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Dur dur d'être stagiaire – Chapitre 1

Dur dur d'être stagiaire - Chapitre 1



Lundi matin javais la flemme de me lever pour aller au bureau. Je travaille à la poste depuis bientôt 15 ans, et je suis de léquipe du matin toute la semaine ; on démarre à 5h45 avec les facteurs pour aider au tri du courrier, dur de se lever si tôt. Lavantage cest quà 13h, la journée est terminée, ça sest chouette, mon mari est à son boulot, ma fille à lécole, jai mon après-midi pour moi toute seule. Il ny a pas une super ambiance au bureau en ce moment, il faut dire que jy ai un peu contribué ça a commencé il y a trois ans quand Yves est arrivé, il était trop craquant ce type et du coup jai craqué. Le problème cest que ça sest su, et quaprès Yves il y a eu Marc et que maintenant le nouveau directeur du bureau me cours après. Avec la réputation de fille facile que mont fait les collègues, surtout les filles, il na pas tardé à me faire des avances. Il est pas mal non plus mais je ne vais quand même pas me taper tous les mâles de léquipe.

Ce matin-là il y avait un petit nouveau, Patrick, un étudiant qui fait un job dété pour deux mois avec nous, il parait que cest le neveu dune bonne cliente, pistonné par le directeur. Il avait lair tout timide le pauvre ; enfin cest le dernier prétexte qua trouvé le patron pour me coller, il ma chargé de moccuper du stagiaire, comme ça lui il en profite pour garder un il sur moi du coup jai passé la journée à le former, au tri cétait facile, puis au guichet. Il sest vite détendu je dois dire et je nai pas mis longtemps à comprendre quil me faisait de lil lui aussi. Pourtant ce nest pas ma réputation qui lui a fait de leffet à celui-là, non je dois avoir quelque chose qui lui plait. Daccord je pourrais être sa mère, enfin presque, mais je suis encore assez séduisante pour mon âge, je peux même vous dire quil y a des minettes qui ne font pas le poids, je me trouve même assez canon en fait, je suis blonde, les cheveux courts, les yeux verts avec des reflets dorés, et jai la ligne. Heureusement, avec tout le sport que je me tape bref quand je me regarde dans la glace je me trouve bien quelques défauts mais les types qui me croisent dans la rue il voient surtout mon décolleté, mon beau petit cul et mes jolies jambes.

Avec Patrick ça na pas traîné, avant la fin de la semaine, toute sa timidité avait disparu et il me faisait carrément du rentre dedans, me proposant de minviter à déjeuner ou au ciné, me demandant ce que je faisais laprès-midi Il était touchant ce gamin, et je dois dire quà force dinsister ça ma mis en tête des idées cochonnes, lui si jeune, si fougueux, si fringuant, moi si calme et expérimentée, le mélange pourrait donner quelque chose

Alors le jeudi comme il me branchait à nouveau jai craqué

— Dis donc Michèle tu fais quoi cet après-midi ?

— Tu veux encore memmener au cinéma ? tu sais à mon âge on ne regarde plus trop les films qui tintéressent

— On va voir ce qui te fait plaisir. Me répond-t-il avec un grand sourire. Je temmène en voiture et je te ramène chez toi si tu veux.

— Attends-moi plutôt derrière la place de léglise avec ta voiture après le boulot. Lui répondis-je à voix basse avec un clin dil.

Il a eu lair interloqué mais à hoché la tête et je lai laissé à son étonnement pour aller finir de pointer ma caisse. Mon cur battait plus vite et jétais moi aussi étonnée de ma propre audace. Lheure venue, je partais comme dhabitude à pied en prenant soin de le laisser quitter le bureau avant moi. Javais une petite angoisse, est ce quil mavait prise au sérieux ? Est ce quil avait vraiment envie de me voir en dehors du bureau ? Est ce quil serait au rendez-vous ?

En sortant du bureau de poste je fis donc le tour de la place de léglise et ne mis pas longtemps à repérer sa petite 207 blanche garée sur larrêt de bus. Jaccélérais le pas, vérifiais quil ny avait personne du bureau derrière moi qui puisse me voir et montait dans la voiture.

— Démarre, vite, je ne veux pas quon nous voit ensemble. Lui dis-je. Le moteur tournait déjà, il fila rapidement et je fus soulagée je dois bien le dire, il naurait plus manqué quon me voit avec le stagiaire, en plus de passer pour une fille facile, il ne manquerait plus quon me prenne pour une cougar !

— Ou on va ? Me dit-il. Zut, comme une idiote je navais pas pensé à la suite, vraiment trop conne, quest-ce que je vais faire maintenant ? Lamener à la maison ? Bof et pourquoi pas, si ça se passe mal je le mets dehors et puis cest tout.

— Prend à droite la prochaine et puis tout droit jusquau prochain feu rouge. Là tu prendras à gauche et je te dirais ou te garer. On va chez moi, je toffre un verre. Je vis son regard pétiller, faut pas quil semballe quand même, je ne suis pas sure que ça aille aussi loin que ce quil simagine déjà le petit.

Arrivé devant chez moi à nouveau le stress, et si une voisine me voyait, quest-ce que je vais lui dire ?

— Viens, entrons vite. Il me suivit et sans trainer nous avons rejoint mon appartement au 1er étage. Une fois la porte fermée, je respirais et regardais le nouvel objet de mon désir avec plus de sérénité. Vraiment il nétait pas mal, déjà bien bâti pour son âge, il devait faire du sport, un petit côté intello avec ses lunettes que jaimais bien, et puis un regard coquin à tomber par terre.

— Entre, assied toi, je toffre un coca ?

— Oui, ok pour un coca. Me répond-il en sasseyant sur le canapé du salon sur lequel je le rejoins quelques instants plus tard après avoir posé deux verres sur la table basse. Le coca navait pas lair de bien lintéresser, il ne mit pas longtemps à sapprocher de moi et à poser ses lèvres sur les miennes. Tout allait très vite, je ne mattendais pas vraiment à ce quil soit aussi rapide ni à ce quil prenne linitiative. Apparemment être avec une femme plus âgée que lui ne semblait pas lui poser de problème ni lintimider Ce premier baiser fut un vrai délice, à la fois tendre et fougueux, sa langue titillait la mienne et nen finissait pas de lenlacer.

— Tu sais que je pourrais être ta mère ?

— Tu crois ? Je ne suis pas si jeune que tu penses, jai 21 ans, et puis tu es si belle, depuis lundi je ne pense quà toi.

— Tu nas pas de petite copine ?

— Si mais tu es bien mariée toi, non ?

Oui évidemment, je nallais pas lui donner de leçons de fidélité, et dailleurs déjà ses mains sattaquaient à mon chemisier et commençaient à défaire les boutons qui dévoilèrent vite la naissance de mes seins, puis carrément mon soutien-gorge en dentelle blanche. Sa tête sapprocha de ma poitrine et il se mit à embrasser, lécher, sucer mes deux seins alternativement avec ardeur et délicatesse en même temps. Cétait un vrai délice, ma tête partie en arrière et je bombais le torse pour accueillir et encourager cette caresse qui mexcitait au plus haut point. Jétais maintenant quasiment allongée sur le canapé et lui était sur moi à membrasser les seins, le cou, les épaules, contre ma cuisse je sentais sa queue raide emprisonnée dans son jean, il bandait comme un âne, à sen faire péter la braguette, je ne pouvais pas le laisser dans cet état-là. A mon tour mes mains défirent les boutons de son pantalon et sa queue jailli immédiatement à travers louverture du caleçon, une belle et grosse queue, avec le gland rouge foncé brillant tellement il était tendu. Je le branlais doucement puis plus vigoureusement en serrant sa bite très fort dans ma main, il grogna de plaisir sa tête toujours entre mes seins quil pétrissait à deux mains. Soudains il se redressa et me mis sa bite devant le visage, linvitation était très claire et même si je ne suis pas fan de fellation dhabitude, cette fois je ne pus résister à lenvie de sucer ce sexe dhomme dressé devant moi.

Ma langue parcouru le gland le faisant briller davantage de salive, et je remontais doucement tout le long de la queue, elle était longue, toute droite, très raide, jen pris ensuite le bout entre mes lèvres et commençait à remonter doucement pour lenfourner de plus en plus profond, je ne pourrais pas tout avaler cest sûr, je mis ma main sur sa bite pour pouvoir le branler en continuant à le sucer, cela mévitait de lenfourner trop profondément. Il aimait ça, à entendre ses gémissements de plaisir ça nétait pas désagréable, et pourtant ce nest pas ce que je faisais de mieux

Cest là quil sest échappé de ma bouche et quil a enlevé ce qui me restait de vêtement, je me suis retrouvée nue devant lui sur le canapé, il se mit nu également en achevant denlever son jean et en ôtant son polo ; alors il sest penché vers ma chatte et à commencer à me lécher, jai cru défaillir, je ne pouvais pas résister à cette caresse et au plaisir quelle me procurait. Sa langue titillait mon clito, montait et descendait tout le long de ma fente et sintroduisait à lintérieur, je ne savais plus où donner de la tête, mon cerveau était en ébullition et la chaleur dans mon ventre irradiait dans tout mon corps, et il continuait encore et encore, et je mouillais comme une salope et javais envie de lui dans moi.

— Viens, baise moi, je veux ta queue dans mon ventre maintenant.

Il sexécuta de bonne grâce et me pris sur le canapé dans la position du missionnaire, il me défonçait, allait et venait en moi et cétait délicieusement bon de sentir sa grosse queue me remplir complètement. Notre étreinte à durée quelques minutes qui se sont terminées par un orgasme mémorable, jai crié comme une dingue avant de me mordre la lèvre en pensant aux voisins et il a grogné en lâchant sa semence en moi avant de seffondrer en sueur entre mes cuisses.

Nous avons repris nos esprits et notre respiration sest calmée au bout de quelques instants, nous nous sommes regardés, encore lun sur lautre, il sest relevé a attrapé un verre et me la tendu.

— Alors on le bois ce coca ?

Inspiré d’une histoire vécue… quand j’étais moi même stagiaire.

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