Domination dun couple bourgeois
Je mappelle Fabienne, jai 35 ans, je ne suis pas très grande mais je suis mince et jai de gros seins. Je suis plutôt B.C.B.G., jamais habillée vulgaire mais sexy, souvent en jupe et en talons pour faire plaisir à mon mari, Jérôme. Je suis mariée avec lui depuis 15 ans mais nous navons pas encore denfant. Nous habitons en Normandie dans une grande et belle maison située un peu à lécart des autres habitations. Mon mari travaille dans une société dimport-export. Moi, je ne travaille pas. Nous avions acheté une nouvelle voiture et désirions revendre lancienne. Nous avions trouvé un acheteur par le biais dInternet. Rendez-vous avait été pris pour le vendredi soir pour la tractation
Jérôme nest pas très costaud, il est mince, voire maigre, des lunettes sur son nez lui donnent un air intello. Nous attendions lacheteur qui nous avait dit arriver de Rouen. La sonnette de la porte dentrée retentit et jallais ouvrir. Mes talons aiguilles claquèrent sur le carrelage. Je suis habillée dune jupe courte sur des collants noirs et un chemisier blanc.
Lhomme est grand, imposant, une carrure de déménageur et des cheveux très courts. Ses yeux se posent sur moi et instantanément, je me sens mal à laise. Il porte un sac avec lui. Mon mari nous rejoint et je fais les présentations.
Ils sortent très vite de notre pavillon pour le conduire dans notre grange qui nous sert de garage mais aussi de grenier.
Je reste à lintérieur préparant le dîner pour quand lacheteur sera parti. Lheure tourne et je minquiète soudain de ne pas les revoir revenir. Je soupire un peu excédéeEt on dit que les femmes sont bavardes !!
Je sortais de la maison et me dirigeais vers la grange, la nuit commence à tomberJe poussais la porte de la grange et mes mots se bloquèrent dans ma gorge, je poussais un cri étouffé. Mon mari, bâillonné par une espèce de boule en latex enfoncée dans sa gorge, les yeux fous, attachés par les mains à une poutre, gigotait en poussant des sons indistinctsje neus pas le temps de comprendre. Je sentis quune main se plaquait sur ma bouche et quon menfonçait une boule en latex qui fut fixée et attachée derrière ma tête. Je ruais, donnais des coups de pieds en tentant de me dégager, déchapper à mon agresseur. Mes mains furent menottées derrière mon dos et je fus jetée à terre !
Lhomme se penche vers moi
— Désolé ma chérie, ce nest pas après toi que jen ai ! Ton idiot de mari a arnaqué un de mes clients. Un russeOn ma demandé de le punir et comme tu es là…Tu vas en faire les frais ! Tes une bonne bourgeoise, je pense que mon client sera content quand il verra le film
Je réalise alors horrifiée quune caméra est installée sur un trépied et quil filme mon mari qui rue dans ses liens.
Le faux acheteur sapproche de Jérôme et lui baisse son pantalon et son caleçonil apparait bite et couilles pendantes. Puis lhomme sapproche de moi et pose sa main sur mes cuisses remontant le long du collant faisant crisser le nylon, je tente déchapper à linfamante caresse mais sans résultats. Il remonte ma jupe découvrant mon string emprisonné sous le collant. Il me retourne comme une crêpe et me déchire mon collant. Il écarte mon string et me caresse la vulve…doucementJe gémis de dégoûtIl introduit un doigt dans ma fente. Lagitant Jentends mon mari hurler à travers son bâillon.
Enervé, lhomme se lève et sempare de la bite de mon mari et le branle en ricanant :
— Quoi ! Tes jaloux ? Cest ça que tu veux ?
Il le masturbe un moment et je vois sa queue prendre des proportions impressionnantes ce qui métonneJérôme nayant jamais été un baiseur admirable
De nouveau, linconnu pervers sapproche de moi…Il arrache mon chemisier et baisse brutalement les bonnets de mon soutien-gorge. Il regarde un instant mes seins et se penche. Ses lèvres semparent dun de mes mamelons et il le suce sans vergogne…Tout en plongeant ses deux doigts dans ma chatte
Je ne tarde pas à réagir malgré la situation et je donne des coups de reins malgré moi
Lhomme se retourne vers mon mari, hilare !
— Ta salope de femme a lair dapprécier !
Mon mari me regarde les yeux fous
Je le regarde aussi, je regarde sa bite tendueLhomme continue de me masturber, faisant coulisser ses doigts dans ma fente de plus en plus viteJe vais jouir si il continue, quelle humiliation ! Jouir devant mon mari avec un pervers qui nous violente
Il me redressa brutalement et me positionna à quatre pattes sur le sol crasseux de la grangeDevant mon mari ! Il me retira mon bâillon…
— Suce-le ! ordonna notre tourmenteur…
Je secouais la tête refusant mais je reçu deux violentes claques sur mes fesses et jobtempérais. Je pris délicatement la bite de Jérôme entre mes lèvres et je commençai à le sucer.
Sa bite gonfle de plus en plus dans ma boucheCest bien la première fois ! Le petit salaud ! Ca ne lexcite quand même pas cette situation !
Jentends farfouiller derrière et je suppose que le sadique prend quelque chose dans son sac
La seconde daprès, je sens quil introduit un objet dans ma chatte.Puis jentends un petit bruit de moteur.
Un gode, il ma mis un gode dans ma chatte. Je suis donc à quatre pattes dans cette grange dégueulasse en train de sucer mon mari, un gode dans ma chatteJérôme donne des coups de reins maintenant faisant coulisser sa bite entre mes lèvres.
Je le recrache, lui suce le gland, lui lèche la hampe et replonge dessus
Les vibrations du gode me font mouiller comme une folle, je nen peux plusje gémis
Il me retire mon gode et me demande :
— Tu veux que je te baise, salope ?
Jhésiteune fraction de seconde
— OuiOuiBaisez moi !
Je sens sa queue qui me pénètre et je gémis, la bite de Jérôme toujours dans ma bouche
Ses mains se posent sur mes hanches et il commence à me pilonner violemment. Je sens sa queue aller et venir dans ma chatte. Il senfonce très loin, et je gémis à chaque coup de reins
Son ventre vient claquer contre mes fessesJe suce de plus belle mon mariComplètement excitée maintenant. Lhomme me bourre sauvagement comme jamais je nai été bourrée ! Jai un premier orgasmeJe pousse un long gémissement plaintif sous les ricanements pervers de mon violeur !
— Salope de bourgeoise ! Jen étais sûr que tattendais que ça dêtre traitée en chienne, dorénavant ce sera ta vie, te comporter comme une pute bien docile
Rien quà ces mots, je sens un deuxième orgasme arriver et je maffale sur le sol
Lhomme se retira et tourna mon mari quil cambra en avant.je me retournais en entendant ses hurlements désespérés. Ce nest pas possible !! Il ne va pas…Mi horrifiée, mi fascinée, je vois lhomme pointer son gland sur le trou du cul de mon mari et lenculer brutalement
Jérôme pousse un cri et lhomme sagite dans son cul
— Ta femme ce nétait quun hors duvre, ta punition, cétait ça, mon client a été très clair là-dessus Tu dois devenir une lope
Mon mari pousse des gémissements étouffésLhomme mordonne daller le branler et je mexécute soumise à son autoritéJe dois y aller à quatre pattesJattrape la queue de mon Jérôme et le branle tout doucement dabord mais le pervers exige daller plus vite alors je le masturbe rapidement pendant que le salaud encule mon mari de plus en plus vite en faisant des commentaires ignobles :
— Eh bien, ça sélargit, ça rentre mieux maintenant
Jagite la queue de mon mari qui donne des coups de reins !!! Excitée, jaccélère la cadence et il ne tarde pas à jouir lâchant des jets de sperme impressionnants qui giclent sur ma main.
Lhomme se retire du cul de mon mari et me contraint à venir le sucer
— Viens nettoyer la merde de ton mari, salope !
A genoux devant lui, javale sa queue, il me tient par les cheveux et il fait coulisser sa bite rapidement entre mes lèvres
Je pense que le cauchemar est terminé mais je me trompe
Il savoure ma fellation quelques instant puis il me retourne et me positionne de nouveau devant mon mari qui est toujours retourné
— Fous-lui ta main dans le cul !
Je sursaute ! Non, pas ça !
Il sempare de ma main et la pousse vers le trou du cul de mon mari qui se débat et il doit lui donner de violentes claques sur ses fesses qui deviennent rouges.
Je pousse ma main me disant que ça ne rentrera jamais mais en fait je suis étonnée avec quelle facilité je parviens à enfoncer deux puis trois doigts dans lanus de mon mari qui se cambre encore plusBientôt ma main est entièrement entrée dans le cul de mon époux !
Sous les instructions de linconnu, je tourne ma main à lintérieur et jentends mon mari gémir… gémir de plaisir pas de douleur !!! Lhomme lui retire son bâillon et Jérôme lâche
— OuiOuiEncule moi avec ta main !
Je nen reviens pas.
Lhomme se mit derrière moi et il me lança :
— A ton tour dêtre enculée !
Je frémis mais ne dis rien
Sa bite senfonça dans mon anus et je serais les dentsLes mains crochés sur mes hanches il me pilonne brutalement en ahanant, en soufflant, en nous insultant.
— Putain deux belles salopes vous deux ! Le mari et la femme, jai un super film, mon client sera content.
Il sactive de plus en plus vite dans mon cul et je gémis tout en continuant de branler mon mari par le cul.
Nos gémissements se mélangent, nos halètements
Puis, lhomme se retira et alla délivrer Jérôme.
Ils nous mis côte à cote et exigea quon le suce tous les deux
Je lui donnais des coups de langue sur son gland et il magrippait par les cheveux senfonçant le plus loin possible, il fit de même avec Jérôme qui manqua vomir de dégoûtJe regarde mon mari sucer un homme et cela mexcite
Lhomme se retira et senfonça de nouveau dans ma bouche et puis celle de mon mari et se masturba un peu au-dessus de nos visages.
Il éjacula, libérant des torrents de sperme qui allèrent sécraser sur mon visage et celui de Jérôme. Jen ai dans les cheveux, les lèvres et les seinsmon mari en reçoit dans les yeux, laveuglant
Nous sommes de nouveau revenus dans la maison, attachées ensemble mon mari et moi, à genoux au milieu du salon, menottés, attachés par les jambes lun à lautre, un gode dans le cul, bâillonnés par la boule en latex. Lhomme sest rhabillé et a pris sa caméra. Il parle dans son téléphone portable avec un inconnu.
— Oui, Monsieur, cest fait, jai le filmje ne pense pas quils voudront quil soit divulgué. Ils vous obéiront. Et ce sont deux esclaves dociles, tous les deux, ouiVous pouvez venir, je les ai attachés
Il raccroche et se penche vers nous
— Mon commanditaire va arriver dans quelques instant, ils seront plusieurs je croisVous en avez pour le week-end
Et il part en éclatant de rire.