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Eclipse – Chapitre 3

Eclipse - Chapitre 3



3) Surprise

Je suis les ordres de Monsieur, en me préparant ce matin, jy mets tout mon cur, jaccentue mon maquillage, bon daccord, jai lair dune poufiasse, jai ressorti une vieille mini jupe plissée que javais au lycée et qui me va toujours, jai souris en enfilant des chaussettes blanches et en me faisant des couettes. Je suis toujours nue sous mes vêtements et jai encore un peu de mal avec ça, vieux reste déducation.

Ce matin, les copains et copines de fac me regardent bizarrement, eux qui avant ne prêtaient jamais attention à moi, ce changement radical ne passe pas inaperçu et certaines filles sont venues me parler.

Si la première fois, Monsieur mavais attendue un peu plus loin discrètement, en me ramenant chez moi il mavait dit :

Maintenant tu nas plus aucune raison de cacher à quiconque que tu mappartiens, je viendrai te prendre directement à la sortie de la fac.

Aussi, quand il passe me prendre, je suis fière de monter dans sa voiture devant tout le monde, et de me positionner tel quil me lavait demandé la fois précédente, cul nu sur le siège en cuir, hmmm quel délice, je me suis installée avant de refermer la porte des fois que quelque étudiant puisse voir. Quelle perverse je commence à faire hihi !

Même chemin, mêmes embouteillages, mais ça va on arrive sans encombre dans cette belle demeure. Monsieur ne parle pas, alors que jai mille questions à lui poser, mais je nai pas envie de le contrarier.

Nous descendons à la cave, je suis plus à laise que la fois précédente, jy ai un peu mes repères. Je me déshabille avant quil ne me le demande, et je me place devant lui, mains derrière le dos et la tête baissée en signe de ma soumission.

Aujourdhui, nous allons poursuivre ton éducation, allonge toi sur cette table,

Je mallonge sur la table, elle est en bois brut, pas très confortable, jai juste le ventre qui repose dessus, les jambes et les mains sont vite liées aux pieds de sorte que je ne peux pas bouger, mes seins pendent dans le vide, et mon cul dépasse de la table, je ne vois rien dautre que le sol.

Il me fixe dans la bouche un truc qui ressemble aux vieux appareils dentaires que portaient les ado aux Etats Unis, sauf que là, ça moblige à garder la bouche ouverte, ce qui est très inconfortable, le pire est que je bave comme une demeurée et que le fait de ne pas pouvoir avaler ma salive est très frustrant, je ne sais pas comment y parvenir, il y a rapidement une mare de bave qui me fait honte.

Aujourdhui, je vais te torturer pour vérifier ta résistance aux différents traitements.

Je hoche la tête comme je peux pour dire oui, mon ventre se contracte sous la peur.

La séance commence

Il me caresse les fesses, doucement, puis commence à me les claquer, plusieurs fois dun côté, puis changement de fesse. Je sens mon fessier qui senflamme au fur et à mesure, la chaleur monte progressivement au rythme des claques.

Changement, il me donne des claques sur mes lèvres, je n mattendais pas à ça, et la puissance augment au fur et à mesure et il alterne entre mes fesses et mes lèvres, jessaye de crier, mais avec cet appareil qui mouvre la bouche il ne sort que des borborygmes.

Il finit par me faire relever la tête en me tirant par les cheveux, et me dit,

Cest bon ? ça te plaît ?

Je fais signe en clignant de mes yeux embués de larmes de la douleur

Ok, on va continuer.

La séance reprend, avec des pauses, qui me laissent espérer à chaque fois que cest terminé, mais ça reprend de plus belles pour augmenter en intensité. Jessaye de gérer ma douleur, mais il y a un moment ou je ne peux plus et mabandonne.

La séance sarrête, est-ce une nouvelle pause ? , non, Je lentends sortir de la pièce par la porte derrière moi, mon cul me brule et jaime ça grave. Ma position ne me donne pas un champ de vision très important, a part le carrelage sous mon nez et un peu à droite et à gauche.

Après un court instant, jentends des pas qui arrivent derrière moi. Le froid dun liquide qui coule entre mes fesses et un doigt vient masser et jouer avec mon anus pour faire pénétrer le liquide.

Je nai jamais pratiqué la sodomie, mais on verra bien. La main experte, entre, va et vient pour sassurer que la lubrification est parfaite.

Je ferme les yeux et jattends, je me concentre sur cette région.

Le sexe se pointe à lentrée de mon orifice, et par petits coups, commence à se frayer un passage en moi. Une fois légèrement ouverte, dun grand coup de rein me pénètre profondément.

Je hurle sous la douleur, mes jambes et mes bras se débattent tentant en vain de méchapper de cette intrusion, mais rien ny fait.

Et commence son travail de va et vient, tantôt court, tantôt au fond de mes entrailles, mon cul est en train dexploser sous les coups.

Au fur et à mesure quil me travaille, la douleur sestompe un peu, et je sais que comme les coups de martinet, je vais garder à lesprit la marque de ses coups de boutoir une fois rentrée à la maison, cest comme sil prolongeait la soirée avec moi.

Le rythme commence à ralentir, et je commence à mieux sentir son sexe et je me concentre dessus, une fois de plus, la première douleur passée, une onde de plaisir arrive, et mes hanches ainsi que mon bassin commencent à onduler pour suivre ce ballet.

Alors que je suis en train de commencer à gouter à ce nouveau plaisir, quelquun passe devant moi pour sinstaller face à moi, ce quelquun cest mon Maître.

Mais alors sil est maintenant assis devant moi,QUI est en train de prendre son pied dans mon cul ?

Le côté voyeur de Monsieur me plait, et le fait de ne pas savoir qui est planté dans mon cul est très excitant 

Jusquau moment ou je sent les convulsions de son sexe mindiquer que la jouissance est arrivée et que mon cul allait en être rempli au vu des soubresauts qui lagite.

Il se retire et je sens effectivement le trop plein de sperme sécouler de mon orifice le long de mes jambes.

Lindividu vient se placer devant moi à côté de Monsieur, cest un très beau black, bien musclé, à la peau luisante et sans défaut, et son sexe même au repos est impressionnant, et dire que javais ça en moi ?

Monsieur me retire lappareil qui mempêchait darticuler le moindre mot, et me dit :

Cest bien, tu es une bonne chienne, tu vois, tout peut arriver, tu dois être tout le temps prête à satisfaire mes désirs et de te partager en fait partie.

Oui Monsieur,

Pas besoin de faire les présentations tu as déjà été en contact avec lui, et il part dun grand fou rire, ce qui fait rire également son ami.

Comme tu es une bonne chienne, je vais te donner ton collier que tu devras porter en permanence.

Merci Monsieur, vous me faites beaucoup dhonneur, je le servirai comme une bonne chienne se doit de le faire.

Tu as intérêt, si tu ne veux pas retourner à la rue.

Jétais émue de cette attention, il me mit un petit collier, noir, mince avec un petit anneau.

Il me détache et me conduit devant une glace, je suis contente de ce cadeau.

En me ramenant chez moi, il me dit,

Va tacheter des fringues et des chaussures, je veux que tu aies lair dune vraie chienne.

Monsieur, je suis encore étudiante et pas très riche,

Fait déjà du mieux que tu peux, on verra après ce quon peut faire.

Autre chose, je veux que tu affiche ton statut de chienne soumise en toutes circonstances, ainsi que dans ton entourage, compris ?

Oui Monsieur, je ferai du mieux que je peux pour vous servir et vous obéir fidèlement.

Allez rentre.

Je me retourne pour voir la voiture partir, ouf, la journée a été rude, jai encore les fesses en feu et mon anus se souvient encore des coups de rein de ce beau mec. En montant les marches de limmeuble je souris à lidée de la salope que je suis en train de devenir et ça me plait et je suis fière de moi.

Je rentre, me déshabille en éparpillant les vêtements sur le chemin de ma chambre, je tombe sur mon lit et écroule dans les bras de Morphée sans demander mon reste.

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