Histoires de sexe noir Histoires de sexe sœur Histoires érotiques au travail

elle 20 ans, lui 70 ans… – Chapitre 14

elle 20 ans, lui 70 ans... - Chapitre 14



Les weekends sont pour beaucoup, moment de détente et de plaisir, mais pour moi ils étaient surtout redoutés.

En effet, souvent, trop souvent, le vendredi soir, elle repartait chez ses parents, quelquefois, elle m’offrait ce dernier jour de la semaine pour ne repartir que le samedi matin, mais cela était bien rare.

Il m’arrivait bien entendu de la croiser le dimanche quand j’étais invité par les parents de Manon.

En effet, dans ces cas-là, je la prévenais et elle trouvait alors un prétexte pour venir saluer sa copine.

Nous faisions bien entendu attention lors de ces rencontres.

Nous maintenions une distance convenable, mais de toute façon, qui pourrait imaginer qu’un vieux  de 70 ans comme moi entretienne une relation autre qu’amicale avec une jeune femme de 20 ans à peine.

Il m’est arrivé alors que nous n’étions que tous les 2 dans une pièce de laissé trainer ma main sur ses fesses, mais nous étions en règle générale très sage.

–    Pas trop difficiles cette licence ?

Je m’intéressais aux études de Manon et par politesse m’enquérais sur celles de Justine, nul n’aurait pu deviner qu’elle était en fait ma maitresse.

Les samedi soir qui me laissaient seul chez moi, il n’était pas rare que j’allume la caméra du studio, simplement pour m’imprégner de ce lieu  et laissé vagabonder mes rêves  et mon imagination devant cette chambre vide.

Bien qu’il n’y a personne dans cette pièce, j’imagine Justine se baladant vêtu de sa seule culotte, ses seins certes petits, mais aussi agréable à regarder qu’à caresser, son petit cul rond assez potelé pour offrir matière à façonnage pour une main experte, je peux imaginer sans problème chaque partie de son corps que je connais maintenant par cur.

C’est ainsi, qu’un samedi

J’étais seul chez moi, je venais de terminer « tu me manques » de Harlan Coben et ne me sentait pas vraiment d’humeur à entamer un nouveau livre. Presque par reflex j’allumais la caméra et basculais l’image sur mon écran plat.

Il était 22h30, je m’attendais à voir la chambre dans le noir, mais une petite lumière était allumée.

J’ai d’abord cru que Justine avait oublié de l’éteindre, mais autre fait étrange, le canapé-lit était déplié et un homme y était couché.

–    Eh bien la petite cachotière.

Je n’étais pas Jaloux, je me doutais bien que cela arriverait un jour.

Justine est séduisante, elle n’est pas seulement belle, elle a aussi beaucoup de charme.

Je sais qu’un jour elle trouvera un homme de sa génération et je sais aussi qu’un jour elle tombera amoureuse d’une personne de son âge et que je deviendrais alors l’ami « gênant »

Je m’y étais préparé mais rien ne me prouvait que ce jour-là était arrivé.

Certes, il y avait un homme dans son lit, mais ne lui avais-je pas dit qu’elle pouvait recevoir d’autres hommes et ne m’avait-elle pas alors répondu, après m’avoir dit qu’il n’y en aurait pas, que si tel était le cas, cela ne la gênerait pas que je regarde ?

Justine devait être dans la salle de bain, car elle ne partageait pas son lit, par contre je n’entendais pas d’eau couler, elle n’était donc pas sous la douche.

Elle m’avait finalement donné à l’époque où nous avions abordé le sujet de son intimité, l’autorisation de la regarder quand il me plairait, même si elle était en galante compagnie et cela sans être obligé de la prévenir, je décidais donc de profiter du spectacle qu’elle allait m’offrir.

De toute façon, elle savait où étais la caméra et elle pouvait voir si elle était en marche ou pas et  même la fermer il y avait un code pour cela, mais elle l’avait.

Quand la porte de la salle de bain s’est ouverte, une jeune femme en nuisette en est sortie.

–    Qu’en penses-tu ?

Dit-elle en s’adressant à son compagnon.

Elle avait une petite voix hésitante et semblait intimidée, la nuisette était en voilage transparent, je la voyait de dos et je n’aurais pas pu dans un premier temps deviner à qui appartenait ce corps magnifique, ma seule certitude était que ce n’était pas Justine.

La voix était tremblante, Justine avait dû prêter l’appartement à une de ses copines pour y emmener son copain et en voyant le manque d’assurance de cette dernière, cela devait être la première fois qu’elle se retrouvait ainsi vêtue face à son petit ami, voire la première fois qu’elle se présentait de cette manière devant un homme.

Mes yeux étaient  envoûtés  par cette délicieuse  plastique, je ne l’avais pas encore vu de face, mais sa silhouette, ses fesses, ses hanches, me fit  perdre la possession de mes moyens.

Ceci explique certainement le fait que je n’ai pas tout de suite reconnu cette ravissante créature.

Elle s’approcha d’un pas timide vers son compagnon, celui-ci, qui était allongé dans le lit à lire son téléphone portable avant l’arrivée de sa dulcinée se redressa et la regarda.

–    Ouah

Fit-il en se levant pour venir à sa rencontre.

C’est à ce moment-là que j’ai repris conscience, mon cerveau se mit en mode panique face à cette réalité.

J’avais une érection,  il n’y avait aucun doute la dessus, et d’ailleurs qui n’aurait pas bandé face à pareil spectacle.

La panique ne venait pas de là non, pas de bander à ce que je voyais, mais de bander pour ma petite fille cette femme en nuisette qui ne me laissait pas indifférent; c’était Marion!

Que devais-je faire ?

Fermer la caméra, les laisser vivre leur vie, leur histoire d’amour voire peut-être simplement de sexe, sans regarder ?

Cela était la solution la plus raisonnable, il ne m’était pas possible de m’exciter sur Marion

Impossible, c’était ma petite fille, la vraie, pas celle d’un jeu entre Justine et moi, mais Marion la fille de mon enfant impossible, et pourtant, non seulement je bandais, mais je n’arrivais pas à détacher mon regard de son corps.

Il s’approchait d’elle, elle s’était arrêtée et attendait timidement et moi, je n’arrivais pas à éteindre cette satanée caméra.

Arrivé à sa hauteur, il l’embrassa, sa main se posa sur sa fesse et sa caresse remonta sa nuisette, assez pour me permettre de découvrir ses fesses

–    aussi ronde et potelé que celle de Justine

Ce commentaire à haute voix est sortie naturellement, Marion était aussi fraiche qu’elle, mais son corps était bien plus femme.

Son compagnon s’agenouilla devant elle et glissa sa tête entre ses cuisses. Rapidement, Marion laissa échapper quelques gémissements.

L’image et le son eurent raison de ma « raison », il n’était pas raisonnable de la regarder faire l’amour, mais je n’avais pas envie de l’être 

Mon sexe bandait dur il était sorti de mon pantalon et ma main l’astiquait énergiquement, comme si elle voulait finir le plus rapidement possible ce calvaire.

Il se leva, lui prit la main et la conduisit jusqu’au lit.

Elle le suivit sans dire un mot, ou plutôt la précéda, car, il lui avait fait un geste lui demandant de passer devant lui.

Au pied du lit, alors qu’elle allait s’y coucher, il la stoppa en l’embrassant dans le cou, puis la fit tourner vers lui et enleva sa nuisette.

L’angle de la caméra m’offrit alors Manon au ¾ face, elle était nue et vraiment belle.

Ils s’allongèrent ensuite sur le lit, ils s’embrassèrent et rapidement il fut sur elle pour un classique missionnaire.

Ils firent l’amour longtemps, les gémissements de Manon n’avaient pas l’air feint.

Je n’ai rien manqué du spectacle, l’orgasme de Manon ne fut pas extrêmement bruyant, son corps fut plus expressif, elle n’avait pas simulé l’orgasme, on ne peut mentir le langage de son corps, ou alors c’est qu’on maitrise parfaitement son sujet et cela ne semblait pas être le cas pour Manon.

Ils sont ensuite restés plusieurs minutes allongés l’un à côté de l’autre sans rien dire et moi, je ne pouvais pas éteindre, ensorcelé par ce corps nu couché par-dessus la couette.

oubliant qu’il s’agissait de celui de ma petite fille.

Elle s’est ensuite levée pour se diriger vers la salle de bain, ces dernières images de ma petite fille marchant nue vers la caméra offrit à ma main une deuxième giclée de sperme…

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire