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Eduquer un mari chômeur… – Chapitre 1

Le nouveau facteur - Chapitre 5



Un drôle remède à la déprime

Extrait d’un site que j’ai produit par correspondance avec 2 femmes dominatrices en 2003. (Regrets)

    "J’ai 49 ans et j’habite dans les Vosges (France). Mon Mari, Martin, a 53 ans. Il est représentant de commerce, il a été licencié voici trois ans et il n’a toujours pas retrouvé de travail. "

Nous nous lassons de toutes ces recherches et son moral est très bas. Heureusement, je travaille, alors nous avons quand même mon salaire. Mais il se sentait très dévalorisé, lui qui gagnait bien sa vie avant. Je sentais qu’il déprimait peu à peu. Le soir il sentait de plus en plus souvent le vin, il tenait des propos ironiques ou destructeurs sur tout. Je songeais presque au divorce, tant il avait changé. Nous n’avions plus de relations sexuelles, dues à son complexe "infériorité" présumée.

Alors l’an passé, avec vos premières histoires masochistes, j’ai imaginé de transformer sa passivité en soumission, puisqu’il pense avoir perdu sa dignité masculine (encore un fois c’est lui qui croit ça, je souffre pour lui de cette perte de travail). C’est tout un univers que je découvrais. Grâce à notre fils qui nous a mis l’internet on peut dire, j’ai vu que des tas de sites existent et donc que c’est une relation qui concerne beaucoup l’imagination des hommes et des femmes.

Alors un soir, l’été dernier, quand notre fils et sa fiancée nous ont quitté après une soirée bien arrosée, Martin s’est assoupi sur la chaise longue de notre terrasse. Il était à plat dos et commençait à ronfler.

J’avais déjà acheté trois paires de menottes à un outilleur ambulant. J’en ai profité pour lui menotter les pieds ensemble et chaque main aux montants du relax. Ce qui l’a réveillé, c’est quand j’ai déboutonné sa chemise. Je l’ai embrassé à pleine bouche pour l’empêcher de rouspéter et me suis assise à califourchon sur son ventre. Il s’agitait pas mal, et il est plus fort que moi. Alors comme une cowboy sur un cheval furieux, j’ai serré les cuisses et tenu bon. Il s’énervait parce qu’il ne pouvait pas m’empêcher de lui malaxer les tétons. Sous mes fesses je sentais que ça commençait à grossir et il se débattait moins. J’ai cessé de le bécoter et lui ai dis de ne pas parler sinon je lui mettais du ruban noir sur les yeux et la bouche (un gros scotch en tissu qu’on utilise sur les cageots pour faire des étiquettes à marquer à la craie dans l’agriculture)

Il était vraiment surpris, il ne disait plus rien, mais gardait la bouche ouverte. Ca m’a donné une idée. J’ai ôté mon tshirt et mon soutien

gorge et lui ai enfourné mon sein gauche (celui qui est le plus gros et le plus sensible) entre les lèvres. Il roulait de ces yeux mais il

léchait et suçait comme il pouvait. Comme ça me plaisait j’ai appuyé beaucoup plus fort, il était écrasé, le pauvre pouvait presque plus

respirer. Mais surprise sa trique me soulevait presque à travers son pantalon tellement ça lui faisait de l’effet.

Alors je me suis soulevée les fesses tout en le tenant étouffé sous mon sein et j’ai eu beaucoup de mal à lui faire glisser le pantalon et

le slip. Son sexe était vraiment bien gros et dressé, ça faisait longtemps que j’avais plus vu ça. Détache moi qu’il a dit. Moi j’ai

dit non pas question. C’est à cause des menottes et de l’étouffement qu’il trique, alors moi, je suis peut-être pas aussi bête qu’il croit:

Je ne risquais pas de le libérer. J’avais décidé d’en profiter au maximum. J’ai ôté vite ma jupe en gardant que ma culotte et Je me

suis rassise sur sa queue en la relevant contre son ventre.

Il avait toujours du mal à respirer j’entendais son air sortir bruyamment par le nez contre ma poitrine. Je me frottais la chatte

contre son sexe dur. J’appuyais de tout mon poids dessus son bâton car je sentais que ça venait toute bouffée du sein que j’étais. J’ai eu

dans un grand soupir, ça faisait vraiment longtemps que j’avais pas jouie.

Je me suis reculée pour le regarder en face, alors il m’a demandée de le sucer. Allez là tu peux courir, c’est toi qui va sucer: ton truc ne

sent pas bon . Faudrait voir à te laver mieux que ça, tu te laisses aller mon petit bonhomme. Je me suis levée pour aller chercher un pré

servatif que je lui ai mis. C’était juste car il mollissait déjà.. Je lui ai un peu malaxé les parties et dès qu’il a été plus dur, j’ai ôté

ma culotte et je suis montée à cheval dessus. J’y suis allée franco parce que j’avais encore envie et que j’étais bien mouillée.

Il faisait une drôle de tète. Il était contrarié et sa trique recommençait à faiblir. Moi aussi ça m’a contrariée. En me tenant fermement en arrière des deux mains à ses genoux, j’ai soulevé mes jambes et mis mes pieds en l’air. Ensuite je les ai plaqué sur son visage. Il

rouspétait la dessous. Pour le faire taire l’ai mis mon pied gauche en travers de sa bouche, et puis délicatement du pied droit, j’ai coincé

son nez entre mon gros orteil et l’orteil suivant. La tête plaquée contre le dossier du transat, il ne pouvait pas m’en empêcher.

Il respirait à grand peine, des fois j’écartais les orteils pour qu’il reprenne un souffle normal, des fois je serrait pour lui rendre la

respiration très difficile. L’air chaud et humide sifflait entre mes doigts de pieds. Avec l’étouffement et en plus mon odeur, mon Martin

s’est remis à triquer ferme. J’avais plus qu’à bouger du bassin (je suis une femme un peu forte) pour sentir son sexe profondément en moi.

A quel bon moment. C’est dommage, c’est venu très vite pour moi. j’avais chaud, je brûlais de partout. Je me suis relevée pour aller me doucher.

Il a commencé à rouspéter et je lui ai dit que je me douchais pendant qu’il réfléchissait. S’il débarrassait tout et faisait toute la vaisselle, alors lui autoriserais de me faire l’amour au lit. Sinon il n’avait qu’à se rhabiller.

Quand je suis revenue, je ne croyais pas trop qu’il accepterait. Mais son sexe était toujours bien droit et violet, ça m’a encouragée. Je lui ai dis alors quoi, que fais-tu? Il a fermé les yeux et m’a répondu tout bas de peur que les voisins l’entendent sûrement, c’est bon , je vais t’aider. Alors là j’étais furieuse. Non tu vas pas m’aider, tu vas tout faire tout seul. Moi, je vais faire un petit tour et quand je reviens c’est tout propre.

Il n’a pas répondu de suite, mais j’ai bien vu qu’il triquait toujours bien droit. Là, je savais que j’avais gagné. Et il a dit oui. J’ai détaché

les deux paires de menottes des mains et j’ai bien laissé celles des pieds. J’ai plein d’idées qui me germent maintenant. Je tiens l’homme

par le bon bout. Il n’était pas content et il a dit eh mes pieds. J’ai répondu ça c’est pour être sur que tu penses bien à moi pendant mon

absence. ah ah ah. Et je suis partie une bonne heure ce soir là.

A mon retour c’était pas parfait, mais il avait tout fini. Je l’ai détaché et envoyé se doucher. Au lit, je lui ai un peu sucé le sexe pendant qu’il était à plat dos. Mais rapidement je me suis couchée sur le dos et je lui ai ordonné de mettre le préservatif et de venir.

C’est bien fini l’époque de la Jacqueline qui lui faisait ses quatre volontés. J’ai bien vu qu’il faisait la tête, mais il avait tellement

besoin qu’il s’est pas fait prier. Pendant l’amour, Je lui ai bien malaxé les fesses pour lui faire voir qu’il est bien à moi, puis je

lui ai mis mon majeur droit dans le trou, histoire de bien enfoncer le clou. Alors il a hurlé d’un coup et il a joui comme un fou.

Ca a été le début de ma nouvelle relation avec lui. Il est toujours au chômage alors en partant le matin, je lui fais sa liste. Comme je fais

presque plus rien, à la maison à part la lessive parce que là il me fait que des bêtises avec la machine, j’ai du temps pour imaginer des

tas de choses pour la soirée. Je le dis aux femmes qui doivent supporter un mari dépressif ou chômeur à la maison, faites le baiser

et bosser, enfin plutôt bosser pour avoir le droit de baiser, alors il aura plus le temps de gamberger.

Merci de ne pas mettre mon adresse parce que Martin ne doit rien savoir. Je vous embrasse.

Jacqueline.

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