Histoires érotiques au travail Histoires porno

Elise ou la soumission d'une chienne – Chapitre 2

Elise ou la soumission d'une chienne - Chapitre 2



Partie 2 : le lendemain.

Je savais qu’Elise serait à l’heure. M’amuser avec elle dans sa cave était une source de plaisir immense, mais j’aimais le confort de mon appartement et j’y savais que je serais plus tranquille. En plus, j’avais préparé à mon jouet sexuel une petite surprise qu’elle ne serait pas prête d’oublier.

Lorsqu’elle sonna à la porte, je ne pus retenir un sourire. Lentement, je tournais la serrure : je voulais profiter de chaque seconde. Elle était là, dans la même tenue qu’hier : cette robe noire très courte qui lui dénudait les épaules et les cuisses. Elle avait chaussé ses bottes noires. De plus, comme je le lui avais intimé, elle s’était maquillée et coiffée. Une ravissante petite pute.

— Très bien Elise, tu es en beauté. Entre.

Comme elle s’exécutait, je la laissai passer devant moi.

— Tu t’es fait belle pour te faire sauter ?

La honte que je lus sur son visage était mêlée à un autre sentiment. J’avais vraiment tiré le gros lot, mais j’allais bientôt savoir à quel point ces jeux de soumission lui plaisaient. Je lui fis signe d’avancer dans la salle. Elle regardait autour d’elle, découvrant le décorum de mon appartement. Elle arriva dans la pièce et poussa un petit cri de stupeur. C’est à ce moment que je verrouillai la porte bruyamment. Je voulais qu’elle sente qu’elle était prise au piège.

— Qu’y a t’il Elise, fis-je d’un ton faussement inquiet en me dirigeant dans la salle.

— Ce n’est rien Momo, répondit Jean-Pierre, tranquillement installé dans le canapé et sirotant une bière. Je crois qu’elle est un peu surprise de me trouver là. C’est ça Elise ? Tu permets que je t’appelle Elise et que je te tutoie, n’est-ce pas ?

Je la regardais : elle venait de comprendre ce qui allait se passer. Elle se trouvait en face d’un autre collègue de son mari, qui plus est un homme vicieux précédé d’une réputation de coureur invétéré. Et comme il détestait le mari de Elise, la possibilité de l’utiliser comme un jouet l’excitait au plus haut point.

— Elle est trop timide pour te répondre… fis-je en m’approchant d’elle.

Je lui mis la main aux seins et commençait à les malaxer en regardant Jean-pierre. Elise se débattit et fit mine de s’enfuir vers la porte.

— Ne me dis pas que tu n’es pas excitée par la situation, Elise. (elle s’arrêta net) Je me suis peut-être trompé à ton sujet… mais je ne crois pas…

Elle revint vers moi et se plaça de sorte que Jean-Pierre ne puisse pas la voir.

-Je veux bien faire ce que vous voulez, mais lui doit partir, dit-elle en me regardant dans les yeux.

Elle était encore rebelle. Cela me fit bander un peu plus. Bientôt, elle serait notre petite pute et rien de ce qu’elle dirait n’allait changer cela.

— Je ne suis pas certain que tu ais bien saisi ce qui va se passer ici, fis-je. A partir de maintenant, tu ne parles que si nous t’adressons la parole. Et tu feras tout ce que je te dirai… et tout ce que Jean-Pierre te dira…

Puis je m’assis à côté de mon ami, la laissant debout devant nous.

— Tu ne trouves pas qu’elle est belle, habillée comme ça ?

— J’en bande déjà… (la regardant) approche un peu ma jolie.

Elise le toisa du regard mais fit un pas vers lui. Elle s’avança jusqu’à ce que son genoux touche le sien. Jean-Pierre caressa la bottine et remonta jusqu’au genoux. Lorsqu’il toucha la peau dénudée, je vis Elise frémir.

— Et dire que tu as l’air toute gentille le reste du temps ; Pas évident de deviner que tu es une petite salope… (Arrivé au niveau du genou, il remonta sa main qui disparut sous la robe) Ecarte un peu les jambes que je m’amuse avec toi.

Elise desserra les cuisses et le bras de jean-Pierre disparut sous la robe. En allumant une cigarette je fixai le visage d’Elise au fur et à mesure que mon ami la branlait. Elle tentait de dissimuler son plaisir, mais je voyais sa poitrine se soulever de plus en plus rapidement.

— C’est fou, elle mouille déjà… fit il en continuant sa branlette. On va bien s’amuser avec toi.

— Elle a une bouche superbe, fis-je, histoire de la gêner un peu plus.

— Ca va me botter de me vider dans sa petite gueule.

— Et elle avale tout…

A ce moment, Elise poussa un gémissement de plaisir. Jean-Pierre sourit.

— Eh bien, tu es très mal élevée Elise. On ne t’a pas dit que tu ne dois pas jouir sans qu’on t’y ait autorisée.

Tout en la grondant, il lui massait la chatte de plus en plus profondément. La jeune femme poussa un nouveau gémissement.

— Tu es vraiment une salope Elise…

— Dis-le, fis-je. Dis que tu n’es qu’une petite pute avec laquelle nous allons nous amuser…

Elle lâcha un nouveau gémissement.

— Je ne.. Je ne suis qu’une… petite pute…

— Et tu aimes ce que je fais ? demanda Jean-Pierre la main enfouie sous la robe.

— Oui… J’ai… J’aime ce que vous me faites…

De l’autre main, Jean-Pïerre releva le bas de la robe. Une bonne partie de sa main avait disparu dans sa chatte. Il continua ses allers et venues jusqu’à ce qu’elle jouisse devant nous. Puis, il retira sa main et l’essuya sur sa robe, laissant des traînées de mouilles sur le tissu noir. Jean-Pierre se leva, s’approcha d’Elise et l’embrassa à pleine bouche. Il s’amusa avec sa langue quelques instants puis se recula et lui cracha un gros mollard à la gueule.

Elise sursauta sous l’insulte et voulut porter la main à son visage pour s’essuyer, mais Jean-Pierre l’en empêcha.

— Tu es vraiment une petite roulure… C’est tout ce que tu mérites. Et puis dis toi que la prochaine fois ce ne sera pas un crachat qui coulera sur ta bouche.

Je regardais la scène en souriant : mon ami était vraiment un sadique. Nous allions la faire ramper et la briser.

— Avale mon crachat Elise…

Elise me lança un regard éploré, mais pour toute réponse je tirai une taffe sur ma cigarette. Elle sortit sa langue, attrapa le mollard et l’avala.

— Tu avais raison Momo, me fit Jean-Pierre, elle avale n’importe quoi.

En rigolant, Jean-Pierre souleva la robe et lui donna une claque sur les fesses.

— Allez, va nous chercher à boire…

Elle s’éloigna, nous laissant discuter. Je l’imaginais se dirigeant vers la cuisine, ravalant ses larmes. Bientôt je la vis revenir avec le plateau que j’avais préparé. Jean-Pierre et moi étions assis à la table, en train de jouer aux cartes. Elle posa le plateau avec les bières.

— Est-ce que tu t’y connais en cartes Elise, lui demandai-je.

— Parce que Momo et moi allons jouer à un petit jeu… continua Jean-Pierre sans la laisser répondre. Celui qui gagne sera le premier à s’amuser avec toi… Bien évidemment, il pourra faire tout ce qu’il veut…

— Tu es d’accord bien sûr ?

Elise nous regarda à tour de rôle : à ce moment précis j’avais une envie folle de la gifler et de la violer. Mais il fallait que nous prenions notre temps.

— Je suis d’accord, fit-elle en baissant les yeux.

— Agenouille toi pendant que nous jouons… fit Jean-Pierre sans même la regarder.

Je commençais à distribuer les cartes. Du coin de l’oeil je la voyais s’abaisser et se mettre à genoux. Jean-Pierre, faussement concentré sur son jeu, ajouta :

— Retire ta robe et garde tes bottes… Je veux te voir à poil…

Elle hésita une seconde tandis que nous commencions la partie puis releva les bras et ôta sa robe noire.

— Mets tes mains derrière la tête…

Une fois encore elle obéit. A genoux, uniquement vêtue de ces bottes, elle restait immobile tandis que nous parlions d’elle comme si elle n’était pas là. Je savais à quel point la situation était humiliante pour elle.

— Elle a un peu de bide, tu ne trouves pas ? fit Jean-Pierre en posant une carte.

— Oui, mais qu’est-ce qu’elle suce bien. Elle a une petite langue qui s’enroule autour de ta bite… Tu vas voir, un délice…

— Arrête de parler comme ça d’elle, ça l’excite je suis sûr, fit Jean-Pierre en souriant.

La partie s’éternisait : nous parlions devant elle du plaisir que nous allions avoir à la baiser à tour de rôle, comment nous allions l’utiliser. Pourtant le temps passait et nous n’en faisions rien. Elle restait là, à genoux, nue à côté de nous, sans que nous la touchions.

— T’as remarqué comme ces bouts de seins pointent ?

— Oui, pourtant il ne fait pas froid ici, ajoutai-je en ramassant les cartes. Tu crois qu’elle est excitée ?

Nous éclatâmes de rire. Je distribuais les cartes pour une nouvelle partie.

— S’il vous plait, fit elle.

Je regardais Jean-Pierre.

— Elle a parlé ?

— Je crois oui, fit-il en se tournant vers elle. Qu’est-ce qu’il y a Elise ?

— Je… J’ai mal aux genoux… fit-elle les larmes aux yeux.

JP me regarda en souriant : cela faisait plus d’une heure et demie qu’elle était là, immobile.

— Et alors ?

— Laissez moi m’asseoir, s’il vous plait.

— Tu me demandes une faveur petite salope ? C’est ça ?

— Je serai gentille avec vous si vous me laissez m’asseoir.

Jean-Pierre s’approcha d’elle et la saisit par les tétons, jouant avec ses bouts les caressant doucement puis les pinçant durement. La salope gémissait comme une chienne. Jean-Pierre regardait ses seins. Je savais qu’il avait envie de se la payer depuis le début.

— Espèce de salope, fit-il en la prenant par les cheveux et en la poussant sur le canapé. Je vais te montrer comment tu vas être gentille.

Elle poussa un cri lorsqu’elle se retrouva à quatre pattes contre le canapé. Jean-Pierre ouvrit sa braguette, sortir son sexe et se posa à l’entrée de sa chatte. Dans un dernier sursaut de sadisme, il se retint, se contentant de glisser son gland à l’entrée de la chatte de la salope.

— Tu veux quelques chose peut-être ? fit-il amusé.

Elle faisait aller et venir son bassin, mais Jean-Pierre se reculait à chaque fois, l’empêchant ainsi de se faire sauter.

— Prenez moi, fit elle au bout d’un moment.

Jean-Pierre la tira par les cheveux et lui mollarda de nouveau au visage.

— Qu’est-ce que tu as dit petite pute ?

— Prenez-moi, fit-elle plus fort en cherchant à avaler le crachat avec sa langue.

— Je ne comprends pas ce que tu veux dire.

— Baisez-moi… Défoncez moi…

— Dis moi que tu veux être violée…

— Vio…Violez moi…

Jean-Pierre s’enfonça brutalement en elle, la clouant sur le canapé. Il enfonça son visage dans un coussin et commença à la ramoner vigoureusement tout en l’insultant. Elise jouissait, poussait des cris de douleur chaque fois qu’il lui tirait les cheveux en arrière pour voir son visage.

Brusquement, il se retira, la queue luisant de mouille. Elise se retourna vers lui, haletante.

— Baise moi…

Avec un sourire amusé, Jean-Pierre lui dit :

— Remets toi en position et supplie moi salope.

Elise se tourna, enfonça d’elle même son visage dans le canapé.

— Baise moi, dit elle en se cambrant.

Jean-Pierre défit sa ceinture et lui fouetta les fesses un grand coup.

— Je suis sur que tu peux supplier mieux que ça….

— Je t’en supplie, prends moi…

Pour toute réponse, jean-Pierre donna un nouveau coup de ceinture.

— J’ai très envie de te la mettre dans le cul…

La tête dans le divan., elle poussa un gémissement. Jean-Pierre eut un sourire mauvais. Il la prit par les fesses, les écarta, cracha un gros mollard dans sa raie et se positionna.

— Montre moi sa petite gueule pendant que tu l’encules, fis-je. Je veux voir son expression en se prenant une bite dans le cul.

Jean-Pierre la tira par les cheveux tout en s’enfonçant dans son anus. Elle se redressa et cria, mais Jean pierre appuya sur sa nuque en la pénétrant, s’arrangeant pour que son visage soit toujours dans ma direction. Le plus violemment possible, il l’enculait. Son visage passait lentement d’une expression de douleur à une expression d’extase. Elle se mit à gémir. Tout en la pistonnant, il enfonça deux doigts dans sa bouche. Elle se mit à les sucer bruyamment.

— Ca te plait salope ?

Elise ouvrit la bouche pour parler, mais son ? oui ? était étouffé par les doigts de Jean-Pierre. Lorsqu’il fut sur le point de jouir, il la prit par les cheveux et se masturba devant son visage. Il lui juta sur la gueule. Les traînées blanchâtres s’étalèrent sur son visage. Elle ferma les yeux, la bouche entrouverte. Pour le dernier jet, Jean-Pierre visa ses lèvres et par plaisir, la jeune femme lécha tout ce qu’elle pouvait.

— Pendant que tu y es, nettoie ma queue fit JP en s’enfonçant dans sa bouche.

Il attendit quelques instants durant lesquels elle commençait à le sucer avant d’ajouter :

— Elle sent la merde…

Elise continue sa fellation un moment. Jean-Pierre se regardait entrer et sortir de sa jolie bouche.

Mon tour arrivait.

’ a suivre’

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire