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Drague avec mes fesses – Chapitre 13

Drague avec mes fesses - Chapitre 13



Elles rient et viennent lui faire deux bises.

Bienvenue Guillaume.

Bienvenue Guillaume, mais je crois que tu n’es pas venue ici pour nous faire une bise.

Pas vraiment, bien que ce soit très agréable.

Il regarde dans la direction d’Hector.

Belle bête, il sait ce qu’il doit faire ?

Je pense qu’on n’a pas trop besoin de lui expliquer, il comprendra tout seul je pense.

Sandrine regarde sa bite, fascinée, elle la dévore des yeux.

Eh bien Sandrine, la belle bite de monsieur t’intéresse ?

Je dois dire qu’un petit coup de cette bite ne me déplairait pas.

Qu’à cela ne tienne, je suis à votre disposition mademoiselle, seulement, j’aimerais un peu pimenter la chose.

Comment ça ?

Je te prends en levrette pendant qu’Hector me bourre le cul, je pense que ça doit être parfaitement faisable.

On n’a qu’à essayer.

Ok

Sandrine s’agenouille devant Guillaume et lui gobe la bite encore molle. Très vite elle se redresse sous l’effet de sa caresse. Quand elle la libère, c’est un énorme braquemart de plus de vingt centimètres de long sur au moins quatre de large. Guillaume sort une petite boite de son sac, c’est de la graisse anale, il s’en met une bonne couche entre les fesses. Sandrine est aux anges, elle se met à quatre pattes devant le divan et pose son torse dessus en présentant sa vulve bien humide à Guillaume. Il s’agenouille derrière elle, s’empare de sa bite et la dirige vers ce sexe offert. Je vois sa bite entrer doucement jusqu’aux couilles.

Oui, oui, oh quelle bite, quel pied, quel pied.

Guillaume se couche sur le dos de Sandrine, il attend Hector. Elodie l’amène derrière et colle son museau entre les cuisses de Guillaume. Hector sent les effluves de Sandrine, ce qui a pour effet de l’exciter. Sa bite sort de son fourreau, il grimpe sur Guillaume et donne un grand coup de reins. Sa bite trouve tout de suite le bon chemin et s’enfonce sans résistances jusqu’à la garde.

Putain, je n’en ai jamais eu une aussi raide.

Hector donne de grands coups de reins à un rythme effréné, ses coups de butoir se répercutent dans le vagin de Sandrine.

Oui, oui, vas-y, défonce-moi la couenne, ouvre-moi le cul, bourre-moi, j’aime, j’aime une bite dans le fion.

Je suis un peu étonné que Guillaume s’exprime de cette manière, mais qui peut vraiment connaitre quelqu’un. Hector se déchaine toujours sur le cul de Guillaume, à voir son visage, il ne fait aucun doute que celui-ci apprécie, énormément même. Sandrine en est à son deuxième orgasme, son visage rayonne. Je suis assise à côté d’elle, elle tend la main pour que je passe ma jambe de l’autre côté de sa tête, je comprends ce qu’elle veut et vient lui présenter ma chatte devant la bouche. Aussitôt elle se jette dessus et commence à me titiller le clitoris. Je suis maintenant sur le dos, la tête au bord du divan. Je fais signe à Elodie d’approcher, elle aussi comprend tout de suite ce que je veux et vient poser sa vulve sur ma bouche. Sandrine est toujours secouée par les coups de butoir de Guillaume, eux-mêmes générés par Hector.

Ça y est, il me met son bulbe, oui, vas-y mon Hector, vas-y, défonce-moi le cul, pulvérise-moi la rondelle, oui, AAAAAHHHHH.

Guillaume jouit une première fois, il se vide dans Sandrine, elle le suit pour un énième orgasme.

Oui, oui, rempli moi, oui, quel pied, quel pied, OOOOOHHHHH je jouis, je jouis, AAAAAAHHHHHH.

Je sens que Guillaume est épuisé, il reste inerte sur le dos de Sandrine. Maintenant qu’Hector ne le pistonne plus, il ne donne que de petits coups de reins. Sandrine me titille toujours le clitoris, je jouis encore une fois en même temps qu’Elodie, toujours à cheval sur ma bouche. La fatigue commence à se faire sentir, Elodie se redresse et je me dégage de Sandrine. Nous nous asseyons toutes les deux au bout du divan. Sandrine se dégage de Guillaume qui prend sa place sur le divan, toujours emmanché par Hector. Elle se glisse sous lui et lui gobe la bite qui commence à se ramollir. Cet homme a de la ressource car au bout d’une minute, il bande comme tout à l’heure, je le soupçonne d’utiliser des petites pilules bleues. Mais Sandrine doit elle aussi être fatiguée car elle se dégage et vient s’assoir à côté de nous.

Quel pied, il a une super bite, bien raide, on croirait un jeune homme.

Merci jeune fille.

Guillaume est toujours dans la même position, il n’a pas l’air de trouver le temps long. Hector bouge un peu, il donne toujours son jus, ses petits soubresauts en attestent. Il faut attendre un bon quart d’heure pour voir Guillaume se lever et Hector aller se coucher dans son coin.

Je peux prendre une douche Julie ?

Bien sûr, suis-moi.

Je l’emmène dans la salle de bain et lui donne une serviette. En sortant de la salle de bain, je croise Sandrine.

Moi aussi, j’ai besoin d’une douche, tu permets Guillaume ?

Avec le plus grand plaisir, mais à condition que tu me laves.

Ça va sans dire, mais tu me rends la pareille.

Evidemment.

Je les laisse, je présume qu’ils vont en avoir pour un petit moment, je pense que Sandrine veut savoir jusqu’où il peut aller.

Je retourne au salon, Elodie est toujours assise sur le divan, Hector est dans son coin, il se lèche la bite. Je viens m’assoir à côté d’Elodie, elle pose sa tête sur mon épaule.

Je ne te remercierais jamais assez de ton accueil.

C’est normal, ne t’en fait pas, d’autant qu’on s’amuse bien ensemble.

Tu sais, maintenant que j’ai vu ce qu’était la zoophilie, je comprends certaines choses qui me paraissaient bizarres.

Comme quoi ?

Comme le fait que le chien de ma cousine germaine, qui vit dans une ferme à soixante kilomètres de Paris, se colle toujours à elle et vienne toujours me renifler sous la jupe quand je vais la voir, jusqu’à présent, je l’ai toujours éloigné, mais j’aimerais voir ce qu’il fait si je n’interviens pas.

J’imagine très bien ce qu’il te ferait.

D’autant plus que ma cousine est toujours en jupe courte dans une ferme, sans culotte, c’est assez incompréhensible, bien que la ferme ne soit plus d’activité.

Oui, elle utilise son chien, ça me parait évident, elle veut constamment être prête pour lui.

Je commence à le penser.

Elle est mariée ?

Non, elle ne s’est jamais mariée, pourtant elle a eu pas mal d’amants, mais elle tient à sa liberté.

Elle a quoi comme chien ?

Un berger allemand de cinq ou six ans, immense, elle a toujours eu des bergers allemands.

Il s’appelle comment ?

Flic.

Voilà un problème de réglé, ta cousine est zoophile.

Il y a autre chose.

A bon ?

Oui, le fait qu’elle a aussi un cheval, alors qu’elle ne monte pas.

Tu penses qu’elle se fait monter par son cheval ?

Pourquoi garder un cheval si tu ne fais pas d’équitation.

Effectivement, tu ne penses pas qu’une visite de courtoisie s’impose, je voudrais bien voir ce cheval moi, et ce qu’il a dans le ventre.

Tu dois vouloir dire sous le ventre.

En effet, sous le ventre est plus exact.

Je lui téléphone, tu verras, elle est super comme nana, pas spécialement belle, mais très chouette.

Elodie téléphone à sa cousine qui est enchantée de l’accueillir avec ses amies. Elle nous propose même de passer plusieurs jours chez elle. Après consultation de Sandrine et Carole à son boulot, nous acceptons, sauf Carole qui ne peut pas se dégager. Elle me demande l’adresse au cas où elle pourrait se libérer. Nous sommes attendus dès le lendemain, à nous de décider.

Et Hector, qu’est-ce qu’on en fait ?

On l’emmène, ils se connaissent, pas de problèmes entre eux, d’autant que je pense que si nous avons raison, elle voudra l’essayer.

Oui, mais dans ma voiture …

Ne t’en fais pas, j’ai un break.

Ok.

Et toi, tu ne travailles pas ?

J’ai pris deux jours, je voulais te faire la surprise, mais vu les évènements.

Ok, on va chez ta cousine demain.

Sandrine et Guillaume reviennent de la salle de bain, ils ont l’air très en forme.

Et bien dit donc, cette fille est une vraie furie, elle a voulu me tuer par la bite.

Mais tu as bien résisté.

Oui, mais maintenant, il faut que je rentre chez moi, je suis un peu fatigué.

Il se rhabille, nous embrasse toutes et retourne chez lui. Sandrine nous quitte aussi pour discuter avec Florence en nous donnant rendez-vous demain matin de bonne heure. Nous restons Elodie et moi seules avec Hector qui dort dans son coin.

Elodie se jette sur moi, nous nous retrouvons vite en position soixante-neuf, mais l’ambiance n’y est plus, très vite nous arrêtons pour aller préparer le diner. Après le repas, nous ne tardons pas à aller nous coucher, mais cette fois, dans la même chambre. La nuit a été à peine agitée, juste deux orgasmes, juste de quoi bien nous endormir.

…/…

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