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Doctoresse perverse – Chapitre 1

Doctoresse perverse - Chapitre 1



J’avais à l’époque 22 ans et je venais de commencer mon nouveau job en tant que commercial. Je venais d’intégrer une société dynamique où je pouvais y faire ma 1 ère expérience professionnelle. Après quelques semaines, je fus appelé au service des ressources humaines afin de finaliser quelques détails de mon contrat de travail.

La DRH, une grande dame blonde, élancée, sure d’elle mais tout de même souriante.

— Bonjour. Asseyez vous je vous prie cher Kévin.

-Alors, vous êtes rentrés chez nous il y a un mois, je vous rassure rien de grave, nous avons juste omis de vous faire passer votre visite médicale du travail qui est obligatoire lors d’une nouvelle embauche. Voici votre convocation, c’est demain matin à 8h00 au centre de la médecine du travail rue raspail. Je vous souhaite encore plein réussite chez nous, Kévin.

— Merci, Madame. J’ai pris bonne note de ma convocation et je vous remercie pour vos encouragements. Bonne journée.

La journée se passe entre prise de rendez vous, établissement d’un planning, revue de la stratégie commerciale…

Le soir venu (au fait j’étais célibataire à l’époque) de retour chez moi, je matte la télé, rien…. je décide donc d’allumer l’ordinateur de matter quelques sites de vidéo x. J’ai un gros faible pour les femmes dominatrices et je suis très fétichiste du cuir. Je visionne donc un film où un soumis est obligé de lécher les bottes en cuir de sa maîtresse pendant qu’elle le fouette et l’insulte. Je caresse mon sexe avec un morceau de cuir j’avais découpé sur pantalon, mon sexe devient de plus en plus dur, le contact du cuir sur mon gland me fait "mouiller", les mouvements deviennent de plus en plus saccadés et soudain… "oh! oui! Maîtresse je jouis sur votre cuir… Ah!! c’est bon!!! ". La nuit se passe calmement et le matin je me réveille en bandant comme un dieu.

Douche, petit déjeuner et en route pour cette visite médicale du travail qui ne sera qu’un détail de ma journée.

J’arrive donc rue raspail, je sonne, la porte s’ouvre. Une sympathique demoiselle m’ouvre:

— Bonjour, je suis Kévin D. j’ai rendez vous à 8h00 pour ma visite médicale.

— Bonjour Mr D. Je vous en prie. Le docteur ne va pas tarder. Installez vous à mon bureau je dois remplir votre dossier.

Je m’installe. Elle revient et commence à remplir mon dossier. Les questions usuelles fusent, date de naissance, lieu de résidence, type d’emploi actuel etc… Puis vient la question "avez vous votre flacon d’urine?" . J’avais complètement zapper ce foutu flacon…

— Non, mademoiselle, j’ai oublié d’en rapporter un.

— Ce n’est pas grave, tenez et vous pouvez passer en cabine et pensez à uriner dans le flacon pour la doctoresse! Et surtout déshabillez-vous en gardant votre caleçon.

Je me retrouve donc dans cette cabine avec ce flacon… J’ôte mes vêtements et je force un peu ma vessie, l’urine commence à couler. Super! Je ne me ferais pas engueuler! Je m’assois et j’attend que l’on m’appelle. J’entend des bruits de matériels médicaux, une chaise qui grince, des tiroirs qui s’ouvrent et de referment.

Soudain j’entend "Mr Kevin D. vous pouvez venir!

— Bonjour Mr D. Je suis Madame B, la responsable en chef du cabinet.

— Bonjour Madame B lui répondis je un peu troublé par cette femme grande, brune, le teint matte (typé italienne), très élégante.

— Alors vous avait été récemment embauché et il s’agit de votre 1 ére visite chez nous. Je vais tout d’abord prendre votre tension.

A ce moment, Madame B se lève et qu’elle ne fut pas ma surprise. Elle avait laissé sa blouse ouverte et elle était vêtue d’une jupe en cuir noir, hauts talons en cuir noir et d’un chemisier blanc d’où je pouvais deviner le galbe de ses siens. La prise de tension fut pour moi un vrai bonheur, je voyais sa jupe brillait, ce cuir qui crissait dès qu’elle faisait un mouvement. Puis vint, l’écoute du coeur, les poumons, le dos…

Elle retourna à son bureau puis ce fut le moments de questions:

— Alors Mr K Etes vous marié? Non. des enfants? Non.

— Au niveau sexuel tout va bien? Pas de souci particulier? Non.

— Je suppose que vous devez vous masturber? A quelle fréquence? euh… 2 à 3 fois par jour Madame B.

-Bon aller nous allons regarder cela de plus près, enlever votre caleçon s’il vous plait.

Je m’exécute et je me retrouve devant elle nu.

— Alors voyons un peu, les testicules sont correctement positionnées, la verge est bien proportionnée, attention je vais décalotter!

Soudain pris au dépourvu…

— Et quand tu te branles à qui tu penses? Qu’est ce qui t’excite petit pervers? J’ai tout de suite remarquer que tu mattais ma jupe depuis toute à l’heure? Regardes ton gland tu mouilles! Je m’en doutais ! Alors qu’as tu à répondre?

Sans me poser de questions je lui répond simplement:

— Oui, Madame, je fantasme depuis toute à l’heure sur votre jupe en cuir. et c’est à cela que je pense quand je me masturbe!

— Et bien tant mieux. Enfin un garçon qui assume! Regarde ce que j’ai pour toi, une paire de gants en cuir rouge.

Et là elle a commence à me masturber, trop exciter par la situation j’ai éjaculé à gros jets sur sa jupe en cuir. Ah oui maitresse c’est trop bon.

— Regarde ce que tu as fait, vilain garnement, lèche! Lèche ta propre jute et je veux que cela soit propre.

Ma langue parcourait sa jupe de fond en comble, je respirait cette odeur mélange de cuir et de sperme.

— C’est bien tu as bien travaillé , ma jupe ne sera pas souillé par ton sperme de soumis, d’esclave à ma botte, de petit pervers à dresser.

Maintenant, debout, montre moi ton sexe et décalotte le! Obéis vite! Tu veux la fessé ou quoi?

— Non Maitresse. Je m’exécute et décalotte mon sexe.

Elle rapporte une boite et un sort un drôle d’objet, un anneau et un tube de plastique incurvé…

— Voici un cage de chasteté (pour les connaisseurs c’était une CB 6000) je vais te la poser. Désormais tu es sous mon contrôle, plus de branlette, plus de jouissance, chaque fois que tu banderas, ton gland cognera sur la cage, tes couilles te feront extrêmement mal et tu ne pourras que penser à moi!!!

-Je te donne rendez vous dans une semaine. Tiens tu donneras cela à ton employeur je lui ai demandé de te revoir lundi prochain et elle me disait cela tout en frottant sa jupe sur mes couilles, bander me faisait mal mais j’aimais cela…

En attendant, me voici dans ma voiture, le sexe encagé et une envie monstrueuse de me branler pour libérer ma jouissance.

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