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Dominé dans le bus de nuit – Chapitre 2

Dominé dans le bus de nuit - Chapitre 2



Je me rassieds, et je reprends mes esprits. Je venais de sucer un inconnu dans le bus, et bien que j’ai aimé, je n’avais été traité que comme un vulgaire objet sexuel, un trophée.

Luc ne m’accorde aucune importance. Sitôt son pantalon remis, il est en train de lire son journal. Je me sens souillé. J’avais tout avalé et bien que le goût ne me choque pas, j’ai l’impression de puer le sperme. Pendant dix minutes, je ne fis rien. Je repense à ce que je viens de faire avec une impression de dégout, mais aussi une excitation folle. Je n’avais pas réfléchi, et je m’étais laissé aller à ses commandes, exactement comme sa chienne de femme.

–    Je peux récupérer ma console ? lui dis-je, pour briser le silence.

–    Non, d’ailleurs passe-moi ton sac deux secondes. J’ai deux trois trucs à régler.

Un peu surpris, je lui passe mon sac. Je sens qu’il ne blague pas et je ne veux pas créer d’ennuis avec lui.

–    Comme ce n’est pas mon genre de faire du chantage avec mes dossiers photos privés. J’ai besoin d’un autre moyen de pression, m’explique-t-il. Je vais confisquer tes affaires. Si tu veux quoi que ce soit, tu n’aurais qu’à me demander.

Je suis abasourdi. Je n’arrive même pas à me défendre face à ce mec qui vient de m’humilier et de voler mes affaires. Je n’ose même rien dire, tellement je me sens con.

–    Je peux avoir un peu d’eau ? lui demandais-je en rentrant complètement dans son jeu.

–    Oui tu m’as bien sucé, tu peux en prendre.

Je bois ce que je peux pour faire passer mon haleine de sperme. Il me tient, je suis piégé. Je me demande à quelle sauce il va me cuisiner. Son regard ne traduit rien, mais je sais qu’il a déjà en tête ce qu’il veut me faire. Soudain, il prend son sac et me tend un plug anal.

–    Tu vas t’enfoncer ça dans les toilettes pour te dilater, me dit-il. Mais tu ne fermes pas la porte à clé pendant que tu l’enfiles. Prépare-toi au maximum pour que ça ne te fasse pas mal au moment de la pénétration. Reste dedans pendant au moins 20 minutes.

Je ne sais même pas ce qui me pousse, mais je prends son plug. J’essaie de le dissimuler dans ma poche, ce qui m’es formellement refusé par Luc. Il veut que je le tienne bien visible dans ma main. J’enjambe mon bourreau, et traverse le milieu du bus, avec ce plug en main. Je n’ose pas me retourner pour voir les regards.

Je me mets dans la cabine des toilettes. Pendant un instant, j’hésite à fermer la porte. Puis je me ravise, s’il le découvre, je ne sais pas ce qu’il me fera. Je m’installe, ça pue l’urine. J’abaisse doucement mon pantalon, et une pensée me traverse l’esprit. Les personnes à l’avant du bus ne m’ont pas vu aller aux toilettes, elles ne vont pas hésiter à rentrer. Les personnes à l’arrière m’ont vu rentrer avec ce plug, si je suis tombé sur des pervers, ils ne vont pas hésiter à forcer l’entrée également.

Finalement, je me dis que je ne peux rien n’y faire, et qu’avec un peu de chance, il ne m’arrivera rien.

J’analyse le plug, il est plutôt épais. J’ai déjà sucé un mec, j’ai même pris, mais ça m’avait fait mal et ça n’avait pas duré. Ici, je ne sais même pas si ça va rentrer Je me mets à la sucer, en mettant un maximum de salive pour lubrifier. Je l’enfonce petit à petit, mais impossible de l’enfoncer complètement. Je me repose assis deux secondes, il faut croire que cette situation m’excite je bande comme un fou.

Deuxième essai, je renfonce doucement le gros plug. Il rentre, la douleur est là mais elle s’estompe petit à petit.

« CLACK »

Le bruit typique des toilettes de bus. Un homme se trouve devant moi, immobile avec des yeux grands ouverts.

Je peux comprendre sa surprise. Face à lui se trouve un jeune mec de 20 ans, pantalon baissé, avec un plug à moitié enfoncé dans l’anus. Le silence de deux secondes qui suit me parait être une éternité.

C’est un jeune homme dans le milieu de la vingtaine. Je l’ai vu dans la file avant de rentrer avec une femme qui doit être sa compagne, ils ne s’adressaient pas la parole. Il a des cheveux courts bruns, des petites lunettes rondes et des yeux bleu-vert.

Il me regarde, et entre naturellement dans la cabine. Il ferme la porte à clé, abaisse son pantalon et sort sa bite. Elle est de taille moyenne, quelque chose que je peux prendre en bouche disons.

–    T’as l’air d’être une petite salope toi. Ouvre la bouche, et avale tout.

J’ouvre la bouche, un peu surpris. Le mec approche sa bite de ma bouche, et se met à uriner dedans. Je suis trop surpris, j’essaye d’avaler ce que je peux mais une grande quantité de liquide coule sur le sol. C’est chaud, salé et ça me dégoute, mais je sais que si je crie, tout le bus va le remarquer. Il m’en reste encore beaucoup dans la bouche quand il finit, et il attend patiemment que j’ai fini de tout avaler. 

Je me sens humilié, je déteste ça mais je n’ai pas eu d’autre choix que de faire ce qu’il me dit.

Une fois qu’il a fini, il me fixe du regard. Je comprends ce qu’il attend. Je viens naturellement englober sa bite pour la nettoyer. Que c’est bon d’avoir dans la bouche quelque chose que je peux avaler en entier ! Très vite, je la sens durcir dans ma bouche. Je me donne au maximum, je joue avec ses couilles et je le suce comme je peux. Je fais mon possible pour le faire juter le plus vite possible, pour pouvoir vite retourner au fond du bus.

–    T’es vraiment une bonne chienne, me dit-il. J’ai entendu un mec se faire sucer bruyamment au fond du bus, je me disais bien que ça pouvait être qu’un jeune soumis qui a soif de bite. Qu’est-ce que t’attends pour t’enfoncer ce joli jouet ?

Ça confirme ce que je pensais, tout le monde a entendu cette scène. Je réalise seulement maintenant la merde dans laquelle je suis, surtout qu’il reste plus de 13h de voyage. Cependant, il a raison. Avec toute cette agitation, j’ai oublié le plug que je dois m’enfoncer. Je le récupère et utilise la pisse comme lubrifiant. En le suçant, je me l’enfonce petit à petit. Mon excitation a bien dilaté mon anus, et il rentre plus facilement que la première fois.

–    J’ai bien envie de te prendre, mais on n’a pas la place ici. Et puis, avec cette odeur de foutre, ma femme comprendrait que je me suis tapé une belle salope dans son dos. Pourtant, j’ai quand même envie de t’honorer comme la pute que tu es. Ouvre la bouche.

Un nouvel ordre, et je me rends compte que je réfléchis de moins en moins. Docile, je relâche sa bite et ouvre la bouche. Il se masturbe frénétiquement près de mon visage, je peux voir ses couilles rétrécir quand il se met à me jouir dessus. D’abord un énorme jet sur tout le visage, puis plein de petits jets près de ma bouche et mon nez.

La scène doit être pitoyable. Je suis au milieu d’une cabine remplie d’urine, le visage couvert de sperme avec un plug dans l’anus. Heureusement pour moi, je sens plus le sperme que l’urine. Le jeune homme sort de la cabine, et me laisse seul dans ces toilettes minuscules.

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