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Ecole du sexe – Chapitre 15

Ecole du sexe - Chapitre 15



La journée du dimanche passa à une vitesse fulgurante, celle du lundi également. Alice, angoissée par l’approche inexorable du cours de SM, priait intérieurement pour que le professeur acceptât de la dispenser de cours. Lorsque nous nous réveillâmes mardi matin, Alice mangea à peine son petit-déjeuner ; elle n’avait grignoté qu’une demie tranche de brioche. Les cours du matin se déroulèrent sans accroc, bien que l’esprit d’Alice se fût parfois égaré dans le labyrinthe de ses pensées. Nous déjeunâmes quelques heures plus tard, et encore une fois Alice ne mangeât presque rien. Nous étions en train de discuter dans l’un des couloirs de l’école lorsque la sonnerie annonçant la fin de notre pause déjeuner retentit. Alice se cambra et sa respiration devint irrégulière : le prochain cours était celui de SM. Voyant qu’elle allait mal, je la pris dans mes bras et lui embrassai le front.

Tout va bien se passer, lui chuchotai-je. Je ferai en sorte que rien ne t’arrive.

Alice ne répondit rien, elle se contenta de se lover contre mon épaule.

J’ai peur, Bastien, me confia-t-elle.

Je sais, lui dis-je sans savoir quoi ajouter. Mais ne t’en fais pas, je vais rester avec toi.

Voyant que le temps passait, je réussis à la convaincre de se rendre jusque dans la salle de classe dans laquelle notre professeur, monsieur Wipe, nous attendait. Il jeta à Alice un regard troublé, mais je sentis sur son visage qu’il se fichait de savoir ce qui pouvait bien se passer. Peut-être n’était-il même pas au courant de son histoire. Alice et moi nous assîmes à nos places respectives, c’est-à-dire au fond de la salle, et observâmes les divers instruments posés sur nos tables.

Aujourd’hui, nous ferons de la pratique, déclara le professeur. Je vais demander à toutes les femmes de bien vouloir reculer leurs chaises et de s’asseoir afin que les hommes puissent se promener autour d’elles. Je vous rappelle également, messieurs, que le SM se doit d’être un plaisir partagé. Si votre partenaire refuse que vous alliez trop loin, ne l’y forcez pas. Ignorez cette consigne et j’interviendrai.

Le fait que monsieur Wipe nous eût demandé de ne pas aller trop loin sembla rassurer quelque peu Alice qui, même si elle se trouvait encore dans un état de forte angoisse, se calma légèrement.

Messieurs, première étape. Vous allez commencer par prendre le bâillon se trouvant sur votre table. Pour ceux qui ignorent comment ce petit jouet fonctionne, placez la boule rouge dans la bouche de votre partenaire et attachez le comme s’il s’agissait d’un collier. Vous avez une minute.

Je lançai un regard à Alice qui, d’un mouvement de tête, m’encouragea à suivre les consignes. Je pris alors le bâillon et, avant de rendre muette ma petite-amie, lui déposa un baiser sur les lèvres en guise d’encouragement. Je la regardais, la bouche ouverte, tandis que de la salive commençait déjà à tremper le bâillon.

Parfait, je ne vois pas de retardataire. Prochaine étape, vous allez devoir attacher votre partenaire. Pour cela, je vous laisse le choix : les menottes ou la corde. Pour ceux qui utiliseraient la corde, appelez-moi si vous rencontrez des difficultés.

Je restai immobile devant ma table en réfléchissant. D’un côté, les menottes étaient moins significatives que la corde, plus agréables également. Néanmoins, si mes souvenirs étaient corrects, c’était avec des menottes que Fabian avait attaché Alice. Ainsi, en prenant les menottes, je risquais de faire revivre son viol à ma petite-amie. Hors de question de faire cela. Sans plus de réflexion, je m’emparai de la corde et me retournai. Je voulus commencer à attacher ma dulcinée, mais cette dernière secoua la tête de gauche à droite. Ensuite, elle me désigna les menottes en les pointant du doigt.

Tu en es sûre ? Demandai-je. Tu ne penses pas que ça te fera du mal ?

D’un simple regard, Alice me fit comprendre qu’elle en était certaine. Je décidai de ne pas la contrarier et abandonnai cette longue corde que je remplaçai par les menottes. Quelques secondes plus tard, les mains d’Alice étaient attachées aux accoudoirs de sa chaise, et ses jambes aux pieds. Je vis Alice prendre une grande inspiration malgré le bâillon qui l’obligeait à respirer par le nez. À ce moment, j’admirais le courage dont elle faisait preuve. Le professeur Wipe donna d’autres consignes que je respectai du mieux que je le pus, des légers coups de cravache sur les seins jusqu’aux pinces à linge, arrachant chaque fois une grimace à ma bien-aimée.

Bien messieurs, la suite devrait vous plaire. Je veux qui chacun de vous attrape son membre et se masturbe jusqu’à ce que chacune d’elle reçoive son offrande. Sur ce, faites-vous plaisir.

Je fis face à Alice qui me regardait dans les yeux. Je ne l’avais jamais vue ainsi, il fallait dire que nous n’avions jamais essayé la soumission. Au plus profond de son regard, je compris qu’elle me demandait d’aller jusqu’au bout, d’effectuer cette masturbation et de conclure sur son visage. Nous l’avions fait deux fois entre aujourd’hui et le cours de bukkake de samedi, mais jamais dans ces conditions. J’entamai alors un geste périodique de va-et-vient avec le poignet jusqu’à ce que je sentisse le plaisir monter jusqu’à mon uretère. Là, je poussai de petits gémissements afin de faire comprendre à Alice que je venais. De son côté, ma dulcinée ferma les yeux et attendit. Trois filets de liquide blanc s’échappèrent de mon être pour atteindre le visage d’Alice qui eut un léger mouvement de recul, sans doute dû à la surprise. L’un des filets avait atteint la boule rouge du bâillon et je remarquai qu’il avait réussi à couler jusque dans sa bouche, à la grande surprise de ma petite-amie. Les deux autres avaient été moins exigeants ; ils s’étaient contentés de son front et de sa joue gauche. Je me remis de ce petit plaisir et regardai Alice qui, semblait-il, n’avait pas bougé de sa place.

Alice, tout va bien ?

Puisqu’elle ne réagit pas, j’en conclus qu’elle ne m’avait pas entendu.

Alice ? Tu m’entends ?

Je tapotais son épaule, mais là encore aucune réponse. Qu’est-ce qui pouvait bien se passer, bon sang, pensai-je.

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J’ouvris les yeux. Une intense lumière m’aveugla aussitôt, comme si je n’avais pas vu le jour depuis des lustres. Je ne voyais rien, je pouvais à peine percevoir les ombres des personnes autour de moi. Parmi eux devait se trouver Bastien, j’étais censée être en cours de SM avec lui. Pourtant, j’avais l’impression de ne compter que six personnes, toutes regroupées autour de moi. Je me demandais ce qui pouvait se passer. Un dernier détail retins mon intention : les pinces à linge et le bâillon. Ils avaient disparu, mes seins n’étaient plus soumis à leurs pinces, et ma bouche était libre de se fermer et de s’ouvrir. Ils n’avaient pas pu tomber, tout de même. À moins que Bastien les eus retirés. Impossible, je l’aurais senti, surtout le bâillon. Quelque chose commençait réellement à me faire peur. Je paniquais, incapable de me situer dans le temps et dans l’espace. Toutefois, après trente secondes au cours desquelles mes yeux pleuraient à cause de la luminosité, ces derniers saccommodèrent, et aussitôt mon sang se glaça d’effroi.

Fabian ! Criai-je paniquée.

Oh, je vois que tu es réveillée, ricana-t-il. Tu m’excuseras, mais nous avons dû t’assommer pour te transporter ici sans que tu ne cries.

Mes respirations devinrent saccadées et ma vision se troubla à cause de la peur. J’essayai de bouger, mais mes mains et mes jambes étaient menottées à la chaise sur laquelle j’étais assise, totalement nue et à la merci de mes ravisseurs.

Voyons, pourquoi toute cette agitation ? demanda Fabian en riant. C’est à cause de te savoir menottée devant mes gars et moi ?

J’avais l’impression d’étouffer. Je sentais en moi comme un étau me pressant les poumons, refusant de les laisser emmagasiner de l’air.

Mais c’est qu’elle va finir par lâcher, la petite salope de ce voleur de Bastien ! Si ça continue, je vais devoir lui faire du bouche-à-bouche. Je t’avoue que ça ne faisait pas vraiment partie du programme, rit-il encore.

Je le regardais en tentant de reprendre mes esprits. Bien que je ne comprisse pas ce qui se passait, j’essayais de réfléchir à toutes les possibilités.

Tu as été renvoyé, dis-je faiblement. Monsieur Auburn t’a renvoyé pour m’avoir violée, et tous tes potes aussi ! Qu’est-ce qui se passe, bordel ?!

Fabian me regarda désarçonné.

Je ne vois pas ce que tu veux dire, Alice. Comment monsieur Auburn a-t-il pu me renvoyer pour viol ? Je n’ai même pas commencé, conclut-il avec un grand sourire.

Incapable de me retenir, je tentais de lui donner un coup de pied, mais ma jambe, prise dans des menottes, ne rencontra rien d’autre que du fer. Bon sang, pensais-je ! J’ai compris, c’était sous mes yeux depuis le début. Bastien avait raison, je n’aurais pas dû aller si vite : me voilà replongée dans mes souvenirs. Le souvenir de cette nuit. J’allais de nouveau me faire violer.

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Alice était toujours immobile, les yeux fermés. Je commençais à m’inquiéter de la voir dans cet état. Pris de panique, j’appelais monsieur Wipe afin qu’il me donnât son avis.

Que se passe-t-il, Bastien ?

C’est Alice, monsieur, elle ne bouge plus. C’est comme si elle ne m’entendait pas.

Elle est en train de vous faire une farce, je suppose.

Notre professeur s’approcha d’Alice et approcha sa figure de celui de ma dulcinée.

Alice, réveille-vous ! On n’est pas là pour dormir, on est là pour travailler ! Alice, vous m’écoutez ?!

Aucune réponse de sa part. Elle avait beau aimer plaisanter, elle ne ferait jamais quelque chose comme cela, encore moins si le prof vient pour la gronder.

Alice ! Écoutez-moi, bordel de merde !

J’allais faire remarquer au professeur que crier n’arrangerait en rien la situation, jusqu’à ce que les yeux de ma petite-amie s’ouvrissent. D’abord rassuré, mon cur manqua de s’arrêter lorsqu’Alice se mit à hurler le nom de Fabian avant de se mettre à trembler violemment.

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Lâche-moi, hurlai-je à l’attention de Fabien.

Pourquoi devrais-je te lâcher ? Après tout, tu es à moi ce soir. À nous, devrais-je dire, ajouta-t-il en montrant du doigt chacun de ses cinq gardes du corps.

Tandis qu’il s’approchait de moi, je voyais son membre se rapprocher petit à petit de mon visage. Refusant de faire quoi que ce soit avec lui, je montrai les crocs, et aussitôt il se ravisa.

Ce n’est pas vraiment ce à quoi les hommes s’attendent, quand on vous demande si vous avez faim, dit-il d’un air mauvais. Si tu ne fais pas d’effort, je n’en ferais pas non plus.

Parce que tu as l’intention d’être généreux avec moi ?! Lâchai-je hors de moi.

Il balaya ma question d’un revers de main.

Comme tu voudras. Je n’avais pas l’intention d’en arriver là aussi tôt, mais tu ne me laisses pas vraiment le choix.

Je vis alors deux des cinq gorilles de cette ordure arriver dans mon dos. Le premier m’attrapa au niveau de la tête et me maintint collée à la chaise. Le second fit de même avec mon torse, ses mains agrippant ma poitrine. Je les insultai de tous les noms jusqu’à ce que je visse le membre de Fabian s’approcher dangereusement de mon vagin. Non, pensais-je, je vais revivre ça. Je voulus fermer les yeux, mais je savais que cela ne le ferait pas disparaître. Incapable de faire autre chose, je me mis à pleurer.

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Tout le monde dans la classe regardait Alice avec terreur. Elle s’agitait maintenant dans tous les sens sur sa chaise, jusqu’à ce que cette dernière basculât sur le côté et tombât, manquant au passage de casser le bras de ma dulcinée. Heureusement que ce bras se trouvait bien sur l’accoudoir, et non à côté. Ses spasmes cessèrent, des hurlements prirent leurs places. Elles criaient des mots tels que « non », « pas encore » et « Fabian ». Elle en avait hurlé d’autres, mais ces derniers m’avaient frappé. Je compris alors ce qui se passait. Alice était en train de revivre son viol. Je semblais être le seul à l’avoir remarqué, mon professeur semblait incapable de savoir quoi faire. L’une des élèves avait été chercher monsieur Auburn, ce dernier arriva dans la salle environ cinq secondes après que j’eusse découvert le pot aux roses. Sans perdre plus de temps, je me jetai aux côtés d’Alice et lui caressai les cheveux. De mon autre main, j’attrapai la sienne et la serrai. J’approchai alors ma bouche de son oreille et lui susurrai ces mots :

Tout ce que tu vis n’est pas réel, Alice. Quitte cet endroit et rejoins-moi, je t’en supplie. Je ne veux pas que tu vives ça à nouveau.

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Je hurlais toutes les insultes qui me venaient à l’esprit. Même le capitaine Haddock risquait de me jalouser. Tandis que son membre avait presque atteint mon sexe, une voix résonna dans ma tête.

Tout ce que tu vies n’est pas réel, Alice. Quitte cet endroit et rejoins-moi, je t’en supplie. Je ne veux pas que tu vives ça à nouveau.

C’était la voix de Bastien, je pourrais la reconnaître entre mille.

Mon amour, donne moi la force de me battre.

Fabian me jeta un regard amusé, sans doute avait-il cru que je m’adressait à lui. Je fis une moue dégoûtée lorsque je regardai son pénis approcher jusqu’à ce que je sentisse une chaleur naître dans le creux de ma main et se propager dans l’intégralité de mon corps. Cette chaleur, c’était celle de Bastien, j’en étais certaine. Cette présence me redonna le courage qui me manquait.

Tout ça, c’est dans ma tête, murmurai-je. Rien de cela n’est vrai. Tout est dans ma tête, alors je peux faire ce que je veux ! Ce sont mes souvenirs, alors je te l’interdis, Fabian !

Je fermai les yeux et priai pour que mes chaînes disparussent. Lorsque je rouvris les yeux, mes mains et mes pieds étaient libres. J’en profitai alors pour attraper les testicules de l’ordure qui me faisait face et serrai aussi fort que je le pus.

Pétasse ! hurla-t-il de douleur.

Ses cinq gorilles se jetèrent sur moi, mais il me suffit de penser à leurs disparitions pour que nous ne fussions plus que tous les deux, Fabian et moi.

Qu’est-ce qui se passe maintenant ? dit-il terrifié. C’est toi qui fais ça, salope ?!

Règle numéro un : quand une fille a tes couilles dans ses mains, ne jamais l’insulter.

Je voulus serrer encore plus fort, mais une soudaine envie d’humilier cet homme naquis en moi. Je fermai les yeux et imaginai Fabian en esclave sexuel. Lorsque j’ouvris les yeux, son visage avait perdu toute haine.

Oh, maîtresse, oui, punissez-moi ! dit-il le visage cramoisi.

L’entendre dire une telle chose me fit pousser un rire bruyant. Je le dévisageai jusqu’à le forcer à s’agenouiller. Je plaçai ma main droite à l’arrière de son crâne et, me levant, je collais sa bouche à mes lèvres intimes.

Lèche ta maîtresse, Fabian.

Sans prononcer le moindre mot, il s’exécuta et promena sa langue le long de mon vagin. Je ne ressentais aucun plaisir sexuel, seulement le plaisir de voir mon violeur dans cette position. Puis j’eus envie de décupler ma vengeance. Sans le prévenir, je décidais d’uriner dans sa bouche. Esquissant un visage surpris, je vis du plaisir dans ses yeux tandis qu’il buvait au goulot de sa maîtresse. Bon sang, j’avais été loin dans sa reconversion.

Oh, maîtresse, merci pour ce cadeau, dit-il avec les yeux brillants tandis qu’il nettoyait un écoulement d’urine sur son menton.

Le voir ainsi me rendait folle de joie. Toutefois, je n’en avais pas terminé avec lui. Je lui ordonnais de s’allonger sur le dos sur la table que j’avais fait apparaître à la place de la chaise. Il s’exécuta avant que je priasse pour qu’un gode-ceinture apparût autour de ma taille, recouvrant mon sexe.

Oh, maîtresse, me ferez-vous l’honneur de me donner tant de plaisir ?

Je le regardais, les yeux brillant d’une flamme que je ne me connaissais pas. Le gode-ceinture bien serré, je m’approchai de son postérieur qu’il écarta à l’aide de ses mains. J’hésitais un instant, je n’avais jamais vu un anus sous cet angle. J’approchai un peu plus mon bassin, et bientôt le plastique de ce petit joujou pénétra la personne que je haïssais le plus au monde. D’un coup de rein, violent cette fois, j’enfonçais le sex-toy dans le fondement de cet homme. J’entamai alors un mouvement de va-et-vient, chose que je n’avais faite, du moins dans cette position. Fabian gémissait chaque fois que je bougeais le bassin. J’en profitai alors pour me faire plaisir et le pilonnai. J’avais l’impression d’être un homme, cela se révélait être une expérience spéciale mais très jouissive. Au bout de plusieurs secondes, Fabian m’indiqua qu’il allait jouir. Je décidai de le faire attendre et, par la force de ma volonté, sa semence ne quitta pas son sexe. J’attrapai alors son manche et, tout en le pénétrant, je commençais à le masturber.

Maîtresse, je vous en supplie, laissez-moi jouir ! J’accomplirai tous vos désirs, mais par pitié, laissez-moi jouir.

J’appréciais tellement ce que je faisais que je ne relevais même pas que je branlais l’homme que je détestais. Bon sang, quel pied ! Puis j’eus une une nouvelle idée.

Tu veux jouir ? Très bien, tu vas jouir.

Je sortis mon faux pénis de son anus et décidai, pour le grand final, de lever ses jambes en l’air et de basculer son bassin en arrière jusqu’à ce que son sexe fût en face de sa bouche.

Ouvre et avale, c’est ta maîtresse qui te l’ordonne.

Fabian s’exécuta tandis que son liquide séminal arrosa son visage et emplit sa bouche. La dernière vision que j’eus de lui fut celle d’un homme avalant son propre sperme, son visage souillé par lui-même. Ce plaisir me combla tandis que je décidai de quitter cet endroit le sourire sur les lèvres.

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Je tenais fermement la main d’Alice. Monsieur Auburn nous regardait, impressionné par la scène à laquelle il venait d’assister. Tandis qu’il proposa d’emmener Alice jusqu’à l’infirmerie, Cette dernière arrêta de hurler et, à la surprise générale, prononça mon nom. Elle me regarda tendrement en prononçant ses quelques mots :

— J’ai réussi. J’ai soumis Fabian.

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