-Oh mon Dieu, tu suces comme une pro’ !
-Qu’est-ce que ?? …
Un rayon de soleil vient me tirer de mon sommeil. Doucement je me lève en me rappelant le merveilleux rêve que je venais de faire. Tout à coup j’entends la voix de ma mère :
-Enzo ! Lève toi maintenant ! Tu n’as pas oublié que c’est aujourd’hui que ton frère nous présente sa petite amie ?
Merde ! J’avais oublié…
-T’inquiète pas je ne mets pas pour longtemps pour me préparer !
-Dépêches toi il est déjà 11 heures et ils arrivent vers midi…
-Ok
Je file à la salle de bain et je met mes plus beaux vêtements. Je pars ensuite aider ma mère à mettre la table et à finir les derniers préparatifs.
D’un coup j’entends la sonnette. Je me précipite pour ouvrir la porte, et là quelle surprise ! Une sublime brune à la poitrine somptueuse et aux formes absolument parfaites. Je savais que mon frère avait bons goûts mais là… Il a décroché une perle !
Je suis resté planté sur place durant plusieurs secondes avant d’enfin esquisser un sourire intimidé et lui souhaiter la bienvenue.
Ah je n’oublierai jamais le moment où cette belle femme de 21 ans m’a fait la bise … à moi ce jeune homme de 16 ans. Elle s’est lentement baissé afin d’atteindre mes joues me laissant apercevoir sa généreuse poitrine. Je sentais ma bite prendre du volume dans mon jean et être de plus en plus compressée.
Je salue ensuite mon frère et nous allons tous nous asseoir autour de la table. Mon frère nous présenta Anaïs pendant que nous mangions. Le repas fut délicieux cependant je pensais encore à la poitrine d’Anaïs…
Nous sommes restés à table jusqu’à 14 heures puis nous avons rejoins le canapé. J’étais assis en face d’Anaïs, je pouvais entrevoir les jolies formes de ses cuisses sous sa jupe ce qui contribua encore à mexciter un peu plus. Je n’ai pas suivit la discussion qu’ils avaient entre eux, j’étais bien trop occupé à fantasmer sur cette ravissante femme en face de moi…
Un coup de tonnerre vient me sortir de mes pensées, c’est à ce moment que j’entends ma mère proposer à mon frère de rester à la maison car partir semblé dangereux. Ma mère est parfois parano mais cette fois ça joue en mon avantage ! Il faut que j’en vois plus de cette Anaïs…
A l’arrivé du crépuscule, nous partons tous à la douche. Bien entendu je me suis proposé pour y aller en premier afin d’avoir tout le temps pour élaborer un plan. Je commençais à enlever mes vêtements quand tout à coup l’envie de me masturber devint trop grande, je jette mon caleçon au sol et commence à me branler comme un dingue. Tout à coup j’entends la porte s’ouvrir ! C’est Anaïs, elle me regarde, figée sur place. Elle fixe ma bite qui est devenue très volumineuse. Ce n’est qu’au bout de quelques secondes qu’elle finit par bouger. A ma grande surprise, elle referme la porte et me questionne :
-C’est mon qui texcite comme ça ??
Je ne sais pas quoi répondre je suis pétrifier…
-Je prends ça pour un oui.
Elle commence à se déshabiller me laissant apercevoir ses formes qui m’ont tant fait fantasmer durant la journée.
-Aller laisse moi voir si elle a bon goût.
Elle a attrape ma queue et la suce vigoureusement, c’est l’extase, je sens sa langue me caresser le gland et elle pompe ma bite tellement bien… D’un coup elle s’arrête
-Je t’ai fait plaisir, maintenant c’est à toi.
Son visage a changé, elle a regard de salope maintenant… Ça m’excite encore plus !
Elle me tend sa chatte parfaitement rasée, je commence à la brouté … Elle gémit fortement, j’ai l’air de bien me débrouillé. Elle mouille de plus en plus mais je m’arrête moi aussi d’un coup. Elle me regarde d’un air intrigué.
-Passons au plaisir mutuel maintenant. lui dis-je.
-J’allais te le proposer. Enfonce ta grosse bite en moi.
J’ai approché doucement mon sexe vers elle, je commence par lui caresser le clito avec mon gland et d’un coup j’enfonce mon attirail au plus profond d’elle. Anaïs pousse un intense gémissement.
Mes vas et vient s’accélèrent, elle gémit de plus en plus fort .
-Je vais éjaculer ! cris-je.
-Moi aussi, t’arrête pas !
Là comme dans un rêve, j’envoie la sauce à l’intérieur d’elle, elle hurle de bonheur…
Nous sommes restés longtemps entrelacés en nous embrassant tout en reprenant des forces après cette partie de jambes en l’air. Nous nous sommes ensuite habillés mais au moment d’ouvrir la porte : Mes parents et mon frère étaient là. Nous restions figés, elle se collé à moi attendant ma protection. Qu’allais-je faire ? Qu’allait il advenir ?
