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dolores la fille de mon patron et l'ouvrier – Chapitre 2

dolores la fille de mon patron et l'ouvrier - Chapitre 2



Anne se dirigea ensuite dans le rayon lingerie, bien que 2 femmes regardaient les modèles, Anne me demanda de lui choisir des dessous sexys, sans me dégonfler je lui choisis une nuisette rose transparente avec un string ficelle de couleur noir, une des femmes s’approcha de nous et me félicita de mon choix, Anne rajouta qu’avec moi elle ne les gardait jamais très longtemps, car pendant l’amour j’étais un fauve, je me tus et la femme lui dit qu’elle avait beaucoup de chance d’avoir un homme comme moi et nous quitta. Une fois dans la voiture je lui demandai à quoi elle s’amusait et ne répondit pas, de retour, elle partit dans sa chambre et revint avec un gode qu’elle avait baptisé Viktor et qu’avant lui il y en avait déjà eu 3, elle m’expliqua que c’était la seule façon qu’elle avait pour se donner du plaisir, car aucun homme ne s’intéressait à la bête de foire qu’elle était, je me rendis compte qu’elle avait raison et qu’avant tout elle était une femme avant tout, sans rien dire je me dirigeai vers la terrasse installa 2 matelas et m’allongeai entièrement nu sur l’un d’eux, Anne vint immédiatement me rejoindre elle s’allongea sur moi et me demanda de la déshabiller, sans un mot je m’exécutai, une fois Anne entièrement nue elle se releva et m’invita dans sa chambre, elle s’allongea sur le dos, écarta ses cuisses et introduisit ses doigts dans son vagin pour le préparer, une fois prête elle prit Viktor et le fit entrer lentement dans son sexe bien que grimaçant elle continua sa progression, une fois rentré à fond elle me demanda de le saisir et de la masturber avec, dès les premiers va-et-vient de Viktor elle gémissait à la limite du supportable pour elle, tant ses orgasmes étaient violents, après une courte pose elle me demanda de le retirer. En faisant ainsi elle voulut me montrer qu’elle était capable aussi de jouir comme une femme normale, mais malgré son âge elle n’avait pratiquement pas d’expérience, je lui proposai de réfléchir et me laissa. 2 semaines plut tard les travaux étant finis, je lui proposai de sortir un peu, nos premières sorties étaient très calmes jusqu’au jour où à ma grande surprise elle sortit toute nue de sa chambre et me demanda de rester chez elle, sachant ce qu’elle recherchait je me pliai à son choix, je me déshabillai et allai directement au fait, je m’approchai d’elle et commençai à lui passer mon sexe en semi érection sur son visage là en fermant les yeux elle le prit avec sa main et le dirigea vers sa bouche, lorsquil fut à la hauteur de ses lèvres elle ouvrit sa bouche et l’engloutit d’un trait là je sentis sa langue s’enrouler autour de mon gland ce qui me provoqua un sentiment de bien être, après quelques minutes de ce traitement je commençai mes va-et-vient entre ses lèvres et ne tardai pas à jouir dans sa bouche, surprise elle se retira et se mit à recracher ma semence dans ses mains, sans rien dire elle s’allongea à même le sol et se mit à caresser son intimité avec ses mains engluées de sperme, elle me proposa de la prendre, je lui glissai un puis deux doigts dans son vagin, il est vrai qu’elle était très serrée, une fois son sexe dégoulinant de mouille je présentai mon sexe entre ses lèvres, là elle releva ses cuisses et m’invita à la prendre, je commençai la pénétration et déjà Anne gémissait en bougeant son bassin, je continuai lentement la progression lorsque mon sexe fut pratiquement aspiré au fond de sa caverne, Anne commença à se détendre et la pénétration fut complète, après quelques secondes d’adaptation je commençai mes coups de reins au grand plaisir d’Anne, bien qu’elle continua à gémir elle réussit à contrôler ses orgasmes, mais ce fut de courte durée car l’or d’un coup plus violent qu’un autre, elle se mit à crier sans retenu et me supplia d’en finir lorsque je lâchai mes premiers filets de sperme Anne me planta ses ongles dans le dos et sévanouit. A son réveil elle me remercia, et nous partîmes prendre une douche ensemble, nous continuâmes nos plan câlins jusqu’à la fin des vacances, de retour à l’entreprise mon patron trouva sa fille changée et m’en félicita. Trois mois plus tard Anne et moi vivions ensemble à la grande satisfaction de son père qui fut au courant depuis le début.

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