Jai 32 ans, marié depuis deux ans avec Sandra, une charmante eurasienne. Elle est adepte des tenues sexy qui lui vont à ravir et pas mal dhommes la regardent, je dirais même ont des regards gourmands sur elle ! Cest tous ces regards qui ont fini par influencer mes fantasmes. Souvent en déplacement, ces fantasmes maidaient bien a attendre de rentrer à la maison et revoir ma petite femme !
Comme beaucoup dhommes , je me suis connecté dans les moments de solitude a certains site de chat ainsi que le vôtre ou pas mal de récits enrichissaient mes fantasmes . Mes fantasmes prenait bizarrement de plus en plus lorientation vers un cocufiage. Jimaginais ma copine entre les mains dautres hommes et plus particulièrement plus âgé quelle. Mais comme on dit, cest et ce nétait que des fantasmes !
Lors dun déplacement aux US pour une durée de deux mois, sur un de ces chat. Je me suis mis a partager mes fantasmes avec un inconnu qui correspondait un peu type dhomme que jimaginais avec Sandra. Nos échanges était très conviviaux, je le sentais un peu paternel, me prodiguant maints conseils qui me permettait de rendre mes fantasmes un peu plus concret, réaliste. Ses 46 ans me rassurait. Cela me fessait drôle de parler de ces choses avec un inconnu. Mais du fait quil était inconnu, je me lâchais de plus en plus. Je commençais a donner des infos de plus en plus précis sur Sandra, puis quelques photos , lui me racontait des situations où il rencontrait Sandra, la séduisait, comment il lemmenait au plaisir et je rajoutais des détails pour que son histoire son encore plus réelle.
Cest vrai ce nétait que des histoires, mais dans ces moments , je passais de bon moment très excitant et je pense que mon correspondant rentrait aussi dans le jeu. Un jour, il ma demandé sur je navais pas de photos plus sexy de Sandra. Comme je navais pas grand-chose, il ma suggérer de demander a Sandra de men envoyer pour me faire patienter jusqu’à mon retour. Je trouvais cette demande a la fois drôle et un peu folle. Pourtant jai osé le demander a Sandra. Ca la fait rire mais elle na pas dit oui ! Pourtant quelques jours plus tard jen ai reçu par mail. Jen revenais pas ! Bien sur ces photos nétait que pour moi ! Et puis, comme cétait lui qui men avait donné lidée, je me suis dit : « bof, aller on va en envoyer une a Claude ( cest son prénom), ça lui fera plaisir, je lui dois bien ça ! » Il a beaucoup apprécié si bien que , une à une, jai fini par envoyer la dizaine que Sandra mavait envoyé.
Maintenant je nétais plus le seul à connaitre lintimité de ma femme. Et quand Claude me disait glisser ses doigts sur son corps, sentir ma femme lui ouvrir ses cuisses Cela mexcitait encore plus. Maintenant il avait un support pour poser son histoire avec encore plus de réalisme. Il continuait a me poser des questions sur elle et chaque fois jélargissais ses connaissances. Il savait maintenant ou elle travaillait, ses horaires, ses habitudes. Je le sentais de plus en plus proche de nous, de notre histoire. Comme il habitait dans la même ville que nous, le risque quil la rencontre augmentait progressivement. Et ce risque, je reconnais, était très excitant. Je jouais a me faire peur et lui pareillement !
Et un après-midi, rentrant du travail, en me connectant, je lus son message. Il avait rencontré ma femme ! il lavait aperçu a la sortie de son travail et lavait suivi pendant quelle faisait ses courses. Il est même aller jusqu’à me demander, en citant mon adresse, si cest bien là quon habitait ! Sur le coup, jai eu un peu peur ! nétait pas aller trop loin ? Il la compris et ma tout de suite tranquillisé. Me disant que ce nétait quun jeu et quil avait eu besoin de la voir en vrai pour rentrer dans mon histoire, mieux me comprendre.
Les échanges qui suivirent durant quelques jours furent un peu plus précautionneux de ma part. Puis lenvie de ce fantasme se refit plus fort et la confiance sinstaura de nouveau. Claude entrait de plus en plus naturellement dans mon fantasme et je laidais a sadapter toujours mieux
Sandra mavait envoyer dautres photos , cette fois ci, totalement nue. Il ny avait plus que la poitrine nue, sa chatte aussi apparaissait nettement sur les photos. Chatte que Claude narrêtait pas de complimenter.
Maintenant Claude avait fait comme si il était déjà lamant de ma femme. Plus quun amant même, plutôt un maitre a qui ma femme obéissait. Il me raconter quil passait parfois des soirées a la maison, quil était allé au restaurant avec elle, ce quil avait fait ensuite, il me disait que ma femme était de plus en plus contente de me faire cocu, quelle me remerciait de lui avoir envoyer Claude. Bref, Claude collait vraiment a ma vie et a mon fantasme quon avait monté a deux. Je prenais un vrai plaisir a lentendre me raconter tout ça !
Le temps passait , les 2 mois était presque fini. On mavait demander de prolonger mon séjour de 3 semaines et il me restait maintenant 4 semaines a attendre avant de serrer a nouveau ma petite femme dans mes bras. Je lavais au téléphone pratiquement tous les jours et je me rendais compte quavec son travail aussi, elle supportait plutôt bien mon absence.
Mais durant ces 4 dernières semaines, nos discussion avec Claude sespacèrent. Il navait pas toujours le temps . il sen excusait bien un peu parfois. Je lui disais quil navait aucune raison pour ça et il me répondait : « Tu sais maintenant, tu peux faire comme si tu es vraiment cocu. On en a déjà suffisamment parlé ensemble, tu es mur pour ça. Maintenant cela serrait même à ta femme que je devrais apprendre à bien te cocufier ! tu ne penses pas ? » Je lui répondais oui en riant.
Les derniers jours, jétais pas mal débordé de travail pour pouvoir finir à temps. Ça tombait puisque Sandra en avait profité pour partir quelques jours chez une copine. Elle me donna bien le numéro ou lappeler, mais javais du mal noté car le numéro nétait pas attribué. Claude aussi avait dû sabsenter donc pas dinternet avec lui. Javais que le boulot.
Le dernier jour, juste un mail de Claude me disant : « si je connais bien ta femme, elle devrait te faire une surprise normalement. » Sympa davoir imaginé cette dernière accroche. Jy ai longuement pensé durant le trajet en avion. Et je me disais que dans le fond, Claude mavait pas mal aidé durant ce séjours. Il avait lair très sympa. Je devrais peut-être le rencontrer pour le remercier
Roissy ! descente de lavion. Longue attente pour les bagages ! Je franchis enfin la porte et je vois, rayonnante Sandra ! Superbe robe, très très sexy qui attirait beaucoup de regard. Dans ma tête, je me mis a rire. Vraiment drôle, ma femme portait une robe très ressemblante à celle que Claude lui avait acheté dans un de ses récit ! Je la serrais dans les bras puis lentrainais très vite vers la station de taxi. Javais les oreilles bourdonnantes, plus la fatigue, javais hâte de rentrer. Dans le taxi, Sandra se colla contre moi, je lui passais un bras autour de ses épaules et on resta longuement dans cette position, silencieux. Juste le bruit de la route et la radio du taxi.
Cest Sandra qui rompit finalement ce silence. Quelques banalités et enfin le :
— Comment tu me trouve dans cette robe ?
— Jadore ! tu es vraiment superbe dans cette tenue ! . Mais même sans rien tu es toujours superbe !
— ( sourire) cest que tu aimes alors. . Et comme ça aussi ?
en disant cela, elle fit un geste relevant le bas de la robe dévoila des bas Dim-up et encore plus haut une chatte lisse ! jen restais bouche bée ! elle restait comme cela. Sa robe si relevé que le chauffeur, si il regardais le rétro , ne pouvait pas ne pas le voir ! devant mon silence elle enchaina :
— Alors ? tu aimes ?
— Jadore !!!!!
elle sourit et rabattit enfin sa robe. Quelques instants de silence encore , puis enfin le :
— Cest Claude qui me la offerte.
— Claude ?
— Oui Claude, ton copain !
Jétais livide ! incapable de dire quoi que ce soit. Heureusement, on arrivait. Je guide le taxi dune voix légèrement enrouée. Puis faut payer, récupérer les bagages. Déjà Sandra est quelques marches devant moi. Sa robe est vraiment extra courte ! japerçois le haut de ses bas. Elle a dit Claude. Cest Claude qui lui a acheté ça ? il la plus que rencontré alors ? Ce nest pas vrai ce quil ma dit. Ou alors il me disait vraiment ce quil fessait ?
— A quoi tu penses Chérie ? ( elle vient douvrir la porte de lappartement, accroche son trousseau de clés, retire sa veste et se penche pour retirer ses chaussure. La robe est si courte que japerçois le début de ses fesses.)
— Tu as rencontré Claude ?
— Oui, cest toi qui me lenvoyé.
— Moi ?
— Oui, pour maider a descendre des valises a la cave.
— La cave. A oui, la cave.
Sandra mavait parlé quelle avait mettre toute un pile de vieux vêtements dans des cartons et quelle attendrait que je reviennent pour les descendre. Javais raconté ça a Claude question de dire un peu de quoi on parlait avec ma femme. Javais rien dit de plus.
— Cest bien toi qui la envoyé non ?
— Oui oui cest moi. Il a descendu les cartons alors.
— Oui. il a fait tout ce que tu lui a dit
— Tout ?
— Oui, tout ! tu es content alors ?
— Ah.
— Oui. Il ma fait voir ce que tu voulais que je fasses
— Tas fait voir ?
— Oui, les messages que tu lui écrivais.
— .
— Tu voulais être cocu, cest ça ?
— .
— Cest vrai ?
— Oui, cest vrai.. mais pas comme ça !
— Pas comme ça ? et comment alors ?
Jen pouvais plus. Jétais complètement dépassé. Je ne savais plus ce qui était vrai, le fantasme , le réel. Je regardais ma femme. Elle était encore plus belle que je limaginais ! je nai pas résister a la prendre dans mes bras, la serrer fort, très fort ! et dajouter :
— On se couche ? jai envie de toi !
— Toute de suite mon chéri !
Je me suis retrouvé dans le lit, nu, ma femme a côté de moi. Mes mains on glissaient sur son corps. Cela fessait si longtemps que je ne lavais pas touché. Je me suis mis à lembrasser. Je la trouvais changé, plus sure delle, plus mure, plus femme, plus chienne. Jai glissé ma main vers son ventre, son sexe lisse quelle avait rasé durant mon absence. Était-ce Claude qui lui avait demandé ça ? Probablement, il adore ça. Et après lavoir rasé ou faite raser, ses mains sétaient posé sur ce petit abricot ? lavait-il marqué de sa semence ? je le pensais et je le souhaitais follement ! A mon tour je me suis glissé en elle , j ai déposé aussi ma liqueur. Cétait donc ça être cocu ? on partageait les même lieux. Ce qui avant nétait qua mois était maintenant aussi a lui ? Si cétait ça , jadorais !
Une fois soulagé, jai demandé a Sandra de me raconter comment cela sétait passé. Pourquoi elle avait dit oui ?
Après son intervention dans la maison Claude avait accepté de prendre un verre avec ma femme. Il lui avait alors longuement parlé, delle, sur ce quil savait, puis de moi, de ce que je lui avait dit, sur mes désirs les plus fou ! elle lui avait dit que cétait trop fou pour être vrai. Là, il lui a fait lire tous les messages quon avait échangé. Malgré sa surprise, elle ma avouer que ça lavait excité. Ce quelle na pas hésité a le dire aussi a Claude quand il a vu son trouble. Et là, je comprenais tout lenchainement, la malice, lexpérience, la sagesse, lautorité de Claude. Il avançait tous ses pions les un après les autres. Il avait deviné que Sandra avait envie de me faire plaisir, il la sentait douce, soumise, obéissante. Il la complimentait. Lui disait tout le bien que cela apporterait a notre couple. Il lui avoua avoir déjà toutes ses photos. Le fait que jai partagé avec lui toute cette intimité montrait bien la confiance que javais en lui. Vu son âge, il ne semblait pas chercher a détruire notre couple. Non, il nétait la que pour nous aider, laider a aller plus loin , laider a se rapprocher de moi . en quelques mots, il allait léduquer ! Il travaille dans le commerce. Son métier est de vendre. Ce nest que quelques mois après quon se rend compte quil avait mis toute son expérience pour changer notre couple. Il avait saisi chacun de mes points faibles, ceux de ma femme et avait mis en place son plan déducation, faire de moi un cocu et de ma femme sa soumise. Il ny avait pas deux heures quil était dans la maison lorsquil a demandé a ma femme de se lever et de sapprocher de lui, puis de lui montrer comme elle était belle en lui demandant de quitter un a un ses vêtements. Il lui disait dêtre une femme , la femme que je désirais. Sandra ma dit quelle se sentait en sécurité, quelle avait vraiment limpression de vouloir me faire plaisir en suivant les demandes de Claude. Je nen revenais pas. Lorsque je lai connu, il ma fallu plusieurs jour pour la voir se déshabiller devant moi et se donner a moi. Une fois nue devant lui , il la longuement regardé. Lui a demandé de tourner pour montrer chacun de ses profils. Sandra, ne comprenait pas, il la regardait mais ne la touchait pas ! Puis il lui a dit :
— Tu peux te rhabiller maintenant ! . Tu es vraiment belle. Je comprends ton mari davoir insisté . Si tu le veux, je vais téduquer. Je passerais demain pour te chercher. Et si tu viens avec moi, je commencerais ton éducation. Tu serra mon élève et tu ferra tout ce que je te dirais de faire. Si tu nouvres pas la porte cest que tu ne veux pas et je ne reviendrais pas. Viens, on va regarder dans ta garde-robe. Je veux choisir ta tenue pour demain.
Javais limpression aux aveux de ma femme davoir déjà plus ou moins entendue cela. Claude ninventais pas dhistoire, il me racontait ce quil avait fait avec ma femme. Il avait réussi, elle était sienne. Cétait sa chose, elle lui obéissait. Elle le suçait, elle lui laisser sa chatte ouverte, il lavait aussi retourné, ouvert ses fesses, sa queue était rentré là ou je nétais jamais allé. Il avait déflorer son petit trou.
Jécoutais tous ces aveux de ma petite femme. Je savourais lemprise de Claude sur elle, sur son corps. Jappris également que la semaine précédente, elle était partie 5 jours avec Claude. 5 jours a le suivre et a lui obéir. Premier jour chez un copain a lui qui tenait un salon . séance dépilation. Cest là quelle est ressortie avec la chatte toute lisse. Et puis il y a eu quelques magasins, lachat de la petite robe de laéroport entre autre. Et lordre que Claude ne voulait plus jamais la voir avec la moindre culotte. Son sexe était fait pour recevoir des queues, et Claude se chargerait de lui en offrir, cest pour cela quelle devait rester le sexe libre , laisser voir quil était disponible .
Je ne sais plus a quelle heure on sest finalement endormi, dans les bras lun de lautre. Quand je me suis réveillé très tard, Sandra était déjà dans la cuisine. Elle avait déjà préparé le petit déjeuner. 3 bols !
— Il y a Claude qui a dit quil aller passer pour te dire un petit bonjour.
Sandra avait juste enfilé un peignoir transparent. Cest comme cela quelle est allée lui ouvrir.
Présentations, échange de politesse. Il sest dirigeait directe vers la table, Sandra est restée debout à côté de lui. Il a commencé a me complimenter sur ma femme. A me dire quelle avait fait forte impression a ses relations. Sandra était toujours debout. Il se tourna enfin vers elle :
— Va enfiler ta robe noir , on va partir.
Sandra se dirigea vers la chambre. Puis sadressant a moi :
— Jai un ami qui veux la voir. Je la ramène à midi.
— .
Sandra revint dans le salon. La robe encore plus courte que celle de laéroport !
Suite à une autre fois si mon récit vous a plus.
l’histoire est vraie. un peu condensée et simplifiée et elle dure toujours.