Satisfaite de ma réaction, elle me complimenta sur la taille de mon sexe et sur la façon dont il se présentait. Verge raide et dure, bourses lourdes et pleines, le tout dépourvu du moindre poil. A la vue de mon paquetage, je pouvais déceler dans son regard, un mélange de fierté et de jubilation. D’emblée, je me mis parfaitement à l’aise. Je ne pensais plus à ma copine ni à ce niais d’Hubert. Je me sentais légitime.
Au moment où elle posa ses mains sur mon sexe, un sentiment de bien être commençait à monter en moi. Au fur et à mesure qu’elle me branlait farouchement, ce sentiment se transforma en véritable plaisir. Un plaisir profond et soutenu qui envahissait lentement chaque centimètre de mon corps. Rarement, une branlette me fit autant d’effet. Mais le lieu, ma partenaire et surtout la déconcertante situation dont laquelle je me trouvais ont eu pour résultat d’amplifier mes émotions.
Elle lâcha un court instant mon sexe pour faire sauter rapidement les boutons du dernier vêtement qu’il me restait sur le corps.
Cette fois ça y est… J’étais face à elle totalement nu! Au fond de moi, je me disais que les choses sérieuses pouvaient démarrer.
Je ne bougeais plus. J’avais hâte de voir comment elle allait s’y prendre.
Elle commença par m’embrasser sensuellement sur les lèvres et glissa habillement sa langue à l’intérieur de ma bouche.
Je fermais les yeux pour mieux déguster ce moment. Ma langue venait se mêler à la sienne dans une danse qui se voulait endiablée. Elle me faisait d’agréables caresses sur le torse. Par la précision de ses gestes, mon corps qui semblait n’être qu’un vulgaire bloc de pierre au départ, devenait plus noble qu’une sculpture de Michel Ange.
Confiante, je la sentis empoigner mon sexe. Elle me branla avec vigueur pendant que je passais mes mains sur les poches arrières de son jeans. Son cul bien ferme était adroitement mis en valeur par son pantalon moulant.
Je regrettais de ne pas pouvoir aller plus loin. L’envie de la coller sèchement au mur, de déboutonner avec rage son jean, de glisser mes doigts dans son string humide me parcourra. Malencontreusement, étant prisonnier de cette situation, je devais tirer un trait sur ma liberté de mouvements.
Elle me poussa doucement en arrière et je compris qu’elle voulait que je m’assoie sur le canapé. Mes yeux lui suppliaient de faire un strip-tease. Mais son foutu scénario me malmenait. Il était inflexible et avait pour mot d’ordre de ne pas dévoiler le corps du metteur en scène.
Assis, les jambes écartées et le sexe dressé, j’étais tout à elle. Noéline se mit entre mes jambes, se baissa de manière à avoir son visage au niveau de ma bite. J’ai cru qu’elle allait directement me sucer mais non. Elle posa ses mains sur mes cuisses puis les fit remonter tout le long de mon torse. Son visage se frottait légèrement contre mon sexe tandis qu’elle commençait à me lécher au niveau des abdominaux.
Sa langue se baladait adroitement de gauche à droite en s’attardant sur mon nombril. Pendant qu’elle faisait des arcs de cercle avec le bout de sa langue, sa main agrippa ma verge et la mania avec conviction.
A ce moment précis, un ensemble de secousses électriques parcoururent mon corps et m’arrachèrent mes premiers gémissements. Malgré l’ivresse de l’instant, je lui confiais sur un ton railleur qu’elle avait un sacré coup de poignée et que l’on pouvait sentir son expérience jusqu’au bout de ses doigts.
Elle me lâcha un petit "merci" et précisa que je n’étais qu’au début de mes surprises.
Sa langue commençait à descendre de plus en plus. Elle me fit une avalanche de bisous appuyés le long des cuisses et remonta en direction de mes testicules. Au moment où elle posa sa langue sur mes bourses, je gémissais de nouveau et lui dis :
— "oohh… Continues… J’aime ce que tu me fais!"
-"J’ai pas l’intention d’arrêter. Pas tout de suite. Et puis titiller tes couilles rasées c’est très agréable" me déclara-t-elle.
J’étais tellement excité que je ne savais plus vraiment dans quel sens elle me léchait. Ma verge était raide et brûlante tandis que sa langue était douce et bien humide. Je n’avais qu’une envie; c’est qu’elle me prenne entièrement dans sa bouche. Désir qu’elle ne tarda pas à combler.
Après avoir passer et repasser sa langue sur mon gland, elle ouvra la bouche et aspira mon sexe à l’intérieur.
L’intensité du plaisir qui m’envahissait brutalement, me poussa à fermer les yeux. Je ne la voyais plus mais je sentais très bien ses "va-et-vient" sur ma queue. Sa façon de me sucer avait quelque chose de divin. Je m’imaginais un court instant, quittant la Terre, trouvant refuge au royaume des Dieux, en compagnie d’Aphrodite la déesse du désir.
En ouvrant les yeux, le salon me semblait infiniment petit. Sa fellation était tellement exquise que mes sens se brouillèrent. J’avais l’impression, que le temps s’était figé afin de prolonger ce moment intime.
Elle se délectait à gober mes boules et s’efforçait d’enfoncer mon sexe au plus profond de sa gorge. Elle fit tourner sa langue tout autour de mon gland avec sensualité et s’amusa à essayer de la faire entrer dans ma fente. Par la suite, elle reprit entièrement mon manche dans sa bouche en pressant fermement avec ses lèvres.
Je posais mes mains sur sa tête et l’encourageais à poursuivre ses mouvements, à un rythme bien plus soutenu. Elle se plia à mon exigence et me suça de plus en plus vite.
J’avais envie de me laisser aller, de faire couler mon nectar dans sa bouche. Aussi! Je décidais de me lever du canapé et de faire à mon tour des "va-et-vient" dans son orifice.
Noéline me fixait du regard pendant que ma bite disparaissait à l’intérieur de sa cavité buccale. A ce moment là, j’avais l’impression de contrôler la situation et, commençais à m’en réjouir.
Elle me caressait les testicules, les malaxant dans tous les sens pour faire monter le sperme au plus vite.
Je lui ordonnais de continuer à me masser pendant que je cognais comme un fou contre ses joues et au fond de sa gorge en tenant fermement sa tête contre moi. Après de longues minutes à tenir le rythme, je sentais que j’allais éjaculer et elle aussi.
Au moment où mes mains lâchèrent prise, elle retira sa bouche et attrapa rapidement un verre qui traînait par terre. Elle fit glisser mon sexe dedans et m’invita à juter tout en me branlant
Bien que déconcerté par la tournure de la situation, je ne me fis pas prier pour verser mon jus chaud dans ce récipient. Piégé dans l’infinie volupté du Plaisir, de longues giclées blanchâtres se déversèrent, me procurant un sentiment d’euphorie intense.
Après quelques secondes de jouissance, je me sentais épuisé mais détendu. Voyant que je ne me vidais plus, Noéline pris ma queue est la pressa délicatement contre le verre pour y faire tomber les dernières gouttes de ma précieuse semence.
Elle se releva et pris la direction de la cuisine. Puis posa le verre sur l’évier mais ne le vida pas.
Intrigué, je la questionnais :
— "Qu’est ce que tu fais avec ce verre? Tu n’aurais pas l’intention de le boire quand même?"
— "Moi non, mais Hubert oui" m’avoua-t-elle avec insolence, le dos tourné au salon.
Sa réponse me laissa sans voix. J’étais bouche bée. La raison de cette mise en scène me paraissait comme une évidence. Je compris que la préméditation de son acte ne se limitait pas à une infidélité car le plaisir de vengeance qui en découlait, était trop éphémère. Et comme elle souhaitait rester digne dans son acte, elle s’était interdit de s’offrir à moi. Alors quelle meilleure réponse à un acte lâche et prétentieux que celle de lui infliger une punition secrète, lente et sournoise?
Elle riait aux éclats en vidant avec précaution le contenu du verre dans la bouteille de gnôle préférée de notre victime. Elle la secoua vigoureusement pour que la substance clandestine se noie dans le reste de la boisson alcoolisée. Puis la replaça, innocemment, à son emplacement initial au milieu de ses consurs.
Extasié par la fin du scénario, je ne pus m’empêcher d’applaudir et de rire à mon tour. J’imaginais le tête que ferais son copain en rentrant ce soir là, éreinté par ses heures de route, insoucieux comme à son habitude, tenant à la main un verre d’alcool mélangé à mon meilleur cru.
Pendant que je terminais de m’habiller, Noeline s’approcha de moi et me gratifia d’un bisou sur la joue en me disant :
— "Grâce à ta complicité, je tiens une vengeance des plus gores."
Et elle ajouta : "- Cet aprem’ j’ai sucé à sa santé, ce soir il boira à la notre!"
Après plusieurs passes difficiles leur couple se sépara. Mais avant leur rupture, lorsque j’allais leur rendre visite et qu’Hubert savourait égoïstement un verre d’alcool, je ne pouvais retenir un sourire en repensant à ce drôle d’après midi de septembre.
FIN