jour déclinait, elle s’installa une couchette improvisée avec des feuillages et des mousses ramassées autour d’elle.
Cela lui permit d’atténuer la dureté du sol, mais ne couvrait que faiblement son corps splendide. Heureusement la température ne semblait pas vraiment baisser, et elle espérait que même au milieu de la nuit, le temps restât encore clément. Elle s’était armée d’un gros bâton, au cas où ses agresseurs, ou bien des bêtes sauvages ne viennent l’ennuyer.
Puis éreintée, elle commença à s’endormir d’un sommeil très léger, peuplé de petits rêves et de questionnements plus ou moins conscients. Dans cette phase de rêverie où il est difficile de faire la différence entre réalité et rêve, son inconscient lui montrait des pistes à suivre.
Car si Marie-C semblait un peu gourde par rapport aux réalités de la vie, elle était mue par un instinct solide et une sensibilité à l’univers, très approfondie. Seulement le résultat de son formatage scolaire et familial, l’empêchait d’utiliser à plein ses dons presque métaphysiques.
Car Marie-C sentait les choses et les gens…petite fille, elle devinait à l’avance l’état d’esprit des gens de son entourage, sentant lorsque l’un d’eux allait faire une colère ou éclater en larmes. Et ici, dans ce milieu qui lui était étranger et hostile, intuitivement, toutes ses perceptions presque extrasensorielles lui revenaient… de même qu’un désir sexuel intense, et une foule de fantasmes, trop longtemps contenus et enfouis dans son inconscient.
Lui revenaient en continu des extraits de sa conversation avec Camille, cette jeune fille qui l’avait enlacée, nue, lorsqu’elle avait quitté son véhicule.
Tu n’as jamais eu une domestique de notre région ?
-Si , Céline, une jeune gourgandine incapable et stupide.
-Oh, pas si stupide que ça…pas si stupide que ça…pas si stupide que ça.
La phrase tournait en boucle dans son esprit au repos. Elle sentait que cela avait une importance incommensurable pour son avenir proche . D’autre part elle sentait également une animosité des gens du terroir à son encontre, qui était hors de proportion avec les mots malheureux échangés
J’aurais essayé de te prévenir, surtout ne contrarie jamais l’un des hommes d’ici jamais… jamais… jamais
Cette phrase lui faisait froid dans le dos. Elle avait le sentiment d’être prise dans quelque chose qui la dépassait, une sensation diffuse et tragique, qui lui donnait des sueurs froides au creux du dos. Elle sentait qu’elle était en grave péril, si elle ne prenait pas garde à son environnement.
Mais d’autre part, bizarrement, elle éprouvait aussi une sensation de plénitude, quelque chose de nouveau pour elle, étendue, là, nue, sa peau en contact avec cette mousse si douce et si fraîche. En s’endormant pour de bon, elle laissa sa main vagabonder contre son pubis imberbe, et ramenant une touffe de mousse elle se frotta le sexe avec, dans un état d’endormissement progressif.
La nuit, elle fit un cauchemar, durant lequel elle se remémora un incident stupide, avec la domestique de ses parents, cette fameuse Céline, dont elle sentait qu’elle était la clé de ce qui lui arrivait.
Durant un repas chez ses parents, en compagnie de son mari, Céline avait bien malencontreusement renversé le saucier sur sa robe de soirée, la souillant jusqu’au soutien gorge et au string en soie.
Elle éclata alors dans un rage folle, insultant la jeune Céline. La giflant et la secouant comme un prunier. Ses mains arrachèrent la petite robe de soubrette très courte, que portait la jeune femme. Cette dernière en larmes, apparut nue devant l’assistance. Elle ne portait ni slip, ni soutien-gorge, seulement un porte-jarretelles noir et des bas de la même couleur, ses bras protégeant ses appâts.
Marie-C, médusée s’emporta encore plus:
Regardez cette petite trainée, cette catin qui se promène nue en faisant son service, mais quelle honte !
-Peux tu m’expliquer cela , Céline? Gronda la maîtresse de maison et mère de Marie-C.
-Mais c’est monsieur qui a insisté, ordonné pour que je
-Silence putain, comment peux tu accuser mon père de tes propres turpitudes , rétorqua Marie-C, tout en la giflant très violemment .
La pauvre Céline tomba sur le sol, à moitié assommée, son sexe et ses seins à la vue de tout le monde Par la suite, s’étant enquise du devenir de la jeune domestique, car Marie-C regrettait son geste violent, son père, un énigmatique sourire aux lèvres, lui dit qu’elle avait "payé pour sa faute" et qu’elle était affectée à un autre poste, plus dans ses cordes…
Dans son rêve, Céline avait les traits de Camille et Marie-C la relevait, lui caressait les seins et son sexe, elle en éprouvait beaucoup de plaisir. Puis les deux jeunes femmes s’embrassaient langoureusement. Marie-C l’amenait dans sa chambre, se laissait déshabiller par Camille, qui d’une poussée de la main, la propulsait nue, sur le lit, les cuisses écartées. Alors Camille venait caresser et masturber la jeune femme, pour finir par un cunnilingus très profond et torride.
Marie-C sentait la langue aller et venir sur ses grande lèvres, ses petites, son clitoris. Elle jouissait à en perdre haleine, son sexe enduit de cyprine lui donnait un plaisir encore inconcevable pour elle, quelques heures auparavant. Soudain la langue un peu rugueuse s’introduisit dans la grotte chaude, lubrifiée et accueillante, Marie-C eut un spasme vaginal très puissant et poussa un Oh mon dieu que c’est bon ! et se réveilla. Ce qu’elle vit la sidéra.
Un chien, bâtard de berger allemand, était couché entre ses cuisses largement écartées, et lui léchait le sexe avec enthousiasme. Quand Marie-C se réveilla, il eut un temps d’arrêt mais reprit bientôt son apostolat canin. Marie-C sidérée, apeurée et révulsée en même temps, ne savait que faire. Crier et le chien allait peut être lui sauter à la gorge, le frapper et il la mordrait peut être au pubis… cette idée la terrifia encore plus.
Se lever dans sa position était impossible, le chien aurait tôt fait de la courser et la mettre à plat. Car le bâtard pesait au bas mot un bon 45 kilos à vue de nez, contre 52 pour la pauvre Marie-C !
Ainsi Marie-C resta de marbre, le plus immobile possible, pendant que l’animal, la langue sur son sexe continuait de la lécher…elle le regardait faire. Mais d’abord dégoûtée, elle fut obligée d’admettre que l’expérience n’était pas désagréable du tout, au contraire. Ce cunnilingus bestial, une première pour elle, puisqu’elle n’avait jamais autorisé Jean-Michel à le lui faire, était plus que délicieux. Une fois la répulsion vaincue, elle fut absorbée dans un océan de délices. Il semblait que toutes ses frustrations de femme mondaine, et ses fantasmes, refaisaient surface. Elle ferma les yeux et imagina Camille à la place du chien comme dans son rêve. Elle ne tarda pas à jouir et sentait ses lèvres et son clitoris gonfler de désir, de même que sa cyprine, qui n’arrêtait pas de s’écouler sur ses cuisses et ses fesses.
Profitant de son plaisir, elle encouragea le chien à aller plus profond en lui caressant la tête, et la lui poussant chaque fois un peu plus dans son antre baveuse, elle se laissait à divaguer:
Oh mon Dieu, bon chien…fais moi du bien! Ouiii ! Comme ça! Lèche moi , plus profond . Ta langue dans ma chatte hummmm, ton museau au souffle chaud sur mes lèvres et mon clito…ouiii c’est trop booonn !
Nouvel orgasme à un moment Marie-c se remémora la vision qu’elle avait eu sur l’écran de l’ordi de son frère. Discrètement, elle l’avait espionné, alors qu’il regardait une vidéo zoophile, dans laquelle une femme se faisait prendre en levrette par un berger allemand, et semblait y prendre beaucoup de plaisir . Cela l’avait à la fois révulsé et beaucoup excité.
Elle se demanda alors… comment ce serait si ? L’idée qui s’était mise à germer dans son cerveau envahi de drogues du plaisir, devint un commandement impérieux:
Je veux qu’il me baise ! Oh oui !
Elle replia alors ses cuisses sur son ventre, les écartant au maximum, présentant son sexe largement béant aux appétits du canidé. Celui ci comprit, et avançant son bassin se positionna à l’entrée du vagin de Marie-C. Celle-ci distingua la verge de l’animal, rouge au gland conique, il devait bien faire dans les 19 centimètres.
Oh mon Dieu que tu es gros, qu’est ce que tu vas me mettre !
Marie-C, en proie à une folie lubrique ne se contrôlait plus, la jeune femme mondaine bien élevée avait disparu, il ne restait qu’une catin en chaleur qui ne rêvait que de coït bestial. Étendant le bras, elle saisit le mandrin de l’animal, le masturba un peu et le dirigea vers son antre. Celui-ci la posséda d’une puissante poussée de son bassin, et recouvrit intégralement la jeune femme. Marie-C poussa la hardiesse jusqu’à ceinturer l’animal de ses jambes autour de son dos, et se crocheta à lui … les deux amants étaient soudés. Alors, tandis que l’animal la labourait vigoureusement, Marie-C, la petite bourgeoise parisienne bien sous tous rapports ( comme dirait ma belle-mère), se laissa aller à sa jouissance.
Elle gueulait, ahanait, gémissait sous les assauts du canidé. Elle n’était plus elle même. Elle avait complètement perdu la tête, seule comptait cette verge qui s’engouffrait dans son vagin et lui donnait tant de plaisir.
Après 5 minutes de baise torride, où Marie-C jouit à répétition, elle sentit le sexe du chien gonfler en elle, et éjaculer sans pulsations, son vagin se remplissait de la semence de l’animal; elle était liée au nud. Effrayée sur le coup, de peur d’être déchirée, elle se détendit enfin, les parois de son vagin se dilatant et s’acclimatant à l’intrus. Elle partit alors dans des orgasmes dévastateurs, qui la laissaient essoufflée, pantelante mais comblée. Enfin le chien se retira après quelques minutes, se léchant la verge et le sperme qui s’écoulait de la grotte de Marie-C, alors libérée.
Exténuée, moulue par cette séance de sexe fort spéciale, Marie-C reprenait ses esprits et remercia le chien qui s’éloignait d’elle. Le suivant des yeux, elle découvrit avec stupéfaction un homme vêtu d’une combinaison tactique, semblable à celles du GIGN , avec une cagoule, qui la filmait avec son téléphone portable, une main sur sa verge, en train de se masturber.
Lorsqu’elle le vit, elle cria et essaya de cacher son intimité et l’homme surpris, s’esquiva rapidement.
Revenu à son Audi, Jean Michel Desprin-Lejean, retira sa combinaison d’intervention, souillée de son sperme, ainsi que sa cagoule…il se lava les mains avec une solution alcoolisée et se recoiffa les cheveux. Sortant un paquet de tabac à rouler et une bouteille de whisky, qu’il faisait exprès venir d’Écosse, il s’installa sur son siège, se roula une cigarette, et se remplit un gobelet en argent de whisky.
Il se laissa alors à réfléchir aux dernières 24 heures. Il n’avait mis que 8 heures pour rallier le Luxembourg à ce trou paumé. Faisant 200 km/h de moyenne, il avait pris la précaution d’appeler son ami, le chef de cabinet du ministre de l’intérieur, pour faire dégager la route par un peloton de motards de la gendarmerie et demander instamment que l’on ne l’arrêtât point. Le nom de Goldman sachs ouvrait décidément bien des portes.
Normal quand on est les "maitres du monde" !
Il revoyait sa femme se faire saillir par l’animal, et cette pensée qui lui envahissait tout l’esprit, lui redonna une fulgurante érection, ainsi qu’une envie impérieuse de se masturber à nouveau ….
Quelle salope quand même !, pensa t’ il …